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Michel DURY

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Tout ce qui a été posté par Michel DURY

  1. Bin non, ici il faut de l'ouest sec, ou du sud ou de l'est, ou du rien du tout. Mais pas de pluie, la flotte y en a marre!
  2. Non mais tu veux vraiment qu'on sorte le goudron et les plumes????
  3. @ Sylvain: Hahaha, pourtant tu t'es bien débrouillé jusqu'à Bussang. C'est après que tu as morflé grave, je t'avais pourtant prévenu que ce n'était pas pour les tafiottes (-: Là je me rends compte que pour les ceusses de montagne, 100 km, c'est pas pareil chez eux que chez les plaineux. Bon, ils ont aussi les descentes qui sont des kilomètres gratuits, mais ils les paient cher! On avait fait la longue descente du col d'Oderen coté Cornimont, ça descend de fou longtemps, par contre après, tu montes pendant deux heures... @ Michmich: ici, toujours autant de vent. Grand bleu pourtant, et plus trop de jambes, vous m'avez tué!
  4. Et bien je me rends compte à quel point c'est dur, une sortie de 100 km avec du D+ comme ça.... chapeau les gars, vous êtes costauds!
  5. @ Jean Pierre: tu avais en partie raison sur ma position, j'ai remarqué que le cintre avait légèrement pivoté vers l'avant sur sa fixation à la potence, donc j'avais les poignets "cassés" aussi vers l'avant. Je dois rectifier ça de temps en temps car ça bouge avec le temps. Demain sortie prévue avec René, dans son territoire qui est bien joli et plus doux que là où nous avons roulé dimanche. La météo est inchangée, grand bleu mais vent fort de nord est. Ca nous fait de beaux ciels mais impossible de faire du parapente, frustration. Pour les braquets mini, si j'habitais ici je pense que je mettrais 34/27, ça c'est parfait dans l'état de délabrement où la cruauté des années m'a mise, je ne vois pas où j'aurais à utiliser plus petit car on n'est quand même pas dans du 10% sur des kilomètres. En fait c'est la première fois que je fais autant de vélo en montagne, aidé en cela par le vent qui m'empêche de voler, et je me rends compte que ce terrain de jeu me convient très bien. En tous cas mieux que les plaines infinies du Brabant Wallon, ça c'est certain. Il me resterait à adapter les braquets, avec un peu d'entraînement et d'habitude je serais bien vite comme un poisson dans l'eau!
  6. Heuuu... Didier, le 10.000 c'est en un an qu'il faut le faire, pas en six mois! Bon, là tu es obligé d'annoncer soit un cinglé soit un galérien pour fin juin.
  7. A la demande de Louis, voici un mail de son ami Alain Collongues qu'il me demande de publier:
  8. Pas sûr que ça vienne de la direction, c'était vraiment ton arrière qui bougeait, je ne sais pas comment dire, comme si ta roue arrière devenait folle. Bon, ça a été tellement vite et puis je luttais aussi pour ne pas me faire emporter par la bourrasque, donc je ne peux pas te dire ce qu'il y a eu exactement... Aujourd'hui pas de vélo, mais j'ai fait l'erreur de partir pour une rando à pied, et là je suis vanné! C'est beau l'Alsace, mais il faut y aller avec modération. Au passage j'ai bien rigolé au col de la Schlucht, il y avait un vélo électrique fou... ça pédalait tout seul très vite, les deux roues au sol, à l'arrêt et le mec dessus qui pige rien à ce qui lui arrive! Je sais, je suis un vilain poilu.
  9. C'est justement ça qui est chouette avec des messieurs comme JC par exemple, il n'y a pas de pression. D'abord tu comprends très vite que ça ne sert à rien de, et puis il est tellement gentil qu'il revient te chercher dans le dernier kilomètre, histoire qu'il fasse deux fois le trajet jusqu'au sommet du col parce qu'une fois, c'est un peu court. Et ça à chaque col, on en avait 4 ou 5, je ne sais plus... Nous n'avions aucune pression, hein les gars?
  10. Solide sortie, Didier, bravo! J'espère que tu as eu une bonne météo, il suffit d'un vent mal orienté pour changer tout ça en cauchemar.
  11. Hé oui Michel, et encore, j'avais des réserves au cas où. Je suis intéressé par ta sortie vers le col de Hundsruck machin là... je regarde sur Maps. Si je comprends bien, tu as fait un aller retour sur la même route pour y aller, car sinon ça t'emmène tout de suite plus loin? La route a l'air sympa, ça me tente pour cet après midi...
  12. Voilà, maintenant vous voyez de qui ça vient, ça vous étonne? Moi je lui fais confiance a-veu-glé-ment. Ceci dit, je connais encore l'un ou l'autre petit délices du genre dans la région. Peut-être demain puisque Franck le vilain me dit que je dois, c'est dur la retraite, z'imaginez pas!
  13. Tu vois, Michel, que j'aime soigner mes petits lapins (-:
  14. Je n'ai quand même vu ça que sur ton vélo, il doit y avoir un problème quelque part. Ca c'est mis à vibrer en une fraction de seconde et l'amplitude des vibrations m'a fait penser à un phénomène de résonance, c'est extrêmement interpelant comme situation. Tu l'as très bien gérée, mais d'autres iraient à la chute directement. Tu devrais essayer d'autres roues si tu en as, mais il est aussi vrai que le vent latéral était particulièrement puissant à cet endroit. Ce soir au Wagga on a eu une bourrasque incroyable pendant 5 secondes, comme un ouragan, c'était du jamais vu non plus. Enfin voilà... et moi j'ai un sérieux problème, les gars. Zut pet et prout... il me reste 118 km à faire pour boucler le mois à 1.000 km, sauf que j'ai la flemme car vous m'avez épuisé et que je voulais glander demain... qu'est-ce que je fais? Thierry n'a pas le droit de répondre à cette question.
  15. Quelques considérations techniques au passage. Pierre: j'étais derrière toi quand ton vélo à pris le vent à la descente et qu'il a été dans tous les sens à cause de la mise en résonance de la roue arrière. Très impressionnant et soudain, tu as eu le bon réflexe mais tu l'as échappé belle, la gamelle n'était pas loin. Je n'ai jamais vu ça... le vélo était limite incontrôlable tant il tremblait, et à une fréquence élevée. Donc vraiment, gaffe au vent latéral!!! René: tu disais que ton vélo n'était pas stable à haute vitesse, à mon avis à cause du moteur dans la roue arrière qui devait déséquilibrer le vélo. Là aussi, il faut le savoir, donc pour ceux qui ont un vélo électrique, faites attention au fait qu'en une fois ça peut partir dans tous les sens si la vitesse atteint un point critique. Il faut dire que ce week end est particulièrement venteux. D'habitude je suis à 60 kmh dans les premiers km de la descente du Grand Ballon, là je l'ai faite en freinant tout du long à 30 et j'ai malgré cela fais un gros écart dû à une bourrasque. A la vitesse de 60, je mangeais le paysage!
  16. Hé Sylvain, t'as pas vu ton copain Louis / les pralines qui restaient... enfin quand je dis qu'il restait, c'est façon de parler, il n'y en a presque plus après son passage chez moi ce midi!!!!
  17. Là j'en suis à 350 km et environ 6.000 de D+ sur 4 jours, jamais fait ça de ma vie. Le dos est ok au repos, mais sur le vélo c'est une autre histoire, la souffrance habituelle quoi. Curieusement on dirait que je m'endurcis avec l'effort. Ce matin j'avais mal aux jambes mais j'avais une moyenne de 20.7, pour 60 km avec 1.100 de dénivelé. Quand tu vois des Jean Pierre qui nous tirait, c'est encore un autre monde, lui il est vraiment costaud.
  18. On avait un vent de tous les diables qui nous poussait, hahaha, le 23 était fastoche en danseuse, vraiment. Un peu de vantardise au passage évidemment pour vous faire mousser, faut ce qu'il faut! Allez c'est chouette, si vous avez aimé nos blablas et tout ça, la prochaine fois il faudra venir avec nous. 'tain je suis crevé moi...
  19. Mets les dans les pédales à la main et triture les dans tous les sens pour voir si elles vont casser. Si oui, tu l'auras échappé belle car ce sera cool chez toi, si ça tient, et bien bonne route avec elles encore quelques temps.
  20. Sortie ce matin avec Louis et Jean Pierre, nous avons fait la montée du Markstein puis le Grand Ballon (dans les deux derniers km, dont le dernier à 8% j'étais en 34/23, j'ai honte) , un vent terrible qui nous a projeté dans tous les sens à la descente, puis la voie verte de l'autre coté qu'hier pour rentrer, beaucoup plus vallonée. Un petit 60 km pour 1.100 m de D+, au secours, ils m'ont tués ces gars là! Demain repos, foutez moi la paix, je ne roule pas! On s'est bien amusé, une fine équipe et du beau paysage, juste dommage qu'on a pas été au lac, ni même dedans, j'irai sans doute demain, ça me fait trop envie. @ Thierry: les pourcentages...? on a eu de tout, en général pas très élevés, mais quand même quelques passages à 8 ou 9%, mais la particularité de la région est le revêtement rugueux qui rend mal, et les longues longues longues montées qui n'en finissent pas. Pour un petit schtroumpf qui ne fait pas de montagne, c'est vachement dur les km ici, hola laaa, et j'avais quelques bons clients qui m'ont fait la misère. Devant évidemment tenir mon rang et mon statut, je le paie cher et je pense qu'une méritoire sieste sera plus qu'indiquée dans les minutes à venir, oh oui! (Louis, pour ses 73 ans, est un sacré numéro, il n'est jamais très loin derrière dans les montées de fou....incroyable!)
  21. Pas du tout, vilains que vous êtes, là je suis en 34/25 comme braquet mini et ça va très bien, je passais le 23 en danseuse. D'ailleurs aujourd'hui rebelotte avec Louis et Jean Pierre, sortie prévue vers le Grand Ballon et retour voie verte de l'autre coté de la nationale, Louis veut du dénivelé, ça nous fera encore 1.000 mètres de plus car hier on n'en avait pas assez (-:
  22. Sans doute un dieu aux mains baladeuses?
  23. Ca fait 30 ans que je viens dans le coin pour le parapente, et depuis 10 ans, j'emmène le vélo avec pour les jours où ça ne vole pas. Quelques balades gentilles, un col par jour, 50 km, vous voyez, des trucs normaux quoi. Et puis l'idée de génie... si j'emmenais mes petits lapins dans le coin pour y faire une belle journée entre potes? Ah oui, riche idée, ça va leur plaire, j'en suis sûr. Sauf que les mecs là, un col ça ne leur suffit pas, non non non, l'eur en faut plus. Ok, super. Mais dans cette vallée, deux cols, ça vous met tout de suite la barre plus haut, bien plus haut, que un. Et bien entendu les km explosent à l'unisson, vous pensez bien. Donc je leur concocte un beau circuit que je me dois de parcourir aussi sinon la honte me poursuivra pour les 3 prochaines décennies, et voilà comment je me suis retrouvé embarqué dans cette affaire (vous pensiez galère? on n'en est pas loin, attendez) Le début par le col du Bramont donne déjà le ton, ça roule bien et les 10 s'étirent, je suis dans les derniers. Je vous rappelle quand même que je suis un plaineux, et que 300 m de D+ chez moi, y a pas... enfin soit, ça roule bien et on se retrouve en haut plus ou moins en bon état, le Bramont c'est pour les tafiottes. Ensuite nous voilà dans la route des Américains, belle petite saloperie qui finalement passe plutôt bien et nous emmène à la route des Crêtes. Là nous retrouvons beaucoup plus de vent, heureusement nous poussant dans le dos, ce qui permettra au groupe de l'avaler à des vitesses prodigieuses, mais vous ais-je déjà dit que nous étions très forts? Est-ce Eole ou l'effet de groupe, nous avalons le grand Ballon facilement, le dernier kilomètre est dur, on le sait, mais zouplà, on y est allé gaiment et c'est dans la poche. Et alors débute la looooooongue descente de fou zwiii zwiiii zwiiii jusque truc machin sur Thur, 900 mètres plus bas, à fond de balle pour tout le monde. Vent latéral bien flippant au début, puis plus rien car nous serons protégés par le relief et nous pourrons exprimer notre créativité d'acrobates de la descente, la route s'y prête et on ne boude pas notre plaisir! Un bref moment de repos plus tard, nous repartons par la voie verte longeant la nationale sur plusieurs kilomètres vers Husseren, faux plat montant mine de rien de 200 mètres, je commence à avoir mal aux jambes parce que les furieux là devant tricottent bien, au secours. Arrivés à la bifurcation, Patricia Pierre et René choisissent le petit parcours. Ils ont eu raison. Enfin non. Enfin oui quand même, parce qu'on va en chier grave, nous les braves. Oui, ils ont eu raison finalement.... La montée du col de Bussang s'est faite en deux tons: les forts, et les autres. J'était les autres. Michel Gégé et Jean Christophe ne sont plus que trois petits points au loin, tout là bas...tu vois, genre t'arriveras jamais de ta vie à les rattraper dans ce putain de col, et surtout tu sais qu'après celui là, il en reste un dernier et demi, bin oui sinon c'est pas marrant. Donc juste avant l'agonie, on arrive quand même au sommet où les trois plus Jean Pierre boivent le café en attendant les derniers. Des fois t'as des envies de meurtres comme ça... tu te demandes d'où ça vient, mais bon, ils fait beau et je les aime, tout va bien. On descend alors un bon petit bout à tout berzingue avant de placer le dernier clou de notre cerceuil, le col du Page, l'horriblissime col du Page. Celui là, il nous a bien rétamé, quelle horreur. Les jambes sont tétanisées et je suis en limite crampes aux mollets, je parviens à les éviter mais chaque pédalage est une torture, qu'est ce que je fous là me demande-je tout du long???? Ce truc est une horreur et il est interminable, genre le bout du monde du bout de ta vie, tu vois ce que je veux dire? Je pense à mes trois malins qui ont bifurqués en bas, ça c'eut été intelligent, le bon choix. Rien à faire, il faut continuer jusqu'au bout maintenant, et dépasser tes limites, Mich tu es un héros tu peux le faire tu dois le faire tu vas le faire, clairon drapeau américain soldats qui saluent et salve d'honneur tout ça en pleine forêt au milieu de nulle part. L'agonie étant curieusement dépassée depuis longtemps, j'arrive enfin à ce /%§3@&|{ de col du Page de mes deux... on attend Sylvain qui est cuit, hahaha, et on a oublié Louis qui peine tout seul derrière. On ne s'en rendra compte qu'à la maison, je suis mort de honte. Mais bon, avant ça le dernier coup de cul pour franchir le col d'Oderen (ça nous fait combien de cols encore...? sais plus trop moi) tout proche et hop terrible descente jusqu'à la maison. En tout 97 km et 1.850 m de D+, je suis explosé, c'est trop dur mais je suis heureux de l'avoir fait. Le groupe était cohérent dans les forces, l'ambiance excellente, et la météo de rêve nous a accompagnée toute la journée. On a bien terminé ça dans une ferme auberge et hop, je pense que maintenant, il est grand temps pour le petit schtroumpf de se jeter dans la couette et de piquer un roupillon bien mérité!
  24. 1.900 m de D+, hé les gars, vous êtes fous ou quoi?! Et dire qu'il y a un lac, une plage, du soleil tout ça... mais pourquoi on fait des trucs pareils? Franchement dur pour moi mais une super ambiance et une météo de rêve, on s'est régalés mais on en à bien bavé aussi, surtout dans le dernier col du Page interminable. Là, il est temps de faire une petite sieste avant le resto du soir.
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