David PAUTHIER1639476555 Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Sur le même sujet, traité sur un autre post, tu m'as maintenu qu'un an après la sortie, 1985, des pédales automatiques, 3/4 du peloton était passé aux pédales automatiques. Je t'ai répondu que 2 ans après, soit en 1987, une multitude de coureurs pro utilisaient toujours des pédales à cale-pieds (vérification faite, plus de 75%, sur le Tour de France). La réponse ne te convenait pas; tu as décidé qu'elle était dénué de tout intérêt.Il me semble alors vainc d'essayer de t'enseigner les rudiments de la résistance des matériaux.Mais, comme tu habites visiblement en Vendée, demande comment la coque d'un bateau est construite sur les Chantiers de l'Atlantique par des ingénieurs en mécanique. Après, nous en reparlerons.Si ça te plait d'être simpliste, libre à toi, mon ami. (Il est vrai que lors de notre rencontre sur le RPE que tu as fait, tu n'as pas brillé par ta capacité à dialoguer ou ton ouverture d'esprit). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Damien VAILLANT Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 La résistance des matériaux ne date pas d'hier, c'est juste qu'avant les esquisses et les calculs se faisaient sur papier maintenant avec un même logiciel tu desssine ton produit en 3d, tu peux assembler les pièces détachées de ce produit, effectuer de la RDM, aerdynamismes, masse du produit, coût,... Les matériaux ont également évolués ainsi que le savoir-faire et donc le produit final. Certains produits sont plus jolis que performant, le design à pris le pas sur la conception cela dépend du cahier des charges. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 " ..Freins à patins ou freins à disques ? ..." Ce serait plus honnête de nous dire où tu as pompé cet article, avec la date de publication. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christian SOREL Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 et le vinyle.. on en parle pas 😇 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Keith HOLMES Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 bonjour J’ai quitté le le nord Ouest de lAngleterre pour m’installer en France mais je reste en contact avec des amis cyclistes, qui eux adoptent les freins à disques ... ils viennent en France faire des tours - tourisme, 150 Kms par jour et 4sur 6 ont des disques. Pourquoi ? Marketing ? Oui. Mais aussi climat et terrain. Il pleut beaucoup lors de leurs sorties et bien que lAngleterre n’ait pas de montagnes elle a des collines impressionnantes ..des murs de 15, 20, 30 % assez souvent. C’est Thé Pennines et Peak District au sud de Manchester. Le frein à disque se justifie donc. De plus ils n’hésitent pas à quitter la route et s’engager sur des chemins de halage ou chemins communaux, ce que nous avons fait année dernière entre Saumur et Chenonceaux. Donc personnellement je trouve que cela peut se justifier, mais qu’est-ce qu’ils font du boucan avec leurs freins déréglés. Insupportable. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Simon RANO Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 pour le coup le BB30 tous les gens sensés sont d'accord pour dire que c'est de la de-mer 😆 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel CLAMOT Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Pour moi, c'était une évidence, du logisme, du bon sens. Tu rajoute un disque au milieu de la route, avec l'apapreillage de freinage. Cà fait du poids en plus et surtout du vent qui tape sur ces disques et matos, donc tu rajoute de la resistance à l'avancée. Mais en montagne, je prendrai des disques, et uniquement en montagne. Sinon, ailleurs dans du plat ou valloné pas besoin de disques.. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel CLAMOT Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Ben, moi, je suis grippé avec 39,4 de fièvre, dans le nord, c gris... pfff... vélo sur eurosport cet après m...pfff... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Mavic recense 50 casses de roues, dont 75% sont avec des jantes carbone. Mavic ne parle pas de roues ayant parcouru trop de kilomètre donc fatiguées, ou ayant subi un choc.Cette statistique ne veut strictement rien dire, parce qu'elle ne nous renseigne pas sur la marque des roues cassées.Il y a de tout dans les roues carbone, de la grande marque jusqu'à la copie chinoise de mauvaise qualité.Tu parles de montée en température lors du freinage et à juste titre, mais tu oublies de préciser que les grandes marques, celles qui s'appuient sur un département R&D de qualité, ont travaillé justement sur ce phénomène, d'abord pour le limiter en créant des surface de freinage les plus lisses possibles (au micron) et ensuite en travaillant sur des résines qui supportent mieux ces montées en températures. C'est le cas de Mavic justement, ou encore de Campa, de Zipp ou d'autres.... Et ça n'a rien à voir avec des jantes chinoises fabriquées à la va-vite.Ensuite il y a les patins de frein. Là aussi de gros progrès ont été réalisés avec par exemple DarkPads qui a déposé un brevet avec un patin qui dispose d'un canal interne pour favoriser le refroidissement lors du contact avec la jante.On pourrait même supposer que le disque serait une solution pour s'affranchir de ces contraintes et favoriser les fabricants de jantes à bas coût.Je suis d'avis cependant que celui qui a besoin de freins à disque pour freiner n'a par ailleurs aucun besoin de roues carbone pour la performance. Des roues carbone pour rouler à 25 à l'heure, ça c'est du pur marketing. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Je suis d'avis cependant que celui qui a besoin de freins à disque pour freiner n'a par ailleurs aucun besoin de roues carbone pour la performance.Je vais mettre en évidence un défaut qui m'est, hélas, coutumier : la précipitation ! Ton argument ne tient pas si tu l'analyses calmement : pourquoi un cycliste performant n'aurait-il jamais besoin de freiner ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Simon RANO Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Les jantes carbone à pneu c'est un autre débat effectivement. Tu es donc d'accord pour dire qu'il y a un paradoxe à invoquer s'en sortent très bien sans freins à disque pour défendre le frein à patin tout en admettant qu'ils ne sont pas concernés par une parti de ses inconvénients (tout aussi mineurs ou majeurs qu'ils soient)Perso je m'en fiche de ce que les pros utilisent ou comment ils freinent en descente. Je suis très content avec mon freinage à étriers faciles d'entretient et mes jantes aluminium. Ca ne m'empêche ni d'avancer ou freiner comme j'en ais envie. Je n'ai pas la capacité de grimper ni le courage de descendre comme eux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Simon RANO Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Ce qu'il veut dire c'est qu'un mec qui est à 300 g près ou 5 W de traînée soit il court à haut niveau et sait déjà freiner soit c'est un pimpin (j'adore ce mot !! C'est péjoratif et affectif à la fois) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel CLAMOT Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Ah Christian et son sens de la dérision, son second degré... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Au contraire de la moto GP ou de la F1, les capacités de pilotage ne sont pas déterminantes dans le cyclisme sur route. Certains pros descendent les cols comme des fers à repasser. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Simon RANO Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 J'ai presque marché, bien joué 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Je le pense sincèrement. La preuve : tu me déposes quand tu veux en montée et je suis à peu près certain que tu ne me suis pas en descente (sèche). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 La question est de savoir si la minute reprise en descente suffit à rattraper les 5 minutes perdues en montée :) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 J'ai la réponse à ta question : non ! 😛 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Thierry parfois ça permet de gagner une course de bien descendre un col , demande a Nibali ce qu'il en pense ...et un coureur qui pilote mal se fatigue + vite .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 15 février 2018 Share Posté le 15 février 2018 Ce que je voulais mettre en évidence, c'est qu'un vélo équipé de freins à disque ne signifie pas obligatoirement que son propriétaire soit un mauvais descendeur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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