Joël LÉONARD1639476558

Pour la cadence il me semble avoir vu 85 environ ; en comparaison il allait plus vite que celui dans les poursuivants dont les données s'affichaient, avec une cadence bien plus faible. Et visuellement ça moulinait pas en effet !

Bon, après quand elle retrouve le collant, c'est moins magique... :-)

2e en Coupe de France aujourd'hui, malgré l'accident et la semaine difficile qui a suivi, bravo à elle !! Ça n'a pas du être facile de se remettre en selle.

En course à pied (incluant du vélo maintenant) plutôt adepte d'un fil directeur très adaptable en fonction contraintes, envies (et d'une grande diversité dans l'entraînement)... Mon niveau ne justifiait pas de me poser des contraintes trop fortes. Au passage, j'ai vu beaucoup de fans des plans d'entraînement finir blessés car ils sont tellement dépendants de leur plan qu'ils ne savent pas ralentir ou arrêter quand il le faudrait. C'est incroyable par ailleurs la propension de certains à penser que leur performance va dépendre d'une séance particulière !

"Bonjour à tous, j’ai un TIC (voir TOC), je n’arrête pas de nettoyer et redresser mon Gamin pendant mes sorties !" "Moi aussi, je n'arrête pas de le nettoyer, mais plus je mets les doigts dessus, plus il est sale...." Pauvres gamins ! 🙄

Peut-être un lien avec la quasi absence de travail d'endurance ?

J'ai racheté la même que j'ai toujours eu et que du coup je sais qu'elle va bien :-) Tu vas me dire que ça ne t'avance pas beaucoup, et que le problème a du être le même au début. C'est vrai, mais le début c'était il y a longtemps, et à cette époque on avait grosso modo le choix entre Italia Turbo et San Marco Rolls. Ça simplifiait, et personne ne se plaignait d'ailleurs. Quand j'ai vu le bazar que ça semblait être et que San Marco faisait toujours la Rolls j'ai pas trop hésité du coup !

Je ne sais pas si c'est mon meilleur souvenir, mais j'en souris rien que d'y repenser : quand j'étais cadet, les parents d'un de mes partenaires fréquents de sortie étaient boulanger. On partait tôt le matin pour de belles sorties en Provence et on pouvait se remplir les poches à la boulangerie avant de partir... Le pied !

Je ne suis pas très connaisseur en matériel :-) Mais si à ce prix tu peux diviser le poids du vélo par deux ça commence en effet à être intéressant !

Il est aux alentours de 16 km/h, la partie résistance aérodynamique serait de l'ordre de 10%, les frottements du même ordre. Donc relativement négligeable en premier ordre de grandeur. Effectivement ça fait en gros du 16.3 km/h avec le vélo à 7 kg, 15.5 km/h avec le vélo à 12 kg. Selon le point de vue on peut considérer que c'est énorme ou bien que cela n'en vaut pas la peine. Descendre à 7 kg suppose peut-être un budget pas négligeable, peut-être hors de proportion avec le gain, mais à 8-9 kg, ce qui doit être bien plus abordable, cela devient peut-être "rentable" pour un petit budget.

+1 C'est amusant car il est très reconnaissable. Je ne l'avais pas entendu depuis 87 sans doute, et je l'ai immédiatement reconnu à la voix et sa façon de parler !

Laurent Philippot, populations microbiennes et émissions de N2O.

Le monde est petit, je collabore pas mal avec les microbiologistes de l'UMR Agroécologie de Dijon !

Pas très compliqué c'est toi qui le dit :-) Je ne verrais probablement pas ça du même œil !

Pour la philosophie du métier, je ne serais pas loin de dire que ça n'a pas évolué dans le bon sens non plus dans la recherche plus ou moins académique... J'aime moins qu'avant en tous cas ! La réduction à peau de chagrin des financements récurrents au profit d'un financement essentiellement sur projets, associé à une évaluation très comptable des activités de recherche est de mon point de vue assez négatif. Pour mon parcours, il est bien moins atypique que celui de l'étudiant évoqué plus haut ! Je n'ai pas fait de science au lycée (bac économie), puis j'ai fait de la géographie à la fac (qui n'a rien de scientifique en France, contrairement à d'autre pays Européens comme GB par exemple). Suite à une demande spontanée pour un job d'été à l'INRA je me suis retrouvé à faire un stage de maîtrise long (1 an), pour ensuite faire un DEA d'hydrologie puis une thèse dans ce domaine aussi avec une bonne composante modélisation (sur la base d'expérimentations faites pendant un séjour au Niger comme CSN). J'ai été ensuite recruté à l'INRA comme CR pour travailler sur l'érosion des sols, puis il y a quelques années, vers 2009-2010, j'ai complètement changé de thématique pour travailler sur les émissions de N2O par les sols et leur modélisation. C'est avec ce dernier changement que j'ai pu prendre la mesure de la difficulté que pouvais représenter une absence de formation scientifique de base en chimie, biologie par exemple. Ce qui m'amuse le plus finalement, c'est de me retrouver à gérer une unité d'agronomie, sans être agronome, et alors que j'avais plutôt cherché à m'éloigner du monde agricole dont je suis issu. La vie nous fait parfois prendre de drôles de chemins !

Il ne nous a pas dit s'il l'avait mangée d'ailleurs :-)

Ah ah, excellent ! Elle m'a bien fait sourire celle-ci 😆

C'est un superbe bilan, à tous points de vue ! Et effectivement, tu partais avec une bonne base en termes de capacités physiques, mais l'amélioration est tout de même très significative ! Le démarrage tardif de la thèse moi je trouve ça plutôt bien, c'est très peu dans la culture française, bien plus fréquent chez nos voisins allemands. Il y a quelques années j'ai eu un doctorant au profil très atypique sur ce plan. Il avait fait une école d'ingénieur en aéronautique, s'est rendu compte que ça le menait droit vers la défense, et comme ça ne le motivait pas trop il est devenu enseignant, en école primaire je crois. Puis un jour il a commencé à s'intéresser à la programmation informatique, s'est formé tout seul, a monté une boîte de développement et a fait ça quelques années (!). Quand il a eu fait le tour, il s'est dit pourquoi pas reprendre des études d'informatique, ce qu'il a fait, et c'est comme ça qu'il est arrivé en stage de master chez nous, puis en thèse, à 45 ans ! C'était génial de travailler avec lui, on évoquait des idées, et parfois dès le lendemain il avait déjà tout implémenté et on pouvait voir ce que cela donnait ! Depuis il a été recruté comme maître de conférence (et je trouve vraiment bien que l'âge n'ait pas été une limite pour cela, ce n'était pas gagné en France) et s'occupe d'une infrastructure de réalité virtuelle. J'aime beaucoup ces parcours un peu originaux (le mien était aussi un peu en diagonale d'ailleurs). Bon, soutenance septembre c'est manuscrit à rendre avant l'été c'est ça ? Le mois à venir va être chaud :-) Le maintien en mode minimal d'une activité vélo sera à mon avis plus bénéfique que problématique dans cette phase intense de rédaction ! Bon courage !

Si tu as des suggestions, je noterai ça dans un coin !

Après, si je prends mon cas personnel, je fais le constat que depuis que ma pratique est assez minimaliste (chaussures dites minimalistes, voire pieds nus), soit depuis 2013, j'ai plutôt diminué le coût, sans forcément le rechercher d'ailleurs. Certaines marques proposent des chaussures qui me conviennent bien et qui sont assez peu chères comparé aux standards, et du fait de la quasi absence d'amorti, je remplace moins souvent qu'avant.

Cette tendance à rechercher le dépouillement n'est certainement pas motivée, même partiellement, par une situation de crise. Comme tu le dis, elle a généralement un coût certain. On a vécu ça ces dernières années avec le minimalisme en course à pied, et si sur le fond je trouve que sur certains aspects c'est intéressant (notamment pour pousser vers un vrai travail technique sur la foulée pour compenser l'absence d'amorti artificiel des chaussures minimalistes ou des pieds nus), pour la plupart des coureurs qui ont suivi cette tendance, cela a induit une nouvelle vague d'achats, de chaussures notamment. Curieusement, elles ont beau être qualifiées de minimalistes, leur coût ne l'est généralement pas.

Pour les pneus je me pose un peu la question, vu que je passe l'immense majorité de mon temps sur la route (enfin, un truc qui ressemble à de la route). Quand il sera temps de changer, j'irai peut-être sur des pneus route un peu polyvalents et résistants.

Sauf si on n'a pas de point de référence ! Mais une fois qu'on a goûté à mieux, je suppose qu'il est difficile de revenir en arrière !

Mais comme je n'ai qu'un seul vélo... 😄 Mais c'est un cas de figure probablement très peu fréquent !

Finalement ça correspond à une gamme assez standard des années 80, ça n'allait pas souvent au delà de 39x25 et on se débrouillait avec. Mais je ne dis pas que ce n'est pas mieux d'avoir une gamme plus large, j'en suis même plutôt heureux !