Rémy LORIOT

le chiffre n'étant pas passé, je corrige : "je peux t'en citer au moins 5 sans même réfléchir".

Ouais, mais tu le dis toi même, le type n'était pas habitué aux bosses. Ce que dis Jean Guy, c'est qu'un bon grimpeur élite peut gagner la marmotte, pas que tout élite peut la gagner. Rien d'autre. Pour aller plus loin, je dirais même que vu le plateau, il n'est pas sûr du tout qu'un coureur pro type Bouhani ou Degenkolb puisse la gagner. En revanche, des amateurs élite de mon coin qui ont les capacités de gagner la dite épreuve, je peux t'en citer au moins sans même réfléchir.

J'oubliais, course en 2/3/J FFC, mais surtout, le plus important, 24°C, beau soleil, un vrai bonheur !!!

Bonjour, hier, à Orthez, prix Daniel Boniface. Environ 120 au départ pour une course en ligne de 85 km (+3 de fictif) vallonnée. Nous sommes en nombre de mon équipe. Le départ, un coup part d'entrée avec un collègue dedans. On se montre devant pour contrôler un peu. C'est le début de saison, pas encore tous les automatismes, mais on essaye. L'échappée est reprise après une grosse dizaine de bornes. Ensuite, c'est une succession de tentatives d'échappées plus ou moins bien senties (mais aucune couronnée de succès) qui se succèdent au long des bosses disséminées sur le parcours. On essaye d'en mettre un dans chaque coup, mais pas évident... Tout ce que ça a pu permettre, c'est d'écrémer par l'arrière. Bref, à 10 km de l'arrivée, rien n'est vraiment sorti. Et il reste du plat, vent de dos... Donc, sprint massif, même si une dernière tentative désespérée a eu lieu. Le peloton est réduit de moitié environ. Je termine à la louche dans les 40, et pour le club, 1 dans les 5, 2 dans les 10, et 3 dans les 20. Comme ce n'est jamais sorti, on arrive avec 41 km/h de moyenne. On aurait pu mieux faire en courant mieux, mais bon... espérons que ça viendra.

Bof, sans doute bientôt chopé à l'Epo aussi...

Bonjour, 1- R Porte (en espérant qu'il soit au départ ce coup-ci) 2- A Contador 3- R Sicard 4- I Anton 5- C Evans Grog

Intéressant.

Bonjour, 1- E Boasson Hagen 2- N Bouhani 3- T Boonen 4- J Degenkolb 5- T Farrar GROG

Bonjour, 1- F Schleck 2- V Nibali 3- Sy Chavanel 4- V Kiryienka 5- R Porte. GROG

A la bourre, mais du coup, j'ai 2 CR. - Sur l'Essor Basque, ouvert cette année au 3° caté, j'ai décidé de m'aligner mardi 18 février sur "La route de l'Atlantique", soit pour ceux qui connaissent le coin, Ascain-Hendaye, avec une boucle par Sare et le col de St Ignace à faire 4 fois. J'avais déjà couru en 1°, mais jamais à ce niveau (Cazaux, Plouhinec, Larpe et d'autres, l'Armée de Terre, Blagnac, Peltrax, Sud Gascogne etc...). Bref, ça commence par le plat, avalé à 55/60 km/h de moyenne. Dans les roues à la rigueur, ça passe, mais pour remonter, c'est une autre histoire. Impossible donc de me replacer avant la 1° difficulté (un petit col de 3 km dont 1,5 km à 6-7% et le reste en pente douce, à franchir 4 fois avant de rallier l'arrivée). La partie la plus difficile passée à environ 25/30 km/h, malgré 2 arrêts suite à chaîne en travers au milieu du peloton (et les accélérations consécutives que vous pouvez imaginer). le haut à 35/40 à l'heure. Bref, une horreur. J'ai fait 2 tours, j'ai pris un éclat de 5/10 mètres en haut du 1° passage au col, impossible à boucher. Après avoir "chassé" un tour complet seul, j'avais 42 km/h de moyenne. J'ai bâché à mon 2° passage sur la ligne, et je suis du coup parti rallonger pour avoir une sortie correcte. Dans le peloton, hallucinant de voir comment ça frottait ! Et encore, je n'étais pas là à l'arrivée... J'ose à peine imaginer. Les types qui s'accrochent par le bide pour se remonter, qui tapent sur le cintre des autres... Les Russes présent notamment, étaient complètement barges... - hier, "La Ronde du Sel", en 2/3/J, à Salies de Béarn, qui ouvre traditionnellement la saison. Une belle classique en ligne, 100 km avec 1100 m de d+, bien vallonnée. 150 au départ. Dur du début à la fin. Ca roulait fort sur le plat, mais aussi en bosses. Ma semaine au ski jusqu'à la veille (avec apéros, raclettes et le reste) m'a coûté cher. Le peloton explose dans une des dernières bosses dures (à environ 30 km de l'arrivée), et moi dans la 2° partie... Bref, rien vu de la course, je finis au dans les 75 environ, une galère. Espérons que ça sera mieux dimanche prochain !

Un pote n'a pas pu débuter sa saison de course ce week-end comme prévu, car son CKT s'est fissuré au niveau de la boîte de pédalier (au bout de 2 mois). C'est le 2° en un an, même problème à chaque fois, avec je crois 3 mois environ de délai de remplacement entre les 2 cadres. Du coup, il abandonne la marque. Voilà un retour "terrain"

Ca doit être sympa, mais 4 sujets sur le même thème, t'exagères pas un peu ?

Non mais tu réalises ? Un stop glissé, ce n'est pas mortel si tu as une bonne visibilité. Un passage à niveau, même si tu ne vois pas le train... C'est pas une question d'interdit, c'est une question de danger de mort, triple buse. En outre, lors d'une course cycliste, la route est privatisée, donc le code ne s'applique pas.

J'ai lu des trucs incroyables sur ce fil. Folklore cyclisme, coureurs qui prennent leurs responsabilités, zèle du commissaire etc... Vous savez ce que c'est qu'un train qui déboule à 170 km/h ? Si t'es trop prés, déjà, t'es sûr de te faire happer par la machine et de crever. Si tu la prend de plein fouet... Si un passage à niveau est fermé, c'est qu'un train va passer. Il ne ralenti pas. Déjà qu'une victoire ne mérite pas qu'on prenne de tels risques, alors une histoire de délais au tour méd... Quant à comparer ça au passage "glissé" d'un stop... Juste réfléchissez à la question et je crois que vous ne la poserez jamais plus...

Ah oui, j'oubliais un autre truc. Si tu n'as pas de contre-indication médicale, oublies le cardio lors d'une épreuve. Ca ne sert à rien à part "t'effrayer". A la rigueur dans une épreuve de montagne pour te caler lors des montées, spécialement si ça finit sur un col, ou alors si tu fais des chronos, mais sinon, pas la peine de s'encombrer avec ça.

Salut. A te lire, tu es donc "diesel". Capable de rouler longtemps à un bon régime, mais dans le dur quand ça embraye fort, spécialement au départ. Voilà donc selon moi quelques pistes à explorer. Exercices de fractionné (type 1'/1'), et de seuil anaérobie. D'abord 2x 10', puis 2x15', puis 25', puis 30' au fur et à mesure de ta progression. Tu peux aussi faire des exercices mixtes, genre plusieurs fois 1' PMA / 3' SV2 / 2' récup'. Ca devrait t'aider.

Ben y'a de tout. Une cyclosportive, c'est un peu comme un marathon, ou un Tri. Le niveau dépend énormément de la qualité du "plateau" présent. Ca sous entend la présence de sportifs de haut niveau, comme de gars venus pour se faire plaisir, s'amuser, ou relever un défi personnel. C'est moins homogène au niveau participants qu'une course de fédération, et à ce titre, on peut difficilement comparer un type d'épreuve avec l'autre. Par ailleurs, si certaines cyclosportives sont plus dures que des courses FFC, ce n'est pas le profil qui est en cause, ni le "format". C'est la façon de rouler des gars présents. Par exemple, sur le tour de l'Ain (en tous cas en 2012), le niveau était je trouve vraiment costaud. Au moins au niveau 2/3 FFC. Ce qui s'explique grandement par la présence de coureurs 1/2 FFC, et aussi d'équipes de DN, voyant là l'occasion de faire une belle course par étape dans des conditions idéales. Mêmes si pour les meilleurs, il s'agit de préparation, quand ils sont nombreux et se prennent au jeu, forcément, ça déménage. Hier, j'ai participé à une épreuve dans le Gers, de 100 km, pour 950 m de d+. Environ 300 au départ. La présence dans le peloton de beaucoup de 2/3 FFC, et aussi de coursiers des autres fédés, venus là pour préparer la saison qui commence. Résultat, une 1° heure de course à presque 41 de moyenne malgré le vent et les bosses, avant que ça se calme un peu. A contrario, quand tu vas sur d'autres cyclo, l'ambiance est parfois beaucoup plus décontractée, et même si les premiers, parfois de haut niveau, se tirent la bourre, le niveau général est en dessous. D'ailleurs, certaines épreuves de montagne sont paradoxalement plus cool que des cyclos nerveuses et courtes de plaine, comme celle que je cite ci-dessus. Attention, je ne dis pas plus facile, mais le niveau général étant moindre, il y aura plus de "relâchement" pour les plus forts entre les difficultés dans ce genre d'épreuves. Donc, quand certains disent aller sur des cyclosportives pour se préparer, il ne faut pas y voir un manque de respect. Mais il est vrai que courir "La Pyrénéenne" (par exemple), si ça représente un joli défi, ne sera pas au niveau d'une course comme la ronde Soulor-Aubisque en 1/2 FFC (par exemple, et pour comparer des épreuves montagneuses). Donc, un 1° ou un 2° FFC pourra tout à fait envisager la 1° comme une préparation à la 2°, sans pour autant la traiter par dessus la jambe. A l'inverse, le fait de prendre part à des courses de fédé peut tout à fait faire partie d'une préparation pour aborder des cyclopsortives dans un esprit compétitif, et dans les meilleures conditions. Même sur un profil plat, se cogner 2 heures et demi de course à 40 de moyenne, ça fait du rythme, ce qui sera toujours utile pour une cyclosportive.

Comme certains te l'ont répondu, si tu n'estimes pas avoir le niveau pour courir en 1° UFOLEP, je ne comprends pas bien pourquoi avoir pris une Pass Open, l'intérêt de cette licence étant de pouvoir participer aux courses de FFC ouvertes aux 3° caté (et donc aussi aux juniors). Le niveau général des courses en 3 FFC étant quand même plus relevé qu'en 1° Ufolep, il me semble incohérent de vouloir courir en 3 FFC, voire le plus souvent en 2/3, (vu que les 2 catégories sont souvent mélangées), sans s'estimer capable de suivre en 1° Ufolep (sans faire injure à quiconque, et même si il est évident que certains 1° Ufolep ont le niveau pour courir en 3 FFC). Pour la discussion en général sur le FFC, je rejoins assez l'avis de Maurice, à quelques détails près.

Je répond un peu à retardement, mais quand même. Ca fait maintenant depuis l'été 2012 que j'ai mon BMC, et franchement, je n'ai jamais regretté mon achat. C'est un vélo génial, et ce n'est pas le fait de dévisser de temps en temps la tige de selle pour évacuer quelques gouttes d'eau qui change quoique ce soit à mon appréciation. Au pire, j'ai toujours la solution de prendre une perceuse et de faire un p'tit trou pour l'évacuation, mais je ne le ferais même pas. Il n'y rentre quand même pas des litres, même lors de conditions météo désastreuses. Bref, pas à s'inquiéter. Par contre, comme d'autres te l'ont fait remarquer, difficile de trouver un vélo moins sloping. Et perso, je préfère un look BMC, (même un peu sloping) que Pinarello. Mais les gouts et les couleurs... L'autre solution aurait été de prendre une taille supérieure. Je ne sais pas si dans ton cas c'est possible, chacun étant différent, mais pour ma part, alors que j'étais sur un Scott CR1 en 51, je suis passé sur un BMC en 53, et avec l'étude posturale, ça tombe franchement nickel. J'y suis même mieux posé que je n'étais sur le Scott.

Justement le genre de coiffure qui amortit bien les chocs !!! 😃

Pour répondre à ta question titre : Les 2 !

J'en ai rien à foutre.

Pays Basque, temps de chiottes !!! A quelques rares exceptions près, depuis fin janvier, il pleut, il vente, il grêle etc... Même les bateaux se foutent sur le flanc !!! Températures de saison. Ca n'empêche pas de rouler. Juste il faut davantage nettoyer le vélo...

Boaaaf... S'il ne faut pas sortir parce qu'il fait trop froid, qu'il y a de la pluie, du vent, depuis 3 semaines, je ne sors jamais. Non, le vent ne m'empêche pas de sortir. Ou alors, c'est carrément la tempête, avec orages , grêle et tout le St Frusquin... Y'a que le verglas qui est réellement rédhibitoire.

J'ai un BMC RM01, et en effet, de l'eau s'infiltre. Ce qui fait que régulièrement, je dévisse ma tige de selle pour "vider mon cadre". Mais après tout, je n'y vois rien de spécialement inquiétant, le carbone n'étant pas sensible à l'eau.