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La plus belle course


Kevin SALAME

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Quelle est, selon vous, la plus belle course d'un jour ou une etape d'un Tour que vous avez regardés et qui etait vraiment palpitante, que ce soit au final, le parcours.... Pour moi, lors du Tour de France 2010, lors de l'ascension du Tourmalet(Contador-Schleck)

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Quand Hinault a été champion du monde c'était pas palpitant pour un non français! On a vu un "énormissime"

bourrin se mettre devant à 100 bornes de l'arrivée et tous les autres ont sauté 1 à 1....Alors que ce type était moribond 2 semaines avant.

J'ai largement préféré le championnat du monde de 89 en terme d'indécision!

Je ne me remet pas de Crans Montana 1984 avec les commentateurs dans les choux et Fignon qui après avoir fait le mort, s'en va ramasser tous les grimpeurs et les exécute comme Merckx l'aurait fait.....intouchable!

 

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Le championnat du monde sur route en Colombie en 1995, un décor auquel on etait peu habitué, un parcours difficile à 3.000 mètres d'altitude, Abraham Olano qui fait une course magistrale en contrant l'attaque de Marco Pantani et fait le dernier kilomètre à un rythme de folie sur route humide avec le pneu (boyau?) arrière à plat. Indurain fait 2, Pantani troisième.

Sinon je me rappèle de Lance Armstrong à Luz Ardiden en 2003, la victoire de Virenque à Paris-Tours et les quelques étapes du Tour que je suis allé voir: l'arrivée à Albertville en 1998 ou le prologue à Liège où on pouvait vraiment approcher au plus près des courreurs...

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Pour moi, entre autre, je me souviens de l'étape des Arcs sur le Tour'96... Jalabert craque dans le premier col, Heulot en jaune et en pleure dans Roselend, Zulle et Bruyneel dans le ravin dans la descente, puis Indurain qui lâche prise dans les Arcs après 5 victoires sur le Tour... une superbe étape.

à revoir là : http://www.youtube.com/watch?v=pHjwyIOQHRo

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Ah que oui ! Une fameuse journée sous la flotte mais que d'émotions avec l'attaque de Hinault et De Muynck dès la première montée de Domancy puis le long cavalier seul de Mariano Martinez et enfin la séance de laminoir par le Blaireau lui-même.

Nous nous trouvions 20 m au dessus du virage où Hinault a mis la dernière mine à Baronchelli ... et au milieu des supporters italiens, je vous dis pas l'ambiance

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Paris-Roubaix 1994 avec la victoire d'Andreï Tchmil après plus d'une heure d'échappée en solitaire dans des conditions climatiques épouvantables. Jamais je n'ai été autant scotché devant ma télé que pour cette course-là. Tchmil qui s'en va seul à une cinquantaine de bornes de l'arrivée. Johan Museeuw, muni d'un vélo tout suspendu, qui revient à 6 secondes de Tchmil et puis qui reperd du temps, de plus en plus de temps avant de crever. Duclos-Lassale et Ballerini qui crèvent simultanément sur le même secteur pavé transformé en bourbier et qui doivent continuer quand même, au ralenti, la moto neutre de dépannage mettant une éternité à arriver. Tchmil qui saute par-dessus un terre-plein au centre d'une placette de village au lieu d'en faire le tour. Etc.

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Le championnat du monde de 1964 a Sallanches, avec chez les amateurs d'un certain Merckx. Le lendemain j'étais aux premières loges pour la victoire de Janssen, et une brève rencontre inatendue dans les stands avec le grand Bahamontes, et plus tard avec Anglade dont j'ai toujours le bidon. Lorsqu'on a 16 ans et qu'on est fou de vélo on est marqué pour longtemps.

La victoire en 2012 de Boonen sur Paris Roubai.

Et puis plus humblement la 1ere victoire de mon petit frère a Culoz en 1968, la première d'une longue série.

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il est vrai que ce fut une sacré partie de manivelles.Lannée d avant en 68 MERCKx pour son 1er giro gagne au blawkaus et le titre du journal italien le lendemain fut :il MONSTRO;pourtant ils ont eu de grands champions,et ça en disait long sur celui qui allait devenir certainement le plus grand

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Ah pour ça, c'était un sacré démarrage et Baronchelli a dû croire qu'il était arrêté.

Ce qui était impressionnant, à chaque tour quand il passait devant nous, c'était la tête que faisait Hinault. On le sentait remonté comme une pendule ... c'était pas le moment de l'énerver 😄

Quand il s'est fait largué, Baronchelli avait la tête d'un cadavre.

Le plus poilant en début de course, c'est la façon dont Raas s'est fait huer après sa "victoire" de l'année précédente à Valkenburg ... mais il n'a pas subi longtemps car il s'est vite fait éjecter.

Il y avait aussi un petit jeune qui s'était révélé, un certain Robert Millar.

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