-
Compteur de contenus
16 446 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
95
Type de contenu
Forums
Galeries photos
Calendrier
Articles
Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
-
C'est très simple : pour en casser une, il suffit de trop la croiser et de forcer un peu trop. Paf ! Ça m'est arrivé en pleine côte quand j'ai mis accidentellement, d'un coup de genou en passant en danseuse, la chaîne sur le petit pignon alors qu'elle était sur le petit plateau (j'avais des manettes au cadre à l'époque). C'était pourtant une chaîne neuve.
-
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
Pas si évident que ça à trouver, mais j'ai fini par le dénicher ici : http://www.velogessien.com/article-hors-normes-40786388.html Impressionnant d'équilibre, le gars. Il ne dévie guère de sa trajectoire même lorsqu'il doit forcer un peu ! Par contre, quel luxe de se faire précéder par une moto et de se faire suivre par une voiture et une autre moto rien que pour ça… -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
L'adresse de la vidéo ? J'ai pu faire des côtes d'une à deux bornes, même raides, sans les mains. Tout un col de montagne, non, je n'ai pas essayé, mais ça me tenterait. Là, une autre clé, c'est d'avoir des petits braquets encore plus petits que d'habitude, sinon chaque coup de pédale aurait trop tendance à te tirer vers le côté. Attention à choisir une route relativement large et la moins fréquentée possible, surtout pas par des poids lourds. Non seulement parce qu'au moins au début on risque de ne pas rouler droit en côte sans les mains, mais aussi à cause des déplacements d'air causés par les véhicules… Certains cols sont munis de pistes cyclables en montée, ce qui serait une très bonne chose si on fait cet exercice particulier. Je ne connais pas le col de la Faucille. Satisfait-il à ces conditions ? -
Aujourd'hui, six heures et demie de balade ultra vallonnée dans les Ardennes flamandes, autour de Renaix. Je n'ai pas quitté le K-Way de toute la sortie, sauf pour un bref intermède d'une heure de temps clair. Il a dû faire 15 degrés à l'ombre au moment le plus chaud, et en plus il y avait un de ces vent glacials et violents dont le « Plat » Pays a le secret. Arrêts fréquents pour rectifier la hauteur de selle, suite à un problème de position trop basse depuis quelques temps, dont j'ai parlé plus haut et aussi dans un autre sujet actuel…
-
Merci pour ta réponse et celle de Dimitri. Ton explication du décollage semble tenir (c'est le cas de le dire).
-
Deux questions aux spécialistes des boyaux : Quand on change de boyau parce qu'il est usé, change-t-on également de roue ? La réflexion d'Eric me fait penser qu'il vaut mieux avoir au moins deux paires de roues à boyaux. On roulerait avec la première paire de roue tandis que les autres attendraient les « six mois » pour être prêtes. Sinon, on serait coincé en attendant que les boyaux neufs soient correctement collés sur notre seule paire de roues, si j'ai bien compris… La seconde question vient d'une observation que j'ai faite il y a quelques temps. J'étais monté dans le grenier où traînait le vieux vélo à boyaux de mon oncle, qu'il n'avait plus utilisé depuis quinze ans. La colle ne tenait plus du tout ! Bien sûr, c'est un cas de figure extrême. Mais ça me fait me demander combien de temps un collage de boyau est fiable ?
-
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
C'est surtout délicat à faire au passage d'un col. Si tu n'as pas su anticiper suffisamment avant d'arriver au sommet, et si la descente qui suit est raide et sinueuse dès son début, tu te retrouves à te débattre avec ton coupe-vent, le guidon et le frein tout à la fois… -
Aujourd'hui, j'ai refait dans les Ardennes flamandes la « route Eddy Merckx », dont j'avais parlé déjà il y a un mois ou deux ici même. Pour rappel, cette route propose à son menu quelques joyeusetés du Tour des Flandres : le mont de l'Enclus, le vieux Kwaremont et le Paterberg, plus quelques autres bosses peu connues. 46 km de circuit plus les 60 km aller-retour pour rejoindre celui-ci ---> belle sortie d'entraînement, faite sans problème. La forme est toujours là. Il y a eu deux points noirs toutefois. N'ayant rien changé à ma position depuis des lustres, j'ai l'impression pourtant depuis quelques temps d'être assis nettement plus bas que d'habitude. Ce n'est pas ma tige de selle, j'y ai mis un repère qui certifie qu'elle n'a pas bougé d'un millimètre. J'en déduis que c'est ma selle, un Turbomatic 3 vieille de deux ans, qui se serait affaissée, du moins quand je suis dessus. Du coup, dilemme : la changer tout de suite, ou attendre la fin de la saison et en attendant rehausser la tige de selle ? Je pense pour la deuxième option, ayant une randonnée prévue dans quinze jours, et ne souhaitant pas chambouler à nouveau ma position par l'installation d'une nouvelle selle. Également un léger bruit assez régulier genre clang-clang venant semble-t-il de l'arrière du vélo, qui ne se produit que lorsque je pédale. Ce bruit est d'autant plus net que la vitesse de rotation de la roue est élevée. Cliquets de la roue libre ? Roulements du moyeu ? Peut-être le pédalier ? Malheureusement mon vélociste habituel est en vacances. Je vais voir s'il y en a d'autres qui peuvent inspecter cela, n'étant pas assez compétent pour m'attaquer à des cliquets ou à des roulements…
-
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
Bijoux ! Et là, si j'en vois, moi, au lieu d'éviter je m'arrête pour ramasser ! :: -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
Tes derniers messages m'ont fait réfléchir, Éric. Ainsi je me suis aperçu que je n'avais plus essayé de faire demi-tour sur une route étroite (avec de la place pour une seule voiture de front) depuis longtemps. Sur une route à deux voies, ça ne m'a jamais posé d'autres problèmes que celui de surveiller la circulation. Alors pour voir j'ai essayé sur une piste cyclable le long de l'Escaut ce matin, au début de ma sortie. Elle est un peu plus étroite qu'une voie de voiture normale. La première fois que j'ai fait demi-tour là-dessus (de la droite vers la gauche de la piste, sens trigo), j'ai dû déchausser pour ne pas tomber. La deuxième fois, pas de déchaussage mais j'ai mordu sur le bas-côté. C'est seulement à la troisième que j'ai réussi sans problème particulier. Puis j'ai voulu inverser le sens de rotation (de la gauche vers la droite cette fois-ci, sens horaire). C'était encore plus hésitant ! Il m'a fallu cinq tentatives pour être à l'aise. Mais c'est assez normal puisque dans la circulation habituelle on fait demi-tour dans l'autre sens, à moi d'être en Grande-Bretagne… Comme quoi, cette simple manœuvre n'est pas si aisée que ça… -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
« Sinon, j'aimerai bien savoir en faire des roues arrières pour le fun. J'ai toujours essayé quand j'étais gamin mais je n'ai jamais réussi. » Pareil, et c'est une de mes frustrations. Là, par contre, il faut une certaine « technique » apparemment. J'arrive à sauter de petits obstacles en face de moi. Par contre, sauter latéralement, sur un trottoir par exemple, non. La seule fois que j'ai essayé, boum par terre. Mais ce n'est que partie remise 📢 -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
Ça se défend. Ceci dit, savoir pédaler sans tenir le guidon a ses avantages même hors course : en particulier une certaine détente des muscles des épaules, des bras et du cou et un soulagement du périnée. C'est particulièrement appréciable de pouvoir le faire régulièrement sur de longues distances sans avoir à s'arrêter à chaque fois… Et plus généralement, outre un certain aspect ludique qui est toujours intéressant, savoir faire quelques manœuvres du genre mettre et enlever son coupe-vent sur le vélo permet un meilleur contrôle de sa machine dans des conditions normales : on la « sent » mieux, en quelques sorte. Ceci dit, il ne s'agit pas non plus de devenir un acrobate patenté. -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
Christophe a entièrement raison : il s'agit bien d'un blocage psychologique. Je sais parfaitement que les blocages psychologiques sont durs à vaincre (aucune honte à cela), mais il n'y a vraiment aucune difficulté physique réelle, en dehors d'un éventuel problème de matériel, de route ou de vent. Le plus dur est d'oublier sa peur et de se lancer. « Il n'y a que le premier pas qui coûte » comme on dit. -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
<erreur : je croyais que le post précédent de Christophe s'adressait à moi et je m'en étonnais : en fait il s'adressait à Franck Steinel> -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
Eric Artus : « Cela fait moins de 3 ans que je me suis mis au vélo de route et je n'arrive pas à lâcher des deux mains plus d'une seconde car le vélo embarque d'un côté ou de l'autre. » Ce n'est pas normal. Peut-être la géométrie du vélo a-t-elle été mal pensée, ou bien le cadre ou la fourche a été faussé(e) ou la direction est à régler. En tout cas, il faut en trouver l'origine et y remédier ! Un vélo bien conçu et bien réglé n'embarque pas comme ça d'un côté ou de l'autre, question de sécurité. -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
@ Georges Bianco (J' avoue quand meme que j'envie ceux qui arrivent a mettre ou enlever un impermeable sans s'arreter, parce que moi je n'y arrive pas.) Moi-même je n'osais pas, jusqu'à une époque récente. Et puis j'ai décidé quand même de m'y mettre. Et ça a marché du premier coup ! Il va de soi que j'ai commencé sur une longue ligne droite plate, sans vent latéral et sans circulation, (c'est vraiment important) et que ça a dû me prendre un ou deux kilomètres pour mettre l'imper 🤐. Je crois que la clé, là, au début est de prendre tout son temps pour le faire. Après, avec l'habitude, on fait ça en un tour de main ou presque. -
Lacher le cintre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Michel DIEVART1639476343 dans L'entrainement et la santé
J'ajoute une recommandation en plus des excellents conseils déjà donnés plus haut : pour commencer, choisir un jour sans trop de vent, et en tout cas, sans grand vent latéral ! Et puis, se lancer ! Petit à petit, sans se presser, à force d'exercices, on prend confiance, au point d'arriver à pouvoir prendre des virages et à grimper des côtes sans les mains. -
Ce matin, sortie prévue de 4 heures, malheureusement raccourcie à 3 h par un impondérable extérieur au vélo… Mais bon, belle balade quand même avec un départ glacial (brrrr itou !) à 6 h 30 suivie d'une heure à rouler le long de l'Escaut dans le brouillard (visibilité réduite à quelques mètres par endroits) et quatre belles côtes au programme : Mont de l'Enclus, rue de la Verte Voie, Knokteberg dans les Ardennes Flamandes et Mont Saint-Aubert pour finir. Cette dernière butte me sert de plus en plus comme étalon de forme, et apparemment ça va très bien de ce côté-là : ces derniers temps j'absorbe la portion la plus pentue (400 m à 10 %) sur le 28/24 maintenant, et à haute vélocité (90 tours/minutes). Avant c'était le 28/28 à 80-85 tours/minutes. Les 200 m qui restent ensuite jusqu'au sommet sont avalés à fond les manettes sur 28/21 et 28/19. Mon petit séjour en montagne semble avoir porté ses effets ! @ Eric : bof, le Granier par Chapareillan, je le grimpe trop lentement (10 à l'heure ?) pour le rendement du revêtement ait de l'importance :: Je connais peu le col de Champ-Laurent, j'y ai grimpé une seule fois, il y a longtemps. Je me souviens avoir enchaîné par le Grand Cucheron avant de rentrer. Beau coin, peu fréquenté en effet.
-
Je n'ai pas en tête mes temps au Granier par Chapareillan. Mais si tu fais le col du Coq versant Saint-Nazaire en moins d'une heure, tu m'auras battu, mon record est de 62 minutes, il y a dix ans, juste avant mon départ pour la Belgique en fait. Je me souviens de mes braquets ce jour-là : 28/24 et 28/28 essentiellement, quelques courtes portions avec 28/19 et 28/21. Je me rappelle également que c'était en été, qu'il pleuvinait et que je ne sentais pas mes jambes. Une sensation grisante ! La bruine favorise peut-être la performance en montée ! Vu mon âge, 38 ans, je ne serai peut-être plus jamais en état de faire mieux.
-
Après être rentré à Tournai lundi dernier, j'ai passé deux jours à… ne rien faire, puis nous sommes partis, ma petite famille et moi, à Düsseldorf en Allemagne rendre visite à la marraine de ma fille. J'en ai profité pour passer une semaine complète sans vélo. Retour définitif à Tournai hier soir. J'ai repris aujourd'hui pour une petite balade de deux heures autour de Tournai, avec deux ascensions du Mont Saint-Aubert, la première tranquille, la deuxième à fond. On dirait que cette semaine sabbatique ne m'a rien fait perdre de ma forme actuelle. Le seul BRA que j'ai fait, en 97, c'est justement dans le sens que tu as essayé hier. Et ton incident m'a fait penser à quelque chose que j'aimerais faire depuis longtemps : monter un col en véritable pignon fixe, mais avec un braquet de montagne évidemment. Je me suis toujours demandé quelle seraient les sensations qu'on éprouverait. Le problème, évidemment, c'est qu'il faudrait redescendre avec ce braquet… J'ai toujours eu horreur de descendre le Lautaret vers Bourg-d'Oisans : la route y est imprévisible, les tunnels dangereux, le revêtement très variable… et on est les proies rêvées des inconscients du volant : la pente n'étant globalement pas suffisante pour qu'on puisse aller aussi vite qu'eux, ils tiennent absolument à nous doubler quelque soit le danger. Tes mésaventures l'illustrent ! Chapeau pour tes réflexes. J'irais volontiers vous rejoindre pour rouler, si c'est possible. Je repasse du côté de Grenoble à Noël, mais ça sera moins évident de faire du vélo alors, à plus forte raison de la montagne 😃
-
Mon premier col : le col du Coq, près de Grenoble, à 15 ans, en 87, versant Saint-Nazaire. 12,7 km d'ascension à 8,6 % de moyenne avec un braquet de… 40/24. J'ai craqué et mis pied à terre à deux bornes du sommet, au même endroit où Laurent Jalabert a abandonné en 96 lors du Critérium du Dauphiné Libéré. Mon père, dont le vélo avait un 32/24, m'a passé alors son vélo et a pris le mien, c'est comme ça que j'ai pu terminer. Depuis je grimpe ce col avec 28/28 en braquet minimal. Meilleur temps il y a dix ans : 62 minutes. Vivent les tout petits braquets !
-
Influence du recul de selle sur la puissance
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Adrien FERRY dans Le matos
C'est marrant mais j'ai expérimenté le contraire de ce qui est dit ici : avoir reculé ma position (il y a déjà longtemps) a augmenté et non diminué ma vélocité, et mon passage de 170 à 175 mm pour les manivelles (entrejambes de 84,5 cm) ne l'a modifié en rien… Ayant dû réutilisé mon très ancien vélo la semaine dernière, en montagne, dont les manivelles sont des 170 mm, ma vélocité n'a pas augmenté pour autant.. -
Pas étonnant : un VTT sur route, c'est confortable, facile à piloter, quasi indestructible et ça a d'origine les bons braquets pour passer partout à l'aise quel que soit le niveau du cycliste 🆒
-
Très belles photos que tu as faites ! Mais ça me fiche le bourdon parce qu'aujourd'hui je quitte la région pour retourner à Tournai…😢
-
En venant de Saint-Romans, j'emprunte la route de gauche à l'intersection en arrivant à Saint-André : c'est une route étroite qui re-grimpe, pendant un petit moment, et qui redescend abruptement en longeant la falaise dominant le nord de Pont. On a quelques brefs points de vue sur Pont en contrebas, à travers la végétation. On débouche sur la route directe Pont-Saint-Romans, au hameau du Bel, juste à côté d'une maison, et on n'a plus qu'à tourner à gauche et descendre sur Pont. Beau circuit que tu as fait le 14 juillet. Dans le genre, je faisais souvent un circuit analogue, mais qui passait par les Écouges et le col de Romeyère au lieu de Malleval, tout bêtement parce qu'à Rencurel j'ai de la famille à laquelle je pouvais rendre visite. Tu n'es pas le seul à ne pas connaître Chatelus. Même ma propre mère, native du coin (Saint-Just) n'y était jamais allée, avant que je l'y emmène il y a quelques temps !