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Tout ce qui a été posté par Michel ROTH
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19s Un CLM
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Van Aert est revenu sur le groupe derrière MVDP et s'élance seul derrière MVDP. 27 s à boucher. A déjà repris 6 s ! La course n'est peut-être pas encore finir 22s
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Chute de Van Aert. C'est fini pour lui dans le Paterberg. MVDP maintenant seul en tête pour un solo de 42 km. Fin du suspense Vraiment malchanceux ce Van Aert. Crevaison dans Paris Roubaix puis chute ici
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VDP impressionnant dans le Taaienberg il y a 15 km. Van Aert à ce moment fort en retrait. Il ne semblait pas être dans un grand jour. Échappés à 33 s. Reste 63 km
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Grosse bagarre entre VDP et Van Aert.
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Mes commentaires ont disparu
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De Lie dans un deuxième groupe derrière le groupe des favoris
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Pedersen est sorti et revient sur MVDP. Finalement regroupement des favoris Les 10 échappés n'ont plus que 2 min 08 s d'avance. Van der Poel semble très fort
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Van der Poel attaque dans le Taaienberg. Personne ne peut prendre sa roue ! VDP ne se relève pas ! 4 coureurs derrière avec Van Aert, Stuyven et Trentin
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Beaucoup de cassures. Les Visma remontent à l'avant maintenant.
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Alaphilippe bien protégé par Asgreen en tête du peloton. Van der Poel et Quick Step emmènent le peloton. Les Visma au chaud dans le peloton. Écart 3min 45. De Lie remonte à l'avant du peloton.
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Beaucoup d'abandons. Plusieurs chutes. Pluie et routes mouillées Reste 97 km 10 hommes en tête avec 4 min 16s d'avance. Les plus connus: Rémy Cavagna et Lorenzo Milesi.
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Liste des participants : https://www.e3saxoclassic.be/web/content/41468?unique=b424af53fd0b034181192789aa9e110dce027c66&download=true L'équipe Visma | Lease a Bike sera bien représentée, malgré l'absence de Christophe Laporte, pas encore complètement rétabli de maladie (c'était la cause de son abandon sur Milan San Remo). Wout van Aert revient à la compétition après un camp d'entraînement sur l'île espagnole de Tenerife. Il sera accompagné du vainqueur de Paris-Nice, Matteo Jorgenson, de Dylan van Baarle, de Jan Tratnik (vainqueur de l'Omloop Het Nieuwsblad). Font également partie de l'équipe: Tiesj Benoot, Edoardo Affini et Per Strand Hagenes. Julian Alaphilipe sera le leader chez Soudal-QuickStep. A suivre également: Mads Pedersen, Alberto Bettiol, Tim Wellens, Matej Mohoric, Jasper Stuyven, ....
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Merci. Corrigé
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L'E3 Saxo Classic aura lieu demain vendredi 22 mars sur une distance de 207,6 km. C'est un mini Tour des Flandres. Avec 17 "bergs" et 5 sections pavées, c'est une course pour les spécialistes des classiques flandriennes. Ce sera aussi le premier duel entre Wout van Aert (vainqueur des deux dernières éditions) et Mathieu van der Poel. Le départ et l'arrivée auront lieu à Harelbeke. Les 100 premiers km de course sont relativement plats. Ce n'est que sur le Katteberg qu'il y aura une petite montée après 30 km. Dans la province du Hainaut, à 117 km de l'arrivée, commencent les premières difficultés : le Kanarieberg, l'Oude Kruisberg, le Knokteberg, le Hotondberg et le Kortekeer qui se succèdent environ tous les 10 km. La véritable finale débute à 80 km de l'arrivée à Harelbeke avec le Taaienberg, très raide au départ (le "berg" de Tom Boonen). Le Traaiberg est la premier tronçon pavé. Dix kilomètres de plat plus loin, les obstacles se succèdent encore plus vite, avec le Berg ten Stene, le Boigneberg mais aussi les pavés de l'Ellestraat et du Stationsberg. À plus de 40 km de l'arrivée, les coureurs aborderont le très raide Paterberg et le Oude Kwaremont, deux pentes pavées très connues qui feront à nouveau office de juges lors du prochain Tour des Flandres. À 21 km de l'arrivée, on aborde le dernier "berg": le Tiegemberg. S'ensuit alors 20 km relativement plats jusqu'à l'arrivée. Départ à 11 h 45, arrivée prévue entre 16 h 20 et 16 h 50. On prévoit de la pluie, du vent et une température relativement fraîche pour demain vendredi. La course sera retransmise en direct sur toutes les chaînes belges (FR et NL).
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Pour clôturer cette discussion, je concluerai (en me répétant) que chaque monument a ses propres spécificités et que chacun a son propre point de vue sur l'intérêt, la beauté, , .., de chacun de ces monuments. Chaque point de vue est respectable. Nous sommes en partie tous conditionnés par notre lieu de naissance et la région où nous avons passé notre enfance. Didier l'a passé dans le Nord et a probablement été fasciné dès son plus jeune âge par Paris Roubaix. Moi je suis né dans un petit village des Ardennes sur la route de la Doyenne. Nous avions comme voisin un maçon flamand qui s'était installé dans notre village après la guerre (il fallait reconstruire beaucoup d'habitations détruites lors de l'offensive allemande de l'hiver 1944-1945, comme celle de mes parents). C'est lui qui m'a donné le virus du vélo. C'était un supporter d'Impanis et à chaque passage de LBL, il m'emmenait avec sa fille, voir le passage de la course avec son journal flamand sous le bras. Quelques années pour tard, la garde rouge de Rik Van Looy s'arrêtait souvent à l'épicerie du village lors de la reconnaissance. C'était parfois un jeudi après midi et à l'époque les écoliers avaient congé le jeudi après midi. Évidemment l'arrêt du grand Rik attirait tous les gosses. Ce n'était pas encore l'époque des autographes, et on se contentait de regarder. Van Looy nous rendait souvent un sourire. Plus tard encore, avec nos premiers vélos on s'est aventuré à monter la trilogie Wanne Stockeu Haute Levée et, bien sûr, à faire la course. Mon village natal est à 8 km du pied de la côte de Wanne. Petite anecdote : quand je me suis inscrit à l'université de Liège, la dame qui prenait les inscriptions a vu sur ma carte d'identité l'endroit où j'habitais. Et je n'oublierai jamais ce qu'elle m'a dit: "vous avez de la chance, vous habitez la plus belle région de Belgique".🙂
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Dans les autres monuments ce n'est pas non plus toujours le favori qui gagne, comme hier à San Remo. On ne peut pas non plus dire que Paris Roubaix monopolise "la glorieuse incertitude du sport".
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Le palmarès de Paris Roubaix est certes prestigieux mais il faut reconnaître que la plupart de ses vainqueurs n'excellent que dans ce genre de course. Il y a moins de vainqueurs de Paris Roubaix capables d'exceller sur tous les terrains, notamment faire un top 10 sur un grand Tour ou exceller dans des classiques comme Liège ou la Lombardie. Il y en a bien sûr mais ils ne sont pas très nombreux: Merckx, Hinault et Coppi. Van Looy a du terminer 10eme d'un TDF. L'inverse n'est pas vrai. Parmi les vainqueurs de LBL un très grand nombre ont brillé partout (même Paris Roubaix) et sur les grands tours. Liège Bastogne ne consacre la plupart du temps que des coureurs complets. La région de Stavelot et de Spa est la Mecque des cyclos. Quand tu t'y rends du printemps a la fin de l'automne, tu y croiseras un nombre important de cyclo sportifs de toutes nationalités (beaucoup de Néerlandais) faisant partie d'un club dans leur région respecive. Tous veulent se mesurer aux côtes mythiques de la Doyenne. En plus la région de Stavelot et de Spa est très belle. Les deux photos que j'ai postées montrent la difficulté du Stockeu. Et celui qui montre des signes de souffrance n'était pas un tocquard.
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Je ne suis pas d'accord. Le facteur chance est bien plus déterminant dans Paris-Roubaix que dans n'importe quelle autre course. L'an passé, Wout van Aert avait subi deux crevaisons à partir de la tranchée d'Arenberg et son équipier Laporte avait aussi été victime d’ennui mécanique. Comme çà ne suffisait pas, au moment où il attaque Mathieu van der Poel dans le carrefour de l'Arbre et lui prend une dizaine de mètres, il crève à nouveau, lui enlevant toute chance de succès. Idem il y a un an ou deux avec Lampaert privé d'un podium pour un accrochage avec un spectateur. Une grande partie du suspense dans cette course c'est de savoir quel favori sera la prochaine victime d'une crevaison ou d'une chute. C'est çà qui probablement, la rend attractive aux yeux de certains.
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Les sondages, c'est tout relatif aussi. Il y a aussi un sondage réalisé auprès des cent meilleurs coureurs professionnels de la fin des années 1990 pour dire que Liège-Bastogne-Liège est la plus belle et la dure: https://www.lavenir.net/sports/2014/04/19/notre-collegue-didier-malempre-vous-raconte-liege-bastogne-liege-doyenne-venerable-et-veneree-2MIAMQCCEFGLZPTE4P26EF4CSM/
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La plus belle des classiques, tout est relatif: https://www.ledauphine.com/sport/2019/04/27/avec-les-regionaux-liege-bastogne-liege-c-est-de-loin-la-plus-belle La Doyenne, avec ses côtes mythiques, ses paysages superbes est considéré par beaucoup de coureurs comme étant la plus belle. Avec des exploits légendaires (Hinault, 1980, Merckx, 1969,...). Ici, on gagne rarement sur un coup de chance.
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Je ne crois pas que Pedersen se soit fait surprendre. C'est qu'après 288 km on ne sprinte plus de la même manière. Ceux qui l'ont précédé étaient simplement plus forts, même Pogacar qui, après une course sélective a un bon sprint dans un petit groupe.
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Rodrigo Benkens sur la RTBF a rappelé une anecdote à propos de Merckx qui a remporté 7 fois Milan San Remo. Merckx aurait dit: après 240 km, personne ne pouvait me battre au sprint. Donc tu as raison de rappeler que gagner après 100 km ou après 280 km, ce n'est pas la même chose. Maintenant chacun des 5 monuments a sa propre spécificité. Il est remarquable qu'il est très difficile pour un coureur de les remporter tous les 5 au moins 1 fois. C'est l'objectif avoué de Pogacar, comme ce l'était de Philippe Gilbert qui avec 4 monuments a toujours échoué à San Remo.
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En fait c'est comme moi. Je ne ne me rappelle pas toujours lequel de ces deux sprinters est Belge ou Néerlandais.
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Mais le monument le plus difficile à gagner. Demande à Pogacar et à Philippe Gilbert. D'ailleurs ils sont très peu ceux qui ont gagné les 5. De mémoire, je crois qu'ils ne sont que trois: Van Looy, R. De Vlaeminck et E. Merckx. Il sera plus facile pour Pogacar de gagner ta course fétiche que la Primavera.