Rémy LORIOT

Bravo Marcel !!! (29° en fait) Quand je pense à tous ces grincheux... 😇

Et les b.tes sont molles !!!

Super les Rsys... tant qu'on ne roule pas dessus... en bagnole !!!

Sans doute un problème de préparation... 😇

Vauclair ? L'abbaye ?

Dans les 130 plutôt. Et sans la douleur, difficile à dire. Je me serais peut-être trop tapé dedans dans le Galibier avant d'exploser, va savoir... Si ça se trouve, c'était peut-être même un mal pour un bien. Et sinon, je suis très loin du niveau des 10 premiers... Pouly termine quand même avec presque 1 h d'avance sur moi !

Ecoutes, j'étais très inquiet il y peu au sujet de cette fameuse "Marmotte". Et bien en fin de compte, et bien que la semaine dans son ensemble ait été éprouvante, si tu gères correctement, que tu ne te fous pas à bloc d'emblée c'est tout à fait faisable. J'ai géré dans le Glandon, j'étais dans un bon groupe en Maurienne, puis j'ai grimpé le télégraphe diminué par une douleur au tendon d'Achille apparue dès les 2 premiers km de l'ascencion. Cette douleur m'a imposé de ne pas m'envoyer complètement jusqu'en haut du Galibier, pour ne pas être contraint de poser le pied. En fin de compte, j'avais tout à fait les fores nécessaires pour arriver en haut de l'Alpe. Certes mon tendon m'a fait souffrir, mais j'ai pu boucler l'épreuve, sans aucune crampe et sans réel coup de moins bien, le tout en 6h56, descente du Glandon incluse (soit environ 6h30/6h35 officiel). Et en fin de compte, alors que j'étais "terrorisé" par l'enchaînement Télégraphe/Galibier, ça m'a semblé abordable. Ca m'a paru moins dur que la Vaujany le dimanche précédent (la météo peut-être) pourtant moins dénivellée. L'enchaînement Alpe d'Huez par Villard-Reculaz / col de Sarenne m'a paru bien plus éprouvant que le Télépgraphe-Galibier d'ailleurs... Donc, en te préparant bien, et en gérant ton effort, il n'est absolument pas impossible de boucler l'épreuve.

"CETTE CONDUITE DESCEND TOUT DROIT AU VERNEY DEPART DE LA CYCLO" Ca doit aller plus vite que pour grimper !!! Ca plus le sabot, ça fait une belle balade. Nous on n'y est pas monté jusqu'en haut au Sabot, à cause des gravillons dans les virages. Un peu trop à notre goût...

T'aurais dû bifurquer à gauche vers la table d'orientation à l'entrée de Vaujany (juste avant la pancarte). 5km ultra sauvages, sur une route quasi Pyrénéenne, toujours sur des pourcentages du même tonneau. Et à l'arrivée, une vue à couper le souffle. Pendant ma semaine du trophée de l'Oisans, c'est ce que j'ai trouvé de plus beau (et de plus dur) dans le coin, devant Ornon, l'Alpe d'Huez (par Villard ou Bourg d'Oisans) puis le col de Sarenne par l'Alpe, l'Alpe du Grand Serre, le Glandon, le Télégraphe, et le Galibier par Valloire. Peut être que Sarenne par l'autre côté aurait été plus dur ? Toujours est-il que pour l'avoir grimpé 4 fois dans la semaine, je trouve cette montée à Vaujany effectivement costaude.

Juste un petit coup de chapeau perso à Mathieu Dumont, du FC Oloron, qui fait 8° amateur et 29° au Scratch. Tout ça avec une vie de famille et un vrai métier à temps plein...

J'y serais peut-être aussi. Tout dépendra de ma forme après la semaine prochaine (et l'enchaînement Vaujany-Trophée des Rousses-Marmotte-Grimpée de l'Alpe...).

Non, pas grave. Soit tu en profites pour faire un gros week-end pour améliorer tes points faibles (ou renforcer tes points forts), et récupérer avant la prochaine échéance, soit tu préfères "régénérer" sur la période en faisant des sorties courtes avec des intensités espacées de jours de récup'. A voir selon ton état de forme. Si t'es à plat, tu peux même en profiter pour une micro coupure de 4/5 jours. Dans tous les cas, ça ne te sera pas néfaste, surtout si tu cours toutes les semaines depuis 4 mois.

Ouais ben pour la Vaujany, ça risque d'être moyenasse du coup...

Du jus ! Une sortie à j-8 genre 65 à 70% du programme de l'objectif, et sinon, 2 sorties max 2h espacées de 1 jour de recup' la semaine précédente, la dernière à j-3. La veille éventuellement 1h30 maxi en déblocage. Mais surtout, assis, jambes étendues le plus souvent, et jambes au mur de temps en temps... Alimentation, pas de nouveautés, et pas trop de fibres à compter de l'avant veille au soir.

D'autant que les risques de crevaisons ont largement diminué avec les allumettes...

Après, les tailles, les marques... Perso, je suis passé d'un Scott CR1 taille S à un BMC RM01 en 53, et maintenant un Caad 10 en 54. Au départ, j'étais pourtant parti sur un 52, puisque mesurant 1m73. Etude posturale lors du passage au BMC, et côtes reportées sur le Cannondale. Ce dernier est celui sur lequel je me sens le mieux. Paradoxalement, il est même un peu plus compact que le BMC, pourtant une taille au dessous. Au bilan , ça me fait une sortie de selle à peine au dessus de celle qu'on voit là, et sans bague sous la potence. C'est très bien niveau confort, même pour 5h de sortie, et au pilotage, un vrai régal. Comme quoi, rien de mieux que d'essayer.

Bonjour, ce dimanche, ma course préférée de la saison. Mauléon-Ahusquy, 2/3/J FFC. 95 km environ avec 4 tours "en ville" de 7 km environ pour les "points chauds" à chaque passage sur la ligne. Ensuite, un "petit" col casse patte, et autres menues difficultés avant le final : http://www.cols-cyclisme.com/images/courbes/609.gif Je suis bien. Je ne sens rien sur le plat, je reste placé. Une équipe empêche toute tentative d'échappée. A la fin des tours, je tente de me glisser dans un coup, à 4, dont un coéquipier, et un bon grimpeur. Encore une fois, pas de bon de sortie. Je me fais peur sur la 1° difficulté, attaquant le pied en tête de peloton un peu trop fort. Une accalmie sur la pente, qui s'adoucit à 4% permet aux costauds d'accélérer, et m'oblige à me faire violence pour m'accrocher. Je tiens le coup. Descente qui suit ultra rapide, qui me permet de tester mes nouvelles roues carbone boyaux en "condition extrème". Le 80 km/h est allègrement dépassé... S'en suit la fin de course. Encore quelques tentatives de sortie, puis l'approche du monstre calme les dernières ardeurs. J'attaque la montée finale en fin de groupe des "costauds". Ils avalent le 1° km à un très gros train. J'hésite à tenter le coup, mais la peur d'exploser et de me ramasser totalement me conduit à monter à mon rythme. Je m'impose un gros rythme quand même, mais pas suffisant donc pour accrocher les meilleurs. Le groupe se casse en 2, et j'en reprend puis dépasse certains au fur et à mesure de la grimpée. Je monte seul, à bonne allure, et je reviens progressivement sur un groupe de 6/7. Je serais toutefois trop juste pour les reprendre, et échouerais à quelques dizaines de secondes (40/50 sec environ). Bonne montée pourtant, bouclant les "un peu plus de 800 m de D+" en 39 mn environ. Ca donne une idée du niveau des 1ers, qui terminent bien 2 à 3 mn avant moi... Au bilan, 18° à l'arrivée. Sans doute dans les meilleurs 3° caté, mais un peu déçu quand même. En courant mieux, j'aurais peut-être pu espérer un top 10 ou 15. Dommage, les jambes étaient bonnes et la forme est là. Maintenant, direction les Alpes pour le trophée de l'Oisans. Une autre paire de manche...

La classe. Sans doute le genre de folie que je ferais quand j'arrêterais de courir. Et puis, ce n'est pas pour 10 ans, c'est sans doute le "dernier" vélo, tant le titane est indémodable et inaltérable !

J'oubliais, il y a le Limousin aussi.

On a le même !!! Qui regroupe Aquitaine, Poitou Charentes et Languedoc Roussillon (mais pas MPY, va savoir pourquoi ? Ils n'ont pourtant pas plus de courses que nous...)

Te casses pas, le principal, c'est d'organiser des courses. Après, sur le fond, il y a une certaine "schizophrénie" de la FFC, avec d'un côté une organisation "compète" en catés 1/2/3, mélangée aux juniors, sans critères d'âge, une autre organisation "loisir" avec les pass D1/2/3/4, dont les open peuvent courir les courses ouvertes aux 3°, toujours sans distinction d'âge, et enfin, des championnats par "catégorie d'âge" auxquelles ne peuvent pas prendre part certains coureurs entrant dans la catégorie d'âge, mais exclus de par leur catégorie sportive... Bref, un beau bordel (passes moi l'expression). Ca pourrait gagner il me semble en simplicité. Mais le principal, comme dit plus haut, c'est d'organiser des courses sympas. Et c'est parfois là que ça commence à pêcher...

À la décharge de Joachim, je trouve aussi que ce sont vraiment des courses sans intérêt. Bravo à celui qui gagne, il doit être costaud, malin et bon sprinter, mais je comprend qu'on n'aime pas. Moi, une course comme ça, même pas j'y fous mes roues, et j'en profite pour faire une belle sortie. Je l'ai eu fait, pour garder le rythme, mais maintenant, terminé les nocturnes sur circuit de moins de 2 km et autres critos tout plats...

Salut, 1- Peter Sagan 2- R Kreuziger 3- B Thurau 4- M Albasini 5- R A Costa Grog

Ben pour parler de ce que je connais (Aquitaine), je peux te citer pas mal de courses qui ont disparues es dernières années, sans avoir trouvé de remplaçantes. - Oloron Ste Croix (dernière prévue annulée en 2013) - La palombe (dernière prévue annulée en 2011) - Orthez-Salies (la dernière en 2011) - Serres Ste marie (annulée cette année) - Cescau (n'a eu lieu qu'une fois, en 2012) etc... Moi, cette année, j'ai pas mal de week-ends sans course. Certes, des fois, c'est parce que je ne veux pas aller m'emmerder dans des tourniquets quand il ne reste que ça. Mais souvent, c'est parce qu'il n'y a rien à 150 km à la ronde.

A priori, le moyeux, même s'il est marqué "Spline" est le même que le 240 à tirage droit. Pour le poids, les miennes, sans blocage ont été pesées chez le bouclard à 1315 grammes la paire. Je ne me rappelle plus la répartition exacte avant/arrière, mais on est proche des valeurs catalogues. Pour Steph, je suis tout à fait d'accord. D'autant que comme dit par Frédéric, on arrive souvent à avoir une remise (club ou autre) qui fait que si le tarif est un peu plus élevé, déjà, ça fait marcher le commerce local, et en plus, lors d'une prise en garantie ou autre, on a réellement quelqu'un en face. Et ça, qu'on le veuille ou non, ça a un prix, mais qui se justifie largement.