
Bernard PIGUET
Membre-
Compteur de contenus
1 044 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Bernard PIGUET
-
Les nouveaux esclaves...
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Eric ROBERT dans Discussions Route
EXCELLENT ! BRAVO Eric pour cette observation. Je ne pensais pas qu'il y aurait autant de réponses, car sur ce site quand les VERITES apparaissent, chacun baisse la tête et passent à autre chose. Alors c'est vrai que beaucoup investissent pour acquérir des "joujous", et par ailleurs sont hésitants pour l'achat de boissons isotoniques, et ne ferons pas la "Boris Eltsine" parce qu'elle fait 15 E de plus que les autres, et qu'ils n'aiment pas, ni la vodka ni le caviar. Alors nous lecteurs, on cherche à comprendre ce monde porté sur les nouvelles technologies, et perdre par là des heures de selle. -
Combien de temps vous vous sentez cramé ?
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Jean-marie MICHAL dans L'entrainement et la santé
Difficile de dire publiquement les boissons à acquérir, d'autres part de très bonnes enseignes ont fermés, car sûrement un manque de clients. NERGI SPORT par exemple commercialisait une excellente boisson de récupération, 50 cl à l'arrivée, et le lendemain c'était reparti. A ce jour Overstim's est bien placé, Isostar aussi, on trouve cela dans toute les grandes villes, l'une ou l'autre offre de nombreux parfums. Un bidon revient de 0,80 à 1,20 E, alors cela suffit à dire qu'il faut éviter les " bidouillages" à la maison. En plus souvent quand on refait un bidon en route, je vois bien le sorcier sortir au sommet du Galibier de sa remorque, un pot de miel, une petite cuillère, et du sucre blanc. A ce sujet, quand en panne on veut faire un bidon à la maison, éviter le sucre blanc, d'ailleurs même pour sa vie courante il faudrait toujours du sucre brun non traité donc. La diététique est un vaste sujet, qui sort totalement de nos petits messages sur ce site. Ce sont aux clubs de formuler des informations et aussi de prendre le service de conférenciers informateurs, car il n'y a pas que le bidon que l'on emmène sur le vélo, la vie courante du vrai "SPORTIF" doit suivre des règles de bonne alimentation. -
Combien de temps vous vous sentez cramé ?
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Jean-marie MICHAL dans L'entrainement et la santé
Et bien voilà la réponse ! En vélo 2 moyens de se déshydrater, rouler torse nu et boire de l'eau. Rouler torse nu ne doit pas arriver à grand monde, mais boire que de l'eau c'est classique pour tout débutant réfractaire à rentrer dans un club, où il faut l'espèrer on peut recevoir des conseils. Donc un grand conseil : NE JAMAIS BOIRE D'EAU C'est le moyen de se déshydrater à vitesse V, dès qu'un cycliste commence à faire les fontaines il est FOUTU, et va rentrer à la maison à pied. Dans toute CS 3 à 4 bidons suffisent, mais en plus il est bon de prendre des plaquettes de glucose de 10 gr, par 5 gr et/ou quelques tubes " coup de fouet ou autres". La sueur n'est pas que l'eau, elle retient bon nombre de sels minéraux. Donc comme dit plus haut inutile de passer l'hiver sur le sujet, première chose pour la plupart : apprendre à boire, manger est très accessoire, le cycliste en forme passe toujours. -
Combien de temps vous vous sentez cramé ?
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Jean-marie MICHAL dans L'entrainement et la santé
Le sujet revient trop souvent sur ce site pour que je ne réagisse pas. je suis parmi ceux qui mettent le plus la main au bidon... OUI mais qu'y a t-il dans ce bidon JM ? Car si c'est de l'eau, pas la peine de s'étendre sur le sujet tout l'hiver, et bien se souvenir " ne jamais boire d'eau dans le cadre du sport", et surtout ceux à forte sudation, comme le cyclisme. Et cette ré-hydratation est la première chose à apprendre. -
Mont ventoux
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Thomas RONTEIX dans L'entrainement et la santé
OUI c'est une très belle montée, pour un mois d'octobre, et les copains ont bien fait de ne pas venir. Il n'y a pas beaucoup de cyclistes qui s'envoie le Ventoux ( Bedoin) en - de 80'. Depuis St Estève cela fait en effet un peu moins de 1h05', car logiquement les 6 1er km se font en 15' avec braquet moyen de 42x16. BRAVO et bonne continuation pour le tableau de chasse ! -
C'est malheureusement vrai, revenir en arrière ? Sauf pour aller chercher des litres d'eau aux voitures, puis jeter les bidons sur le côté, pour qu'ils reviennent sous la roue avant des copains, où des collègues, où plutôt des adversaires. Et alors Th A peut dire : "Chute! Chute!". Formidable animation
-
De toute évidence le record de ce valeureux vétéran ne sera pas battu en 2014. On se demande même si le maillot jaune à PARIS aura cumulé 100 heures au général.
-
Mont ventoux
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Thomas RONTEIX dans L'entrainement et la santé
Tes indications sont bonnes, voici le complément : Sommet 15,6 563m Sommet 8,6 1223m 7 km à 9,45 % Sommet 5,6 1467m Sommet 3,6 1594m Sommet 1,6 1748m Sommet 0 1909m Ces derniers 1600 m sont donc à 10% Mais à tous ne faîtes pas un complexe de la version Bédoin, la version Malaucène est tout aussi difficile, même plus, la partie échauffement ne fait que 2 km, et après c'est 3 km à 8,4%, puis du 10e au 14e km 10%, et les 4 derniers à 8,5%. Et il n'y a que 10' de réjouissance en moins. -
Le tour 98 et les autres tour ?????
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Jean MARTIN dans Discussions Route
POURQUOI 1998 ? C'est une grande année, celle ou la F organisait et s'est aussi offert la coupe du monde des footeux. Et quand je dis s'est offert, c'est avec tous les grands moyens, y compris..... -
Demain le 24, il est temps de remonter le sujet.
-
Pendant que « les gamins » terminent leur critérium de France, ce prochain 24 juillet, Ferdi Kübler, fêtera ses nonante quatre ans, ou plutôt fir und neunzig jarh, et à l’approche du centenaire du TDF, début 2003, voici un extrait de ce qui m’avait cru bon d’écrire sur cet événement qui reste une vitrine de notre sport, et que son histoire ne peut laisser insensible : 56 TDF se sont déroulés depuis 1947, année de la reprise d’après-guerre, offrant 30 vainqueurs différents, 20 ont empoché une édition ce qui est déjà méritoire, plus chanceux ou tout simplement plus doués 6 se sont partagés 16 éditons, puis 4 plus boulimiques ont 20 TDF à leur actif. La veille de la présentation de cet anniversaire, l’organisation du TDF eut une idée lumineuse en conviant les 22 anciens vainqueurs encore en vie, à une soirée le 23 octobre dernier, 21 ont pu être présents, on se demande ce qui a pu retenir Roger Pingeon pour rater cette prestigieuse réunion. Faisons honneur au doyen de cette mémorable soirée d’anniversaire, Ferdi Kübler, né en 1919, l’homme semble intact, poids et taille de pantalon des années 50. « L’aigle d’Adliswil » « Le Cheval fou » ou hennissant, ou encore « Monsieur 100000 volts » suivant l’humeur des proches, des journalistes, ou du scénario en cours. Car que l’on se souvienne, les acteurs de cette époque hauts en couleurs, imprévisibles, libres de leurs mouvements, étaient et avaient le comportement de véritables champions. Une grande élégance le caractérisait, jamais ou rarement en danseuse, très en ligne, j’ai encore en mémoire une photo de Ferdi prise dans un virage pavé du Lukmanier. C’est sur de tel cliché, que l’on apprécie toujours avec sévérité, le style et l’aisance d’un cycliste. Déjà vainqueur de 2 étapes en 1947, il semble faire l’impasse en 1948 ayant remporté son tour national en juin, c’est donc en 1949 qu’il prépara son succès de 1950. Il remporte la 5e étape de Saint Malo, celle là même ou Fausto échappé lui aussi s’accroche avec « La perruche », chute et brise roue et fourche, les incidents y compris les crevaisons, prenaient toujours un contour dramatique, discussion, tergiversation, perte de moral, évocation d’abandon, si bien que le débours le soir est de 19’ pour le futur vainqueur de ce tour. Quelques jours plus tard, il en efface une partie sur la très longue étape CLM, Les Sables d’Olonne-La Rochelle pas moins de 98 km, et justement Ferdi son dauphin, se fit pénaliser pour le port d’un maillot de soie. Cela était strictement interdit, pour motif que tout le monde ne pouvait s’offrir un tel article et qu’en plus il procurait un avantage, de poids certes, mais aussi d’aisance, on ne parlait pas encore d’aérodynamisme. On croit rêver quand dans notre 21e siècle, ou l’on prêche hypocritement, tous les jours, l’égalité des chances, les équipes riches lors des arrivées en altitude, rapatrie dans la ville étape leur leader en hélicoptère, alors que les autres moins riches redescendent à vélo dans le trafic. Arrivèrent les Alpes, elles s’effectuaient intégralement alors, en 3 jours du sud au nord pour ce tour qui tournait dans le sens + (trigo bien sûr). Cannes-Briançon était la première réjouissance, 285 km, 5200 mètres d’élévation, 3 cols seulement non asphaltés bien entendu, car on ne s’embarrassait pas de compter toutes les taupinières de France, ce qui fait que les 4 cols entre Grasse et Castellane étaient passés sous silence et n’étaient en fait, qu’un échauffement. Il faut croire que Ferdi était plus vite échauffé que les autres, car dès les premières pentes d’Allos il joua les éclaireurs, pour prouver ce qu’il clamait depuis quelques jours, que le tour se gagnerait dans les Alpes et que les Pyrénées n’avaient servi qu’à vérifier le matériel. Passé cet obstacle et la vallée de l’Ubaye, il attaqua Vars, toujours avec fougue, hélas contrariée plus haut par 2 crevaisons. Je ne saurais dire s’ils disposaient alors de 2 boyaux de rechange, et le rôle que jouaient les voitures techniques, qui étaient alors des jeeps, mais comme mentionné plus haut la crevaison était alors pénalisante et la réparation à la charge de l’intéressé. Les « due campionissimi » qui allaient terminer l’étape en 10h05’, passèrent avec ce qu’il pouvait rester de l’avant garde, sans un regard pour cet infortuné qui implorait le ciel, pompe à la main. L’Izoard ne nous dira jamais le volume de ses invectives contre le sort, car comme « La Brambille », vainqueur ou vaincu, il manifestait verbalement ses états d’âme. quoiqu’il en soit il rejoignit Briançon, pour rester dans le jeu dans l’attente de jours meilleurs, mais peut être aussi pour honorer son public le surlendemain à Lausanne, ou encore tout simplement, pour conserver le rythme car 6 jours après le tour, il prenait le départ du tour de Suisse exceptionnellement placé début août, pour le remporter bien sûr. Eclectique, il s’est exprimé sur tous les terrains, spécialiste du week-end Ardennais, qu’il a remporté 2 fois de suite en 1951 et 1952, en ratant un 3e de peu en 1954. Je précise bien WE, car à cette époque la flèche Wallonne se déroulait le samedi, et Liège-Bastogne-Liège le dimanche, avec classement sur l’ensemble à la clé. Par ailleurs, il fut champion du monde sur route en 1951 à Varèse au nez et à la barbe des Italiens. Et pour parfaire son répertoire il remporte Bordeaux-Paris en 1953, épreuve disparue aujourd’hui, pour sa trop grande spécificité, n’offrant pas une rentabilité garantie en image et en revenu tout court. A 36 ans Ferdi est au départ du TDF 1955, pas pour figurer, pour se battre conformément à son statut de guerrier. Et le 19 juillet vaut un commentaire pour mieux situer l’homme, ce jour-là sous un ciel de feu, le Ventoux version Bédoin est au menu, avec arrivée en Avignon. A l’approche du géant de Provence, il s’isole à l’avant avec Scodeller et Géminiani qui avait toujours trop chaud dans un peloton. Dès les premières rampes « Le grand Gem » voulut modérer l’ardeur de Ferdi « Attention Ferdi ce col n’est pas comme les autres », que diantre quel était cet empêcheur ? Et il rétorqua « Mais Ferdi non plus, pas coureur comme les autres ». Et bien sûr les difficiles pentes arides, peu ombragées, propices à la dégradation physique, châtièrent une fois de plus un non calculateur, travers qu’il assuma en donnant de la voix, et si ce n’était pas sa première détresse, elle s’avéra suffisamment cuisante pour que ce soit la dernière. Il est vrai qu’il n’apparût plus dans les résultats, néanmoins en 1957, au critérium de Daumesnil qui se courrait derrière scooter, il fut un des 4, avec Bobet, Baldini et Darrigade, à ne pas prendre un tour par le nouveau prodige Jacques Anquetil. Alors maintenant pour maintenir le ton de ce forum, que prenait Ferdi ? La question est intéressante, car il faudrait rapidement rattraper le temps perdu, car convenez en, nous sommes tous prêts à signer, pour une projection comme la sienne.
-
2013, montée du venteux, contradictions des chrono
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Bernard MOREAU dans Discussions Route
Voici un extrait de ce que j'ai écris sur "Grupetto" : Comme ils sont descendus très vite de Lyon, j'ai réussi à rater le passage à Bedoin. Ensuite j'ai bien capté au fameux virage de Saint Estève, et mon estimation pour les 1er ( enfin disons le 1er) serait 1h00' 13''. ( en reprenant les données de Bernard et en ajoutant 1,5 km encore à 30 km/h pour le centre de Bedoin, qui est ma référence) Ensuite Chavanel aurait mis 1 h17', et le gruppo (car il n'était pas petit) 1 h33' (si toutefois ils étaient tous là dans les roues à Bedoin). Tout à fait humain, et ils ont certainement eus le handicap de la chaleur, et mistral sur le haut. Pour comparer, en 2009, Martin dans une échappée qui avait 5' d'avance en bas sauve sa victoire en montant en 1h03' 19''. Puis viennent les 2 plus rapides, Contador et Schleck en 59' 06'' et à 41'', Wiggins à 1'05'', puis Le Mevel, Casar, Goubert à 2'25''. Donc pas grand chose de changé, et il convient aussi de ne pas observer que les premiers. Regardez les cas CUNEGO, LE MEVEL, KARPETS, et bien d'autres... Et c'est vrai que je n'aime pas la moulinette de Froome, qui rappelle trop celle de L.A. Porter une accélération en montée demande logiquement un changement de braquet, ou alors c'est que je n'ai jamais fait de vélo, ou encore pas avec les "bons outils". -
Je n'ai pas la prétention de produire un cours de mathématiques, mais disons qu'en décembre il était question de 6000 dossards disponibles. donc cela ne va pas plus loin qu'une multiplication. 6000x90 = 540000 E, que j'ai mis en K€ pour moins effrayer les populations fragiles. Pour Aurélien, il ne faut pas tomber dans les schémas extrêmes, l'handicapé en question n'obtiendrais pas un certificat d'aptitude pour pouvoir participer à une CS. Il convient de ne pas mélanger les genres.
-
La Jacques Anquetil.... En Vallée de Chevreuse..
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Nicolas SOUTIF dans Les évènements route
Que les années passent vite ! Pour Louis, bien entendu j'étais au courant, descente du col de Saint Ignace en 2004. C'est cela qui nous fout une claque déjà 11 ans. Et pour Francis un allo en 2007 où il déclarait 11500 dans l'année, et tout allait bien. Pour moi, maintenant c'est 6/7000 pour prendre un peu de soleil, et comme tu peux le constater les souvenirs sont intacts et les archives à peu près en ordre. -
La Jacques Anquetil.... En Vallée de Chevreuse..
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Nicolas SOUTIF dans Les évènements route
Et je réponds aussi à Emile, car d'après fS on se connaît bien pour s'être croisé bon nombre de fois. Alors en 1988 : Emile ARBES 5 h 20' 59'' 13e scratch et 5e dans la caté. Et de toute évidence nous ne nous sommes pas croisé, j'en ai fait 2 aussi. A Nicolas : l'histoire est assez compliquée, crée en 1987 sous le nom de Chevreuil, départ de GIF / Yvette et parcours de 192 km, pour ne pas s'embêter, ils ont toujours dit 1500 m de D+, mais maintenant avec les compteurs "Machinchouette" ? En 1988 idem je pense. Puis en 1989 devient JA, part de Villers le Bâcle, avec 207 km. En 1991 idem je pense. En 1992 et 1993 se déplace à Villebon pour 209 et 212 km. En 1994 départ d'ETAMPES avec 188 km, et 1995 départ de Mennecy 187 km. Et je pense que l'histoire s'arrête là, mais sait-on jamais, je ne suis pas Francilien, et pour nous cette épreuve n'était qu'une mise en route pour affronter la suite, beaucoup plus sérieuse. -
Comme ils sont descendus très vite de Lyon, j'ai réussi à rater le passage à Bedoin. Ensuite j'ai bien capté au fameux virage de Saint Estève, et mon estimation pour les 1er ( enfin disons le 1er) serait 1h01'/1h02'. Ensuite Chavanel aurait mis 1 h18', et le gruppo (car il n'était pas petit) 1 h34' (si toutefois ils étaient tous là dans les roues à Bedoin). Tout à fait humain, et ils ont certainement eus le handicap de la chaleur, et mistral sur le haut.
-
Comme ils sont descendus très vite de Lyon, j'ai réussi à rater le passage à Bedoin. Ensuite j'ai bien capté au fameux virage de Saint Estève, et mon estimation pour les 1er ( enfin disons le 1er) serait 1h01'/1h02'. Ensuite Chavanel aurait mis 1 h18', et le gruppo (car il n'était pas petit) 1 h34' (si toutefois ils étaient tous là dans les roues à Bedoin). Tout à fait humain, et ils ont certainement eus le handicap de la chaleur, et mistral sur le haut.
-
7 pages pour cette petite récréation cycliste, et ne pas préciser l'essentiel, n'est pas normal. Car en conclusion, un classement horrible, après avoir encaissé 5400 K€ en décembre les organisateurs ont semble t-il voulu encore économiser quelques centimes, et céder l'encodage des 11500 noms, prénoms..... peut être en Tunisie. En conclusion cette présentation du classement est horrible, et fort impolie pour le public. Par ailleurs depuis décembre, les inconditionnels n'acceptaient pas la moindre remarque vis à vis de l'épreuve elle même. A argumenter "vouloir participer est un droit". Ce qui est tout à fait vrai, et maintenant, ce sont les commentaires " que l'on mette ...H où 8/10 heures, le mérite est le même. Alors là quand même pas ! Ceux qui ont mis 8 h et plus, ont un mérite nettement supérieur aux élites, car ils auraient pu éviter de s'encombrer d'un vélo et de chaussures à cales ! Car les meilleurs coureurs de montagne auraient réalisés ces temps. Alors il y aurait eu possibilité de tricher en prenant de bonnes tennis aux pieds, et une trottinette pour se faciliter la tâche dans les parties roulantes et descendantes. Mais bien sûr il faut une condition physique dans tout les cas. OBSERVER la société est parfois déconcertant, mais assez enrichissant, et dans ce cas, il s'agît de notre sport de loisir !
-
2000 francs suisses d'amende sur le tour de France
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Denis Vador dans Discussions Route
A l'UCI on a toujours appliqué comme cela. Et puis c'est vouloir une valeur sûre. La SUISSE est un pays de référence sur laquelle il faut prendre exemple, et qui a la grande chance de ne pas être UE. L'équipe Machinchouette s'en sort bien, cela lui fait 2626 € d'amende, il y a 3 ou 4 ans seulement la note aurait été de 3000 €. MERCI l'euro et sa déroute et en 2016, il n'y aura plus de comparaison possible. Mais voilà que ma réaction devient un BILLET d'HUMEUR. -
Tout à fait par hasard, je suis tombé sur la retransmission hier. Ils avaient déjà passé le Corbier, et retrouvaient la vallée, et l'on se serait crû sur les "portes du Soleil" des années 80 en bien moins difficile bien sûr, il faut ménager les gamins si l'on veut qu'ils poursuivent un peu et faire le spectacle en juillet. quand ils sont arrivés à CHAMPERY, nous nous avions encore le double à se coltiner. 200 km et 4700 m annonçaient-ils. BEAUX SOUVENIRS
-
Combien vous coûtent vos cyclosportives ??
Bernard PIGUET a répondu à un sujet dans Discussions Route
Le sujet a été déjà maintes fois abordé ! Et il est ridicule de parler PRIX quand il s'agît de vos loisirs. Et la formule :"Quand on aime on ne compte..." est tout à fait appropriée. Et que l'on se rassure bientôt ceci va vous êtes remboursé par la S.S. Voilà que je tombe pile dans "billets d'humeur". Mais c'est vrai que si l'on veut se pencher sur le sujet, il y a vraiment à dire, et c'est ridicule de traverser la France pour faire le "110" ou encore le "90" sous prétexte qu'il y a en clôture "un bon repas". QUE SONT DEVENUS les CYCLOSPORTIFS ? Les VRAIS. -
En fait c'est un original, et il aurait été tenté par Troyes-Foix-Sète, mais tout informaticien de 35 ans qu'il est il n'a jamais trouvé sur une carte vintehun, alors il a laissé tomber. Mais là encore c'est un scoop des médias toujours à l'affût d'insolites, les mêmes qui vont nous "bassiner" 2 semaines sur R.G, qui soyons en sûr ne fera pas l'objet d'1 contrôle inopiné, cela engendrerait une grosse colère "des canotiers blancs" qui ont réservés (quand ils ne sont pas tout simplement invités) depuis de nombreux mois.
-
Final des Tre cime di Lavaredo
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Jean-Pierre MADER dans Discussions Route
Quand il faut inutilement parler du dopage c'est un raz de marée, et là pas un seul avis car il est vrai qu'il faut connaître le terrain. En effet une très belle étape, que l'on ne risque pas de trouver sur un TDF. Le passo di Giau est une superbe gâterie, à près de 10 %, mais il doit être goudronné maintenant, ensuite après la descente sur Cortina, vient une montée classique du col des 3 croix (Tre Crocci), puis lors de la légère dépression qui s'en suit un superbe panorama est offert sur le lac de Misurina et le massif à l'arrière, massif qui recèle les superbes 3 cimes. Montée équivalente à un Puy de Dôme, mais plus irrégulière sans changement de développement toutefois, et pour eux je pense que ce sera du 3,50/3,70 m environ. Le lendemain, le duo Gavia/Stelvio sera aussi sublime, par contre je ne vois pas et ne connait pas la montée finale. Mais on peut s'inquiéter de l'accessibilité aux 2757 m du roi Stelvio, au regard des conditions météo. -
Malaise vagal au court d'une halte
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Christophe MASSIE dans L'entrainement et la santé
OUI, l'article du gars en question est un constat de ce qu'il a vu sur des grands tours, mais il ne dit pas que c'est ce qu'il faut faire. Les PROS ne sont d'ailleurs pas des exemples, leurs A/R aux voitures sont d'ailleurs intolérables, l'eau c'est bien pour s'arroser, mais après il ne faut pas la boire pure, à leur décharge, je les soupçonne de prendre quand même quelques tubes énergétiques. Entre 6,7 et 11,8 cela fait du simple au double, et c'est vrai qu'ils vont dans cette exagération, et n'en dorment pas la nuit et attrappent des "dringues", et font partie des éliminés les 2 étapes suivantes. Thibaut PINOT, que l'on prend en référence pour l'avenir, aurait terminé l'an dernier son tour de Suisse, s'il avait bu correctement, lors d'un étape chaude vers Arosa. Mais voilà, ils sont très mal conseillés. Une année, je ne sais plus quelle équipe F, avait pris le partenariat de OVERSTIM'S, ils n'ont pas poursuivis. Pourquoi ? Pas foutus de se tenir aux bonnes règles et aux bonnes boissons. -
MERCI de ton lien, et j'ai retrouvé Adolf HEEB, qui devançait un duo au sommet du Granier, donc il a été rejoint par Bingelli natif de Genève, un conscrit avec qui j'ai couru qques fois. Heeb en fait isolé par ses origines avait été intégré à l'équipe CH. Cela fait quand même 50 ans.