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Votre sortie du jour 2014


Pierre BEZIZ

Messages recommandés

salut a tous " ce matin sortie de 95kms 30 de moyenne  sur les contre forts du soulor par la vallée de l'ouzoum asson  ferrières .temps estival ciel bleu azur .température 18degrés au départ 26degrés en fin de sortie vent de sud fort .bonnes sensations .un regret trop de gravillon bien avant le tunnel jusqu'à ferrières en montant ça va mais en descente ...

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salut , j ai participé avec des copains a la ronde des flandres  cette année , donc pistes obligatoire par moment , trois de mes amis ont empruntés pendant un moment la chaussée pour dépasser des cyclos qui n avançaient pas vraiment , je les ai suivis mais au loin j ai vu une moto arreté  , je suis revenu sur la piste , mes collègues   non ; et bien  les ayants rejoints a l intersection route   piste et moto je les ai vu se faire flashé par la gendarmerie , pour l instant pas de nouvelles mais j ai bien peur que pour leur prochaine inscription il y ait un surplus   car plaque de cadre prise en photo

avez vous deja eu vent de ce phénomène et  des conséquences éventuelles

 

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Mercredi petite sortie que j'ai écourté à cause d'un bruit sur mon vélo, sur le retour j'ai essayé de récupérer un KOM (strava) d'une bosse 1km avant mon village. J'ai raté mon coup à 1s, cela fait plusieurs fois que je me le fais détrousser par le même gars, je réessaierai mais je suis de plus en plus limite. finalement  35km en 1h10.

Cette après midi sortie tranquille, fait un bout de chemin avec un cyclo qui s'était d'abord planqué dans ma roue pour s'abriter du vent. Après avoir engager la conversation on s'est rendu compte qu'on habitait à 3km l'un de l'autre. 71km en 2h35 pour 620m de d+.

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aujourd'hui par ce beau soleil fait une petite sortie d'une heure et quart réveillée tard donc pas pu partir de bonne heure assez étonné du vent sur la pleine de face en partant toujours l'impression de ne pas avancer pris la cote de lapugnoy un bon km avec 6 pourcent de moyenne et un passage a 10 ca fait mal.  demain la sortie sera plus longue faut que je profite de mes derniers jours de vacances!

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112.7 km en vallée de Chevreuse ce matin, petit coupe-vent et bonnes jambes. J'en profite pour demander aux connaisseurs comment s'appelle la bosse qui part d'Orsay, rue du doyen Joseph Pères, qui se dirige vers Saint-Aubin ? Avec une épingle qui détruit les cuisses. Merci de l'info :-)
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Après 2 semaines sans sport.

Reprise la semaine dernière avec 5 sorties vélo et 2 course à pied en 5 jours (300km de vélo et 25km de course à pied).

Cette semaine,

Mardi : 50' de course à pied

Jeudi : 35.32 km en 1h08'52 à 30.77km/h (Y compris 2x4km en agglo). Séance tranquille au début (26km/h) puis après 25' j'ai commencer à essayer de faire des blocs de 5' en montant le cardio en roulant entre 37 et 45-50km/h selon le vent et le relief. (Parcours essentiellement plat)

Samedi : 1h de course à pied

Dimanche (ce matin) : 115.75km en solo en 3h51'24 à 30.01km/h. Première moitié du parcours vallonné sur petit plateau (avec léger vent de face ) 28.50km/h env (et à chercher ma route). Puis la deuxième moitié essentiellement vent de dos avec quelques montées. Vitesse de croisière 35-39km/h sur plat ou léger faux-plat dont une dizaine de kilomètre à 40-50km/h avec un autre coureur croisé sur la route. La forme revient.

 

Je voulais savoir si certains connaissent des clubs ou assos autour de rennes avec des sorties le dimanche ou samedi (Je roule seul entre 28 et 32km/h selon la séance)

 

Merci

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J'ai pris la voiture aujourd'hui, vélo dans le coffre, pour aller la garer au Mont Saint-Aubert, au nord de Tournai. J'ai vécu là-bas pendant trois ans et j'aime bien y retourner de temps en temps pour arpenter les routes du coin à vélo.

Départ du Mont Saint-Aubert vers 12 h 00, par un temps venteux, très nuageux et vraiment frisquet pour la saison (18°). Direction Mont-de-l'Enclus à une trentaine de kilomètres. Première ascension de la journée, la côte de Trieu, classique du Grand Prix E3 et souvent empruntée par le Tour des Flandres… Ascension hélas faite sous la flotte, qui va faire dégouliner un paquet de boue sur ces routes champêtres. Cette boue qui colle aux plateaux et pignons va rendre la transmission terriblement bruyante pendant une bonne heure, et gâcher une bonne partie du plaisir de la balade.

Je fais une croix sur la célèbre ascension pavée du Paterberg que j'avais l'intention de faire juste après : la rigole le long de la côte est pleine de saletés, et il est hors de question que je risque la chute sur des pavés humides à 20% de pente.

Je fais donc demi-tour, remonte la descente qui sert d'accès au Paterberg et me mets à suivre l'itinéraire de la «Hermesroute» que je connais bien. Celle-ci me fait grimper au sommet du Hotond (150 m, point culminant de la province de Flandre orientale, mais si!) par des routes tout aussi détrempées mais bitumées, elles. À partir de là, la Hermesroute joue aux montagnes russes au nord de Renaix, puis arrive à Louise-Marie pour descendre le Kanarieberg. Entre-temps, le soleil est revenu, ouf !

Au pied du Kanarieberg, je tourne à droite et remonte au même sommet par une autre route, celle du Fortuinberg, là aussi une belle côte d'une borne à 7% de moyenne et 18% maxi. Puis redescente du Kanarieberg, et direction la commune wallonne de Saint-Sauveur, pas très loin, pour grimper au hameau des Hauts par une route bizarrement appelée «L'Arabie» : la forêt dense que traverse cette côte fait difficilement penser aux paysages secs du Moyen-Orient !.

Descente ultra-rapide des Hauts en ligne droite vers Saint-Sauveur, puis direction le Mont Saint-Aubert pour conclure la balade. Mais avant cela je dois me farcir une bonne heure à lutter contre un vent d'ouest assez violent, dans un paysage de faux-plats très dégagés. Les villages défilent : Dergneau, Aisnières, Arc, Anserœul, Celles, Molenbaix, puis enfin le pied du versant nord du Mont Saint-Aubert, que je contourne par l'est pour le grimper par son versant sud-est, le plus classique.

121 m de dénivelée pour 1800 m environ d'ascension, soit 6,7% de moyenne : grimper au Mont Saint-Aubert, c'est mine de rien la plus grande dénivellation que je connaisse qui soit proposée par une ascension donnée dans toute la Belgique du nord (la Flandre + le Hainaut + les deux Brabants)… après le versant sud-ouest du même Mont Saint-Aubert (124 m, par le Reposoir) et à égalité avec la Riekestraat à Renaix. Je l'effectue en huit minutes environ, à mon rythme, pour retrouver ma bagnole et terminer mon petit périple.

Au final, belle balade tranquille de 85 bornes à 20,5 km/h de moyenne sur un terrain bien vallonné et battu par les vents.

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Faudra décidément que j'y mette les roues, sur ces "Berg"

🤐

Pour ma part, 5 jours de vélotaf la semaine passée, tous sous la pluie  🙁. Ce we, pas trop envie de remettre ça ... Et ce matin, alors que le soleil était annoncé, j'ai eu droit à un sale crachin sur les 30 kilomètres que constitue le trajet maison -bureau. "Trempette", comme disait le sergent-chef Chaudard dans le 3ème épisode de la "7ème Compagnie"

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Hier, je prend mon combi pour me rapprocher de Garazi. Au programme, du col Basque velu.

Je me pose sur un parking à hauteur d'Irouleguy et me prépare. Départ 15h, 30°C au mercure. Des nuages sur les hauteurs, mais beau dans l'ensemble. Direction, les montagnes au dessus de Garazi. Echauffement jusqu'à Arneguy, et de là, à la sortie du village, on débute l'ascension du port d'Elhursaro, par le col d'Hégantzo. La montée débute à Baxoa. Elle dure une dizaine de km et est, jusqu'au col d'Hégantzo, proprement affreuse. c'est l'enfer. La route ne rend pas, et les pourcentages sont impressionnants. Presque tout le temps à 2 chiffres. Régulièrement au dessus de 15%... 8,5% en environ 9 km, en sachant que le dernier km est "facile" et qu'il y a 2/3 portions descendantes (à 10%) de 200 m chacune... En réel, c'est du quasiment 900 m de dénivelé en 9 km. Les paysages sont magnifiques. Des panoramas fabuleusement sauvages. De sinistres vautours tournent au dessus de moi... Je mettrai environ 42'30'' pour Hégantzo, et 47' pour Elhursaro au total (1,5 km plus loin, à 7%). Vous connaissez cette impression que votre corps vous dit : "mais arrête voyons, ce que tu fais c'est n'importe quoi !" ? Je suis en plein dedans.

De là, je prend la D428 en direction de Garazi. La descente est hallucinante. Si la route est meilleure que celle empruntée pour grimper, on a l'impression d'être parfois en chute libre tant la pente est forte. Imaginez du 10% de déclivité... qui bascule nettement !

Arrivé en bas, je suis déjà cuit. Je prend à droite direction St Michel et Esterençuby pour aller chercher le col d'Arthaburu par les cols d'Arthe et Asquéta.

Si Elhursaro était déjà l'enfer, je me demande carrément si ce que je suis entrain de grimper est humainement possible... A la bifurcation D301/D428, on prend à gauche sur la D301. Et là, on peut sortir piolet et crampons. Si je trouvais mon 39x28 presque limite lors de la montée précédente, je me rend compte maintenant qu'il est carrément trop gros ! Des portions à 15% sur des centaines de mètre, des ruptures de pente, des lacets sur lesquels la route se cabre, sans jamais descendre au dessous des 9%... c'est ça pendant 6 km jusqu'au col d'Arthe. On devine le sommet de l'Arthaburu, au milieu d'une crête rocheuse de toute beauté, mais encore bien haut... De là au col d'Asquéta, c'est plus sage pendant un petit km, avec même un toute petite portion descendante et 400 m de plat. A la fin du replat, je croise une bagnole qui m'encourage : "allez, courage !" me lance le conducteur. J'ai envie de l'envoyer sur les roses. Je pense que le plus dur est derrière moi. Il ne me reste qu'un petit km pour arriver à cette fameuse crête. mais qu'il est long ce km ! la pente moyenne doit avoisiner les 15%. C'est l'horreur. D'autant qu'une hypoglycémie pointe le bout de son nez. Dans les 300 derniers mètres, j'ai l'impression d'être Ghislain Lambert quand il a sa défaillance et zigzague... Mon corps qui me reprochait tout à l'heure mes excès de confiance m'invective maintenant contre ma folie ! C'est horrible, mais encore une fois, les paysages qui se dévoilent devant moi me récompense de ma souffrance. 920 m de dénivellé en 8 km... dont une portion qui descend un peu et 400 m de plat ! le tout en 44'44''

De là, direction le col de Sourzai par le col d'Irau. Petite descente, faux plats descendants et montants. Sourzai est facile. 1,5 km à peut-être 8% ? J'ai perdu de ma lucidité, et ça me parait interminable. J'en ai des crampes.. De là, descente vers le laquet d'Iraty, et remontée vers Burdincurutchéta pour 3 km de montée relativement douce sur une route excellente. Un regain d'énergie me pousse même à relancer, sachant que c'est la dernière bosse de la journée.

Les montées les plus dures de ma vie cycliste. Spandelles, Hautacam, l'Alpe, Le Galibier ou autres Soulor et Glandon ne sont que des "faux plats" en comparaison (j'exagère à peine).

Pour l'anecdote, en 2 réelles ascensions, j'ai "passé" pas moins de 8 cols (9 si on compte le col d'Haltza dans la descente du Burdincurutcheta) ! Enrichissant mon palmarès de façon notable (lol).

Descente façon Super G ! Pointes à 75 km/h, un vrai régal. Le plat est avalé à 38/40 km/h de moyenne à la faveur d'un vent de 3/4 favorable. Retour au camion pour une belle sortie de 3h57' pour 95 km. Même pas 24 km/h de moyenne !

Sur les rotules, mais avec cette sensation de béatitude zen que seule ce genre de sortie peut apporter.

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