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Plus belle journée sur le vélo


Clementine SETA

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Puisqu'on en est à faire des classements (cf sujet "c'est noël ou "vélo 101 d'or"), je vous en propose un autre, qui peut donner des idées aux autres cyclistes pour les sorties de 2016. Donc, je propose: les 5 plus belles journées que vous avez passées sur le vélo. Beaucoup de paramètres entrent en jeu: forme du moment; instant de la journée; effort consenti; beauté des paysages; personnes avec qui vous étiez. je trouve en tout cas que c'est un beau sujet pour finir 2016.

Donc, de mon côté, ça donnerait quelque chose comme ça:

1) Le Paris-Roubaix cyclo avec l'entrée sur le vélodrome. Vraiment magique, et comme je ne l'ai fait qu'une fois, l'instant reste exceptionnel pour moi.

2) La fin de ma première Ardéchoise, qu'on avait faite en mode cyclotouriste avec des amis. On avait pris notre temps, et les autres copains ayant bifurqué sur les Sucs, on avait fini assez tardivement et encore pas trop entamés, avec mon copain. J'ai un souvenir super de la descente du col du Buisson, dans la belle lumière du début de soirée. Un moment de grande quiétude...

3) A égalité, les deux enchaînements "Stelvio par les deux faces" et "Mortirolo-Gavia", parce que c'est inimaginable, comme c'est beau (et dur, ce qui ajoute au bonheur quand on arrive en haut)!

4) A un niveau plus modeste, une journée où nous avions fait un grand tour dans le Valromey avec des copains, et où les jambes tournaient impeccablement. Une impression que rien ne pouvait me résister et que chaque coup de pédale était efficace. Ca n'arrive pas tous les jours, et c'est d'autant plus appréciable quand c'est le cas. Au même chapitre, ces quelques jours exceptionnels où on ne sent pas la pente sous les roues : une montée sèche du relais du Chat en juillet dernier, ou du Revard, en mode chrono, il y a 3 ans.

5) Et puis, c'est pas du vélo, mais l'effort se rapproche: une fin de Transjurassienne horrible, -20 sur tout le parcours avec une bise glaciale dans le nez pendant 70 km. J'ai bien cru que j'allais pleurer en arrivant à Mouthe, tellement j'avais puisé pour arriver au bout. Mon meilleur classement sur l'épreuve en prime.

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J'aurais bien du mal à en distinguer cinq, mais la plus belle c'est très facile.

J'ai monté le Ventoux au mois de septembre l'an dernier, départ de Bédoin et retour par Sault et les gorges de la Nesque.

Tout a concouru à mon bonheur : la réalisation d'un objectif que j'avais fixé au début de l'année, un temps absolument magnifique, pas de vent, ni trop chaud en bas, ni froid en haut, l'ambiance en haut, les paysages sublimes, l'odeur de la lavande fraîchement coupée...

Un parcours certainement banal pour bien des forumeurs, mais pour moi, sans l'ombre d'un doute, ma plus belle journée sur un vélo.

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Sujet intéressant, mais c'est tellement difficile de choisir !

 

A mon modeste niveau, je ne me suis jamais lancer dans des évènements organisés. Les journées les plus marquantes sont donc en général des sorties en solo ou en duo.

Parmi mes préférées je retiens :

- départ de Barcelonnette pour le tour col de Cayolle, col des champs, col d'Allos. J'ai tout aimé dans ce tour mais en particulier la Cayolle qui reste à ce jour le col que je préfère parmi les 500 que j'ai monté. Attaqué de bon heure en plein été c'était fabuleux, paysage varié, difficulté croissante, sommet au milieu des marmottes. Un enchainement difficile pour moi mais beaucoup de plaisir à en venir à bout.

 

- Au départ d'Allemond, une journée splendide hors saison estivale (mi-octobre il me semble) en direction du méconnu et somptueux col du Sabot. Une montée en cul de sac très difficile et dont la partie haute dans les alpages est d'un dépaysement total malgré une route peu praticable. 14,5 km à 8,9 % sans quasiment aucun répit ni voiture. J'ai enchainé ensuite sur un AR au Glandon qui m'a paru encore plus dur que d'habitude.

 

- Deux "traversées" du Vercors d'environ 140 km que j'ai pu faire grâce au train. Une au départ de Romans direction Grenoble via les cols de Tourniol, La Bataille, Carri, Herbouilly, l'autre au départ de mens vis les cols de Ménée, du rousset, gorges de la bourne. Bien long en solo mais une jolie promenade.

 

- La boucle Grand Colombier par Virieu le petit descente sur Anglefort et retour par le col de la Biche. J'ai adoré cette montée que je suis allé faire à la journée pour m'attaquer au Grand colombier et ses pourcentages extrêmes. Je connaissais pas du tout le coin, un temps magnifique et une vue exceptionnelle au sommet.

 

- pour finir je garde en tête mon challenge de grimpeur perso que l'on retrouve sur ce site. Challenge local qui consiste à grimper 4 côtes très raides et rapprochées pour faire le maximum de dénivelé en un minimum de km. Fait avec Frank cet été, très content d'avoir réussi ce challenge de 25,2 km  seulement d'ascension pour 2395 m de dénivellé et surtout d'avoir fini dans un état plus qu'acceptable. Les jambes tournaient bien ce jour et c'était un vrai plaisir  (http://www.velo101.com/forum/voirsujet/pour-les-cyclistes-du-38-challenge-de-grimpeur--28965/).

 

Voilà, y en aurait tellement d'autres dur de choisir (je pense au ventoux, au col du mont noir et romeyère, Tourmalet, gorges du verdon, etc).

 

 

 

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Récemment, le lever du jour sur le BRM 300km de Tours. C’était au mois d’avril, nous étions partis à 05 heures du matin sous la pluie. Au lever du jour, j’étais seul devant dans les marais de la Brenne. La pluie avait cessé et la nature s’éveillait doucement ; pas un bruit, personne à l’horizon : j’étais seul au monde et j’avais la pédale facile !

Il y en a bien d’autres, mais celui-ci est le premier qui me vient à l’esprit.

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les plus belles journées sur le vélo et dans les baskets en 2015 

1/ duathlon de l'Alpe d'Huez

2/ l'Arvan Villars     étapes 1 et 3    ( en 2016 je signe pour la trilogie en mode randonneur)

3/ La Vaujany   (en 2016 refaire le Grand Parcours)

4/ Semi-marathon de Chambéry 

5/ la Corrida de sassenage (11km de CAP)

 

Mon Classement Général  ,   la c'est vraiment  pas évident 

 

1/ 100 km du Trieves en VTT

2/ Le BRA  

3/ La Marmotte    ( en plus de 12 h ) 

4/  Monté de L'Izeran   depuis Bonneval sur Arc 

5/  La Vaujany grand Parcours

6/ duathlon de l'Alpe

 et tout le reste  ( Tourmalet , Aspin , Paladru , Trans Vercors VTT , Buicyclette  VTT , Matheysine VTT ....    😄)

 

 

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Bravo Clémentine  et super sujet !

 

Rapidement avant d'aller travailler ce qui me viens a l'esprit ,

 

1.  mon 1er 100km avec le cyclo club de Metz a 16 ans 4 crevaisons et des crampes mais heureux d'avoir fait 100 bornes

 

2. Mon 200km des Cotes de Moselle

 

3. Ma 1 ere course de velo  gros stress mais quel moment 

 

4.un Metz Strasbourg sans entraînement tout sur gros plateau 

 

5.mon 1er et unique marathon en 2011 a 46 ans....

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Hello Clémentine.


Pas simple en effet. Je dirais qu'en règle générale, ce sont des sorties de montagnes avec la Suisse, le Haut-Jura, les Alpes, la Provence et les Pyrénées. J'en donne 5 qui ne sont pas forcément dans l'ordre.


1. Premier enchaînement de 3 cols à 2000m dans les Pyrénées avec Tentes, Troumouse et Tourmalet.


2. Mes brevets de haute montagne comme celui du Haut Bugey en 2011 ou celui des Alpes en 2013.


3. Ma sortie d'antlogie au Pays Basque avec des pourcentages de folie pendant 8 heures.


4. Ma rencontre avec la faune et la flore de la Hourquette d'Ancizan. Jamais égalé à ce jour.


5. Pour celle là, je choisirais mon premier 200 dans le Haut-Jura après mon accident. C'était avec mes copains de club et j'avais comme par magie une forme d'enfer. Je passais tout sur la plaque.

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C'est drôle, mais à cette notion de "plus belle journée", je n'ai que des souvenirs de mauvais temps.

Il y en a au moins deux, ce sont des sorties en hiver. Le temps est moche.

Une fois je suis en Bretagne, je remonte de Penmarch vers Audierne en longeant la côte au plus près. Il y a  une espèce de brumasse pénétrante, c'est un peu irréel. Il n'y a personne, même pas de voitures.

L'autre fois, en forêt près de Royan, il flotte à torrents, pas beaucoup de lumière. Quatre heures complètement trempé, mais je n'ai pas froid, il fait doux. Pas un chat là non plus. 

Dans ces deux cas, il me vient l'idée que je ne voudrais surtout pas être ailleurs à ce moment là. Je suis ici, et content d'y être. C'est une sorte de parenthèse, un moment juste à moi, comme cela n'arrive pas souvent.

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Pour moi c'est ma première vraie sortie route. J'ai acheté le vélo fin juillet 2011, avec pour objectif premier de pouvoir faire le trajet de la gare de Bourges à ma maison de campagne à 60km. Je me suis entraîné à Vincennes, au polygone. Des sorties de 40 à 60km. Un mois et demi après je me sentais de le faire. J'embarquais à Austerlitz avec le vélo révisé la veille, mais aussi avec un sac à dos bien plein. J'avais tablé sur une vitesse de croisière de 28 sur le plat et une moyenne de 26 sur le parcours. C'était une belle journée de septembre. Sauf que... Rapidement, dès la sortie de la ville, j'ai du mal. Le compteur reste sur 22-23 et pourtant j'appuie. Je découvre le vent de face, sans abri. Inexpérimenté, je dépense toute mon énergie sur la première moitié du parcours. La seconde est un calvaire, un mal de dos terrible avec ce gros sac. À 15 bornes de l'arrivée je m'arrête pour chercher un endroit où le cacher et revenir le récuperer le lendemain mais la pause me redonne mes esprits et je remonte en selle. Arrive la dernière petite cote, environ 400m à 4% que je franchirai avec le 34/28, puis l'ultime ligne droite avant de voir la maison. Il m'aura fallu 3 heures pour ce modeste trajet de 60km. 20 de moyenne. Une immense satisfaction d'avoir concretisé ce projet, et une grande leçon.
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Difficile comme sujet, tant il y en a!

Une qui m'avait vraiment marquée, c'est lorsque j'ai fait la course avec un orage! Mais oui.

Départ de Kruth, en Alsace, pour un tour de 72 km, je monte par le Bramont et là, je vois les gros noirs qui arrivent vers moi en travers gauche. Pile dans la diagonale de mon trajet. Ils se rapprochent lentement, j'estime avoir mes chances pour un défi à la schtroumpf: faire le tour prévu sans me faire arroser par la pluie, et rentrer au sec par l'endroit précédemment arrosé par cet orage.

J'y mets un coup en rigolant déjà, sachant ce que je risque. Je pourrais faire demi tour et rentrer sagement, mais c'est mal me connaître que penser cela!

Arrivé à la route des crêtes par les Américains, je fonce sur le Markstein avec vent dans le dos, yes, c'est tout bon. Là, deux options: soit je redescends vers le lac de Wildenstein mais c'est pas marrant, soit je me paye le Grand Ballon. Les gros nuages noirs sont alors bien présents au dessus de moi et ça commence à souffler de l'enfer... et je vois la pluie tomber fortement sur le lac et le bout de la route des crêtes. Dans quelques minutes, si je ne bouge pas rapidos, ce sera pour moi...

Bon allez, zou, va pour le Ballon que je monte à tout berzingue! 'tain, ça commence à craindre là haut, l'orage est pile au dessus de moi et il devrait passer par la gauche sans me mouiller si j'ai bien calculé l'histoire et que j'avance vite vite vite. 

Arrivé au magasin de miel (pour ceux qui connaissent) je sens les premières gouttes annonçant la fin du monde. Juste le temps de basculer de l'autre côté, j'enchaîne les quelques virages et waaaaa à fond vers Goldbasch où un grand soleil m'accueille généreusement. Là haut, ça se déchaîne comme un fou mais je l'ai échappé de justesse, à 5 minutes près j'étais cuit! Juste été un tout petit peu mouillé sur 500 mètres dans le basculement du col! Bien vu notre Mich !

Retour dans la vallée, la route VV33 est bien mouillée mais je suis dans le soleil, l'orage a vidé son eau sur le temps de ma montée et c'est grand beau jusqu'à la maison.

Ca reste un de mes plus chouettes souvenir dans cette superbe région que j'adore.

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pour moi ,c est après un arrêt très très long du vélo (autre sport) le jour ou je l ai vu dans ce magasin , je voulais le prendre mais il était réservé  c était lui et pas un autre ,après être passé plusieurs fois au magasin le vendeur me dit que le client potentiel n avait pas finalisé la vente , et que si je le voulais je devais le prendre de suite , j ai fait 80km aller retour pour le mettre dans ma voiture , depuis trois ans il est toujours aussi beau (pour moi)

mon deuxième ,c est le jour ou j ai pu monté le col de la colombière par st sixt  du coté de Annecy  , content comme un enfant qui découvre le monde , et ses magnifiques décors , depuis en vous voyant rouler dans ces contrées magiques je ne demande qu a consommé ,

3ème mon liège bastogne liège de 2015 , la récompense d avoir terminé car peu d entrainement et du vélo depuis deux ans seulement avec cette ambiance cyclo

4ème lille hardelot  la première année ,mon premier longue distance 159 km  si l on peut dire , je n y connaissais rien , j ai sympathisée avec des cyclos tout au long du trajet , du beau temps et vent de dos ....

n ayant pas votre vécu , ce ne sont  que de très modestes expérience  , plus tard peut être  

et une avec météo a l a   Maurice autobus  , une averse orageuse  énorme ,au  bas mot 5mm d eau sur la route sans éxagération    nous a pris lors d un trajet retour de cassel , un de mes copains a crevé , nous avons trouvé refuge dans un abri bus pour réparé et là, nous voyant tous dégouliné d eau nous avons eu une crise de barre de rires mémorables

bonne fin d année

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Mes meilleurs souvenirs vélo qui me reviennent 

Tout d'abord la trouille de monter sur un tel engin, je fuyais quand mon père voulait m'apprendre à 10ans 

Puis les sorties en 1/2 course comme on les appelait à l'époque  (16 -17 ans) avec un copain de classe le jeudi après midi lui a été champion d'Alsace à 21 ans et moi j'ai gagné la Coupe de France FSCF  la même année de basket la même année 

Après mon premier 100 km cyclotourisme à 37 ans 

Ensuite  mon premier col ( col des Pandours) 

Puis j'ai enchainé avec le col de l'Aubisque , Joux Plane , Alpe d'huez, Cormet de Roseland , etc... ce fut une conquête à chaque fois 

Un Strasbourg-Augsbourg aller retour  en 4 jours et l'ascension du géant de Provence, l'année de mes 50 ans 

Et en 2014 le col de Meyrand en Ardèche sous une pluie battante où j'ai fait du stop pour la descente tellement j'avais froid et la trouille tellement il y avait d'eau sur la route 

Et j'espère que le meilleur est encore à venir 

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Pour moi c'était la montée du col de la croix de fer par le barrage du Verney, la route était coupée de la circulation, temps magnifique, le bonheur de monter cette magnifique route.

Sinon j'ai aussi monté l'Alpe d'Huez le jour du Tour de France, et profité du spectacle, un très bon souvenir également !

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En 25 ans de pratique, impossible de choisir, tellement de souvenirs.Je ne sais pas si c'est particulier chez moi mais les souvenirs qui perdurent le plus sont ceux des "premières fois": premier brevet de 200 km, première cyclosportive de haute montagne,première Marmotte, première médaille d'or... qui correspondent souvent à des moments très durs physiquement et psychiquement mais qui sont magnifiés avec le temps : nostalgie.

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Ah oui, je me souviens... le jour où j'ai été chercher mon vélo.

Imaginez bien que pour nous les belges, Merckx est un Dieu. Mais alors là, un vrai de vrai.

Et ça fait plus de 30 ans que je rêve d'avoir un vélo Merckx. Quand les premiers sont sortis sur la route fin des années 70, on faisait des yeux comme ça et on en bavait tous dans le club. Celui qui en avait était "l'élu de l'Olympe", rien de moins.

Bin oui, un vélo passé par les mains du Dieu, qu'est- ce que vous croyez...

Le temps a passé, et un jour je regarde ma tirelire et je me dis que nom d'un chien, ça pourrait le faire! J'avais 48 ans et j'attendais ce moment depuis toujours.

Hop, je passe au magasin et là, au secours, qu'est- ce qu'ils sont beaux!!!!! Purée j'ai de la veine, ils viennent juste de sortir une toute nouvelle gamme! Je craque je craque et je craque! Ce sera le EMX1. Pas possible, quoi! Soyons fous et je commande, impossible de résister. C'est comme si Sophie Marceau me demandait, enfin vous voyez...

Arrive le jour où je dois en prendre possession. Je vous assure, mon coeur bat à tout rompre. Un Merckx, hé oh, c'est de la folie. N'oubliez pas, on est chez les Belges.

Et voilà, il est là devant moi.... Waaaaa, kling kling kling, mes yeux brillent, c'est MON vélo, ça? t'es sûr que tu ne t'es pas gouré demande je au bouclard? Parce que là, mes jambes tremblent et je tombe à la renverse! Non non non, c'est bien le tien, schtroumpf de schtroumpf.

Le rêve s'accomplit, je suis fou et c'est merveilleux! 

Plus léger de 2.200 euros, je ramène la bête à la maison et zou, en route pour le premier tour! Chance, il fait beau, manquerait plus que ça que le soleil me joue un tour de cochon un jour comme celui là!

Dès le premiers kilomètres, je n'en crois pas mes sensations, je m'envole littéralement, le vélo n'accroche pas tant je force sur les pédales et la roue arrière fiche le camp à droite à gauche, zam zam zam, c'est fantastique!

Après quelques kilomètres lumineux, je rentre heureux à la maison et depuis, c'est une histoire d'amour qui dure et se renouvelle tous les jours. Il a 48.000 km maintenant, un peu fatigué mais toujours partant, et c'est le plus beau vélo du monde!

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