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J'ai testé les pneus de 25c


Invité

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"On" nous dit quand même que les pros les utiliseraient sur certaines courses! Qu'en est-il vraiment ? Moi je roule depuis 2 saisons l'hiver sur des Conti 4saisons en section de 25, et j'ai effectivement un peu le même ressenti que Joachim, même si je n'ai pas son expérience. Néanmoins je me garderais de tout jugement définitif étant donné que j'utilise des roues de moindre qualité, donc moins rigides et plus lourdes. Pour les beaux jours , je suis en Mavic Yksion en section de 23.

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en virant tu as plus de surface en contact au sol

C'est la pression dans le pneu, pas son diamètre, qui te donne ta surface de contact au sol.

Pour 70 kg de vélo + bonhomme, et 7 kg/cm carré de pression ça donne 70/7 = 10 cm carrés. (total des 2 roues bien sûr)

Bien sûr, la forme de la surface de contact est un peu différente, plus large avec 25 mm qu'avec 23 mm.

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Pour donner un exemple.

Tu fais 70 kg vélo compris avec 21 kg sur la roue avant et 49 kg sur la roue arrière.

Les 2 pneus gonflés à 7 kg/cm carré.

Donc la surface au sol pour la roue avant c'est 21 / 7 = 3 cm carrés

Pour la roue arrière 49 / 7 = 7 cm carrés.

Si un pneu est plus large, ta trace au sol sera plus large.

Il faut un peu idéaliser la situation.

Supposons que la trace de contact pour un pneu de 23 mm ait la forme d'un rectangle de 6 mm, je dis que pour un pneu de 25 mm elle sear probablement plus large, peut-être 6,5 mm.

Mais comme la surface reste la même, ça veut dire que le rectangle de contact sera plus court (mais donc plus large) avec le pneu de 25 mm qu'avec celui de 23 mm. 

Là il s'agit du cas idéal simplifié car bien sûr c'est un peu plus compliqué dans la réalité.

En principe tu peux calculer les fractions de poids sur les 2 roues de la façon suivante :

tu humectes tes pneus gonflés à la même pression, tu places tes roues sur une surface où tu verras la marque des roues et après tu traces les contours de ces marques, puis tu mesures les surfaces de ces marques, celle de la roue arrière doit être nettement plus grande.

Mais t'auras pas une mesure aussi exacte qu'avec 2 balances car il y a les effets de bord.

 

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«Je n'ai aucune raison de rouler gonflé.»

Joli lapsus. 😃

 Moi non plus je n'ai aucune raison de rouler sous-gonflé. Mais je rappelle que la question de ce débat était de savoir à quelle pression on roule sous-gonflé.

Tu le dis toi-même un pneu de 25 gonflé à 7,5 bars c'est insupportable d'inconfort. Tu as mis donc 7 bars. Change maintenant de terrain de jeu et va rouler sur des routes en moins bon état encore que tes routes vendéennes. Par exemple sur Liège-Bastogne-Liège cyclo. Ne vas-tu pas être tenté de mettre encore moins de pression? Attention au risque de sous-gonflage, alors… 😉

 Pour rappel, sur mes «belles» routes bruxelloises j'ai crevé par pincement avec des 23 à 7 et 7,5 bars et des 25 à 6,5 bars et il est arrivé des trucs similaires à d'autres cyclistes de Belgique de ce forum. Mais Joachim refusait absolument de nous croire, et il le refuse toujours.

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C'est ce que Joachim disait aussi. Mais je monte mes chambres à air correctement pourtant. En gonflant la chambre légèrement avant de la monter, en n'utilisant jamais les démonte-pneus pour le montage, etc.

Pour les 7,5 bars en 23, c'était spécial. Inattentif, j'avais roulé (en faux plat montant!) sur une grosse pierre effilée, dont l'arête était longue et particulièrement aiguisée, placée perpendiculairement à la route. Pincement aux deux pneus, à l'avant comme à l'arrière. Je n'avais jamais vu ça…

Il se trouve qu'en Belgique les routes sont particulières. Par exemple, le pincement de mon pneu arrière en 25 à 6,5 bars, ça m'est arrivé en roulant en descente sur une piste cyclable faite de dalles de béton. Ça n'existe guère en France, ces horreurs… Je roulais assez vite (en descente donc), mon poids bien en arrière du vélo, il pleuvait un peu et je n'avais pas vu qu'une des dalles s'était fortement affaissée. Quand je suis passé dessus, c'est comme si j'avais descendu une marche de quelques 10-15 cm de haut à haute vitesse. PAF!

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Quand les deux pneus font PAF! l'un après l'autre, que tu démontes et que tu vois sur chaque chambre à air deux perçures parfaitement symétriques tandis que les pneus sont intacts, je sais que ça s'appelle en anglais des "snake bites", en français des pincements ou des pincettes (ce dernier terme aussi en flamand d'ailleurs). Dans ta langue à toi, ça s'appelle comment?

Pour l'anecdote, depuis cette histoire j'ai toujours deux chambres à air de rechange dans ma sacoche.

Décidément tu as une capacité pour le mépris et l'arrogance étonnante. Un jour il faudra que tu admettes que le petit monde cycliste puisse dépasser ton expérience.

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« " Joli lapsus " Non je ne vois pas en quoi. Tu fantasmes dur comme un pneu gonflé à 8 bars. »

Plutôt que de te relire tu préfères rejeter la faute sur quelqu'un d'autre, ça en devient typique. Tu avais écrit : «Je n'ai aucune raison de rouler gonflé.» Tu roules toujours à plat peut-être? 😃

Mea Culpa pour les termes insupportables d'inconfort, mais c'est ce que j'ai cru comprendre à te lire. Tu avais en effet  écrit «J'ai essayé 7,5 bars sur du 25c c'était beaucoup trop dur par rapport à d'habitude, un peu comme si j'avais mis du 8 sur du 23c... ». Ça me fait me poser une question: Quels sont tes repères pour sentir  qu'un pneu est gonflé trop dur? Pour moi, c'est simple, c'est que ça "tape" trop sur revêtement irrégulier, une route granuleuse par exemple.

 

 

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Nous aurions donc le phénomène inverse par rapport à une automobile, alors ? Ayant fait des stages de conduite sur route mouillée  , on ma appris, et  démontré, qu'à poids égal, le distance de freinage entre deux véhicules était à l’avantage de celle qui avait les pneus les plus étroits! C'est elle qui aura la distance de freinage la plus courte, grâce à une meilleurs accroche sur la route ! Et ceci quelque soit le système d'assistance de freinage! Motif, moins de portance , et donc moins de phénomène d’aquaplaning ! Et on te démontre au passage  également, toujours preuve à l'appui avec pilote confirmé au volant, que la plupart des berlines actuelles, très lourdes, avec leurs pneus très larges, sont de véritables savonnettes sur route mouillée, ou en cas de décrochage! Certes on n'est pas sur le même engin, sur 4 roues avec des vitesses plus élevées , mais quand même ! Bizarre, bizarre .........

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Tu dois avoir un petit problème de montage ,comme l'a dit Guillaume Robert ,quand on crève on est tjrs un peu stressé ou pressé de repartir, on doit percuter cette satanée cartouche qui nous congèle les doigts, ou s'échiner sur cette mini-pompe qui ne veut pas dépasser les 5bars (je suppose) et en plus certaines jantes à 2-3cm de hauteur nous abîme les pouces, on est bien tenté d'employer un démonte-pneu, ce qu'il ne faut pas faire, bien sûr! Aujourd'hui, j'ai croisé un cyclo avec cadre acier Kona ,freins à disque et pneus conti de 28, comme moi; je lui ai demandé ce qu'il pensait des disques : ça ne sert à rien, mais c'est le pied pour descendre en hiver sur une route de montagne mouillée ou un peu gelée. L'an passé il avait des pneus de 33 , freins à disque et BMC gf02, sans doute un adepte du cyclocross (il y en a du côté d'Aigle en Suisse, Pascal Richard et Laurent Dufaux, par ex.).

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