Michel ROTH Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Il y a eu aussi dans le passé une étape du Tour d'Oman neutralisée pour raison climatique (trop chaud selon certains coureurs).Maintenant, je reconnais que pour l'intérêt du Tour, il valait mieux neutraliser la course. Mais on est en septembre et si des circonstances similaires se reproduisent encore dans les étapes à venir, on fait quoi ?Je crois qu'il faut distinguer la dangerosité liée aux conditions météo de celles liées au parcours proprement dit. Celles liées au parcours, on peut essayer de les sécuriser. Celles liées à la météo sont imprévisibles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick CHEVALIER Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Michel ROTH a écrit :Liège-Bastogne-Liège 1980 aurait dû être arrêté. Il s'est couru sous la neige, c'est vrais qu'il avait neigé mais les routes était praticable (voir vidéo)Michel ROTH a écrit : sur des routes aussi glissantes que hier,ça c'est faux Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre ROMERO Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Les propos rapportés ci-dessus de JL Vandenbroucke sont parfaitement judicieux. Le vélo n'est plus ce qu'il était, le coté épique qui en faisait sa grandeur a totalement disparu Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel ROTH Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 J'y étais. J'habitais la région à l'époque. Il y avait 5 à 10 cm de neige à certains endroits. Puis elle a fondu en partie ce qui a rendu les routes encore plus glissantes car il y avait regel au sol. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume LEROYER Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 En sport automobile aussi le côté épique qui en faisait la grandeur a disparuAvant il n'y avait pas de safety-car à la moindre pluie ou au moindre accident, il n'y avait pas de bacs à gravier ni de glissières de sécuritéIl y avait du spectacle et des morts, c'était beaucoup plus drôle Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Les voitures des années 50 et celles d'aujourd'hui-----la sécurité n'est plus ce que c'était ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel ROTH Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Je me sentais un peu seul.... 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick CHEVALIER Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 mais ce n'est même pas l'organisation, ni les commissaires qui ont neutralisé la course,se sont les coureurs eux mêmes qui ont jugé les conditions trop dangereuses sauf les Astana qui eux ont voulus jouer aux c.ns et ils sont passé tout près de la correctionnel j'espère que cela leur a servi de leçon et qu'ils n'y aura pas de récidive Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel ROTH Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Le fait est qu'en 1980, il avait neigé. Puis la neige avait commencé à fondre dans l'après-midi, ce qui avait provoqué un regel au sol. Dans la côte de Stockeu (en montée), certains coureurs n'arrivaient pas à monter. Ils glissaient littéralement sur la route (je me souviens de Kuiper, entre autres). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick CHEVALIER Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 une étape d'un rallye automobile peut avoir lieu avec des pneus neige, mais sur le verglas ou la glace même les pneus neige ne tiennent pas il faut des pneus spécifiques (cloutés) si un jour tu as l'occasion avec ton véhicule de rouler alors qu'il tombe de la neige ou de partir sur un plaque de verglas tu vas bien saisir la différence crois moi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clementine SETA Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Une différence, c'est que sur une classique, tu ne te sens pas en sécurité, tu abandonnes. Si tu es de toute façon trop loin de la tête pour espérer une victoire, cela n'a pas d'impact, et peu importe si le peloton finit à 30 unités.Sur une première étape de Tour, pas d'abandon possible sous peine de pénaliser durablement ton équipe. C'est différent. Et sur une classique très dure comme LBL 80: j'imagine qu'il y avait des coureurs disséminés partout, pas de peloton. Donc, la dangerosité est moindre. Enfin, pour expliquer l'attitude des coureurs, il ne faut sans doute pas minimiser l'impact psychologique des chutes très lourdes de ces dernières semaines. Le contexte joue aussi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christian BRETIN Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 A part en championnat du monde des rallyes Wrc et encore , les pneus clous sont interdit , et c'est une bonne chose pour les routes . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clementine SETA Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Une autre évolution depuis 1980: la spécialisation plus poussée des coureurs. Il me semble qu'il y a 40 ans, il y avait plus de coureurs complets, qui n'étaient pas que des coureurs de Tour. Les "classicmen" ont plus l'habitude de frotter dans des conditions difficiles; c'est peut-être une culture qui manque aujourd'hui à des purs coureurs de Tour, rendant une course comme hier d'autant plus dangereuse.Je pense qu'il faut aussi mesurer le risque par rapport à l'enjeu: gagner une étape du Tour, c'est bien; porter le maillot jaune, même pour un jour, c'est encore mieux; mais se mettre par terre à pleine vitesse, sur des routes sinueuses et dangereuses (même profil qu'un final de Milan San Remo ou la Lombardie), ça n'en vaut peut-être pas le coup. Il ne se serait peut-être rien passé hier sur un course non verrouillée, ou il y aurait peut-être eu un gadin monumental. On ne le saura jamais, mais je préfère faire débat sur l'attitude frileuse/raisonnable des coureurs, plutôt que sur le danger de conditions climatiques ayant occasionné une chute faisant craindre pour la santé d'un coureur... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre ROMERO Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Astana a jugé peut-être qu'il y avait une opportunité à saisir et d'appliquer une stratégie autre que celle dictée par les soi-disant "gros bras". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier TÉTART Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Verglas d'été+puissance disques=sport de glisse extrême.Sur les photos dispos d'Alaph attendant son dépannage impossible à la dé-visseuse on voit que le rayonnage de sa roue avant n'a pas du tout aimé quelque chose (au moins un rayon ou son accroche cassés quelque part). Le couple du freinage disque ?Pas de doute, le disque sur route, c'est l'avenir, ça farte... 😃Au moins la moitié des concurrents ont chuté aujourd'hui. A-t-on un déjà eu un tel taux de chute par le passé, même avec "verglas d'été" (qui était bien plus fréquent à l'ère du quasi tout diesel) ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume LEROYER Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 L'occasion aujourd'hui de préciser le règlement sur le port des maillotsSi un coureur est en tête de plusieurs classements, l'ordre de priorité est maillot jaune, maillot vert, maillot à pois, maillot blancKristoff, leader au général et aux points, porte le maillot jaune, jusque là c'est simpleOn pourrait du coup penser que c'est Pedersen, 2ème du classement par points, qui porte le maillot vert, mais étant leader des jeunes il porte le maillot blanc. Il aurait porté le maillot vert s'il avait été 1er des deux classements (ou même 2ème des deux classements d'ailleurs)Du coup c'est Sagan, 3ème du classement par points, qui porte le maillot vert Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel ROTH Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Quand j'habitais dans les Ardennes, j'ai connu bien des situations hivernales, dont celle-ci:En voiture munis de pneus neige, dans la descente de la côte de Wanne, en janvier 1978, la route était enneigée, mais je ne m'attendais pas qu'elle soit verglacée. Il y avait eu du soleil, puis le temps s'était couvert et refroidi, ce qui explique le verglas en surface.Ceux qui connaissent la région ou qui ont fait LBL pour cyclo, c'est juste avant Stavelot où il y a un virage à 90° vers la gauche et où la pente fait plus de 15 % (lieu dit 'champ pistol')Il y avait déjà une voiture dans le champ bordant la route et des personnes qui aidaient pour la remettre sur la route. J'ai perdu le contrôle de ma voiture. Les gens qui essayaient de retirer la voiture accidentée ont tous sauté dans le champ en me voyant dévaler la route en zigzaguant. Je ne sais toujours pas comment j'ai fait, j'ai juste eu le bon réflexe de ne pas freiner et j'ai réussi à négocier le virage tant bien que mal. Quand j'ai voulu rentrer en empruntant la route en sens inverse, les services de voirie en avaient barré l'accès. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume LEROYER Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 Pauvre David Gaudu 🙁 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 on voit que le rayonnage de sa roue avant n'a pas du tout aimé quelque chose (au moins un rayon ou son accroche cassés quelque part). Le couple du freinage disque ?Si le couple engendré par un frein à disque sur un sol très glissant suffit à casser un rayon, je n'ose imaginer que le système soit utilisable sur un sol sec... Tu as parfaitement le droit de ne pas vouloir de disques et il n'est pas utile de justifier tes préférences en inventant des pseudo-arguments techniques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Isaac Stene Posté le 30 août 2020 Share Posté le 30 août 2020 On voit que l'on a changé sa position pour avoir moins d'appui sur le coccyx .Rien n'y fera c'est trop douloureux , l'abandon est proche.Mal au coeur pour lui et une grosse perte pour Pinot un équipier pareil. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés