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Pavés lovers, pourquoi ?


Dul GIULIANI

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Ciao tous,

 

Mon salaud de garmin m'a mené en fin de sortie, via sa fonction de création d'itinéraire (qui est super au demeurant, je rigole hein!), sur un chemin pavé de 2km bien dégueux comme je les aime pas du tout! (Garmin si tu me lis, si tu pouvais installer une fonction "éviter les pavés" à l'avenir...).

 

Ma question : qu'est-ce qui vous plait sur les pavés ?

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Sincèrement je n'aime pas les pavés, déjà et surtout car ils démolissent le matériel.

N'empêche il y a des exceptions mais pour çà il faut être en forme : rouler très vite(> 40 km/h) sur le haut du pavé, mais çà bouffe énormément de puissance et si la portion est longue aïe!

Sur les très forts pourcentage çà ne me dérange pas, la vitesse est faible.

En conclusion soit très vite ou lentement, entre les deux, non!

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J'ai HORREUR des pavés.

A quel point?

Parti de Brigue, enfin Naters, un poil plus haut, j'avais grimpé le Nufenen pour redescendre sur Airolo et remonter vers le St Gothard.

Comme je ne connaissais la route que dans le sens inverse, je me suis trompé et j'ai fini sur la Via Tremola, en pavés.

Oh, il s'agit de gentils pavés, rien à voir avec Paris-Roubaix.

N'empêche, dès que j'ai vu que mon chemin croisait une autre route en surplomb, j'en suis sorti et j'ai porté le vélo pour passer sur l'autre route. Ce ne fut pas facile, mais, n'importe quoi plutôt que des pavés 😠

Pour moi ça valait l'investissement.

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J'aurais tendance à être d'accord avec toi mais à une seule condition: que mon vélo soit financé par un généreux sponsor, parce que les risques de casse sont sérieusement présents.

Sinon, une bonne bourre sur les pavés secs, ça a son charme. Comprenne qui pourra.

Pour les alsaciens: vous pouvez retirer les deux petits tronçons de pavés dans la descente du Grand Ballon svp, car j'aimerais pouvoir la faire à fond, celle là? Merci les gars ;-)

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Ben moi j'aime les pavés. J'aime même beaucoup, parce que c'est un terrain qui me convient. A l'inverse des cols que je déteste par principe et qui ne m'amusent pas.

Mais j'aime toutes les routes dégradées, les chemins empierrés, etc.

Je ne sais pas vraiment pourquoi j'aime ça. J'ai quand même quelques hypothèses. Je crois que c'est parce qu'on roule rarement vite sur ces tronçons tout en pouvant y faire la différence. A 35 à l'heure, on peut sortir quelqu'un de la roue. Il y a une histoire de force, mais également de technique, d'adaptation, de mental. Ce n'est pas juste un truc de bourrin.

Et puis l'autre raison pour laquelle j'aime ça, c'est que presque tous les autres détestent. Ce n'est pas si courant, les situations ou l'on est à l'aise alors que tous les autres sont tendus.

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Même mésaventure que toi, Bernard. Départ d'Andermatt, montée au saint-Gothard, et je commence à descendre par la Via Tremola, ne connaissant pas la particularité de cette route, et imaginant que les pavés en dureraient que quelques kms, comme à la montée. je suis descendue jusqu'à Airolo, mais quelle galère!! Du beau pavé certes, mais en descente, on le sent passer.

Par contre, Paris-Roubaix, j'avais adoré. Fait sur pavé sec, ce qui change la donne. J'avais trouvé ça vachement ludique, un peu comme un parcours de VTT; et comme regarder les classiques des Flandres et des Ardennes est une des mes occupations favorites du début de printemps, j'ai vraiment eu l'impression de rouler sur des lieux qui restent mythiques pour moi, plus à la limite que les grands cols alpins que j'ai beaucoup plus l'habitude de fréquenter.

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C'est un de mes grands regrets, ne jamais avoir eu l'occasion de rouler sur les pavés de Paris-Roubaix et du Tour des Flandres

Je n'ai pas du tout le physique pour, même par temps sec je sais que ce ne serait pas une partie de plaisir, mais comme je suis amateur d'histoire du cyclisme, j'aurais bien aimé rouler aux mêmes endroits qu'Hinault, Moser et les autres, ceux que j'admirais quand j'étais gamin

Maintenant, avec mes pépins physiques, ça risque d'être fort compromis, les risques de chute sont forcément plus grands sur les pavés

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Pour ceux qui aiment bien les montées raides comme moi, les murs pavés comme les Paterberg, Taaienberg, Koppenberg et autres Mur de Grammont ont un avantage : ils sont équivalents à des côtes non pavées mais avec 2% ou 3% de plus. Du pain bénit pour moi. J'aime bien y rattraper et larguer des cyclistes qui m'avaient laissé sur place sans un mot sur le passage plat d'avant. 🆒

Mais les pavés sur le plat ou en descente, c'est autre chose. Le seul moyen de parvenir à les passer sans trop souffrir est d'aller suffisamment vite (comme rappelé par d'autres ici)… ou alors carrément au pas. C'est le fameux principe de la tôle ondulée. Et le fil de fer que je suis n'a pas toujours la caisse pour aller à la bonne vitesse !

Le pire, c'est quand le secteur pavé est une succession de courtes montées et descentes. On n'a même pas le temps de trouver le bon rythme que la pente change déjà d'inclinaison. Terrible ! Il a un passage comme ça dans les Ardennes flamandes, le Haaghoek. Jamais pu l'encaisser correctement, un véritable enfer. Tiens d'ailleurs, c'est là que Cancellara s'est brisé quelques vertèbres lors du Grand Prix E3 de cette année. 😬

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