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Clementine SETA

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Tout ce qui a été posté par Clementine SETA

  1. Bonne adresse, le gite "Terre rouge". Paumé dans la nature, proprios très sympas, bonne bouffe. Bien mieux que beaucoup d'adresses sur Briançon. On s'y est arrêtés deux fois, une avant le marathon de la Clarée (là encore, un super site de ski de fond) et l'autre sur la route de la traversée des Alpes, effectuée à vélo cette fois.
  2. Côté Briançon, c'est moins spectaculaire, mais ça vaut le coup aussi. Si tu n'avais pas deux cols à faire après, je te recommanderais de descendre jusqu'à Cervières et de remonter, mais là, ce serait vraiment trop... Petite remarque: ça se fait aussi l'hiver à ski de fond (tracé en skating), et là, la montée dans la forêt de pins est carrément magique; un grand bol de nature. Si tu as l'occasion de revenir... Bon.. largement moins d'ambition de mon côté pour demain; juste mes classiques du coin (Sapenay et Chambotte), et, comme toi, en ce moment, c'est sans compteur pour profiter au max des bonnes conditions, et ne pas trop me focaliser sur ma vitesse (ben oui, je te rassure, j'ai ce défaut là aussi...mais je me soigne... enfin, j'essaie...).
  3. Ca, c'est sûr, le Lautaret, ce n'est d'aucun intérêt: large, passant, souvent venté... Tu fais l'Izoard en aller-retour en montant par Guillestre, ou tu contournes par Largentière pour monter par Briançon? Les deux versants sont très beaux de toute façon, mais il me semble que tu connais déjà, donc il y aura moins le plaisir de la découverte... Reste le Granon: il est sur mon carnet des cols à faire depuis longtemps, mais je ne suis pas encore allée. Très dur a priori, mais le paysage doit valoir le coût. Tu nous diras ça demain soir...
  4. C'est le problème si tu tournes dans l'autre sens: en descendant la Cayolle côté Barcelonnette, tu n'as pas le temps de voir combien c'est beau... et la montée par l'autre versant est tout de même largement plus quelconque. J'espère que, malgré le jour sans d'hier, tu as tout de même pu profiter du Galibier: je ne me lasse pas du bout de route entre Plan Lachat (bout de la ligne droite après Valloire) et le sommet: dur, dur, mais quel paysage! Régale-toi bien encore demain: les températures plus clémentes devraient encore permettre de profiter d'une bonne journée en montagne; je ne sais plus quel est ton programme, mais il doit te rester quelques belles ascensions en stock!
  5. Pour le "cas Pinot", il y a à mon avis un problème de gestion du coureur, et de sa saison, par son directeur sportif. Toute la saison du coureur est orientée vers le Tour de France et une hypothétique victoire (ou bonne place) sur cette course; Pinot a sans doute le talent pour le faire, mais c'est aussi lui mettre beaucoup de pression pour un coureur qui a indubitablement du mal à gérer son stress. Un seul exemple cette année: ne pas faire courir le championnat de France à Pinot une semaine avant le Tour; je veux bien comprendre que cela rajoutait un déplacement pour le coureur, mais cela lui aurait aussi évité de rester obnubilé sur le Tour pendant quinze jours... Et toute la saison de Pinot est construite de cette façon, toute orientée vers le Tour; c'est de toute évidence difficile à gérer pour un coureur encore jeune sur lequel l'attente, à domicile, est énorme. Pinot surprotégé, en effet: il y a quelques années, quand deux ou trois coureurs de la FDJ se portaient systématiquement en tête de course en haut de chaque bosse pour placer Pinot en bonne position pour les descentes, c'était à mon avis la meilleure des façons de lui rappeler son blocage et de lui faire commettre des erreurs; cette année encore, ce phénomène de surprotection lui rajoute trop de pression: quand on voit que la FDJ ne joue jamais la carte Démarre et que ce dernier semble juste là pour aider son leader, là encore, je pense qu'il y a erreur de stratégie... Après, le facteur chance joue aussi, de même que le traumatisme de voir tomber Bonnet juste devant lui...
  6. Si je ne me trompe, l'EDT monte au Chaussy par Hermillon; la route n'est pas très large, mais toujours plus que par les lacets de Montvernier; de là à dire s'il y aura des bouchons... peut-être mais, avec les départs échelonnés, je n'en suis pas sure. Après avoir rejoint la route des lacets, le col se monte assez bien; attention malgré tout à la descente, bien goudronnée car refaite à neuve il y a un ou deux ans (avant: route en terre) mais, pour le coup, étroite, surtout au début... Au col, il faudra penser à jeter un coup d'œil au paysage: les alpages du Grand Coin, c'est sauvage et très beau. Je n'ai regardé le parcours de près, mais si je me fie au message de Jacques, vous attaquez ensuite le Glandon: pas de problème de revêtement, mais c'est dur au pied (passage dans Etienne de Cuines); il y a ensuite un passage qui permet de récupérer quand on traverse St Colomban, puis ça monte sec jusqu'au sommet, à partir du moment où on passe à côté du terrain de foot du village. Les trois derniers km sont très raides en effet: on voit le sommet en surplomb, ce qui n'est jamais bon signe... La descente de la Croix de Fer n'est pas très bonne, mais moins pire que celle du Mollard, où il faudra faire attention, entre les rainures, les trous, et les virages. Pour ce qui est de la montée de la Toussuire, comme toutes les montées aux grosses stations des Alpes où il faut que les voitures accèdent sans difficulté: une pente régulière; un bon revêtement; une route très large. Bonne route!
  7. Bonne sortie aujourd'hui, que je m'étais mis en tête hier, en voyant que les températures baissaient un peu... elles ont en fait été plus hautes encore que ces jours derniers avec, me semble-t-il, plus d'humidité. Je n'ai jamais autant bu au cours d'une journée... Pour le parcours: départ de Mouxy (au-dessus d'Aix) à 7h pour Annecy puis Thones; col des Aravis; remontée d'Héry sur Ugine puisque les gorges de l'Arly sont comme d'habitude fermées; Ugine; bords du lac d'Annecy; col de Leschaux et retour à Mouxy. 185 km quand même, pour un peu plus de 3000m de dénivelé; 23.5 de moyenne s'il faut donner tous les chiffres (j'étais seule, n'ayant trouvé aucun copain pour me suivre dans le périple + il y avait pas mal de vent sur la piste cyclable entre Ugine et Annecy, là où le parcours est normalement le plus roulant...). Une journée bien occupée pour un premier jour de vacances, mais quelle chaleur!
  8. Bonsoir Baptiste. Pour l'instant, il fait très chaud sur Aix; ce n'est pas impossible de rouler, mais il vaut mieux éviter de se trouver au pied des cols vers 13-14h. Pour les cols du coin, ils ont été énumérés dans les posts précédents. Tu peux trouver quelques variantes sympas: pour le Revard, monter par les Mentens, à l'ombre mais raide; j'aime bien faire l'enchainement Sapenay-Chambotte, je monte le Sapenay par Rumilly, puis il y a une petite route en balcon très bucolique qui monte à Topy et aux Granges; pour l'enchaînement col du Chat et Epine, commence à prendre la petite route qui longe la montagne pour passer au pied de la montée du Relais, puis suis la direction Verthemex et prends la route forestière qui mène au sommet de l'Epine. Pour le Semnoz, monter par Quintal puis descendre par Leschaux est la version que je préfère. Après, tu as de multiples possibilités sur les Bauges; le Grand Colombier mérite aussi d'être gravi (le plus beau: par Culoz; le plus pentu: par Virieu) de même que le Relais du Chat (dur mais régulier par Le Bourget; le côté de Yenne avec de belles rampes à plus de 15%). Il y a de quoi faire! Si tu veux d'autres parcours précis, n'hésite pas à me demander: j'habite le coin.
  9. Et Meteo France n'annonce pas de réelle baisse des températures d'ici jeudi prochain, avec des pics à 39°, et peu de pluie... peut-être mardi prochain. Du coup, j'ai profité d'une matinée sans boulot pour monter au Revard dans une relative fraicheur. A 8h30, c'était encore agréable dans les parties abritées et forestières, mais déjà chaud dans les parties découvertes. Ca promet pour l'après-midi... Par contre, quel plaisir dans la descente! (Plaisir à peine tempéré par l'entreprise de gravillonnage juste après la maison forestière: 1 km de fait à 9h30; sans doute déjà plus à l'heure qu'il est. Ca colle aux roues à la montée, c'est casse-gueule à la descente, mais il y a déjà eu des posts sur le sujet, donc inutile de relancer le débat...)
  10. Bonjour Jean-Pierre. Pas très loin de Lorient, tu peux suivre les parcours de la cyclo Morbihan, qui partent de Plouay: http://www.grandprix-plouay.com/pdf/CIRCUIT%20CYCLO-2015.pdf Coté mer: à l'ouest, tu peux aller jusqu'à Pont-Aven; côté est, la rivière D'Etel est un joli coin, notamment le petit village de Saint-Cado. Je laisse aux régionaux le soin de compléter.
  11. Rien à voir avec le crachin, les obèses et les varices... C'est où ta "table de grande qualité" qui n'a pas attiré les guides et les masses touristiques? Ne faisant pas a priori partie du "monde de fainéants" riche et sino/anglophone que tu décris, ça m'intéresserait de savoir... du côté du Conquet sans doute?? En tout cas, si ce que tu décris de la pointe Saint-Matthieu est une réalité, c'est que la fréquentation du site a bien changé depuis quelques années; pour avoir passé 18 ans de ma vie entre Brest et le Trez-Hir, et y retourner régulièrement voir la famille, j'ai plutôt le souvenir de quelques Brestois venus en voisins les jours de tempête, et de quelques Parisiens préférant ce coin de Finistère au Morbihan pourtant plus renommé... certes, tout le monde a droit de profiter de la beauté du monde, mais ça me chagrinerait quand même que la pointe soit devenue un point de passage obligé des tours operators... et ce même sans aller jusqu'à partager ta vision très sombre des touristes américains ou chinois...
  12. Salut Aurélien. Pour rouler beaucoup en montagne, je peux t'assurer n'avoir jamais manqué d'eau, y compris lors de longs périples; en dehors des fontaines tout de même assez nombreuses dans les Alpes (même du Sud), tu traverseras bien toujours un village où une bonne âme acceptera de remplir ton bidon. Maintenant, il est vrai que je n'ai pas la même gestion scientifique que toi du stock de boisson disponible et de la quantité de liquide que j'ingurgite... Bien sympa en tout cas, ton parcours...n'étaient quelques réunions impondérables sur la semaine du 4 au 10, et un mal de dos bien installé sans doute dû à une mauvaise position suite à ma fracture de l'humérus, ça m'aurait vraiment tenté. Mais, bon... pas possible... Comme le signale Romain, tu te prépares une bonne première journée: je ne sais pas jusqu'où tu veux redescendre l'Agnel côté italien, mais attention en tout cas à la remontée vers la France, c'est en effet très pentu (mais très beau, plus que côté Saint-Véran, à mon avis). Pour le reste, le Galibier, c'est pareil, ça dépend si tu redescends jusqu'à Saint-Michel ou jusqu'à Valloire; dans le premier cas, ça devient costaud, mais, à part l'aspect purement sportif, je ne suis pas sure que ce soit réellement intéressant (le Télégraphe n'est pas le plus beau col des Alpes). Dans l'Izoard et la Bonette (long mais pas si dur), tu vas te régaler. L'étape "Allos-Champs-Cayolle", on l'a faite il y a deux ans avec mon copain: un très beau tour où il ne faut pas trop s'emballer dans la première montée, l'ascension des Champs n'étant pas simple; seul bémol: la Cayolle est bien plus belle à monter côté Barcelonette, que côté Ubaye... Profite bien, tu ne devrais pas trop avoir de mal à t'adapter au coup de pédale des grands cols en montagne. A mon avis, vues tes capacités, compte plutôt des moyennes à 22-24 km/h plus qu'à 20 km/h. Mais l'essentiel est plutôt de profiter des paysages: j'imagine que c'est dans cette optique que tu te situes. Un dernier conseil: méfie toi quand même de la remontée de Vars; ce n'est pas très pentu, mais c'est aussi très peu ombragé: il peut y faire très chaud...
  13. On était trois du club sur le grand parcours, et, à Herbouilly, on était relativement groupés tous les trois. On a dû se croiser en effet. quel maillot pour toi?
  14. Pas de réponse à la question de la "petite trousse", mais un compte-rendu de cette belle cyclo, que j'effectuais dimanche pour la troisième fois, la deuxième sur le grand parcours (171 km). Le samedi soir, avant de mettre le réveil, pas mal d'interrogations: peur de manquer de rythme et de résistance après un an à courir après la forme puis à soigner une grosse fracture de l'épaule; préparation pas très bien maîtrisée de surcroît puisque j'ai eu beau avoir essayé de faire les choses à peu près rationnellement, je dois me rendre définitivement à l'évidence que je ne suis pas professionnelle, et j'ai eu plutôt l'impression d'un creux de vague que d'un pic de forme dans les jours précédents la course... Qu'à cela ne tienne: le réveil est fixé à 4 heures; départ à 5h pour le Vercors avec une première certitude: le vent est tombé par rapport à la dernière fois que j'ai fait du vélo sur le plateau (il y a 15 jours) mais il fait froid: 3° à l'arrivée à Méaudre. Belle caillante, comme souvent dans ce massif... Heureusement (??), on part en montée et je me réchauffe tout de suite, d'autant que, un peu stressée au départ (oui, je sais, ce n'est qu'un loisir, mais bon...) et rattrapée par mon naturel impatient, je pars assez vite dans le col de la Croix-Perrin. Je sais bien sûr que c'est une erreur, mais comme le jambes répondent, j'en profite sans trop me poser de questions et, rattrapée au bas de la descente par un des copains du club, je prends la roue et me retrouve dans un groupe qui roule fort et me mène au pied de la montée d'Herbouilly. Je sais là encore pertinemment que le-dit copain du club roule mieux que moi, mais, comme je suis décidément partie pour ne pas trop raisonner aujourd'hui (neurones gelés au départ,, sans doute...), je poursuis sur ma lancée, et ne perds mon peloton que dans la descente, dans laquelle, spécialité maison, je laisse s'échapper le groupe... Qu'à cela ne tienne, le renfort n'est pas bien loin; nous nous retrouvons à 4 ou 5 sur le faux-plat montant qui mène au pied du col du Rousset. L'allure reste bonne, mais je commence déjà à sentir les jambes se durcir quelque peu. Pas bon signe... d'autant que la route commence à s'élever; je me dis qu'il va falloir commencer à gérer, et la montée au col de Saint-Alexis contribue largement à me calmer... Au premier ravito, le compteur affiche déjà trois heures de course, et une moyenne de 28,5km/h; je me doute bien que les difficultés commencent cependant, et que je ne dois pas trop me bercer d'illusion et penser finir sur ce rythme... Chaux-Clapier: déjà fait il y a quinze jours, sauf qu'avec 100 bornes dans les pattes, ce n'est plus la même histoire; enfin... 20 bornes de descente s'annoncent pour reprendre un peu de jus... mais, par définition, tout ce que l'on descend, on finit forcément par devoir le remonter. C'est le plat de résistance de la journée: l'ascension du col de la Machine, qui mène au grandiose cirque de Combe-Laval, grand spectacle garanti dès qu'on arrive au faux col de Gaudissart et que l'on quitte la forêt. Pas trop le temps de faire du tourisme cependant: je commence à être bien cuite, mais comme je double plus que je ne suis doublée, je me dis qu'il y en a qui sont plus crevés que moi, et j'essaie d'oublier quelque peu la pente, assez rude par endroits. Le problème, c'est qu'après la Machine, "c'est pas fini", il faut encore se farcir le Carri. Pas dur en soit, mais j'y laisse quand même des forces, et, quand, dans la descente, un groupe assez conséquent me rattrape, avec la féminine qui se classera finalement troisième au scratch... re-spécialité maison: je laisse passer... Bon... encore une occasion de ratée; qu'à cela ne tienne à nouveau. Je suis toute seule, mais il reste vingt bornes, et je n'ai pas l'intention de m'arrêter si près du but: pas levée à 4h pour ça... même si, en passant devant une aire de pique-nique où des gens normaux déjeunent affalés dans l'herbe, et bercés par la rivière, je suis quasi prête à laisser mon vélo dans le fossé, pour aller voir s'ils n'ont pas une bonne cuisse de poulet bien dodue à partager avec moi, arrosée d'un petit rosé bien frais... mais, non, ce n'est pas le moment; ça continue à monter et la pasta-party d'arrivée m'attend... Je retrouve quelques cyclistes pour finir avec moi, c'est nettement plus sympa comme ça: un marseillais au maillot mauve et un belge de Namur, peut-être se reconnaîtront-ils s'ils fréquentent le forum. Reste une dernière micro-épreuve, mais, à ce moment de la journée, je ne rêve que d'une belle route bien asphaltée en légère descente avec un bon gros vent dans le dos: las, c'est une route de gorges en travaux, au revêtement en cours de réfection, qu'il faut affronter, en légère montée de surcroît... le copain marseillais a disparu, le copain belge ne relaie plus trop... c'est donc que je ne suis pas encore au plus mal et je finis, pas au sprint, faut pas exagérer tout de même, mais à une vitesse pas trop pitoyable quand même. Ouf... la ligne est passée, je retrouve les copains du club qui ont fini le 120 km (et même le 170) forcément bien avant moi. Pour ma part, 170 km donc et 3200m de dénivelé. Un peu plus de 6h40, pauses aux ravitos comprises (mais elles ne furent pas longues). Soit un peu plus de 25 km/h de moyenne et quelques confirmations: un parcours magnifique et une organisation au top; une forme qui revient même si elle est largement perfectible, en montée notamment, où je n'ai pas encore retrouvé toutes les sensations d'il y a deux ou trois ans (mais le temps passe aussi...); une maxime à méditer: quand on veut finir vite, mieux vaut partir sagement... ou choisir un parcours pas trop long. En même temps, les grands parcours, c'est tout ce que j'aime: cette impression, au bout de quelques heures de course, que "ça prend sa dimension", comme dit mon copain, les images qui restent dans la tête, les cyclos avec qui on a le temps de sympathiser, l'idée de s'être quand même un peu dépassé. Prochain épisode peut-être aux Copains d'Ambert...
  15. Sestrière, ça ne monte jamais bien plus qu'au début de la pente... si Contador continue à porter son effort de cette façon, pas de danger pour lui. Surtout que Landa semble avoir attendu Aru; je m'interroge tout de même sur la tactique d'Astana.
  16. Et, dans cet exercice, Contador semble retrouver des forces. A priori, il reste devant...
  17. C'est pas très pentu, la montée à Sestrière... mais, c'est long et pénible quand on est tout seul, surtout s'il y a vent de face comme c'est souvent le cas. Contador peut continuer à perdre du temps s'il est mal, comme l'impression visuelle du col de la Finsestre le laisse penser. De là à perdre le Giro... les paris sont ouverts!
  18. Merci pour la réponse, Eric. Je ne suis pas systématiquement focalisée sur mon compteur, mais c'est vrai que j'aime bien essayer de construire ma saison avec une progression un tant soit peu rationnelle; j'ai sans doute plus de mal que toi à rouler à l'improvisation... mais je n'ai strictement aucun souci à comprendre que chacun puisse avoir la pratique du vélo qu'il souhaite: ça a aussi du bon de savoir être contemplatif et de rouler avec pour seul but de découvrir. En tout cas, j'ignorais totalement la présence de ce petit bout de Cambodge en Grésivaudan; c'est vrai qu'entre Malraux et les autres, les Français ne sont allégrement servis à Angkor-Wat...et pas que là, d'ailleurs!
  19. Salut Eric. Ce n'est pas absolument primordial, mais j'aime bien savoir ce que j'ai fait... et où j'en suis par rapport à mes prévisions: pour le dénivelé, tu confirmes que les 110 km de Coublevie faisaient environ 2800m de DEN+? J'ai vu sur le profil strava que tu avais rajouté des bornes, mais je ne pense pas que ça ait beaucoup rajouté de mètres en plus... Bravo pour ton aller-retour à Grenoble en plus de la rando en tout cas; au bout des 110 bornes, et avec l'alternance chaud/froid dont tu as parlé, j'avais déjà les muscles bien durs avec 60 km de moins que toi...
  20. Hier, petite moyenne (à peine 23 km/h) pour effectuer la Coublevitaine: il est vrai que le club organisateur de cette belle rando n'avait pas lésiné sur le dénivelé, avec des difficultés concentrées sur 90 km, les 20 derniers km étant largement descendants. Un "petit" tour de Chartreuse donc avec le Cucheron, la Cluse et les Egaux, les Mille Martyrs pour finir, et quelques routes assez surprenantes (et pentues...) que je pense n'avoir jamais empruntées avant hier. Si j'en crois openrunner, 2800 m de DEN+, mais cela me semble un peu gonflé. J'attends avec impatience le compte-rendu d'Eric Mazare: lui ne s'en est sans doute pas rendu compte (sa gamme de maillots estampillés Thaïlande et son intense activité internet le rendant largement plus reconnaissable que moi), mais on s'est croisés tout au long du parcours, j'imagine donc qu'il complétera aisément avec les données chiffrées que mon compteur ne calcule pas...
  21. Super région, c'est sûr. je dis que j'aspire au plat certains jours, mais je suis bien loin d'être lassée des tours autour de la maison.
  22. En fait, il y a toujours un moment de la saison où le parcours idéal serait celui que l'on n'a pas à côté de chez soi... Personnellement, j'adore la bosse, je ne me régale jamais tant que quand je suis à l'aise dans un col... mais n'ayant que des routes à plus ou moins fort pourcentage à côté de chez moi (Aix les Bains), il y a vraiment des jours où j'aspire à des parcours d'une platitude absolue, ou, au moins, juste vallonnés. Comme quoi... les Alpes, ça fait rêver tout le monde, mais je dois avouer que, parfois, mon fantasme à moi, ce sont les routes où on peut tirer du braquet sans se poser de questions. Et ma grande satisfaction, au moins une ou deux semaines par saison, c'est de rouler à l'Ouest (mon Finistère natal, qui ne me chagrine que par la propension démoniaque qu'a le vent à toujours y tourner dans le sens contraire de ce qu'on aimerait qu'il soit), au Nord (où j'aime beaucoup la "culture vélo" qui y règne), au Sud (pour commencer la saison sans trop se cailler les muscles).
  23. Merci pour les infos, Sylvain. C'est sûr que 70 euros (voire plus s'il y a majoration), c'est cher, comme le dit Olivier... a priori, je vais plutôt m'orienter vers la Coublevitaine demain et la sortie du club lundi; outre le prix largement plus raisonnable, ça me fera un peu plus de dénivelé, dans l'idée d'enchaîner sur le Challenge du Vercors la semaine prochaine. Bonne route à toi si tu fais le tour du Léman! A priori, beau temps dimanche; profites-en bien!
  24. Pas encore fait le programme du week-end... juste une question pour le tour du Léman, si jamais ça me prend d'y aller: sais-tu si on peut encore s'inscrire?
  25. J'ai réussi à capter le giro jusqu'à mercredi, jusqu'à me heurter au même problème que vous... pas eu le temps de vérifier ces quatre derniers jours: séjour du club sur les terres de Didier, en Drôme provençale. Très beau parcours, mais que de vent... après le BCMF du Vercors il y a 2 ans, la Corima l'an dernier, je vais finir par croire que le coin est inroulable. Obligée de mettre pied à terre dans le col d'Ey vendredi à cause des rafales, une montée au col du Rousset plus que périlleuse ce matin... pfou... heureusement que c'est beau!
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