Frederic ANDRIEUX Posté le 15 septembre 2017 Share Posté le 15 septembre 2017 Ancien vélo de ma femme qui est devenu vélo à tout faire même si trop petit pour moi : un Decathlon Cobra 560 du milieu des années 90. Acier, Campagnolo Mirage 8v.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gilbert DARDE Posté le 15 septembre 2017 Share Posté le 15 septembre 2017 Bonsoir,pour moi,un acier Stablinski des années 80,plateaux Takara 52/42,roues Rigida ,dérailleur Simplex ,cassette 5 vitesses,j'aime bien l'utiliser. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean-Pierre MARTINEZ Posté le 16 septembre 2017 Share Posté le 16 septembre 2017 Salut,j'aime remonter sur un vitus duralinox avec une belle couleur(ce qui manque sur les carbones) j'ai également un peugeot acier avec lequel j'ai gagné ma dernière course(j'avais cassé dans une chute mon vitus)et j'ai également trouvé un super velo super vitus acier cadre B.Carré ,dans une déchèterie,de marque Lussaint?vélo en état presque neuf,c'est fou ce que les gens jettent ,j'ai également trouvé dernièrement dans la même dèchèterie une roue avant Fulcrum -zero 2way fit où il manqué un rayon,mon cycliste l'a remplacé elle roule super. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier MILLIÈS-LACROIX Posté le 3 octobre 2017 Share Posté le 3 octobre 2017 Bonjour tout le monde,Ce dimanche j'ai pu participer à l'Eroica, sur le parcours moyen de 135 km, et en anticipation de l'article que Vélo 101 publiera peut être, je livre ici quelques impressions.Mon premier ressenti est que l'épreuve commence un peu à pâtir de son succès. Plus de 7000 participants étaient attendus cette année, le nombre final était probablement supérieur, et on imagine bien que pour la commune de 2750 habitants qui l'accueille, Gaiole in Chianti, cela commence à faire beaucoup à absorber. Le résultat est un joyeux désordre le samedi pour retirer les dossards, avec pour nous pas mal de queue et deux inscriptions sur quatre introuvables, bien que faites et payées depuis janvier dernier. Heureusement, nous sommes en Italie, où tout finit par s'arranger, et au prix d'un peu de patience nous avons pu récupérer nos dossards et les cadeaux de bienvenue de l'organisation : une très belle boite en métal comprenant un excellent chianti, un kilo d'un excellent café, une musette pour la course, et quelques autres gâteries.Ceci fait, direction le village commercial où on peut faire d'excellentes affaires : pour le matériel vintage bien sur, mais aussi pour tout ce qui est contemporain, vêtements compris. Prix imbattables. Et si on sait négocier en italien, prix encore plus imbattables.En parallèle de cela, il y a au programme du week end tout un foisonnement de conférences, de dédicaces, de concours d'élégance... Bien qu'il s'agisse de ma 2ème participation et que je n'aie aucun problème avec l'italien ou 'l'anglais, je suis incapable de dire où tout cela se passait... Le dimanche, c'est la course : départ obligatoire entre 5 et 7H pour le 209 et le 135 km (143 en réalité, 2300 m de D+). Le soleil se levant à 7H15 cela signifie qu'on doit rejoindre le départ (10 km pour nous) et faire les premiers km de nuit. Au prix de bonnes lampes (Bontrager Flare pour nous), ce moment est tout simplement magique, surtout lorsqu'on aborde la première strada bianca, une allée bordée de bougies dans le parc du château de Brolio... Ensuite, c'est une alternance de paysages magnifiques de Toscane, de petites routes vallonnées, et des fameux secteurs des Strade Bianche, 9 en tout, pas loin de la moitié du parcours. (Très peu de voitures..). Cette année, le gravel, quand il n'est pas cassant, est profond, et sur les plus forts % ca patine fortement, et ca tombe souvent... Sur les Strade Bianche les parties roulantes sont étroites, et les dépassements sont hasardeux, car pour doubler il faut se risquer à mettre les roues là où il ne faut pas... Pour le ravitaillement, point de powerbar ni d'overstim : c'est charcuteries et patisseries toscanes obligatoires, et aussi des plats chauds... Très appréciable aussi l'hospitalité de certains riverains qui offrent un ravitaillement non officiel et gratuit avec thé, café, fruits et patisseries... Chianti à volonté même si pas vraiment recommandé pour le pilotage sur le gravel. Au final, presqu'exactement 7 heures sur le vélo, soit pile 20 km/h de moyenne.A l'arrivée, remise des médailles et joyeuse ambiance dans la rue centrale de Gaiole, où on croise aussi quelques cyclistes célèbres (Eric Zabel). Il y avait en principe une pasta party, mais comme pour celle de l'an dernier, je suis incapable de dire où et quand elle se tenait, les préparations toutes fraiches du pizzaiolo près de l'arrivée étant bien suffisantes pour se restaurer.Le seul bémol du dimanche : le temps, avec une lumière blanchâtre toute la journée, et une espèce de bruinasse pas vraiment mouillante mais pas très agréable, au final 12° de température moyenne sur la sortie. C'est d'autant plus dommage que la veille et le lendemain la météo était top.Un mot sur le matériel : nous étions 4 avec des vélos complètement d'époque, dont mon Mercier de 74 en simplex et Mafac, un gitane Olympic de 76 en Campagnolo, et un Supervitus de 83 équipé du tout premier Dura Ace... Pour les roues : jantes alu Mavic d'époque, boyaux de 23 ou 25. Au final, deux crevaisons en tout pour les 4 vélos, et deux cale-pieds cassés.Pour les braquets, nous avons du tirer le 42 x 24 tout le long des côtes en gravel... A ma grande surprise, on y arrive, il faut juste oublier ce qu'est la vélocité. Par contre, j'ai vu que beaucoup d'autres concurrents avaient mis sur leurs vélos anciens des braquets qui n'existaient pas à l'époque.Au final, je ne peux que recommander cette expérience aux amoureux du vintage, et à tous ceux qui comme moi aiment l'Italie, ses paysages, son patrimoine et sa culture (cuisine comprise !). Le parcours est bien sûr magnifique mais il est aussi très intéressant d'un point de vue sportif et athlétique. Et c'est vraiment une épreuve pour passionnés, organisée par des gens qui aiment le vélo, qui respirent le vélo et qui connaissent l'histoire de ce sport jusqu'au bout des ongles : le commissaire au départ, celui qui inspecte les vélos (et qui n'hésite pas à éliminer ceux qui ne sont pas conformes), a reconnu sur le mien le groupe Mafac/Simplex doré qui avait été développé pour le Peugeot PY10 de Thévenet... Pour une personne de moins de 40 ans, non française, ce genre de connaissance ne coule pas de source... Ce sont vraiment des experts...Vivement l'Eroica 2018 ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoist RIVIERE Posté le 6 octobre 2017 Share Posté le 6 octobre 2017 Bonjour à tous il m'arrive de rouler encore avec un Peugeot PY 10 pro de 86 tout mavic avec de belles GP4 36 rayons 6 vitesses Maillard 13-21, équipé des premières pédales Time la selle Turbomatic jaune et noire quel confort !! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean ALBERT Posté le 6 octobre 2017 Share Posté le 6 octobre 2017 très intéressant compte-rendu, merci Olivier! ça donne envie... mais l'envie, je l'avais déjà, car ai prévu de découvrir l'Eroica avec un pote l'an prochain! je ne manquerai pas de te demander des tuyaux à l'occasion! :-) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 6 octobre 2017 Share Posté le 6 octobre 2017 Excellent CR Olivier.Ce n'est pas vraiment ma tasse de thé, mais je l'ai lu avec plaisir jusqu'au bout.😄 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric HENNUY Posté le 6 octobre 2017 Share Posté le 6 octobre 2017 Bravo et merci pour le CR. Je note la gentillesse des autochtones. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Denis MERLINET Posté le 6 octobre 2017 Share Posté le 6 octobre 2017 Joli CR !J'ai visité précisément cette région de Toscane il y a deux ans, n'hésitez pas c'est magnifique. Les routes sont juste parfaites pour qui aime le "vallonné tournicotant" !J'ai un MBK "mirage 18' qui doit dater de 85 environ, c'était un modèle assez basique mais il roule encore avec mon fils cadet quand il en a envie c'est à dire... pas souvent !Et pour mon ainé qui se met sérieusement au vélo j'ai trouvé un look kg386 team, pas tout à fait "vintage" mais pas tout neuf non plus.Quant à moi j'ai un Kuota d'une dizaine d'année que je vais essayer de conserver en état longtemps. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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