Clementine SETA

Ce ne sont pas des cols très durs, pas sure que les tout premiers arrivent à se détacher. Donc: 1/ Pinot Thibault; 2/ accompagné dans une courte échappée de Rolland Pierre 3/ et Rosa Diego 4/ et derrière: Quintana Nairo 5/ Nibali Vincenzo. Team no name

1/ Nibali Vincenzo 2/ Zakarin Ilnur 3/ Yates Adam 4/ Landa Mikel 5/ Jungels Bob Team no name

On reviendra avec les skis, alors. Merci de ta réponse. On va de toute façon aller jusqu'au col "histoire de..." et on avisera si on revient sur nos pas pour prendre la combe ou si on descend par la "voie normale".

Au petit bonheur la chance... 1/ Visconti Giovanni 2/ Sanchez Luis Leon 3/ Woods Michael 4/ Anacona Winer 5/ Firsanov Sergei Team no name

Salut. On veut aller rouler demain dans le Jura avec des copains. Une question qui me taraude depuis que je regarde les cartes du coin: est-ce que la combe des Amburnex est praticable en descente jusqu'à Bassins? Vaut-elle le coup, question paysages, ou vaut-il mieux privilégier la descente traditionnelle du Marchairuz? Merci de vos réponses.

L'entrée au vélodrome de Roubaix... Et la fois où j'ai été émue à en pleurer: un final d'Ardéchoise, dans la descente de Saint-Agrève; un moment d'euphorie avant de caler dans la montée de Lalouvesc. J'avais quand même fini troisième féminine, c'était cool...

1/ Dumoulin Tom 2/ Jungels Bob 3/ Pinot Thibault 4/ Nibali Vincenzo 5/ Kruisjwijk Stefen

La dernière fois que je suis passée, il y a deux ou trois, c'était toujours en terre. Pas casse-gueule, même en descente, mais ça donne quand même un certain charme au passage... J'ai fait deux fois la descente entre l'Umbrail et Santa-Maria: c'est magnifique, mais pentu. Belle montée en perspective, donc. Quant à la descente sur Bormio : facile sur les premiers km (c'est la partie la moins raide du Stelvio, dans les paturages), puis technique dans les lacets qui s'enchaînent sous le barrage, et sans doute très rapide dans les lignes droites raides qui mènent à Bormio. En effet, Nibali devrait être à l'aise.

Ils ont goudronné les 3 km en terre pour l'occasion?

Sans faire dans l'originalité: 1/ Quintana Nairo 2/ Pinot Thibault 3/ Dumoulin Tom 4/ Nibali Vincenzo 5/ Mollema Bauke Team no name

A propos du forum: prends-y le bon, ne te mêle pas du mauvais.

Fais pas ça, Guillaume! Je suis déjà là pour cumuler les 0 pour l'équipe, en n'ayant pas le temps de jouer (et ce matin, levée à 11h... n'importe quoi et trop tard pour se projeter dans un sprint); si tu n'es plus là, on devient quoi?? Ce ci étant, si c'est mon manque de constance de cette année, qui participe à ta désespérance en plombant le classement des no name : promis, je vais essayer de reprendre le jeu avec sérieux pour marquer quelques points dans l'intérêt collectif.

Pour les no name: 1/ Quitana Nairo 2/ Kruisjwijk Stefen 3/ Nibali Vincenzo 4/ Dumoulin Tom 5/ Jungels Bob

Du coup, je n'ai pas eu le temps de parier pour les "no name". Je ne sais pas si on peut mettre une prime pour Simon et moi qui avons bravement roulé plutôt que d'éplucher les lignes de stats...

Bonjour Marie-No. Les étapes du tour, je suis comme toi, je n'ai aucune envie de les faire. Trop de monde, trop de fric, et souvent des routes où je peux rouler gratuitement le reste de l'année... Par contre, pour les grandes classiques, je trouve que ça vaut le coup. Paris-Roubaix, c'est 5 euros avec le VC Roubaix, et c'est exceptionnel; LBL: 40 euros, certes, c'est déjà cher, mais sans commune mesure avec les 90 euros d'une étape du tour. Et, sincèrement, si tu ne connais pas les routes et si ce n'est pas balisé, c'est bien compliqué de retrouver les secteurs pavés ou les montées mythiques. On avait un peu roulé du côté d'Oudenarde, avec mon ami: on n'a jamais trouvé ni Patterberg, ni Koppenberg... Bon... encore le tour des Flandres et Milan-San Rémo, et ça commencera à me faire pas mal de "monuments" sur la fiche de route. En attendant, même programme que le tien: je vais me tourner vers les BCMF.

Un peu le même genre d'impression que sur le Mortirolo ou le Zoncolan: quand tu arrives à des pourcentages à 9-10 %, tu te sens pousser des ailes. Ca ne m'a pas fait tout à fait pareil sur Liège, mais comme j'ai toujours eu du mal à encaisser les changements de rythme: les murs de 1 ou 2 km, j'ai du mal à passer, alors qu'un col pentu mais long, ça me pose moins de problème. Question de type d'entraînement, sans doute...

Pas eu le temps de venir sur le site avant ce soir; et pourtant, j'ai aussi bien tenu le programme affiché: 155 km sur le parcours de LBL, bien suffisants vus les petits 700 bornes que j'avais dans les jambes avant de prendre le départ. Premier commentaire qui me vient en tête: une journée absolument glaciale; je suis partie un peu plus tôt que Simon et ai donc échappé à la pluie sur les premiers km... mais l'averse m'a rattrapée au moment de la traversée ouest/est: côte de l'ancienne barrière; col de Haute-Levée; col du Rosier sous une pluie terriblement froide. J'ai même été obligée de me réfugier pendant une heure dans un café, à Spa, tellement j'étais frigorifiée... J'ai fini par repartir en me disant que j'avais passé les points les plus hauts; et, en effet, la température a un peu remonté sur la fin du parcours, comme la route d'ailleurs. Second commentaire: on voit les côtes à la télé, ça ne paraît pas très pentu; la pente est pourtant impressionnante, et les côtes sont impressionnantes, surtout quand elles s'enchaînent sans répit après les courtes descentes et qu'on les entame les muscles froids. La Redoute: très dure...; la Roche aux Faucons: encore plus horrible car je ne m'attendais pas à ce que cela monte comme cela, ayant emprunté la veille, en voiture, la côte parallèle et débonnaire de Sart-Tilman. J'ai commencé à être mieux dans Saint-Nicolas, avant de caler dans la côte d'Ans, assez rude elle aussi. Au final: je crois n'avoir jamais eu aussi froid à vélo, et ne m'être jamais fait autant mal aux jambes (mais, là, c'est le manque d'entraînement...)... mais une super journée malgré tout. J'adore de toute façon rouler sur ses routes qui représentent pour moi la légende du vélo: toujours beaucoup d'émotion à aborder les lieux mythiques de ces grandes courses. Et comme je ne peux m'empêcher de penser que le vélo en Belgique, c'est vraiment le vrai vélo... plaisir sans doute un peu maso, mais grand plaisir quand même. Le lendemain, nous sommes restés voir la course des pros. Départ à Liège, puis on a été se poster dans la Redoute. Ambiance à vivre, entre les odeurs de saucisse grillée, de bière, et de bouse de vache... des conversations bien sympas avec de vrais amateurs de cyclisme, et la fin de la course sur le grand écran placé dans un champ au milieu de la pente... ça vaut tous les spectacles... J'ai la crève depuis 3 jours, mais je me tâte déjà pour m'inscrire au Tour des Flandres l'an prochain; il faudra juste que je m'astreigne à rouler l'hiver.

Je viens de faire la valise pour Liège. Dans le doute, j'ai tout pris: cuissards, jambières, manchettes, bonnet, gants longs, gants courts. On verra bien sur place la tenue qui s'impose... Pour le vélo, j'ai moins de choix possibles, et j'ai sincèrement la flemme de changer mes Hutchinson fusion 3 dont je ne suis pas sure qu'ils soient les pneus les plus adaptés au parcours... De toute façon, ce n'est pas ça qui changera grand chose au fait que j'arrive peu entraînée, surtout pour les bosses. Du coup, sauf coup de folie de dernière minute (peu probable, mais je me méfie de certaines de mes tendances...), je vais me rabattre sur le 150, qui sera largement suffisant... voire le 75 si le temps est vraiment à la pluie.... voire le "pas du tout" si c'est encore pire que prévu: petit gabarit, je supporte mal le vent... De toute façon, on en profitera aussi pour visiter Liège, et pour voir la course des pros; le week-end ne sera pas perdu, et le but est de se faire plaisir; donc, programme adapté en fonction de l'envie et des circonstances. Bonne route à tous les cyclos du forum qui seront de la partie!

Sincèrement, une bonne nuit de sommeil fera du bien; pas de vélo pendant 3 ou 4 jours, ça c'est sûr, d'autant que j'ai surtout souffert sur la position sur le vélo que n'ai pas encore bien en ce début de saison et que, du coup, j'ai les muscles du haut du dos bien noués... normalement, la fatigue devrait être oubliée vers mardi-mercredi. Quant au reste: je devais faire Liège-Bastogne-Liège en fin de semaine; mais là: il faut être raisonnable; 4000m de dénivelé sur le grand parcours: trop pour moi en ce moment, je fais rebasculer sur un petit parcours, et on va surtout profiter d'être en Belgique pour visiter et voir la course des pros.

A vélo de samedi 9h à ce matin 9h (voir topic "sortie du jour"); désolée pour l'équipe, pas pu jouer hier...

De retour de la flèche Vélocio, organisée en même temps que la manifestation "Pâques en Provence". Soit: 390 km relativement plats (2100m de dénivelé sur l'ensemble) en 24h, dont 18h sur le vélo et 6 h de pause bouffe et récup'. Moyenne modeste, mais c'est le principe des flèches, et le fait de rouler de nuit n'autorise pas à envisager d'aller beaucoup plus vite. Pour le parcours: départ samedi à 9h de Saint-Alban-Leysse avec 4 copains de l'UC Nivolet; direction bord du lac du Bourget, puis: Saint-Génix-sur-Guiers, La Tour du Pin, Beaurepaire, traversée du Rhône en fin de journée, descente plein sud pendant la nuit, re-traversée vers la Drôme, passage dans le Vaucluse jusqu'à Orange, traversée du Rhône vers le Gard, Roquemaure, Bagnols sur Cèze, arrivée à Vénéjean à 9h le dimanche. Fort vent du nord pendant tout le trajet: il nous a poussé pendant le 3/4 du parcours... sauf ce matin, au moment où je commençais à être bien entamée: 30 derniers km avec le mistral dans la gueule + une dernière rampe de folie dans le village de Vénéjean (1km avec des passages pavés à pas loin de 20%): la fin du parcours a été laborieuse. En même temps, passer de 350 km depuis le début de la saison à un brevet de presque 400km: je m'attendais tellement à caler en cours de parcours que je suis déjà bien contente d'avoir rallié l'arrivée avec encore un minimum de réserve. Bon... au moins, la saison est lancée!

Je reviens du boulot: 6 pages de posts! Merci, les gars, pour ce moment!! Décidément, y a que Roubaix qui nous fait ça!!!

C'est exactement ce que je me disais: une incertitude totale, encore plus marquée que dans les Flandres, et une course où tout peut arriver n'importe quand. Pour synthétiser: Roubaix, c'est toujours pareil (tracé peu évolutif, des passages obligés qu'on attend comme des rites), mais à chaque fois différent, et jamais comme prévu. L'aléatoire dans la permanence, en somme. Tout comme toi: j'adore...

Allez... juste une colle pour s'occuper et se faire plaisir: qu'est-ce qui fait, selon vous, que Roubaix soit décidément la plus belle course du monde? la seule où soit tous -ou en grande partie...- capables de rester collés à la télé pendant 5 heures alors qu'il fait résolument un temps à aller rouler dehors? que même pas on imagine de répondre au téléphone alors qu'il reste 100 km avant l'arrivée? En gros, qu'est-ce qui fait que tous les ans, on attende ce jour comme un rendez-vous quasi mystique? Ca n'a pas raté cette année encore: devant la télé à midi, tout excitée à Troiville, je ne parle même pas de l'entrée dans la trouée d'Arenberg et de celle dans le vélodrome... totalement inexplicable aux béotiens du vélo. Pour en revenir à la course: gros numéro de VA; dommage que Boonen se soit trouvé coincé par l'attaque de Stybar... l'an dernier, j'étais désespérée quand Cancellara a chuté; cette année, dépitée quand j'ai vu Bonnen à 45 secondes de la tête. Nostalgie, quand tu nous tiens...

On est beaucoup à avoir joué le choix du cœur. Ca n'a pas scoré, mais à la petite échelle de nos paris, c'est déjà un bel hommage à Tom Boonen...