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Ce soir sur Arte


Stéphane MULOT

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"On vous dit TOUT le monde fait ça, donc soit tu t'en vas ou tu rentres dans le système car les directeurs sportifs veulent du résultat, tu n'as pas trop le choix " Je trouve cette phrase ultra fataliste, lamentable et décevante venant de Mr Brochard.

 

Tu as conscience tout de même de ce que tu fais à un moment. C'est toujours la faute des autres, c'est trop facile il faut s'assumer merde, vous êtes adulte quand même.

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Étant à l'origine de ce topic, voici mon avis.

1- en effet pour une fois le cyclisme n'a pas été le seul sport traité.

2- j'ai bien aimé les paroles d'anciens sportifs.

3- on peut se rendre compte des dégâts que font le sport de haut niveau quand on joue avec les limites du corps humain.

Un peu de mal lors de l'autopsie du cerveau (je pensais pas que c'était si gros que ça !).

Un bon reportage qui ne traite pas que du dopage et porte bien son nom: le revers de la médaille. 

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Au risque de me répéter, c'est ni mieux ni pire que n'importe quel travail, menant à l'alcoolisme, la dépression, le burn-out, l'absorption d'amiante, la silicose des mineurs, l'inhalation des vapeurs de goudron pour ceux qui refont les routes et de tas de produits toxiques pour des tas de professions...

Le sport n'est pas un travail pire qu'un autre.

 

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Au risque de me répéter, c'est ni mieux ni pire que n'importe quel travail

Est il dit le contraire quelque part ? Ou as-tu vu soit dans ce reportage, soit sur cette discussion, que le sport est plus dangereux qu'un autre travail. Il y a bien des reportages sur l'amiante, le burn out, les suicides à FT... Pourquoi pas sur les risques du sport professionnel ? Personne ne compare (sauf la taille du cerveau, qui m'a surpris aussi, par contre c'était un cerveau de footballeur américain, pas la même chose qu'un footballeur soccer.  

 

 

 

 

 

 

 

 

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Oui, tu as raison. Le sport de haut niveau, c'est un peu comme les métiers lourds : très (trop) exigeant pour le corps et le moral, avec toutes les blessures et les souffrances psychiques.

La comparaison s'arrête là, bien sûr. Comparons les salaires, d'abord, et ensuite les années de souffrance. Pour la gloire et la fortune d'un côté ; pour seulement subsister de l'autre.

De ce point de vue-là, les sportifs professionnels, quand ils ont fait le libre choix de leur métier, sont quand même privilégiés quand on les compare aux ouvriers que tu mentionnes.

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Je n'ai pas dit que vous disiez le contraire. Je trouve juste que ça émeut tout le monde qu'un métier sportif oblige un individu à prendre des produits nocifs pour sa santé, mais que tout le monde s'en fout quand il s'agit d'un métier ordinaire.

A la limite on trouve ça normal, parce qu'il faut bien gagner sa vie. C'est ça qui m'agace. Le choeur des vierges effarouchés ne supporte pas l'idée du dopage ou de la pression dans le sport. Mais c'est normal de tricher, de mentir, d'être maltraité par sa hiérarchie, d'avaler ou d'inhaler n'importe quoi, quand c'est pour qu'un anonyme nourrisse sa famille.

Comme le dit Nicolas, le sportif en plus est un privilégié, qui choisit plus qu'il ne subit son "métier". Donc je ne vois pas trop de raisons de s'apitoyer... ni de condamner d'ailleurs, que ce soit le sportif ou ses employeurs.

 

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J'ai eu 2 profs de physique/chimie. Curés tous les 2. L'un des 2 faisait aussi biologie.

Les TP en terminale avaient lieu le jeudi matin. Or à l'époque on allait en boîte l, m,M, donc jeudi matin pour ce TP, v, S.

Je séchais le TP du jeudi et faisait la grasse mat. je trouvais que je l'avais bien méritée. On ne m'a jamais rien dit. 

Voici l'histoire.

Ce jour-là ils étudiaient le cerveau, en faisant des coupes, puis microscope pour faire des schémas, etc

2 ou 3 gars prennent un peu du cerveau, trouvent une plaque et se mettent à le cuisiner sur le bec Bunsen.

Quand ils commencent à le bouffer le prof les voit et leur crie :

Arrêtez malheureux c'est un cerveau humain.

Evidemment c'était une blague 😆


 

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Je réitère. Un travail comme un autre. Mais qui a l'avantage de rapporter gloire et argent.

On n'encense pas les policiers qui font un travail dur pour une misère, et qui détiennent probablement le record du nombre de morts par arme à feu (les suicides avec leur arme de service).

Un chirurgien une fois, m'avait dit à ma grande surprise que dans sa spécialité, l'espérance de vie était de 62 ans...

Tu vois, les records, on peut toujours trouver ce qui nous arrange. C'est comme les statistiques.

 

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Pour l'opposition amateur-pro, l'exemple du rugby cité dans le film est le plus probant. Le rugby était le dernier bastion d'un sport pratiqué au haut niveau par des amateurs, milieu de passionnés joueurs comme public .

En professionnalisant le rugby, l'argent est arrivé à flot pour les clubs, les sponsors, les médias et les joueurs mais pas de façon équitable bien sûr. Et surtout les joueurs ont vu le nombre de matchs multipliés par 3 et leur temps de pratique par 4 ! Au détriment de leur santé forcément.

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