À peu près pareil que Nicolas, à la différence que ma sacoche de selle est volumineuse : 4 l maxi si le soufflet est déployé. Elle est aussi étanche, caractéristique appréciable en Belgique 🙂
À l'exception des clés de mon appartement, qui sont dans une poche arrière latérale de mon maillot (de même que quelques euros et ma carte d'identité), je ne mets rien de rigide dans mon dos, de peur des blessures si je chute dessus. Ma mini-pompe est fixée le long d'un porte-bidon, mon smartphone est fixé sur la potence et le reste de mon équipement est dans ma sacoche de selle : deux chambres à air, un outil multi-fonctions (qui fait aussi dérive-chaîne), trois démonte-pneus, un mini-gilet à bandes réfléchissantes si je me fais surprendre par la nuit, un nécessaire de réparation de chambres à air + une attache rapide.
Lors des longues sorties (plus de 80 km), je glisse également un petit cadenas dans cette sacoche de selle, pour les arrêts ravito où je risque de perdre brièvement mon vélo de vue, et un tube de crème solaire. Également des vêtements de rechange (maillot de corps, gants) si la météo promet d'être pourrie.
Le reste (imper, nourriture) est dans les poches du maillot.
Je n'ai pas de sacoche à l'avant du cadre sur mon vélo de route, alors que j'en ai une sur mon gravel (c'est alors là que viennent se nicher le smartphone, les clés, les sous et la carte d'identité), mais sur le route la potence est trop basse pour qu'elle puisse être fixée.