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Jean GUY

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Tout ce qui a été posté par Jean GUY

  1. Jean GUY

    Ricco

    Bonjour, Armstrong n'étais pas un enfant de coeur ok mais comparé pas Peter Pouly à l'Américain . Dois je vous rappeler que pouly a déja été plusieur fois positif . Arrêtez avec cette entreprise de désinformation : Pouly n'a été qu'une seule fois positif, et avec un produit que certains jugent anodin. Selon la version officielle, il a été piqué par une guêpe et il a fait une allergie. A l'hôpital, on lui aurait administré une piqûre de cortisone, comme on le fait dans ces cas-là pour faire dégonfler le gonflement du visage. Une semaine après, il s'est fait contrôler positif sur une course. Soit c'est la vérité, soit c'est une histoire pour masquer le "dopage du pauvre", et n'a rien à voir avec dopage scientifique des grands pros de l'époque. Il a pris un an de suspension (parce que dans ces cas-là, l'athlète est au moins responsable de la présence de la substance dans son corps, et on en revient à la discussion du début du post sur l'affaire du coureur UFOLEP, et les explications de Joachim qui explique que ça peut arriver à presque n'importe qui), et quand il est revenu, il est nouveau devenu champion de France (marathon VTT). Pour Eric : Pouly n'a jamais eu la prétention, ni même les contacts pour passer pro sur route. Il était un bon pro à VTT, c'est déjà pas mal.
  2. Jean GUY

    Ricco

    Avec l'EPO évidemment, surtout plein à ras-bord comme l'escroc texan on monte de dernier col comme si c'était le 1er. Pfffff : et toujours l'exagération qui décridibilise un peu le message. Tu devrais préciser qu'en matière d'EPO, Riis, Pantani et sûrement d'autres de ces années-là étaient bien plus chargés (mais pas forcément mieux parce que pas conseillés par Ferrari). Mieux dopé, si tel est le cas, ne veut pas dire plus dopé.
  3. Jean GUY

    Ricco

    Parce qu'il ne suffit pas de monter l'Alpe d'Huez en CLM en 40' pour faire le Tour de France. Le vélo de compétition, c'est bien plus compliqué que ça. Alors, petit rappel, puisque tu sembles vouloir insister pour dénigrer Peter Pouly : l'un des tout meilleurs français en VTT et en cycle-cross dans les catégories de jeune; puis plusieurs fois champion de France de VTT (X-Country et marathon). Il avait il y a dix ans à peu près le même niveau à VTT que JC Peraud cinq ans plus tard. Je n'appelle pas ça un inconnu. Depuis qu'il se donne comme objectif des cyclosportives comme la Haute route, l'essentiel de son entraînement se porte sur le rapport puissance/poids au seuil en montagne. Il délaisse volontairement le reste, ce qui fait qu'il ne serait plus excellent pour placer de grosses accélérations, ou faire des sprints. Enfin, Bernard le confirmera, mais il y a d'autres coureurs amateurs spécialisés dans les montées chrono : des gars qui n'ont pas le palmarès international de Peter Pouly, mais qui pourtant montent très vite sur des montées sèches.
  4. Tu n'avais pas écrit ici même il y a quelques années (mois?) que tu ne voulais pas de gosse?
  5. Jean GUY

    Ricco

    Hautacam est tout simplement une montée "récente" dans l'Histoire du TdF. Montée peut-être la première fois en 94, la seconde en 96, la troisième en 2000. En 2000, les conditions étaient particulièrement exécrables toute l'étape (pluie et froid). Cependant, il ne fait aucun doute, mais absolument aucun, que les coureurs de 94 à 98 étaient des extra-terrestres, sans aucun contrôle, et que par la suite, même si les pratiques de fond ont perduré, il y a eu une certaine limitation "de vitesse" instaurée par la nécessité de passer au travers des contrôles sanguins, urinaires (l'epo détectable dès 2001 par voie urinaire), et plus tard par le passeport biologique (sans doute contournable d'une certaine manière). La différence Joachim, ce sont les micro-doses, à la place des litrons d'oxygène artificiel. Quant au bonnes vieilles transfusions, elles étaient déjà au goût du jour au début des années 70, ou au milieu des années 80 (on soupçonne l'équipe des JO de cyclisme américaine d'y avoir eu recours).
  6. Ou retourner à l'école en CM1?🆒
  7. L'EPO + le reste peut t'améliorer les perf de certains de 5%, de la majorité de 10% et d'un L.A. de 20%, mais par exemple moi ou toi, cela n'aurait pas suffit pour faire mieux que Durand. On sent pas le parti-pris anti LA, déjà !!! 🆒
  8. Intéressant ton lien. Mais tu aurais dû préciser que ce rapport parlait du sport amateur en général (qui inclue football, rugby, tennis, athlétisme, triathlon, body building, etc.), et pas spécialement du vélo.
  9. Benoît, si tel est le cas, cela démonte en tout cas l'hypothèse que ce type de produit permet à n'importe quel âne de remporter le Tour. Si des mecs en Ufo ou en Pass prennent ça, ça doit bien te faire rigoler, non? Moi ça me ferait pisser de rire en tout cas, surtout si le "secret de Polichinelle" me permet de les rencontrer🆒
  10. Je ne réfute pas des cas gênants. D'ailleurs, ils ne me gênent que sur le plan moral. Je pense juste que même s'il y a quelques exemples de ce type de comportement, ils ne reflètent pas une généralité. Pour le reste, je n'ai heureusement jamais rencontré ce genre d'individu. PS : pour quelle raison t'adresses-tu particulièrement à moi? Je ne crois pas être le seul à avoir fait part de mon étonnement concernant ces affirmations.
  11. En reparlant des amateurs, faut plutôt aller voir du côté des corticoïdes, produits qui se trouvent assez facilement, et dont l'AMA a lâché un peu la bride concernant les restrictions d'usage. Du coup, c'était l'an dernier ou il y a deux ans je crois, la FFC et l'AFLD avaient tiré la sonnette d'alarme sur le suivi longitudinal, car elles avaient constaté une recrudescence d'insuffisances surénaliennes (conséquences d'une prise trop importante de cortisone) chez les amateurs.
  12. Oui, pour l'instant, rien de très précis. "On" ne sait pas qui. Et puis l'EPO, faut quand même voir ce que ça coûte. Et en plus c'est illégal en France, donc faut déjà prendre de sacrés risques pour en importer sur notre territoire. Alors je ne doute pas que ça existe. Même qu'il y a eu récemment un père, ancien professionnel, qui aidait son fils, alors jeune pro en troisième division, à prendre des produits de ce genre, eux mêmes fournis avec la complicité du frère. Tout le réseau a été démantelé suite au contrôle positif du premier fils, et tout ce petit monde est passé au tribunal il y a quelques mois. Mais enfin, de là à en faire une généralité, il y a un monde. D'ailleurs, si cela était si fréquent et que cela était fait aux yeux de tout le monde, il me semble qu'il y aurait des dénonciations. Et moi le premier, rien que pour la santé du môme!
  13. Quand même ! Jamais entendu une histoire pareille, autrement qu'en citant des généralités. Tu en as vu autour de toi, toi, des parents qui agissaient de la sorte???
  14. Bien sur j'ai aussi fait la course a l'abri, surtout quand elle était plus longue, bien sur j'ai laissé faire "les autres" et bien sur aussi, je suis allé gagner a la fin en ramassant les bagarreurs, j'ai eu même vendu au dernier subsistant pour mon porte feuille mais aussi parce qu'il le méritait autant que moi et même plus. Là j'avais mon salaire de postier, je pouvais me le permettre, mais fondamentalement c'était pas des courses que je kiffait , ni ma façon de courir. Tout l'inverse pour moi. Ce sont ces courses bien gérées et tactiquement réussies qui me faisaient et me font encore "kiffer". L'impression de tout maîtriser, quel pied ! Le fait de savoir que la différence se fait à l'instant T, et ni avant car c'est trop tôt et on peut se faire contrer, ni après car une fois que la décision est faite, c'est terminé. Le fait de calculer aussi que telle ou telle échappée peut réussir ou non, parce qu'il y a en son sein tel coureur de telle équipe, ou pas... Parce que si j'avais dû me contenter tout au long de ma carrière de la jouer à celui qui avait la plus grosse (cylindrée), je n'aurais jamais gagné de course. J'ai toujours rencontré des mecs qui avaient plus de force ou de puissance que moi, que ce soit chez les Cadets, chez les Elites, ou aujourd'hui en 1 et 2. Et même au sein des équipes que j'ai fréquentées, il y avait toujours des gros moteurs. Mais pas beaucoup de mecs capables de conclure quand la situation était tendue. Et ça je savais (sais) faire. C'est d'ailleurs ce qui m'a toujours plu dans le vélo. Ce n'est pas un pur sport de force. Et heureusement.
  15. J'approuve, mais ça marche dans les deux sens. On peut toujours discuter entre gens "raisonnables". Mais de là à faire des généralités en partant du principe que ce qu'on n'est pas capable de prouver induit forcément la culpabilité, il y a un pas que certains franchissent allègrement et régulièrement.
  16. Benoît, il y a tout de même des choses qu'on ne peut pas laisser dire ou sous-entendre systématiquement. Celles qui voudraient que pédaler à un bon niveau (et a fortiori à un niveau comme celui de Joachim) sans se doper. C'est trop facile. Même si à aucun moment il ne faut jeter la pierre à quelqu'un comme Rémy, car personne n'est apte à juger les circonstances qui l'ont conduit à le faire.
  17. Moi concernant les carrieres, je crois qu'on a une periode de sa vie ou on peut rivaliser son meilleur niveau sans rien, mais ça dure pas....alors une carriere... Si, c'est possible à condition d'adapter ses objectifs. Par exemple viser les courses d'un jour plutôt que les courses à étape. Ou étaler ses objectifs dans l'année, et pas courir après la gagne ou la place tous les week end. Ou encore à préserver ses forces à ne pas partir dès le départ sur toutes les courses. Il y a toujours moyen de trouver sa place en fonction de sa condition physique. C'est aussi pour cela qu'il existe les catégories. Je n'ai pas connu ton époque, et si j'imagine bien ce qu'est que de courir au cachet pour gagner sa vie, je n'ai heureusement pas eu à passer par là. Sur deux ou trois ans, il m'a fallu serrer les fesses parce que je ne touchais pas grand chose par mon club de l'époque, et quand je partais courir loin, j'avais aussi besoin de faire quelques primes pour rembourser mon déplacement. mais ça n'a pas duré. J'ai surtout eu la chance d'être bien payé pour faire des courses d'un niveau supérieur : moins de courses, mais plus longues et elles se passaient différemment. Je pouvais être un mois sans faire de résultat, et gagner ensuite une course de 180 km avec 200 partants. Une course où il suffisait de savoir se placer, de ne pas mettre un coup de pédale de trop pendant 150 km et de s'appuyer sur les choix tactiques des autres équipes. De même, dans cette configuration, les mafias n'avaient plus cours. Un autre vélo que celui que tu as connu...
  18. Là , je comprends la nécessité d'une utilisation thérapeutique, mais courir une semaine après (on connait les delais d'élimination) ça faisait vraiment court pour etre sur. D'autant que tu dois parler d'un mec qui court a un niveau ou les contrôles sont plus fréquent. Concernant les corticoïdes, il faut bien comprendre que leur recherche et les contrôles positifs afférents sont relativement récents. Disons depuis le tout début des années 2000. Donc en 2002, je ne crois pas qu'on ait entendu parler déjà des délais d'élimination dans les urines de ce type de produit. Enfin pour les coursiers, on sait que tu peux gagner a la flotte.....même si tu l'as un brin bénie....Tu crois que j'en ai trop dit... Si je comprends bien ce que tu sous-entends, je pense que tu es à côté de la plaque. Fallait être peut-être "touché par la grâce" à ton époque pour battre des dopés si l'ensemble du peloton en croquait, mais ce n'est plus le cas de nos jours. Et même chez les pros, il y a des mecs qui font de très honnêtes carrières sans se doper.
  19. Je n'ai déjà pas compris le sens de la phrase de Rémy et à quoi il fait référence. Donc je ne risque pas de comprendre ton ricanement.
  20. je comprend la vision de Joachim, on peut facilement être positif à un contrôle sans le vouloir. je ne défends pas ce coureur UFOLEP, peu être a t il volontairement pris des médicaments sans être malade mais on peu vite être catalogué dopé sans jamais avoir cherché à amélioré ces performances pas des médicaments. il y a une dizaine d'année, je me suis fait piqué au visage par une abeille à l'entrainement (je suis allergique, gonflement et crise d'urticaire sur tout le corps), donc je suis donc allé d’urgence chez un médecin qui m'a prescrit des médicament (a base de corticoïde), j'étais méconnaissable tellement j'étais gonflé. Donc si j'écoute tous les moralisateurs du forum, à ma place vous n'auriez pas couru pendant 1 mois pour être sur de ne pas avoir de problème de contrôles. je trouve ça très hypocrite car lorsqu'on a "le virus de la compétition" ne pas courir alors qu'on en en forme c'est très dur à faire surtout lorsque le vélo n'est qu'un loisir pas un métier. Le problème n'est pas de comprendre ou de ne pas comprendre. Le problème est de se prémunir des risques encourus. Pour ton exemple de piqûre de guêpe, comme je l'ai précisé plus tôt dans la conversation, c'est arrivé à quelqu'un que je connais très bien. Problème : il a été contrôlé positif la semaine suivante, suspendu 1 an, et aujourd'hui dix ans après il traîne encore cette réputation de dopé, d'autant plus qu'il est toujours aussi fort. La moindre de ses performances est assimilée à du dopage. Et sur d'autres forums qu'ici justement il s'en prend systématiquement plein la tronche. Beaucoup ne croient pas à sa version des faits. C'est arrivé aussi à un coureur sur le Tour de France, qui a été obligé de quitter la course car l'UCI lui a refusé le traitement. Alors oui, malheureusement, tu aurais dû t'abstenir de courir pendant un mois suite à cet incident pour éviter tout risque d'être contrôlé positif, et ce d'autant plus que tu es innocent. C'est regrettable d'en arriver là, mais c'est le seul moyen de se prémunir de ceux qui usent de ce genre d'excuse pour masquer un vrai dopage. Cela fait des victimes collatérales de la lutte anti dopage malheureusement, d'autant plus que la cortisone est très présente dans la pharmacopée. Le fait que ce soit un médicament "banal" dans nos pharmacie n'en fait pas moins un produit dangereux et puissant.
  21. Olivier, Pour moi les choses sont simples : comme je ne maîtrise absolument pas les temps d'élimination de tel ou tel produit, je n'en prends pas, c'est aussi simple que cela. Je ne prends aucune auto médication à part du Doliprane, et si je suis malade, je préviens mon médecin (qui me connait depuis à peu près 30 ans...) que je suis sportif et susceptible d'être contrôlé, que je ne souhaite pas prendre de médicament qui pourrait occasionner de contrôle positif. De même, après sa prescription, je vérifie sur la notice avant de prendre le médicament que celui-ci n'est pas sur la liste. C'est de mon point de vue la moindre des précautions lorsqu'on est sportif et qu'on participe à des compétitions. Cela permet de dormir tranquille. Je n'ai plus été contrôlé depuis 6 ans. Mais il fût un temps où j'étais contrôlé entre 3 et 5 fois par an en moyenne, en plus du suivi longitudinal. J'ai donc conservé cette habitude, sachant qu'un contrôle positif aurait pour moi des conséquences désastreuses, puisque la plupart des gens feraient l'amalgame entre mes résultats passés et ce possible dérapage.
  22. Sur le fond, je peux le comprendre. Néanmoins, cela fait partie du vélo, du sport en général, de devoir composer avec la santé et les aléas des sauts de forme. Ne pas l'accepter, c'est ne pas accepter les règles du jeu. Là où ça ne va plus c'est quand certains prônent la tolérance zéro pour les coureurs qui sont sous les feux de la rampe se font prendre (on parle même de suspension à vie à la première incartade), alors qu'eux-même ne s'appliquent pas cette règle de la tolérance zéro. Il n'y a qu'à voir les cas de contrôles positifs en 3e catégorie (quand il y a de rares contrôles), en Ufolep ou sur des cyclosportives. Je n'ai rien spécialement contre toi, puisque je pense sincèrement que nombreux sont les cyclistes de loisir à fonctionner comme toi.
  23. Ce que j'arrive pas à comprendre, c'est l'importance démesurée de la compétition du dimanche lorsque tu cours en loisir et que tu tombes malade. Si tu es malade, soit tu te soignes avec un traitement de substitution (plus long à soigner), soit tu te soignes avec un produit interdit pour que ça aille plus vite. Mais dans les deux cas, tu t'abstiens de la course du dimanche. C'est plus simple, et tellement plus sain... J'ai eu en septembre une otite comme toi. Cela ne m'étais pas arrivé depuis mes 5 ou 6 ans. Mon médecin m'a prescrit des gouttes en antibiotique et du doliprane. C'est sûr que j'ai dormi très mal et que j'avais même du mal à manger. Et ça a duré une semaine au lieu de trois jours. Mais je n'ai lésé personne et je pouvais aller pisser tranquille. Bientôt, certains trouveront normal que sous prétexte de se faire plaisir le dimanche il est normal de couper le parcours pour jouer l'arrivée, parce qu'ils n'ont pas pu s'entraîner correctement, etc. Enfin, encore une fois, on n'inflige pas deux ans de suspension à un coureur par hasard. Alors que des sanctions de trois à six mois existent si l'on présente des circonstances atténuantes.
  24. C'est bien pour cela qu'il existe différentes formes de sanctions en Commission de discipline. Cela peut aller de trois mois à quatre ans, avec ou sans sursis. D'accord le gars est positif, mais en fonction du dossier qu'il présente, la réponse est adaptée. Mettons qu'un coureur aurait simplement omis de respecter la déclaration préalable de traitement, eh bien la sanction serait adaptée. Là, avec deux ans de suspension, on est quand même dans un autre cas. Néanmoins, j'ai quand même beaucoup de mal à suivre ton raisonnement et celui de quelques autres. En gros, c'est "faites de que je dis, mais pas ce que je fais"... Je fais moi aussi des courses cyclistes pour mon loisir (ce qui n'était pas exactement le cas il y a 10 ans), et le classement a parfois un intérêt tout relatif (en fonction de mes autres préoccupations). Cela ne m'empêche pas de respecter les règles à la lettre. Quand vous jouez aux cartes avec vos amis, vous vous laissez la liberté de tricher sous prétexte que c'est un loisir, et au risque de vous faire considérer par eux comme un tricheur?
  25. Je me rappelle du cas d'un gars qui s'est fait piquer par un insecte sur une course, avec une réaction allergique. Emmené aux urgences, on lui a administré un médicament à base de cortisone (par piqûre), pour que ça dégonfle. La semaine suivante, il s'est retrouvé positif à un contrôle. Ca c'est l'histoire officielle. Il a tenté d'expliquer son cas, mais comme le doute était permis, il a pris un an de suspension. Par la suite, et même 10 ans plus tard, on le soupçonne encore pour ses perfs, à cause de cette histoire. Te souviens-tu aussi de l'histoire de Jonathan Vaughters sur le Tour? Même chose : piqûre, visage gonflé. L'UCI lui refuse l'autorisation de se faire soigner à la cortisone, il doit quitter le Tour. Les traces dans les urines dépendent du mode d'administration (pilules ou piqûres) et du délai d'élimination du produit en fonction de ses effets. Mais je persiste effectivement à penser que pour la cortisone, c'est très long (d'une à plusieurs semaines par exemple dans le cas d'une infiltration d'un médicament à effet "retard").
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