Aller au contenu

PARIS ROUBAIX


Christophe TEILLIER

Messages recommandés

avec la pluie , la boue et les pavés glissants , on aura une course beaucoup plus sélective ..

je ne crois pas qu'on retrouvera encore plus de 20 coureurs encore groupés devant à 30 km de l'arrivée, comme on a pu le voir très souvent ces dernières années avec des parcours sur pavés secs ..

sur parcours boueux , les spécialistes devraient se retrouver seuls devant plus rapidement .. 

Si la pluie est bien présente, ce sera un beau Paris-Roubaix, avec du grand spectacle , comme à l'époque de Merckx , De Vlaeminck , Moser .. des courses très souvent disputées dans des conditions très difficiles à cette époque, comme on peut le constater sur les nombreuses photos et documents d'archives : 

"les forçats de la route , dans un vrai Enfer du Nord"   ! 😲

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

oui, des Paris Roubaix pluvieux il faut remonter loin en arrière ..

Mais entre temps , on avait eu l'étape du Tour de France que Nibali a remporté en 2014 et qui empruntait une grande partie des secteurs pavés .. les conditions étaient dantesques ce jour là et on avait eu une course  superbe, Nibali avec le maillot jaune sur le dos avait était grandiose, très à l'aise sur les pavés humides ,et  c'est bien dommage qu'on ne l'a jamais revu ensuite au départ de l'épreuve.. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un truc dont personne n'a parlé, même si je n'ai rien lu dans ce sens pour l'instant, c'est du risque de voir certains secteurs annulés s'ils sont trop boueux, on sait qu'aujourd'hui le principe de précaution s'applique de plus en plus

Je ne suis pas persuadé que le danger soit plus grand dans ces conditions que sur le sec, il y a certes plus de risques de chutes mais à moins grande vitesse, mais qu'en penseront les organisateurs ?

Le plus dangereux dans ces conditions c'est sans doute l'entrée d'Arenberg, où pluie ou pas, les coureurs arrivent très vite sur un faux-plat descendant

 

Autre chose, ces conditions avantageront forcément ceux qui font ou ont fait du cyclo-cross ou du VTT

Sans parler de Van Aert et Van der Poel, on peut penser à Stybar qui sort d'un gros championnat du monde, ou encore à Sagan, un des plus adroits sur le vélo

 

Il y a aussi des coureurs qui supportent mieux que les autres les conditions atmosphériques difficiles

J'en vois un par exemple qui a déjà fait des numéros dans ces conditions sur le Tour de Romandie et sur un championnat du monde, mais bon s'il gagne Pierre-Yves D. va manger son chapeau 😉

Ou un norvégien qui a déjà gagné deux monuments, qui n'est sans doute plus au même niveau, mais qui n'a jamais eu la "chance" de disputer un Paris-Roubaix pluvieux

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

d'un avis personnel , je ne pense pas que les organisateurs en arriveraient à supprimer des secteurs pavés , si la pluie est au RDV .. 

Auparavant , à l'époque des Paris-Roubaix pluvieux et boueux , aucun grands champions ne  chutaient trop gravement , au point d'avoir le restant de sa saison de foutue , sans oublier que les coureurs ne portaient même pas de casque jusqu'à l'obligation de celui-ci dans les années 90

et puis si on va par là, on pourrait aussi commencer à dire qu'un peloton de coureurs lâché à 80 km/h , pour un sprint massif groupé est tout aussi dangereux , voire même plus dangereux que des chutes sur Paris-Roubaix , rappelons nous de l'état du pauvre Jalabert à l'arrivée d'une étape du Tour de France et il y en a eu bien d'autres .. 

perso, j'ai beaucoup plus la trouille pour eux quand je les vois arriver comme des malades pour un sprint massif 😲, plutôt que lorsque je les vois tomber sur des pavés glissants à 30 ou 40 km/h .. ..

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vois de qui tu parles, la grosse différence c'est que chez nous les routes sont belles, on risque moins de crever, avec la "chance" qu'il a (nombreuses chutes, dont une dans un contre la montre en VALAIS où il pleut moins qu'ailleurs!), il va bien connaître la "joie" d'aller au fossé, mais comme je suis un un mauvais chronostiqueur...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour avoir fait Paris-Roubaix par temps sec - ce qui n'est pas trop casse-gueule - et avoir fait pas mal de tout-terrain par temps humide, les pavés boueux, ça me semble assez rédhibitoire. L'étape du Tour dont tout le monde parle, c'était magnifique, mais c'était quand même beaucoup tombé. 

On verra. J'espère qu'il n'y aura pas trop de casse. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

une année au tour du Limousin, il y avait eu un orage violent la nuit, des arbres en travers,

la caravane nous la signalé, et alors avec la voiture ouvreuse gendarmerie nous avons fait une déviation pour toute la partie non dégagée, au total les coureurs ont du faire une rallonge de moins de 10 km, mais plus facile

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un avis qui va dans le même sens que celui que j'ai émis :

Jacky Durand.

"Paris-Roubaix en octobre ça change beaucoup de choses.Les spécialistes avaient tous leurs petites habitudes, leurs repères, ils savaient où ils mettaient les roues. Ça fait un petit moment que les coureurs n'ont pas roulé sur les pavés. Les coureurs ont dû revoir leur plan. C'est déstabilisant ... etc ... sur le fait qu'auparavant les coureurs suivaient le même programme ou presque alors que là ils arrivent d'horizons différents ... ." 

Le Télégramme de Brest du jour.

Je ne mets pas d'autres avis du même tonneau (trop long et réservé aux abonnés).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites





×
×
  • Créer...