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Posté

Je voudrais copier sur une feuille toutes tes contributions à ce fil de discussion afin de l'encadrer.

J'ai besoin de ta permission pour afficher le cadre dans la salle d'attente de mon médecin du sport;

ce serait pour divertir les clients pendant qu'ils attendent 😆.

 

Posté
C'est marrant ça j'ai un prof de fiscalité à la fac qui est également inspecteur des impôt qui nous a donné en cour des quels trucs pour mettre de l'argent à gauche. Comme quoi ils ont rien inventé mais ils s'en servent les bougres
Posté

 

bougres

C'est bien de ce mot que vient l'anglais bugger 😲

Bon, si t'arrêtes de raconter n'importe quoi sur le dopage on peut encore avoir des échanges forumiques intéressants, mais pas du genre suggéré par ce mot anglais 😃.

 

Posté

A vrai dire, je pense que tous les plus grands dopés ne prennent rien d'interdit. Enfin, rien qui soit interdit actuellement.

A voir car ce qui n'est pas interdit aujourd'hui faute de méconnaissance du produit pourrait l'être demain et rien ne dit que la rétroactivité ne s'appliquera pas dans ce cas-là non plus.

On trouve en effet cette phrase sur le site de l'UCI:

http://www.uci.ch/templates/UCI/UCI5/layout.asp?MenuId=MjI0NQ&;;LangId=1

dans le fichier pdf: prohibited substances and methods

Any pharmacological substance which is not addressed by any of the subsequent sections of the List and with no current approval by any governmental regulatory health authority for human therapeutic use (e.g drugs under pre-clinical or clinical development or discontinued, designer drugs, substances approved only for veterinary use) is prohibited at all times.

Cela englobe tout de même tous les médicaments en phase de développement pré-clinique. Or la plupart des produits dopants trouvent leur origine dans le développement d'un médicament. Il me semble qu'il y a ici une évolution dans le code 2014 qui permet une interprétation assez large de ce que l'on définit comme produit interdit.

Le code prévoit donc comme interdites des substances non encore reprises sur la liste. Celles-ci pourraient s'avérer par la suite "dopantes" comme, par exemple, des molécules en phase de tests pré-cliniques ou non approuvées.

Posté

C'est nouveau ça,🙄

Je pensais que cela venait du mot anglais "bug" qui signifie insecte !

Les insectes qui provoquaient des pannes dans les premiers ordinateurs à lampes.

Mais peut-être que ma culture informatique n'est plus assez moderne

😃

Posté

Et puis ça c'est pour l’apéro de samedi soir http://www.cnrtl.fr/etymologie/bougre

 

je pense pas qu'au XI ème siècle le mot bugger exister. 

 

Et pour le mot bugger ou bug http://fr.wiktionary.org/wiki/bug ou encore http://fr.wikipedia.org/wiki/Bug_(informatique)

Posté

Il peut m'arriver de jouer à l'encul..r de mouches ( je paie quand même mes respects vespéraux à l'ancien roi du forum en la matière, le peu regretté Eric Artus) mais je te ferai remarquer que ce n'est pas moi qui ai eu l'idée aussi sotte que grenue d'associer les mots anglais bug et bugger.

Quand même intéressant de voir la Bulgarie s'introduire comme un parapluie dans ta référence étymologique.

Posté

Bien sûr, on peut faire des tests rétroactifs avec un délai de prescription. Cela ne me gêne pas. C'est une procédure appliquée dans toute affaire judiciaire (vol, crime, fraude,... ). Une enquête peut durer plusieurs années. Si on ne devait sanctionner que les flagrants délits, on aurait une drôle de justice. Je trouve que la possibilité de faire des tests rétroactifs est une très bonne chose et un fameux progrès dans la lutte antidopage

Pour le reste, écrire que les 10 premiers du Tour de France depuis 2009 carburaient tous à l'aicar, je te laisse la responsabilité d'une telle affirmation qui, à ce stade, est loin d'être prouvée.

Posté

"Si on ne devait sanctionner que les flagrants délits, on aurait une drôle de justice. Je trouve que la possibilité de faire des tests rétroactifs est une très bonne chose et un fameux progrès dans la lutte antidopage."

Tout à fait d'accord avec ça.

Le problème est que dans le cadre d'une compétition sportive, le mal n'est généralement pas réparable. Et il ne s'agit pas seulement du dopage. Il arrive de temps à autre que le vainqueur soit déclassé pour tricherie (volontaire ou non), par exemple en cas de non conformité du matériel (courses automobiles...). Même quelques heures après le podium, ça ne répare pas tout le préjudice subi par les suivants : le second n'a pas été acclamé comme vainqueur et le vrai troisième n'a pas eu droit au rituel de remise des trophées et aux acclamations de la foule.

On vient de voir ça aussi en football : Suarez qui mord un adversaire et aurait dû être exclu immédiatement. Il reste au jeu, son équipe marque dans la foulée et l'Italie est éliminée par l'Uruguay. La vidéo est si flagrante que Suarez sera personnellement sanctionné (et sans doute lourdement, puisqu'il est multirécidiviste), mais qu'en est-il de l'équité sportive ?

Posté

Si certaines équipes ont pas trop suivi les actualités et n'ont pas eu vent de test à l'Aicar sur le tour 2014, on risque d'avoir quelques surprises, ils trouveront toujours des traces dans le sang. 





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