Julien BRIONNE Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 Sur la video, j'ai l'impression que c'est sa pédale qui touche le sol et fait glisser l'arrière, puis l'avant... http://www.steephill.tv/players/youtube3/?title=Dan+Martin+crashing+in+the+final+kilometer&dashboard=liege-bastogne-liege&id=zL_1de_2Pq4&yr=2014
Eric HENNUY Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 Pour Martin il parait que sa pédale a heurté le sol dans le virage, erreur donc.Pour l'insipidité de la course Beenkens met en cause l'UCI qui n'accorde des points qu'aux 10 premiers d'où une course attentiste selon lui.
Michel DUSUN Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 En même temps c'est du vélo, c'est quant même rarement palpitant à regarder...
Didier SALEMBIER Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 Si c'est le cas,erreur causée par l'excitation de gagner,le stress d'être rejoint.Vraiment la poisse pour ce coureur que j'apprécie.
Fabian LIEGEOIS Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 là c'est plus plausible, je me demandais comment la roue arrière avait put glisser comme ça en montée sur route sèche !
Olivier LEBOEUF Posté le 27 avril 2014 Auteur Posté le 27 avril 2014 Lis les CR de LBL challenge!!! sont mille fois mieux!!!
Claude GONZALES Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 Il n 'y a plus de panache dans ces victoires..........Tout ce décide sur les 2 ou 3 derniers km, parfois le dernier km.....désopilant.......😢
Marc RUWET Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 Bien triste LBL , y a pas a dire les flandriennes c'est qd meme plus passionant ,de vrais courses de guerriers, trés déçus (encore une fois !) du comportement des europcar, les mecs rien ds le citron....!
Laurent TEIXID Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 Un Liège-Bastogne-Liège 2014 un petit peu dans le même style que Paris-Roubaix 2014 : scénario inhabituel, des leaders très discrets, un gros groupe qui arrive pour la gagne. Finalement j'ai trouvé cela intéressant mais faut pas que cela se répète tous les ans (Milan - San Remo est bien suffisant pour voir ce style de course).
Olivier LEBOEUF Posté le 27 avril 2014 Auteur Posté le 27 avril 2014 Sauf que Paris Roubaix 2014 il y a quand meme eu des attaques, des tentatives de Boonen, Cancellara et j'en passe... mais qu'effectivement tout le monde s'est neutralisé au final...Ici... ben rien ou presque...
Laurent TEIXID Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 Si, un peu Nibali et un peu plus Kreuziger qui ne sont pas vraiment allé au bout de leurs efforts. Gilbert a également un tout petit peu bougé parmi les gros poissons.Des gars comme Valverde et Kwiatkowski attendaient un sprint en petit comité donc ils ne pouvaient pas bouger mais espéraient une course durcie. Ce sont eux les grands perdants par rapport à un scenario plus classique qui aurait également pu être ennuyeux. J'ai bien l'impression que ce sont les "seconds couteaux" qui n'ont pas joué leur rôle.
Olivier LEBOEUF Posté le 27 avril 2014 Auteur Posté le 27 avril 2014 Oui, c'est un peu ce que je disais avant... l'impression que les coureurs attendent trop les défaillances des autres;.. on compte beaucoup sur telle ou telle équipe pour durcir...Gilbert, Valverde et Kwiatkowski sont assez rapides au sprint, donc si ça arrive à 10/15 avec des mecs comme Nibali, ca les dérange pas forcément... là il y avait Gerrans...
Claude GONZALES Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 PARIS ROUBAIX 2012, 50 km à bloc du petit Tom, ça oui, c 'était une victoire avec panache, il est allé la chercher à la MERCKX OU à la DE VLAMINCK.........depuis les classiques....... pfffffff...petites victoires.....
Yan GERBEAU Posté le 27 avril 2014 Posté le 27 avril 2014 Oui mais à ce petit jeu là, c'est souvent gerrans qui gagne. Après tout il a fait sa course, ne lui jetons pas la pierre. Sagan ou Cancellara peuvent regretter de ne pas avoir poursuivi leur planning car c'était jouable pour eux. Sinon, le parcours a été durci pourtant... Pour reprendre les mots de thierry adam (oui oui) "ce sont les coureurs qui font la course". Je dis pas qu'il faut faire des parcours tout plats mais, visiblement, le fait de rajouter sans cesse des difficultés ne fait pas avancer le spectacle. Prenons le ronde, le final avec grammont et le bosberg obligeait les coureurs a durcir plus tot. Désormais, le dernier passage sur le vieux quaremont est suffisant avec le paterberg juste derrière. Ca sera pareil avec le pompéiana sur milan san remo, surtout avec la suppression de la manie, plus question de tenter de faire sauter les sprinteurs dans cette ascension.
Olivier LEBOEUF Posté le 27 avril 2014 Auteur Posté le 27 avril 2014 C'est clair que ça a fait le jeu de Gerrans. Et c'est là toute la réussite des OPQS sur Paris Roubaix car avec Degenkolb c'était risqué d'arriver groupés sur le vélodrome.Ce que je déplore, c'est l'absence de bataille meme dans la dernière difficulté. Ca roule, mais ça ne flingue pas de partout comme on pourrait s'y attendre (bon en meme temps... facile depuis le canapé... on n'a pas les jambons qui brûlent!!!).Je me demande quelle incidence ont les points UCI au final. Il me semble que les coureurs (ou DS) se contentent de ... Finalement, 5ème 6ème c'est pas si mal. Idem pour les outsiders. La gagne était pour Martin, Gilbert ou Valverde, donc finir dans les 10 c'est un très bon résultat.Pour le Ronde, faut mettre le Koppenberg à 5kms de l'arrivée épicétou.
Michel ROTH Posté le 28 avril 2014 Posté le 28 avril 2014 On a tout de même vu de beaux paysages. Pour une fois, comme c'était la centième édition, la RTBF a commencé son reportage sur le chaîne 2, dès 12h10. On a pu voir pour la première fois en direct la montée de la côte de Saint Roch à Houffalize.
François BABEN Posté le 28 avril 2014 Posté le 28 avril 2014 s'il avait eu des speedplays, il ne serait pas tombé !!;-)
Franck PASTOR Posté le 28 avril 2014 Posté le 28 avril 2014 … juste devant le peloton, et ils étaient aussi avec Nibali. Il règle les deux au sprint, comme il a réglé Valverde, Kwiatkowski hier, après avoir récupéré Caruso (personne n'a parlé de sprint massif, que je sache). Bref, c'est très analogue. Il a su se planquer un maximum dans les deux cas, se réservant pour les toutes dernières bornes, même la dernière pour Liège. Ça s'appelle de l'optimisation! Chapeau.
Franck PASTOR Posté le 28 avril 2014 Posté le 28 avril 2014 Et au juste, tu étais au Liège-Bastogne-Liège Challenge samedi?
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