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Votre plus grosse déconvenue sur une épreuve ?


Invité

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Laché au bout de 5km sur une cyclo de 100...avec juste un petit bidon d'eau. Je comptais faire le plein au ravito mais quand j'y suis arrivé ils avaient déjà plié les gaules. 95 km en solo par 32° au milieu des landes, des crampes au bout de 80km. Et quand je suis arrivé à l'arrivée tout les cyclos étaient partis, il ne restait que 2 organisateurs. La honte...

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«Ce serait dommage d'arrêter si proche du but», tu penses bien que je me disais ça sans arrêt pour me motiver. Seulement voilà, ça avait l'air près du but, mais il restait à escalader le Rosier, la Redoute, Sprimont et la côte de l'Hôpital.

J'avais eu déjà des crampes dans les ascensions précédentes, mais localisées, à des endroits donnés. Mais au pied du Rosier, j'ai commencé à avoir une attaque générale de ces crampes, de haut en bas. Et quand tu as tous ces muscles, de la mâchoire aux orteils en passant par les bras, qui se contractent aléatoirement, même allongé dans l'herbe, même pendant les étirements (pendant que j'étirais un muscle donné, deux ou trois autres se contractaient au hasard et prenait une crampe)… tu sais qu'il ne suffira pas de quelques minutes pour récupérer. Et de fait, j'en avais encore le soir venu, rentré chez moi. Mieux valait abandonner que de risquer de tomber de vélo.

Pour les causes, je penche en effet pour une hydratation insuffisante sous un soleil de plomb ayant suivi un gros orage. C'était la première grosse chaleur de l'année, donc les habitudes d'hydratation que j'avais gardées étaient certainement devenues insuffisantes sans que j'en ai conscience. Et aussi la non-adaptation à la distance : à l'entraînement, je n'avais pas dépassé les 200 bornes jusqu'alors.

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Ma plus grosse déconvenue c'est ma première Marmotte, en 95 j'ai raté l'or pour moins d'une minute!J'étais vraiment anéanti😃.Physiquement aussi je n'ai jamais souffert ainsi sur un vélo:la veille grosse erreur diététique je m'était littéralement bourré de pâtes à tel point que je ne savais plus avaler le dessert, un Gargantua comme moi!Evidemment je ne le savais pas à ce moment mais j'ai passé une partie de ma Marmotte à digérer tout çà!Bon jusqu'en haut du Galibier çà allait encore mais cette année là - et ce fut la seule fois- on montait l'Alpe jusque Huez en Oisans donc pas jusqu'au sommet puis on prenait la route étrite de Villard Reculas, on descendait jusqu'au Veney et puis...la finale : Vaujany.Dans l'Alpe il faisait étouffant 35°C à l'ombre, nouveau tarmac bien noir, je crois qu'en cassant un oeuf sur ce tarmac il aurait cuit!A Huez je me suis arrêté, je n'étais plus lucide; la descente sur le lac du Verney au ralentit tellement j'étais cuit.Et puis dans Vaujany bizarrement c'était plus facile malgré la pente encore plus forte; grâce au lac il y avait une petite brise rafraichissante qui faisait du bien;N'empêche que pour moi le diplôme d'or c'était foutu à un détail près: ces ânes d'organisateurs avaient rallongés les temps (dû à l'allongement de l'épreuve) et on en savait rien!Pour moins d'une minute😢.

Je me suis vengé 2 ans plu tard, mais là il faisait froid et humide, il faut être costaud pour faire de la haute montagne!

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un régal de lire vos déconvenues!

 

ayant débuté le vélo y' a pas fort longtemps et avec 1 course au compteur j'ai pas grand chose a vous raconter juste cette petite anecdote dont je me serai bien passé!

 

au départ de ma course je m'habille tout va bien je remet tranquillement la roue sur le vélo que j'avais enlevé pour le mettre dans la voiture je monte dessus le temps de faire 5 metres pour m'échauffer je péte le capteur de mon compteur résultat j'ai fait la course sans compteur et ca m'avait bien énervé avant le départ ca m'a cogité durant toute la course.

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Moi c'était juste à 20 bornes, du coup je m'étais pas stressé plus que ça, j'avais coché sur mon calendrier en début d'année et hop, pas la peine de se lever trop tôt, pas de gros souci logistique, bref tranquille...mais tout seul...

Au fait la Vélomédiane c'est bien demain? Pas que je me lève à 5h00 du mat' pour faire 180km de bagnole pour rien...

😲

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C'était en 1972, j'avais repris la compét après qq années d'interruption. Mais j'avais rapidement trouvé une bonne condition.

Profitant d'un court congé j'étais parti au Mexique pour y être le jour de la Sainte Rita et participer ainsi à la course la plus prisée du Mexique du Nord à Chihuahua.

C'était un circuit un peu particulier : une bosse se terminant en faux plat montant, un grand rond point en haut et retour de l'autre côté, par la voie descendante de cette grande et large avenue. En bas, une petite boucle pour ensuite rattaquer la bosse.

Pratiquement dès le départ j'entraîne avec moi 5-6 gars et on fait un trou assez important.

Puis après 3/4 d'h je crève. N'ayant pas changé de boyau en course depuis pas mal d'années j'y passe pas mal de temps.

Je gonfle comme je peux et je commence ma course poursuite. Je rattrappe et lâche aussitôt des groupes d'attardés, les uns après les autres, tout en perdant du terrain sur le peloton de tête (j'attends d'avoir confiance que mon boyau soit bien collé pour prendre normalement les virages).

Puis je stabilise l'écart avant de commencer à le réduire. A un certain moment je rattrappe le 2ème peloton et les spectateurs se passionnent davantage pour MA course que pour LA COURSE. J'entends les commentaires, ils pensent que ce groupe-là je ne le lâcherai pas car ils en connaissent les coureurs, mais si, encore 2 ou 3 tours et me voilà de nouveau seul à la poursuite des 6 qu'il reste en tête.

Je me défonce, je réduis encore l'écart, mais trop tard, je finis 7ème. Si on décompte les minutes perdues sur la crevaison j'ai mis moins de temps que le vainqueur.

C'est ma plus grosse déconvenue car je n'ai aucun doute que sans cette crevaison je gagnais cette Santa Rita 1972 qui aurait certainement été ma plus belle victoire.

Déception un peu atténuée par l'invitation d'un spectateur chez lui pour prendre un pot et qui m'a offert l'une de ses propres coupes gagnée dans un marathon, et cela chez les célèbres Tarahumaras, ce qui n'est pas peu dire. J'ai bien sûr toujours cette coupe chez moi, l'une des 2 qui ont le plus de prix pour moi.

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Moi j ai connu une telle aventure l oubli de chaussures pas personnellement mais d un coéquipier, il m à fait rire toute la course!!! Il a fait 120 km en tong , bon il y avait peu de relances mais quand même. C était une course près de compiegne dans les années 90. Le même au tour du plateau Picard il avait oublié son cuissard. Il a fait toute l étape en calbute rose, mort de rire!!!!!! Bon il a pris une amende par les commissaires. Jean Luc BLANCHARDON si tu regardes ce post ça te rappèlera des souvenirs.....
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Ma plus grosse déconvenue ? Je dirai pour moi,ma plus grosse déception,la honte de ma vie!

Etant un cyclo/marcheur, je me permets de relater cette honte sur une épreuve de marche.

En 2012,je signe ma première licence d'Athlé,et me présente à mes premiers Championnats de France des 50 kms à Corcieux dans les Vosges.N'ayant pu me qualifier,mon club paie une dérogation afin que je puisse y participer.

Etant encore un novice dans cette nouvelle discipline,je ne maîtrise  pas encore bien la technique et je connais vaguement le règlement avec les cartons que vous donne un juge,soit pour une jambe non tendue,soit pour une suspension (toujours un talon au sol ).

Après 30 mn,j'avais déjà eu un carton jaune pour jambe non tendue,puis un deuxième....jusqu'à ce que le Chef-Juge à l'arrivée de ce circuit de 2 kms m'invite à quitter la compétition au bout d'1 h00 de course! Je pensais à tord attendre le "carton rouge" de l'un des juges.

Je nai jamais eu aussi honte de ma vie! Etre disqualifié et jeté comme un malpropre!

Celà ne m' a pas empêché de me présenter un mois plus tard aux Championnats de France des 100 kms près de chez moi à Fameck en Moselle! Je n'ai reçu aucun carton et réussi mon premier 100 en 11h58 mn.J'en conclus que les juges sont plus tolérants sur le grand-fond!

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Gérard MILLET!!!!!!, j 'ai couru avec lui, c'était le seul du peloton qui ne se rasait pas les jambes mais avait une pointe de vitesse à vous couper le soufle.......

Claude, tu es sur qu'il était de PERPIGNAN??? je crois bien qu'il était de QUILLAN!!!!du moins, je sais qu'il a porté les couleurs de QUILLAN......

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