Frédéric LAFFAIRE Posté le 17 janvier 2023 Share Posté le 17 janvier 2023 Bonjour, Je recherche un retour d'expérience de personnes ayant participé à des épreuves dont le départ est donné au milieu de la nuit (genre 2 - 3 h). Comment avez-vous géré la nuit (ou les nuits) précédente(s) avant le départ en terme de sommeil ? coucher à 18-19 h ? (mais difficile de dormir dans ce cas). Comment gérer ensuite la journée à vélo (envie de dormir ?) ? Tous les conseils sont les bienvenus. Merci. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick CARRIGNON Posté le 18 janvier 2023 Share Posté le 18 janvier 2023 Lors de notre 7 majeurs nous étions parti à 2h30', pas de gestion particulière du sommeil les jours précédents à part une petite sieste dans l'après-midi et lors de mes 2 brevets de 600km départ vers 5h, seulement couché plutôt la veille. Je n'ai pas ressenti l'envie de dormir durant ces efforts de 24 à 30h mais chacun à des ressentis différents. Lors de mon second 600 km mes compagnons de routes avaient préféré s'arrêter dormir 1h ou 2. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 18 janvier 2023 Share Posté le 18 janvier 2023 Il y a 22 heures, Frédéric LAFFAIRE a dit : Bonjour, Je recherche un retour d'expérience de personnes ayant participé à des épreuves dont le départ est donné au milieu de la nuit (genre 2 - 3 h). Comment avez-vous géré la nuit (ou les nuits) précédente(s) avant le départ en terme de sommeil ? coucher à 18-19 h ? (mais difficile de dormir dans ce cas). Comment gérer ensuite la journée à vélo (envie de dormir ?) ? Tous les conseils sont les bienvenus. Merci. Je ne sais pas si mes rares expériences peuvent t'être utiles. J'ai participé 2 fois à Bordeaux-Paris en Pro-Am en 86 et 88 (pas fait 87). Départ à 23h. En 86 j'avais pris l'avion de Lyon à Bordeaux et réservé une chambre où je m'étais reposé plusieurs heures l'après-midi jusqu'à ce qu'il soit temps d'aller prendre mon dossard. Je n'avais pas essayé de dormir. En 88, un copain et moi avions conduit ma voiture pour rejoindre Bordeaux. Curieusement, je m'en souviens moins, mais je crois que j'avais fait la même chose : réservé une chambre pour me reposer un peu à l'arrivée. La nuit, j'ai eu sommeil et comme j'étais en échappée (groupe d'une douzaine), j'avais pris position à l'arrière du groupe pendant 1h ou 2h pour ne pas risquer de provoquer une chute. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DUBIN Posté le 19 janvier 2023 Share Posté le 19 janvier 2023 En Juin dernier je suis parti à Minuit pour rejoindre Luchon (515km plus au sud) en moins de 24h (arrivée à 22h45), je n'ai pas pu dormir avant de partir (bien que je me sois couché à 20h00 pour une "sieste" mais le sommeil n'est pas venu !!). J'ai pu rouler facilement jusqu'à 5h30 pour arriver du coté de Rougnac et la, la fatigue m'a prise avec la fraicheur extrême et le petit matin: j'ai donc sorti ma couverture de survie et mon sac à viande pour tenter un petit somme: pas vraiment pu dormir mais je me suis reposé en fermant les yeux 30minutes (boules Quies et masque sur les yeux). Bref ce fut parfait pour pouvoir repartir, boire un café 10km plus loin et passer le reste de la journée sans trop de difficulté pour accomplir mon chalenge de 515 km en 20h45 roulés et 23h00 en tout. Mais il est bon de pouvoir dormir (si l'on peut), ne serait-ce que 2 heures de sommeil avant le départ, pour moi cela aurai pu suffire pour ne pas tomber de fatigue au petit matin Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jpfvelo Posté le 19 janvier 2023 Share Posté le 19 janvier 2023 Il y a 6 heures, Michel DUBIN a dit : En Juin dernier je suis parti à Minuit pour rejoindre Luchon (515km plus au sud) en moins de 24h (arrivée à 22h45), je n'ai pas pu dormir avant de partir (bien que je me sois couché à 20h00 pour une "sieste" mais le sommeil n'est pas venu !!). J'ai pu rouler facilement jusqu'à 5h30 pour arriver du coté de Rougnac et la, la fatigue m'a prise avec la fraicheur extrême et le petit matin: j'ai donc sorti ma couverture de survie et mon sac à viande pour tenter un petit somme: pas vraiment pu dormir mais je me suis reposé en fermant les yeux 30minutes (boules Quies et masque sur les yeux). Bref ce fut parfait pour pouvoir repartir, boire un café 10km plus loin et passer le reste de la journée sans trop de difficulté pour accomplir mon chalenge de 515 km en 20h45 roulés et 23h00 en tout. Mais il est bon de pouvoir dormir (si l'on peut), ne serait-ce que 2 heures de sommeil avant le départ, pour moi cela aurai pu suffire pour ne pas tomber de fatigue au petit matin comment faites vous pour le vélo pendant que vous dormez ,car si la sieste se fait plus longue que prévue et que le vélo disparait ?ANTIVOL,,?attaché au sac couchage ..moi ça m empêcherais de dormir Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Frédéric LAFFAIRE Posté le 20 janvier 2023 Auteur Share Posté le 20 janvier 2023 Merci pour ces quelques retours. Pour être déjà parti à 5 h (et donc lever bien plus tôt), c'est déjà difficile de trouver le sommeil avant le départ. Donc pour un départ entre 2 et 3 h, ça me semble impossible. Il faut arriver le jour J je pense avec un capital sommeil bien rempli, et peut être aussi s'habiter pendant quelques jours à se coucher de bonne heure pour essayer de pouvoir dormir un peu avant le départ. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 21 janvier 2023 Share Posté le 21 janvier 2023 Il y a 6 heures, Frédéric LAFFAIRE a dit : Il faut arriver le jour J je pense avec un capital sommeil bien rempli... Le sommeil ne peut malheureusement pas être "stocké". Au mieux, nous ne pouvons qu'essayer de ne pas accumuler de la fatigue. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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