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Tout ce qui a été posté par Clementine SETA
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Je ne mettrais de mon côté pas tout dans le même panier... 5000 m de dénivelé, ça me paraît gérable par des pros, même si la vitesse à laquelle ils pédalent rend la chose difficile, et si le fait qu'il faille repartir le lendemain change beaucoup la donne. De même, des courses comme les Strade Bianche ou le Tro Bro Leon, dans le même ordre d'idée, ne me semblent pas rédhibitoires. Elles ne sont pas récentes dans le calendrier tout d'abord, et les routes en terre de Toscane ou du Finistère sont roulables, sans que cela ne relève des jeux du cirque... pas plus que les pavés de Roubaix et des Flandriennes en tout cas. Et, des deux derniers, personne ne contestera la légitimité dans le calendrier, j'espère. Je suis plus circonspecte sur les passages par des dénivelés très raides, surtout parce que les écarts s'y creusent peu et que je les trouve justement pas si spectaculaires que cela au regard de l'effort demandé aux coureurs... sauf quand je les monte moi, mais là, c'est autre chose. Quant aux températures... c'est sûr que faire courir par 40° en début de saison, c'est une surcharge de fatigue pour les organismes, et c'est dangereux pour le matériel (échauffement des pneus ou freins) et donc les coureurs. Disons que le cyclisme est un sport suffisamment dur comme cela pour ne pas aller dans la surenchère permanente; mais le cyclisme devenant comme beaucoup de sports un placement financier, pas étonnant que l'argument de la fatigue des coureurs passe peu à peu à l'arrière plan...
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Bonjour Olivier. "Col de Leschaux par le Semnoz", tu veux dire? (parce que le Tamié par le Semnoz, ça me semble complexe en terme de liaison...). Pour le parcours proposé par Jean-Christophe, il ressemble beaucoup à celui que nous tracions quand nous faisions la randonnée du club en juillet, sauf que le grand parcours, arrivé au Chatelard, filait sur le col du frêne et remontait le Marocaz par Cruet. pour redescendre sur St-Alban Leysse par Curienne. On avait aussi fait une variante une année, en enchaînant Revard et Semnoz, par Quintal, puis en rentrant à Saint-Alban par le col des Prés. Pour les cols des Bauges dont tu parles, le versant sud est à chaque fois plus dur (Col des Prés depuis Thoiry et Marocaz depuis Cruet), donc sportivement plus intéressant. ces deux montées se déroulent cependant longtemps en forêt, et je ne les trouve pas très belles; le côté nord, par l'intérieur des Bauges, me semble plus agréable en terme de paysages.
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Bonjour Nicolas. Si tu ne veux pas partir trop loin de Lyon, tu peux mettre la voiture à Aix-les-Bains: le long du lac jusqu'à Culoz puis Anglefort, tu peux ensuite monter le col de la Biche, redescendre en direction de Lochieu, et remonter au Grand Colombier, par Lochieu, ou par Virieu (4km très pentus). Ce ne sont pas les grands cols les plus cités en Savoie, mais ça te fera un très beau tour. Un peu plus de 100km, à vue de nez, et tu dois passer les 2500 m de dénivelé; il faudrait tracer sur opnerunner pour voir précisément ce que ça donne.
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1ere ascension du ventoux par bedoin.
Clementine SETA a répondu à un(e) sujet de Frédéric SEGERS dans Discussions Route
Salut Frédéric. Si tu as l'habitude de monter des cols, le Ventoux ne devrait pas être infranchissable, il n'est même pas sûr que tu en baves tant que cela, à condition de ne pas te mettre dans le rouge à la sortie de Saint-Estève, quand la pente commence à s'élever. A partir de là, il y a une dizaine de km vraiment durs, mais certains cols de Haute-Savoie n'ont rien à envier au Mont Chauve sur ce point. Si tu veux te tester sur des pentes raides, entraîne-toi à grimper le Semnoz par Quintal (c'est raide sur 3 ou 4 km avant de récupérer la route d'Annecy, tu dois connaître je pense), ou bien, en faisant un peu plus de km, tu peux aller faire Joux-Plane ou le Grand-Colombier; tu auras à la fois un kilométrage et des pentes qui peuvent s'approcher du Ventoux. Mais, vraiment, ne te mets pas trop de pression; le Ventoux n'est pas facile, mais ce n'est pas non plus un mur absolument horrible. -
C'est vrai que, là, on doit plus être dans la rubrique "billet d'humeur" que dans la case "général" du forum. Le sujet est intéressant, on peut le lancer, et laisser la rubrique actuelle à ceux qui veulent vraiment parler de Rolland chez Garmin.
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Le cyclisme ne fait plus "rêver" les investisseurs... C'est sans doute ce qui fait que je suis en décalage avec l'évolution actuelle du sport. C'est que je ne suis pas sure que le cyclisme (ou tout autre sport) fera autant rêver le public (dont moi) à partir du moment où il se mettra à vraiment faire fantasmer les investisseurs... Mais bon... vu le monde comme il va et comme il avance, si le vélo veut continuer à évoluer, il est vrai qu'il lui sera sans doute nécessaire de prendre le même tournant que les autres sports, qu'il a déjà largement commencé à prendre d'ailleurs. There is no alternative, comme dirait l'autre; je déplore mais je continuerai à regarder. Quant aux autres sports dont tu parles: le hand, je connais un peu pour participer à la formation des jeunes qui sont en pôle espoir à Chambéry. A 16 ans, on ne peut pas dire qu'ils adhèrent réellement au projet du PSG... mais force est de constater qu'ils rêvent tous malgré tout de jouer dans ce type de structure. PS: on s'éloigne un peu du sujet. désolée pour ceux qui ne voulaient parler que de Rolland.
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Et d'accord aussi: ceux qui peuvent vivre durablement du sport ne sont pas si nombreux. Mais les excès cachent quelque peu cette réalité.
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Oui, bien sûr, le sport fait vivre, non seulement ceux qui le pratiquent à un niveau professionnel, mais aussi ceux qui gèrent les à-côtés (et ils sont nombreux). Il génère du profit, c'est donc devenu un secteur éconiomique non négligeable. Malgré tout, j'ai toujours du mal quand j'entends des sportifs dire qu'ils "travaillent", tant, pour moi, le sport reste lié au plaisir qu'on en tire... Mais vu que leur activité "mérite" salaire... en un sens c'est un travail. En fait, je crois que le sport nous rend un peu schizophrène : je me régale quand je vois le PSG bien jouer, mais je ne supporte pas quand je sais combien les joueurs sont payés; le Tour est en train de devenir un grand barnum (sans parler des JO), des fois, je me dis qu'il faudrait boycotter tout ce sport spectacle, mais j'aime trop le vélo pour ça... et je pourrais multiplier les exemples... Pour en revenir au sujet, Pierre Rolland est tout de même un bon coureur; Garmin est une équipe offensive où, à côté des Martin et Talansky, il aura sans doute sa place. A défaut de pouvoir rester chez Europcar, bon choix, à mon avis.
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T'es sérieux, quand tu dis ça? Personnellement, je ne suis pas pressée de voir les excès financiers du foot débarquer dans le vélo... (et je précise, je ne suis, en soi, absolument pas anti-foot... le sport-business, par contre, pas trop mon truc...)
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Super photos, super vidéos, David. Il faut vraiment, une année, que je vienne me poser dans les Pyrénées pour en faire plus que ce que j'ai pu en voir cette année. En tout cas, tes messages donnent sacrément envie.
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Tout à fait d'accord avec toi. ce que l'on considère comme la moyenne montagne a souvent des atouts non négligeables. L'EDT Issoire-St Flour est d'ailleurs la seule à laquelle je me sois inscrite (profitant, il est vrai, de tarifs bas, vu qu'ASO n'arrivait pas à faire le plein...), sans avoir pu la faire pour cause de mononucléose qui m'étais tombé dessus au mois de juin... les deux étapes dont tu parles devaient aussi être très belles Parmi les endroits où il y aurait de quoi tracer de belles étapes, corsées et variées: le Massif Central indubitablement, sans doute les Vosges, ou une belle étape de pré-alpes... mais certains diront que ce sont des "étapettes du tour", pour citer une expression en vogue pour définir le pourtant très bien tracé Annecy-Semnoz...
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Certes.. laissons donc à la Bretagne ses belles cyclos qui existent déjà...
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Pour l'avoir faite pour moitié à vélo et pour moitié en voiture il y a une semaine, une étape comme le Issoire-St Flour d'il y a 3 ou 4 ans n'a, à mon avis rien à envier à une étape alpestre: très dure, des paysages magnifiques (à croire que c'est l'Office du Tourisme du Cantal qui avait proposé le parcours). Si j'avais à faire une étape du tour, ce serait certainement plus ce type de parcours qui m'attirerait qu'un enchainement de grands cols alpins et pyrénéens... tout aussi ardu mais le plaisir de la découverte en plus. Mais: - c'était une année où il y avait 2 EDT, dont une était alpestre, et ASO ne semble guère parti pour réitérer l'expérience des deux jours de course. - ce qu'attendent beaucoup de cyclistes d'une EDT ( les étrangers surtout, et c'est logique car ce sont surtout les lieux légendaires du tour qui parlent à l'imaginaire de la plupart), c'est un parcours avec des noms mythiques et l'impression de s'inscrire dans l'histoire de l'épreuve en en passant les plus grands cols. Une étape en Bretagne selon la proposition de Joachim... cool. Certains parcours bosselés du nord Finistère peuvent s'avérer surprenants et pas si évidents que cela à négocier. Mais le Tro Bro Léon cyclo existe déjà...
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La Louis Pasteur
Clementine SETA a répondu à un(e) sujet de Jean-pierre SIQUET dans Les évènements route
Après moult tergiversations (il fera beau ou on va se faire saucer? j'en envie de tirer sur la machine ou pas? suis-je de toute façon assez en forme?, etc, notre vie de cyclistes est décidément faite de cruciales questions...), ça y est, décision prise, je suis inscrite sur la L. Pasteur. 1500 m de dénivelé pour 130 km, pas de souci a priori, sauf que ça fait longtemps que je n'ai pas enchaîné sur le plat à plus de 30 km/h. De toute façon, ce sera l'occasion de découvrir du pays... et comme l'orage est annoncé dans l'après-midi, ça me poussera à aller un peu vite pour finir au sec. D'autres inscrits sur le forum? -
C'est largement moins régulier que la belle liste d'Eric (et pas agrémenté de photos; dommage car la beauté des sites parcourus aurait pu le justifier): - lundi: tour dans l'Albanais. 100 km de collines... montées, descentes et rien de plat. Mais des petites routes tranquilles et bucoliques, parfaites pour faire du fractionné... - jeudi: Grand Colombier avec des copains. Par le versant de Virieu le Petit, c'est nettement plus drôle, bien sûr. Le passage raide n'est pas très long (4km), mais avec un km à 13,5 et un à 14%, et des passages à près de 20%, ce n'est pas de tout repos. Mais quelle beauté quand on débouche au sommet du col! Panorama à couper le souffle, d'autant plus saisissant qu'il apparaît brusquement et tout d'un bloc: Lac du Bourget, les boucles du Rhône, le Massif du Mont Blanc et le Jura. Magique! Et une centaine de km en plus dans la musette...
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Sejour entre Bormio et Cortina l'été prochain
Clementine SETA a répondu à un(e) sujet de Loïc GUIGANTON dans Les évènements route
Sur chacun des itinéraire, tu traverseras pas mal de villages, où tu trouveras de l'eau + pour les cols envisagés, à l'exception du Mortirolo (mais je crois qu'il y a un bassin aux fermes à 500m du sommet), il y a à chaque fois des bars au sommet; tu pourras faire le plein d'eau. Il me semble aussi qu'il y a pas mal de fontaines sur les routes; c'est sûr en tout cas pour le Stelvio... moins pour le Gavia; quant aux autres cols des Dolomites, je les connais moins, mais tu verras que le coin n'est pas sec; il doit bien y avoir des points d'eau. Pour le Gavia, je rejoins une nouvelle fois Guillaume: un éclairage n'est pas de trop pour le tunnel, assez flippant. Avec une petite lampe, je suis passée sans en mener large mais dans une relative sécurité. Sans éclairage, mon copain a mis pied à terre, ce qui, dans un boyau peu large et mal éclairé, n'est pas l'idéal. -
Sejour entre Bormio et Cortina l'été prochain
Clementine SETA a répondu à un(e) sujet de Loïc GUIGANTON dans Les évènements route
Ah, et un dernier conseil qui me revient un peu tard: si tu as une quinzaine d'euros à dépenser, tu peux aller aux thermes à Bormio (route du Stelvio puis à gauche à la première bifurcation quand la pente commence): eau chaude et jacuzzis avec vue sur le massif de l'Ortles... le meilleur décontractant possible. -
Sejour entre Bormio et Cortina l'été prochain
Clementine SETA a répondu à un(e) sujet de Loïc GUIGANTON dans Les évènements route
Je rejoins Guillaume. Mortirolo (par Mazzo) puis Gavia par Ponte di Legno, c'est mieux dans ce sens. Pour ce qui est de l'Umbrail et du Stelvio, j'imagine que tu souhaites descendre à Santa-Maria après l'Umbrail puis remonter au Stelvio par Prato. Si ce n'est pas le cas, un conseil: fais-le comme ça. Grosse journée, mais ça vaut le coup. En te souhaitant beau temps et bon voyage; tu devrais te régaler. Le Tour des Sella, c'est super aussi; et le Giau et la Fedaia, c'est du grand spectacle (attention à ce dernier col, il y a un versant où ça grimpe fort... versant est si je ne me trompe). -
Bravo, Isabelle! Effectivement, 200km quand on n'a pas les jambes, c'est dur, dur; de ce que j'ai pu très rapidement voir des Pyrénées fin juillet, les parcours ne semblent de plus pas très roulants, avec de petites routes et des pentes assez irrégulières. Les grands cols alpins me semblent plus faciles... Je n'ai pas eu ton courage en prenant mon vélo mercredi dernier. Un 200km avorté, je ne sais pas si on peut faire rentrer cela dans la rubrique "votre 200"... De retour de Bretagne par un chemin plus direct qu'à l'aller, nous avons fait une pause dans le Massif Central. L'idée était de copier l'étape Issoire-Saint Flour qui avait donné lieu à une étape du Tour il y a 3 ou 4 ans. Grand beau le matin, paysages d'emblée magnifiques... mais vraiment pas de jambes dès les premiers km, pourtant en descente. Le genre de jours où l'on se sent deux sur la route: le vélo d'un côté, et le cycliste de l'autre... Je poursuis en espérant que la machine se mette en route: traversée des gorges de l'Alagnon, c'est plat et ça avance convenablement; puis, à Massiac, la route s'élève ostensiblement, et la galère s'accentue; tout semble conspirer à me nuire: la route est granuleuse, le vent de face, le paysage grandiose mais désertique; avant d'arriver à Allanche, je suis survolée par un vol de rapaces: une quinzaine de milans royaux me semble-t-il (mais je ne suis pas catégorique sur l'espèce...). Je ne sais pas s'il faut y voir un mauvais augure, mais toujours est-il que l'effort continue à peser... Je retrouve quelques couleurs sur des routes plus empruntées; le fait de doubler quelques cyclistes me redonne un peu de cœur à l'ouvrage, mais le Pas de Peyrol s'annonce, et l'embellie est de courte durée. Pas de jambes décidément, sans doute plus trop l'habitude de la chaleur après dix jours humides et frais à Brest; je me retiens de pousser le vélo sur le haut du col; j'ai tout de même ma dignité mais la tentation est forte... Bon: ça fait 100 km, il en reste autant, et la voiture est au col, mon copain étant parti se promener dans les alpages auvergnats pendant que je souffre sur le vélo. Trop de tentation cette fois et pas assez de plaisir: je m'arrête au col et on finit l'étape en voiture. Et même là, le parcours semble interminable, émaillé de petites côtes assassines: chapeau à tous ceux qui l'ont fait lors de l'étape du tour, dans des conditions autrement plus difficiles que celles de mercredi dernier... Retour au bercail hier: pluie sur la Savoie, ça va permettre de se reposer, pour mieux repartir j'espère. Et de toute façon, il va falloir penser à se remettre au boulot... un dernier 200 (complet cette fois) d'ici à la fin d'année, ce serait bien, mais on verra en fonction des circonstances et de la forme...
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Un plus de 200 km effectué la semaine dernière (vendredi) sur la route entre les Pyrénées où nous avons passé 2 jours et Brest, où habite la famille. Après une nuit passée à Bordeaux, je laisse mon copain faire son footing sur les quais de Garonne, puis mener la voiture à bon port, et j'enfourche mon velo, pour un trajet qui doit m'amener à La Rochelle. 1 h pour trouver le moyen de m'extirper de l'agglomération bordelaise, puis une suite de routes totalement inconnues pour moi, avec de très beaux passages: Bourg et Blaye, l'estuaire de la Gironde, Royan, Marenne, le Pont transbordeur de Rochefort. Du velo et du tourisme comme je les aime: beau temps, plaisir de la découverte, pour une fois pas de chrono en tête, et tout de même 240 km à la fin de la journée. Un vendredi bien occupé... Et une arrivée méritée et magnifique à La Rochelle. Depuis, on attend que le crachin s'évacue de la pointe bretonne. Demain sans doute avec 100 km prévus ( à 2, cette fois...)
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Réponse un peu tardive, ms il n'y a pas le wifi partout... Pas d'autre sortie pyreneenne, on a privilégié le tourisme dans la région bordelaise. Il faudra vraiment qu' on revienne pour un vrai séjour, en rajoutant le pays basque. L'an prochain peut être? J'ai quand même ressorti le velo, mais pour faire la traversée entre Bordeaux et La Rochelle. Je ferai un compte rendu dans la rubrique "votre 200". À Brest à présent pour la semaine, là encore question sorties prévues, mais comme on est en famille, c'est moins facile de s'éclipser...
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Ça y est, première sortie pyrénéenne. Montee aux lacs de Neouvielle, c'est en effet magnifique. Merci à tous pour les conseils, et à Michel pour les photos qui ont donné envie d'aller voir. On verra demain matin le programme du jour, pluie annoncée...
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Salut Franck. Si ça peut te rassurer, d'habitude, je suis plutôt aux alentours de 1h15/1h17. Samedi, ça allait bien dès le début, j'en ai profité pour appuyer sur les pédales, mais je ne pourrais guère aller bien plus vite que ce que j'ai fait. Dès hier, c'était déjà plus difficile, d'ailleurs. Côté Yenne, le Relais est plus irrégulier, avec des passages à 13-14%. Peut-être aussi moins monotone que côté Bourget.
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Coups de coeur sur TDF 2015
Clementine SETA a répondu à un(e) sujet de Jacques LACROIX dans Discussions Route
Coup de cœur: au milieu du flot de paroles adamesque, les commentaires d'Eric Fottorino. -
Hier, comme traditionnellement chaque année à la même date, un an de plus à mon compteur personnel... et ma sortie rituelle du 25 juillet, pour dignement fêter l'événement en altitude. Ma Roche Solutré à moi, c'est le Relais du Chat au départ du Bourget du Lac. 1h11 du pied au sommet. Record perso largement battu. Vénielle mais réconfortante victoire sur l'irrémédiable cours du temps qui passe... 40 km samedi. 80 aujourd'hui avec le club: col de l'Arpettaz et de la Forclaz de Queize.