Bernard VAILLANT1639476554

Agréable compte-rendu ! Avec un belgicisme que j'aime bien : "je roule à mon aise". !

Claire Bricogne : bien, très beau parcours, c'est plein d'optimisme et de positif. Mais, et c'est un détail : voix rauque et non "voix roque" !

Je pense que ça dépend de ce qu'on recherche. Personnellement, ayant roulé entre 5 et 10 000 km par an, entre mes 16 ans et 65 ans (je ne roule plus depuis), j'ai toujours pédalé dans la "contemplation" ... du paysage et pas de mes performances d'ailleurs parfaitement inexistante. Aussi en voyages. Même le GPS je n'aurais pas utilisé parce que j'adore lire une carte routière. En voyages j'achetais les cartes au fur et à mesure pour les laisser là où je n'en avais plus besoin. J'ai même mis du temps à m'intéresser au compteur kilométrique. Je refaisais la sortie avec un curvimètre. Mais bon : je ne suis pas un exemple ; juste un "cas".

Bien, très bien l'article (je viens de le lire). J'aime ces personnages ! Eh puis c'est chez moi depuis plus de 9 ans désormais ! Et c'est un beau pays avec de sacrés personnages ! Bravo !

l'interview de Laura Weislo. Bravo à elle et à Maëlle Grossetête. Ce que j'aime aussi c'est la démonstration que l'on peut, dans la vie, trouver des métiers un peu atypiques et, manifestement, s'y épanouir. Et, de fait, l'ouverture d'esprit et de vie qu'elle doit en tirer (et qu'elle exprime) c'est formidable. C'est plein d'optimisme cet interview.

Je ne suis pas sûr mais je crois que Bardet aussi. Il devrait y avoir du beau monde.

Cette affirmation de fatigue vient en fin d'émission mais à la place de Finkielkraut je n'aurais pas laissé passer ça sans creuser.

C'est pas ça. Bien sûr que le sport de haut niveau est exigeant. De même, même si je n'ai jamais fait de compétition, j'ai déjà été fatigué après le vélo. Mais la façon dont Bardet s'exprime sur le sujet m'impressionne. Il dit que la fatigue est telle qu'il ne peut plus mobiliser son esprit, par exemple pour lire. Ce sont des symptômes de burn-out. Quasi de dépression. Donc on touche là à des limites, à des seuils pathologiques. D'où une conclusion (de ma part) où l'on ne saurait être étonné du dopage. Mais je ne demande qu'à être contredit, bien sûr.

Très intéressant. Je viens d'écouter, sans trop en avoir le temps, mais je suis resté scotché. Ça me conforte dans l'idée que, contrairement à une image répandue assez stupide, on peut être intelligent et champion. Pour moi, d'ailleurs, ça va de pair. J'ai pris conscience d'une chose que je n'avais pas appréhendée et que je trouve effrayante : La fatigue ! En fait il dit qu'il est fatigué en permanence ! Est spécifique au sport cycliste ou généralisé à tous les sports de haut niveau ?

Amusant. Allez je me lance comme je joue au tiercé (je n'y joue jamais mais enfin ... je veux dire au pif) : 1 - Laporte 2 - Sosa 3 - Bennett 4 - Degenkolb 5 - Van der poel 6 - Bagioli 7 - Alaphilippe 8 - Evenepoel 9 - Aru 10 - Pinot 11 - Van der Poel

Thévenet : bien mais fait-il ou a t il fait le cyclisme ? J'ai pas encore lu Lappartient.

Dominique Laurent. Article excellent où l'on apprend. A titre personnel, mais ça n'a rien avec la qualité de l'article, j'ai un peu de mal avec le suivi "à la culotte" des sportifs qui me semble aller à l'encontre de l'impératif de liberté dont chacun doit bénéficier. C'est peut-être le prix à payer pour avoir un sport propre mais, pour ma part, ça serait : non.

Très bon article sur Dorothée Bonnassiés. Le ton est juste.

J'aime voir ces 2 jeunes en "civil" et, surtout, !'image de leur magnifique réussite.

Sourire et association d'idées. Un peu !'inverse de l'étroitesse d'esprit si tu veux. Ce qui ne m'empêche pas d'apprécier une retransmission même si je préfère le terrain. Lorsque je vivais à Lille je ne manquais jamais d'aller au cyclo-cross de Coksyde malgré le prix que je trouvais prohibitif. Tu imagines un commentaire d'épreuves sportives sans anecdotes annexes ?

Ça n'a rien à voir mais je me marre du "surréalisme" à la Belge. Je viens de voir un reportage sur la "rénovation" de blindés, par l'armée, où il faut être atteint de nanisme pour pouvoir les conduire. C'est tordant.

Même si j'ai un grand faible pour Vasseur, invité un jour au banquet suivant son "gentlemen" à Steevoorde, c'est un "pays", son père, de ma génération, ayant lui-même entraîné un ami lors de "gentlemen" ... je pense que cet article renoue avec l'excellente qualité. C'est bien Cédric qui est décrit là ! Du talent, du charme et de la simplicité !

Si, si, on peut le dire d'une façon qui ne te heurtera pas. Tout part des idées. Mais suis-je hors sujet dans la mesure où j'ai rebondi sur !'idee de notre ami octogénaire si parlait d'un "tunnel de lumière". C'est quelque chose qui revient régulièrement dans les récits d'expérience de mort imminente. Barbarin, que par ailleurs j'ai rencontré, n'est pas mon copain. Trop proche extrême droite.

Possible mais ça ne me suffit pas. L'évolution doit être individuelle, pour moi.

Pour ma part il n'est pas neutre que toutes les civilisations, et les "spirituels" de toutes ces civilisations, aient cru à une vie après la mort. Seule la "forme" de cette vie diffère selon ces civilisations, et encore, avec un peu d'imagination on peut trouver des convergences. Il n'est pas possible qu'un genre d'erreur collective, d'illusion, soit à la base de cela. S'il n'y a rien, la vie n'aurait aucun sens et je pense que l'absence de vision actuelle en ce domaine conduit nos sociétés au suicide collectif engagé. Je crois en plus que c'est la croyance qui crée les réalités et qu'on est responsable de ces réalités. Nous sommes responsables de nos destins ce après notre mort physique. En plus c'est vachement confortable d'y croire ! Évidemment ça ne se décrète pas mais quand même pourquoi s'en priver !

Moi aussi j'aime les symboles et j'aime les interpréter. L'idée de lumière au bout du tunnel ne m'est pas étrangère. J'y crois. Je n'ai jamais assisté au dernier souffle de quelqu'un. Mais j'ai eu de nombreux témoignages. Et je n'ai pas de doutes sur le sujet. Aucune peur de la mort chez moi. Une espérance et même plus que ça : Une certitude.

J'ai toujours fait du vélo "contemplatif". En Bretagne c'est le littoral qui est beau. On en profite qu'à pied.

Une passion, comme avec une femme, ça s'estompe ,!

Il peut arriver, aussi, qu'on change de passion. C'est mon cas plus une appréhension quand je suis sur le vélo qui a facilité mon abandon.

J'avais pas vu l'intervention de Philippe. Exprimé autrement ... je partage.