Aller au contenu

Rémy LORIOT

Membre
  • Compteur de contenus

    3 177
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Rémy LORIOT

  1. Sinon, comme resto, encore plus près de Salies, à Castagnède, y'a la Vieille Auberge, excellent.
  2. J'ai entendu parler d'un type du coin qui connait bien tous les parcours de la région, et saurait comment éviter les "montées chiantes et difficiles" pour boucler de beaux itinéraires en un temps record. Le soucis c'est que je ne me rappelle plus son nom... 😃
  3. C'ui qui t'enc.le dans l'taxi !!! 😃
  4. elle danse tous les soirs...
  5. Bon, nous, le même jour, en 2/3, on avait une course bien difficile (1100 m de dénivellé pour 63 km en 6 tours), avec bien moins de primes, le lendemain d'une autre, et la veille pour certain du critérium de Lacq avec les pros. On était quand même plus de 60 au départ. C'est pas énorme, mais pour la saison, et compte tenu du contexte d'enchaînement des courses, c'est déjà un vrai petit peloton. Je ne pense pas que ce soit une question de grille de prix. Je n'en connais pas beaucoup qui participe aux courses pour ça. L'époque a changé.
  6. Ben moi, tous les ans depuis 2011, j'ai envie d'y aller... et... 2011 : baptême (je suis le parrain) 2012 : au tour de l'Ain 2013 : mariage 2014 : tendinite. on verra pour 2015...
  7. D'accord. Je pense néanmoins que "Benoît" a raison dans ce qu'il sous entend. Ce qui coûte le plus cher au club, ce sont les droits à payer à la FFC. Et le fait que le montant des inscriptions lui soit aussi intégralement reversé. Ce n'est pas un coût, mais un gros manque à gagner. Organiser une course en 3, 2/3 ou plus coûte cher aux clubs, sans rien rapporter. Je ne parle même pas d'une élite. Et ce même s'il n'y avait pas de grille de prix. Dans mon club, une élite a failli être annulée, la mairie n'étant plus très disposée à filer quelque chose comme je crois 2000 euros. Et ce sans parler de la grille de prix. 2000 euros ! tu te rends compte ? Et ce n'était qu'une part (importante certes, mais quand même) du coût total. Au bilan donc, ce sont les clubs qui prennent en charge le financement de la fédé et le cheminement vers l'élite. Du coup, les petits clubs sont de moins en moins intéressés par ce mode de fonctionnement, surtout si ils sont composés d'éléments dont le niveau se situe autour des catés D1 D2, 3° et pas nécessairement tournés vers l'élite. Beaucoup de clubs se disent : autant faire des Ufolep. Contraintes administratives et de route équivalentes aux FFC, mais avec une récupération des sommes d'argent par les clubs, ce qui les aident dans leur développement... A la FFC de trouver une sorte de "juste milieu" qui puisse permettre aux clubs d'organiser des courses sans que celà les ruine, pour que l'offre puisse continuer d'attirer les pratiquants. Sinon, de plus en plus iront vers l'Ufolep. Au moins passé un certain âge. Après tout, un type qui marche en 2 ou 3 peut très bien se dire que s'il s'entraine un peu moins, marchera proportionnellement tout autant une fois passé en Ufolep... Avec plus de temps pour autre chose... Bref, ce que ne comprend pas trop la fédé, je pense, c'est que toute pyramide a besoin d'une base. Si la base se tire en Ufolep ou Fsgt, la pyramide de la FFC risque fort de se casser la gueule. D'ailleurs, le tour du Piémont Pyrénéen est cette année annulé... Et ça a failli être le cas pour le tour des Landes. Peut-être que la FFC va enfin se demander pourquoi...
  8. Mais en effet, il n'est absolument pas question de manque de potentiel. Juste question de travailler certaines qualités qui, si elles sont indispensables en course, sont moins prépondérantes en cyclosportives. Rien d'autre. Il est évident qu'un cyclosportif aguerri qui va se mettre travailler correctement les filières concernées pour faire des courses FFC sera, après une adaptation au rythme course lors des premières épreuves auxquelles il participera tout à fait au niveau. Enfin, si mon exemple ne fait pas une généralité, il illustre bien les différences de spécificités nécessaires aux 2 types d'épreuves.
  9. Bonjour Emile. Je connais bien Mathieu. C'est quand même un beau coursier avant tout maintenant. 8° du championnat de France de Chrono amateur, et classé devant pas mal de pros. Mais Mathieu, c'est aussi une force de la nature, qui aurait du faire une belle carrière chez les pros au rugby s'il n'avait pas eu ses soucis au genou. Je ne pense pas qu'on puisse le comparer au "commun des mortels". Et puis, quand il redescend en 2 (un an sur 2), il est tout à fait capable de gagner des courses plus plates. L'an dernier, par exemple, il laisse la victoire à un junior d'Orthez (pétri de qualités, mais pas au niveau de Mathieu) à Baigts alors même qu'il avait pour ainsi dire course gagnée par exemple, sur un nouveau parcours tout plat, avec seulement une fois la bosse, dans son sens le plus facile. Ils étaient échappés depuis bien longtemps avant d'ailleurs. Tout plat, il aurait pu gagner aussi...
  10. En même temps, si tu fais, d'un côté le niveau DN, et d'un autre le niveau loisir, sans rien entre deux, et bien tu vas te retrouver avec un niveau pas D1 et D2 équivalent au niveau 2/3 actuel... Et les juniors avec sans doute. Donc, à peu de chose près, la même chose qu'avant quand il y avait 1/2/3/4/5 catégories... Avec seulement les meilleurs 1° à part dans le "niveau DN". Si je synthétise, autant revenir à ce qui se faisait avant, en changeant juste l'histoire des primes et compagnie. De toute façon, il ne faut pas se leurrer, bien peu sont ceux qui courent pour les sous de nos jours. Chez nous, tu mets le même calendrier sans prime, je pense que tu auras à peu près les mêmes au départ.
  11. Ce que je veux t'expliquer, ce n'est pas ça. C'est qu'une course FFC, c'est complètement différent d'une cyclosportive, aussi dure soit-elle. Il sera plus facile à un coursier entrainé, (même "spécialiste" du plat) de faire un pseudo résultat sur une cyclosportive, même montagnarde et difficile, qu'à un spécialiste des cyclosportives (qui fait des bonnes places) de finir ne serait-ce qu'au fond du peloton une course FFC, même si cette dernière présente un dénivelé conséquent, s'il n'est pas rompu à cette pratique et entrainé pour. C'est tout. Ce n'est pas parce qu'en haut des classements des cyclosportives on trouve des coursiers de bon niveau que ça veut dire que des cyclosportifs qui font des bonnes places pourraient tenir en course FFC sans l'entraînement ultra spécifique nécessaire. Pour illustrer mon propos, je te citerai mon exemple. Je suis coursier en 3 FFC de niveau moyen et aussi cyclosportif. J'ai cette année préparé le trophée de l'Oisans (Vaujany, Prix des grandes Rousses, Marmotte et montée chrono de l'Alpe). Je termine dans les 10 du trophée, entre la 125 et 130° place à la Marmotte, et ma grimpée record de l'Alpe sur la semaine (entre les 2 lignes Timtoo) a été inférieure à 49'. Un niveau de cyclosport correct donc (sans faire d'étincelles, mais ça me va). Et bien, dimanche 3 août, sur une course de FFC en 2/3 comptant 1100 m de dénivelé sur 63 km (avec une côte d'1 km dont 7-800 m à 12%, 14% au max, à passer 6 fois), je termine péniblement dans les 20, à bien 5mn des premiers. Pas par soucis de caisse bien sûr, ni crampes ni fatigue excessive, et en montant à chaque fois à un bon rythme, mais parce que ma préparation ciblée cyclosport, et les épreuves m'ont en quelque sorte "diésélisé". Du coup, impossible de passer les watts nécessaires pour accrocher le bon wagon. Pourtant, je suis presque certain que sur la petite vingtaine de mecs devant moi, beaucoup auraient été classés derrière moi à la Marmotte. Mais je suis aussi à peu près sûr que tous auraient pu la terminer en moins de 7h. C'est ça en fait la différence entre une course FFC et une cyclo. Dans une cyclo, surtout montagnarde, tu peux, même si tu es "lâché", en continuant à ton rythme, si tu es entraîné pour faire de longues sorties montagneuses à bon rythme, finir tout seul (ou presque), et faire un bon résultat en reprenant même des mecs qui auront sauté. En course FFC, si tu n'as pas la puissance (PMA) nécessaire, et la capacité à la tenir pendant quelques longues minutes quand ça visse, et bien tu sautes irrémédiablement. Et tu finis lâché, si tu n'es pas mis tout bonnement hors délai. Et ce même si tu es capable de tenir 200 km en montagne à 30 de moyenne. Et là, peu importe le profil du parcours. Quant à ton exemple de 200 km plat ou 200 km montagneux, je dirai que selon ta façon de rouler, l'un comme l'autre peuvent être aussi difficiles.
  12. Oups, c'était 6 fois... Aux temps pour moi...
  13. Ce n'est pas que c'est "insuffisant". C'est surtout que ce n'est pas pareil. Il y a pas mal de "finishers" de belles cyclosportives (de montagne notamment), même certains situés relativement dans le haut des classements, qui prendraient des branlées sur les courses FFC, même de plaine. Enchaîner les cols, durs de surcroit, ou les longs parcours, ça se fait sur la caisse, mais ça "diésélise" aussi pas mal. Et ce genre de lacune se voit beaucoup quand tu t'alignes sur une épreuve de fédé, où la puissance max et la capacité à tenir au seuil anaérobie sont déterminantes. Je pense comme Joachim que "n'importe qui" peut s'adapter à une cyclosportive (avec un entrainement un minimum adapté, cela va sans dire). Sans délais (ou alors très larges) d'élimination, "tout le monde" finit. Une course de fédé, ce n'est pas pareil. Si tu es un peu à la ramasse, tu es vite largué, et vite hors course.
  14. La route d'Ahusquy par Béhorléguy a peut-être été refaite alors ? Bonne nouvelle. Dans mes souvenirs, je la voyais pas terrible. Du genre de celle par Mendive. Pour le Jaïzkibel, c'est toujours pareil. Le chemin est "évident"... quand tu connais ! En bas à Oiartzun, il suffit de passer sous l'autoroute, de longer la petite rivière/canal que l'on traverse par le petit pont qui fait face à la gare du "topo". De là, on suit la route (sans prendre la nationale au rond point situé en hauteur), et on se retrouve au pied du Jaïzkibel... A dire, c'est facile, mais moi aussi, la 1° fois que j'y ai mis mes roues, je me suis à moitié paumé et j'ai même failli me retrouver sur l'autoroute...
  15. Allez hop ! je déterre. Hier, Orriule, course en 2/3/juniors FFC. 63 km, 1100 m de dénivellé. Circuit d'un peu plus de 10 km à faire 10 fois. Départ (et arrivée) en haut d'une bosse de 6/700 m à 12 ou 13% de moyenne , suivie d'un léger replat (une sorte de Cauberg local en somme), une portion plutôt descendante de quelques km, une autre plutôt vallonnée, et on est au pied de la bosse. Bref, un chantier ! Un peu plus de 60 au départ. Ca démarre assez fort, un petit coup part de suite. Je tente de les rejoindre, mais trop tard. Je me retrouve entre 2 eaux, trop loin des premiers et esseulé devant le peloton... Je grille quelques cartouches, mais j'avas besoin de ça pour voir où j'en étais, après un mois et demi sans course de fédé, et une coupure forcée de 10 jours pour tendinite après le trophée de l'Oisans... A la fin du 1° tour, le futur vainqueur du jour met une grosse mîne, et étire le peloton. Je m'accroche. Tour suivant, la sélection définitive sera opérée. Je lutte pour m'accrocher dans ce qui reste du peloton, qui cassera dans les 2 derniers tours. 18/20° à la fin... un peu déçu, mais je m'y attendais. Les longues cyclos de montagne, c'est bon pour la caisse, mais ça diésélise un peu, et pour passer ce genre de bosse en puissance avec les bons, il manquait de la puissance brute... A travailler pour la fin de saison.
  16. J'avais oublié aussi le petit col de Pinodiéta... Sans doute celui que j'ai le plus monté de a vie cycliste...
  17. Sacré semaine !!! La montée sur Ahusquy par Béhorleguy devait être dantesque non ? Surtout après t'être "échauffé" avec Bagargi ? Je n'ai jamais monté par ce côté et je t'avoue que c'est une des grimpées du secteur qui m'effraie le plus. Pentes très fortes, revêtement moyen, vent potentiellement fort et défavorable sur le haut... Je me dis que ça ne doit pas être plus dur que Burdincurutcheta au niveau de la pente, mais pour y être descendu en voiture il y a quelques années, j'ai du mal à me motiver. Bon, on verra ça peut-être fin août en préparation de la Larra-Larrau. Sinon, pour la boucle Arichulegi-Jaïzkibel, je la préferre en passant par le col de Lizarrieta, puis Etxalar-Lesaka et la fin que tu as fait, ça se boucle en effet dans les 5h30 ou un peu plus selon les "options" choisises. Pour éviter les bouchons, il y a la possibilité de rentrer sur Irun en tournant à droite à Oiartzun (au pied de la descente d'Arichulegi), puis de passer la frontière, de repartir vers Biriatou, et avant l'autoroute, tu tournes à gauche et passes le petit col de Kurléku. Ensuite, tu rentres par Urrugne et la côte, ou Ascain (tu rejoins la route qui passe au pied du col d'Ibardin) et St Pée, au choix. Mais bon, je pense que même si tu t'es retrouvé dans la circulation, il aurait été dommage de te priver des panoramas du Jaizkibel et de la corniche. Sinon, je vois que tu as eu du mal sur la fin de la Pierre Jacques, après avoir été très bien au début. Je regrette de ne pas avoir pu y participer (une fois de plus), mais même si ma tendinite était quasi guérie, une petite sensibilté m'a incité à la prudence. Bon, je ferais le parcours "dans l'autre sens" lors de la Larra-Larrau à Isaba le 13 septembre en compensation... En tous cas, sympa ton périple.
  18. Constat matériel ? Dans le sens de sa phrase, Ullrich est accusé d'avoir triché en 1997. C'est clairement sous entendu. Or il n'a jamais été convaincu de dopage pour le tour en question. Aveux ? Je ne crois pas qu'il ait avoué un dopage pour sa victoire de 1997...
  19. J'y étais l'an dernier, mais pour cette année, j'hésite entre y retourner ou faire la Larra-Larrau, un peu plus près de chez moi, et qui me permettra de faire (enfin !) les cols que j'ai raté en n'allant pas à la Pierre Jacques. Dans l'autre sens, certes, mais quand même... On verra. Décision début septembre.
  20. Sa défense au sujet de son injure envers Ullrich est lamentable... Pour le reste, c'est à l'image du personnage. Il s'estime visiblement au dessus du lot...
  21. Ca ne l'excuse en rien. Il est méchant, prétentieux, bête et il est nul. Autant de "qualités" innées chez lui qui ne lui sont imposées par personne.
  22. Non, pas possible. Marcel S ne va pas si loin. Il n'a déjà pas le temps de rester pour le podium lors des épreuves se déroulant à moins de 2h de route de chez lui pour ne pas "être pris dans les bouchons (sic)", alors les Alpes ou le Ventoux...
  23. C'est une épreuve cycliste sportive chronométrée, certes. Mais sur tous les règlements est inscrits "la xxxxx n'est pas une course". Ca ne m'empêche pas d'y participer, et de me donner à fond pour autant. Mais je sais dès le départ que "ce n'est pas une course". Si je veux aller sur une course, j'y vais. Si je veux aller sur une cyclo, j'y vais. Voili voilou.
×
×
  • Créer...