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Emmanuel LAMARLE

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Tout ce qui a été posté par Emmanuel LAMARLE

  1. Salut Sylvain, j'avais prévu le marathon d'Annecy, le 15 avril. Ma préparation spécifique devait débuter il y a une dizaine de jours, sans compter qu'avant j'aurais dû aligner pas mal de bornes. Là, c'est toujours froid et neige, et donc peu de sorties course à pied, et pas de sorties en intensité vu qu'il fait trop froid. Donc concernant Annecy proche des 3 heures, c'est d'ores et déjà mort. Je pense donc sauter cette étape, dommage, et me reporter sur autre chose (c'est surtout la préparation spécifique qui m'importait, pour me redonner caisse et résistance en début de saison). M'enfin en attendant vu qu'il y a de la neige, j'en profite, avec depuis un gros mois l'apprentissage du skating : http://www.youtube.com/watch?v=mlmw5Rd8BxA ; excellente activité d'endurance, mais il y a aussi moyen de faire monter le cardio haut, et de se cramer musculairement. En plus c'est chouette de se sentir progresser très vite, l'avantage de débuter... Sinon là par exemple je sortirais bien à vélo cet aprèsm, mais il fait encore -2°C, et j'ai un peu peur des routes qui restent à l'ombre. Mais je crois que je vais craquer, il fait trop beau ! Bonnes marches :) Emmanuel - http://elsangliator.over-blog.com/
  2. Salut les coureurs/pédaleurs, ici ça pince dur, et l'enneigement persiste, sans compter la glace. Résultat : très peu de séances de course à pied depuis le début de l'année (12), quelques rares sorties vélo (6), par contre des sorties raquettes (5) et ski de fond (11). Ça reste du sport, mais l'entraînement spécifique pour le marathon d'Annecy en prend un coup. Résultat : je me tâte à changer l'objectif de début d'année... Sinon j'ai décidé de réaliser cette année quelque chose que je repousse depuis déjà 5/6 ans : un triathlon. Mais en Off (hors compétition), entre potes. Ce sera fin juillet autour de chez moi. Sur distance "Ironman" bien sûr :) Reste à apprendre (un peu) à nager. Bonnes sorties, et n'oubliez pas gants et bonnet !
  3. Hello, un pote recherche un vélo pliable qui lui permette quand même de rouler à 20/25 km/h sur route et de monter des côtes sans mettre pied à terre (il habite sur les hauteurs de Chambéry). Si vous avez des idées... Son message : Je cherche un vélo pliable qui me permettrait de faire un kilométrage pas négligeable pour aller bosser, le temps que mes pattes soient en état de courir. Mon problème : la plupart des pliables sont prévus pour un usage urbain, et ont du mal à tirer dans les tours sur route de campagne (et de la route sur mon trajet, j'en ai une quinzaine de bornes). IL y a bien des engins équipés de vitesse, mais les roues restent petites, et le développement sur le bitûme reste 1/2 celui d'un vélo à grande route (c'est un calcul à la louche).Donc voilà mes questions : 1) est-ce réaliste ? (j'ai pas envie de faire de la moulinette sur le plat à 10km/h pendant une heure...) - en gros, et sans être Amstrong, est-ce qu'on peut tabler sur du 20/25km/h sur une route de campagne bien plate ? (demander plus serait de la gourmandise)2) connaissez vous des modèles légers (alu) avec des vitesses (7 ?) et réellement pliables (train, coffre de voiture, escalier, bureau...), avec des roues, euh, je sais pas, 20 ou 24 pouces qui pourraient faire l'affaire ?3) et euh...pas cher. Merci pour lui !
  4. Bonjour Philippe, aucun souci chez moi pour utiliser les rapports dans My Connect/Activités/Rapports, pas plus que pour utiliser les autres fonctionnalités. J'utilise un Forerunner 310 XT. Au pire, tu peux exporter tes données au format csv pour les utiliser dans un tableur ? Bonne chance !
  5. Premiers tours de pédale sur un vélo de route mi-mai pour ma part, avec comme objectif de découvrir cette pratique sportive et de compléter mon entraînement en course à pied. Je termine l'année avec 2728 km et 41000 m D+ en 110 h 41 mn de selle, soit 24,65 km/h de moyenne (sur 78 sorties). Quelques cols locaux engrangés, la découverte du vent de face en ligne droite, trois chutes dues aux pédales autos dans mes deux premières semaines, et beaucoup de plaisir à rouler, à voir défiler les paysages comme dans un travelling au cinéma (ça change de l'oscillation en course à pied), et à suivre ma progression (31 km/h sur mon tour de 25 km/200 m D+ en fin d'année contre 27,5 en mai). En 2012... 4000 bornes ?
  6. Bonne année camarades ! Pour ma part, les objectifs 2012 : réussir un bonne prépa marathon à partir de février puis courir le marathon d'Annecy mi-avril proche des 3 heures, sur cette base enchaîner avec un entraînement typé trail pour arriver en bonne forme en octobre pour les 20 ans du Grand Raid de La Réunion (si en forme : objectif top 100). Côté vélo, j'aimerais participer à ma première cyclo en 2012, proche de chez moi tant qu'à faire, en été sans doute. Pédalez et courez bien !
  7. Salut les pédaleurs/coureurs, encore deux sorties vélo assez courtes la semaine dernière, et hier une belle sortie en rando-course dans 10 à 25 cm de neige (excellente cette première neige !) ; 750 m D+ en 1 h 10 mn, puis la descente en 40 mn, pour 8 km au total. D'excellentes sensations aussi bien à la montée qu'à la descente, malgré un équipement un peu lourd par rapport aux habituelles sorties trail (chaussures rando, pantalon ski de rando, veste Gore-tex, guêtres). Une belle gamelle à la descente sur un passage bien raide, mais pas de mal. Et surtout un plaisir monumental. Normalement je remets ça aujourd'hui ! Petite satisfaction : j'ai passé les 125 000 m D+ hier, en cumulant course + rando + vélo. Première année aussi chargée (max précédent : 83 000).
  8. Hello les pédaleurs, je suis sorti aujourd'hui entre deux averses, tout du moins c'est ce que j'espérais, mais j'en ai pris une pleine face : pluie cinglante pendant 15 minutes, limite grêle pendant une petite minute. Eh bien finalement, excellentes sensations et grand plaisir ! Comme quoi... Ce fut aussi l'occasion d'étrenner mon capteur de cadence, que j'ai couplé à mon Garmin F310 XT que j'utilise depuis deux ans environ. Ça fonctionne bien ! Reste à interpréter les données, et surtout à utiliser la bête lors de futures sorties avec objectifs ciblés. Sur cette sortie un peu rythmée d'une heure, ça a donné 78 trs/mn de moyenne, avec un max à 140 sur une descente où je me suis un peu lâché (67,8 km/h), et 70 de moyenne sur une montée de 180 m D+ sur 3 km (6% de moyenne donc). J'ai débuté ma sortie par 10 mn à 90 trs/mn sur du à peu près plat histoire de chauffer un peu la bête (mais il ne faisait même pas trop froid). Les données : http://connect.garmin.com/activity/134487987
  9. Bonjour Gilles, nous nous intéressons effectivement au cyclisme "ultra", mais également à toutes les activités (a priori un peu sportives) ayant une tendance "plus longue que la normale" : la natation, la marche de grand fond, l'ultra-triathlon, les raids ou 24 heures rollers... Le tout étant de savoir où placer la barre "à partir de là, on entre dans l'ultra". En course à pied, c'est facile, la distance maximale communément admise est le marathon : 42,195 km. Au-delà, on entre dans l'ultra. En triathlon, c'est l'Ironman, en marche après le 50 km, etc. En vélo, nous avons eu plusieurs discussions à ce sujet sur notre forum (http://www.ultrafondus.net/ultraforum/forum.php), pour nous arrêter finalement à dire qu'au-delà de 200 km, ça commençait à devenir "ultra". C'est en effet à peu près la longueur maximale des épreuves pro et grand public qui se courent à la journée. Mais c'est une vision coureur à pied, il ne faut pas l'oublier. Ce qui nous intéresse dans l'idée de pratiquer une activité sportive très longtemps, c'est que les rapports entre les sportifs et cette activité, entre les sportifs et leur corps, entre les sportifs et les autres sportifs, entre les sportifs et l'encadrement, entre les sportifs et leurs proches, entre les sportifs et le temps, changent. Il faut avoir vécu ou assisté à un 24 heures course à pied, avoir frissonné une nuit en courant autour du Mont-Blanc, s'être usé les runnings sur les routes près de Millau, ou s'être abrasé les pieds à cause du sable d'une Trans Aq' pour comprendre que plus la distance s'allonge, plus le rapport au temps, à soi et aux autres changent. On revient à l'essentiel, on oublie le superflu. Bien sûr, il reste des personnes qui vont conserver leur attitude consumériste, qui vont tricher, vouloir écraser les autres, se doper, etc. Mais c'est très rare, et ce à tous les niveaux : poireau comme élite. Comme tu le dis Gilles, l'ultra fonctionne bien (et nous n'y sommes pas pour rien :) ). En 2009, nous avons recensé 50 000 personnes ayant pris le départ d'au moins un ultra en France. Ça reste peu en rapport aux 2,5 millions de joggers recensés à la même époque en France, mais c'est tout de même un nombre de poids. D'ailleurs les équipementiers l'ont bien compris, puisqu'ils commencent à s'investir en masse dans le milieu. Les autres magazines aussi d'ailleurs :) L'assistance peut être une composante de l'ultra (course à pied), sur certaines épreuves. Il n'y a pas de règle générale en la matière, en général chaque épreuve, chaque pays aussi, a ses règles. Aux États-Unis par exemple, sur le format roi en trail (100 miles), les concurrents doivent obligatoire disposer d'un pacer sur la fin de parcours (un accompagnateur). En France, c'est interdit (sauf exception d'une ou deux courses). Par contre la plupart des épreuves autorisent une assistance aux points de contrôle (une dizaine sur l'UTMB, l'épreuve reine en France). D'autres imposent d'avoir un suiveur à VTT ou motorisé (l'Ultra Canal de Nantes à Brest, dans les 350 km non-stop). Sur les courses horaires (de 6 heures à 6 jours sur un circuit fermé), chaque coureur a le droit à une assistance positionnée en un endroit précis sur le bord du circuit. C'est donc très variable, et ça fait partie du jeu : les relations avec l'assistance sont en général très fortes sur ce genre d'épreuve. Après, savoir pourquoi l'ultra n'attire pas les foules à vélo... Sans doute parce que les cyclistes n'ont pas encore "fait le tour" des épreuves qui leur sont actuellement proposées, et que le type de pratique actuel leur convient ? L'ultra a ouvert une nouvelle porte aux coureurs : le marathon n'est plus le summum, il existe autre chose, de pas forcément plus dur, plus ultime, mais de différent. On ne court plus contre le temps, mais avec lui. Et puis il y a un effet mode indéniable : il y a 10 ans, dire à ses collègues qu'on avait fait le Marathon de New-York, c'était classe... maintenant c'est l'UTMB !
  10. Bonjour et merci à tous pour vos contributions, intéressant tout ça ! Tenez, pour le plaisir, un petit aparté sur la naissance d'une vocation aux États-Unis, que nous avons publiée dans notre dernier numéro : États-Unis Le cercle de la vie Chris Kostman, organisateur de la Furnace Creek 508, une épreuve d'ultra-cyclisme dans la Vallée de la Mort aux États-Unis (Californie, 508 miles et 35 000 pieds de dénivelé à parcourir en 48 heures), repense avec nostalgie à son itinéraire. Une réflexion particulièrement inspirante. À quelques instants du départ, les quatre cyclistes engagés dans la « Great American Bike Race » (GABR) en 1982 ne savaient pas à quoi s'attendre. Personne ne l'avait fait. C'était la première course cycliste non-stop à travers les États-Unis, et les quatre hommes allaient devoir parcourir 2 876 miles de Santa Monica à l'Empire State Building à New York. Les quatre allaient terminer. ABC Wide World of Sports conterait cette histoire à des millions de télespectateurs. L'Ultra-cyclisme devint un nouveau sport, et en l'espace d'un an des légions de cyclistes s'en inspirèrent. J'ai commencé à rouler en février 1982, inspiré par Sheldon Jackson, un collègue de mes parents qui avait passé l'été précédent à rouler à travers le pays. Il nous avait régalé de ses histoires, et à seulement 14 ans et sans permis de conduire, mon vélo me donnait la liberté d'errer et de filer vers n'importe quel lieu qui m'intrigait. Je me suis abonné au « Bicycling Magazine » et j'ai commencé à lire les aventures de ces quatre « hommes-dieux » qui voulaient traverser l'Amérique cet été. Un jour le téléphone a sonné ; c'était un autre collègue de mes parents, Wayne Hysen, qui voulait savoir si « j'avais entendu parler de Lon Haldeman ». Je venais juste de lire quelque chose à propos de lui et des trois autres inscrits à la GABR – John Howard, Michael Shermer, et John Marino –, je répondis donc par l'affirmative. Wayne dit alors : « Lon sera basé chez moi avec son équipe avant la course en juin. Veux-tu le rencontrer ? » « Pour sûr ! » Ai-je répondu. Debout dans la maison des Hysen en août, j'observais cet homme à l'allure de géant avec des jambes comme des troncs d'arbres. Je lui demandai un autographe et lui dis qu'un jour je participerais aussi, « peut-être quand j'aurai 25 ans ! » Ça semblait si loin. J'avais seulement 15 ans, et Lon, qui me semblait un homme mûr, en avait 23. Lon allait gagner la course cet été-là, comme l'année suivante où la course fut rebaptisée « Race Across America » (RAAM). Mi-octobre 1983, j'étais à Santa Barbara pour un criterium. J'ai aperçu John Marino dans un parking. J'ai sprinté pour rencontrer cette légende vivante. J'ai dit à John que je voulais devenir un ultra-cycliste et pédaler de San Francisco à Los Angeles pour établir un record. Il paru intéressé et me donna son numéro de téléphone, me proposant de me conseiller. Moins d'une heure plus tard, je rencontrai Michael Shermer, qui a également accepté de m'aider. Maintenant j'avais une mission : trouver des sponsors, contacter les medias, organiser mon équipe, et m'entraîner comme un vrai cycliste. Début 1984, à 16 puis 17 ans, je m'alignai avec Marino, Shermer, John Howard et les autres sur des courses de 200, 300 et 400 km, des brevets dénommés « RAAM Building Races ». Et les 17 et 18 avril, je pédalai les 472 miles entre San Francisco et Los Angeles en 31 heures et 13 minutes, établissant un premier record, qui fut battu une semaine plus tard. L'année suivante, je m'apprêtais à rejoindre l'Université, si bien que pédaler à travers les États-Unis m'était sorti de l'esprit, mais Marino m'a invité à rejoindre le staff de la RAAM. J'avais tout juste 18 ans, et ces neuf jours passés sur la route furent tellement intenses que le reste de ma vie et de ma carrière allaient en êtret affectés. Dans les deux ans j'allais devenir un finisher de la RAAM, le plus jeune à 20 ans. Ce printemps, 29 ans après la GABR originelle, j'ai proposé à Marino de participer en équipe avec les trois autres pères fondateurs à la Furnace Creek 508, une course que j'organise depuis 21 ans. Les quatres furent emballés. Aucun d'entre nous ne serait ici aujourd'hui si nous n'avions pas eu cette vision de l'aventure à l'état pur que nous ont donnée Lon Haldeman, John Howard, Michael Shermer, et John Marino, cet été 1982. Après m'avoir inspiré dans mon chemin personnel – comme compétiteur, organisateur, et être humain – je suis profondément comblé de les voir participer cette année à la 508. À chacun d'entre nous, je souhaiterais dire que vous ne savez jamais QUI vous allez inspirer avec vos propres efforts « au-delà des limites ». La vie est un éternel recommencement. Chris Kostman, Oak Park, Californie, octobre 2011
  11. Ah mais oui bien sûr ! Ce sont des 24 heures sur circuit typé route en individuel ? Je connaissais ce système en VTT, mais pas en VDR. En course à pied, il y a 22 épreuves de 24 heures prévues en 2012 en France, dont celles d'Aulnat en effet, l'une des plus tardives de la saison.
  12. Merci Michel, c'est bien ce genre d'épreuves qui m'intéresse, je le note !
  13. Merci Guillaume, ma référence de ce côté-là c'est le forum "Super randonneur" : http://parisbrestparis2007.actifforum.com/forum
  14. Je comprends ce que tu veux dire ; en fait, ce que je cherche à faire, c'est recenser pour un calendrier de coureurs à pied les épreuves cyclistes connotées "longue durée". Par exemple, l'Ardéchoise ou l'Étape du Tour en 2012 peuvent rentrer dans cette catégorie, car c'est un peu comme demander à un cycliste de courir la Saintélyon (68 km) sans entraînement spécifique course à pied : ça paraîtra super long, super dur, "ultra". le cyclisme ultra qui a son réglement propre, bien qu'il reste globalement flou, c'est spécial et un peu sectaire Tu veux parler des BRM, du PBP... ? Pour 2012 je souhaitais faire la RATA (Race Across The ALps) mais je ne parviens pas à m'y inscrire... Oo Comment ça se fait ?
  15. Merci Jean-Claude, l'année dernière j'avais recensé ceci : • les BRM 200, 300, 400, 600 et 1000 km • l'Ardéchoise • The Race (Londres-Istanbul) • le REV • le TMB cyclo • Paris Brest Paris • Tour Divide (traversée des Rocheuses aux USA) • RAAM (traversée ouest-est des USA) • La Haute Route N'hésitez pas à compléter !
  16. Bonjour, j'aimerais savoir s'il existe quelque part sur la toile ou dans un magazine le calendrier des cyclosportives et cyclotouristes à tendance "ultra". Nous publions (la rédaction d'Ultrafondus Magazine) en effet chaque année un calendrier des épreuves d'ultra-endurance, le coeur de cible étant la course à pied, mais nous en profitons pour proposer également des épreuves de cyclisme, marche, natation, triathlon... Car finalement, peu importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse. Hips. L'année dernière, nous avions ainsi présenté 8 épreuves (dont le REV dont il est souvent question ici), mais je sais qu'il en existe davantage. Merci d'avance, et bonne journée.
  17. Et hop, pour rebondir sur les propos d'Eric me demandant si j'allais pédaler au-delà des gorges de Crossey, je les ai traversées cet après-midi lors d'une sortie courte - j'avais un créneau d'1h45 environ douche comprise - et assez rapide : 34 km en 1 h 07, soit un peu plus de 30 km/h malgré trois petites bosses (449 m D+ au total). Temps superbe, panorama magnifique sur la Grande Sure et les collines autour de Saint-Nicolas-de-Macherin, un tracteur que j'ai hésité à doubler mais qui a fini par me larguer dans une montée... Belle sortie ! Les chiffres : http://connect.garmin.com/activity/131870910
  18. Au fait, vas tu dans le pays Voironnais de temps en temps pendant l'hiver via les gorges du Crossey ???? Est ce trop humide ???? C'est ma première saison à vélo, donc mon premier hiver, et effectivement pour le moment je traverse toujours les gorges de Crossey, mais en courant d'après-midi. Pas eu de souci jusqu'à présent. Mais si jamais il faisait humide et froid, je m'abstiendrais, car effectivement c'est une route traîtresse. Aujourd'hui si j'y arrive, sortie vers 15 h 30 pour 1 h 15 comprenant une montée à Miribel-les-Échelles, retour par les gorges de Crossey justement.
  19. Salut Eric, c'est amusant de lire tes comptes-rendus de sortie, de voir les photos et d'observer les profils, ça dépayse ! Rien à voir avec ce que je peux vivre ici. Bonne retape en tous cas, même si ça a déjà l'air d'aller beaucoup mieux ! C'était ma hantise hier dans les descentes des cols de la Clusaz et du Granier : glisser sur une partie de route à l'ombre et encore gelée... Brrr.
  20. Bonjour Pierre, ah la Montagn'Hard, c'est un copain qui l'organise, tu verras, tu seras bien accueilli :) Un autre copain m'a proposé hier de faire l'Étape du Tour en 2012 avec lui... Je n'ai rien décidé, mais pourquoi pas ? L'objectif 2012 sera pour moi le Grand Raid de La Réunion, si toutefois on arrive à s'inscrire, les places risquent d'être chères... >>>Mon mix donne à l heure actuelle cette année, 30% càp, 60% vélo, 10% autres... Moi cette année, en temps, ça donne 66% course, 27% vélo, 7% rando (à pied ou raquettes). Et hier, une sortie assez cool en duo avec un ami pour aller grailler chez des copains ; on avait prévu 35 km et 1 h 30 environ, en fait il y en avait 49,5 et 1 500 m D+, soit 2 h 40 de selle (mon compagnon du jour avait un double, il en a un peu chié dans les trois cols que nous avons franchis - Égaux, Clusaz, Granier !). On est arrivés un poil à la bourre... La sortie : http://connect.garmin.com/activity/131457010
  21. Salut Sylvain, eh oui c'est vraiment intéressant d'observer l'évolution de la forme, des sensations, selon les modifications de sa pratique sportive. Cet hiver selon les conditions, ce sera vélo de route et/ou VTT (quelques petites réparations à faire dessus), course à pied, et si jouable raquettes à neige et débuts en ski de rando. En février, début d'une prépa marathon, avec Annecy (mi-avril) en objectif de début de saison, pour approcher les 3 h. À suivre...
  22. D'après les briançonnais, cet automne est particulièrement chaud et le manque de neige commence à faire peur aux directeurs de stations. D'après les anciens du coin (Chartreuse), il va faire le temps actuel (beau, sec et pas trop froid) jusqu'à Noël, puis après très froid mais pas de neige. À suivre...
  23. Le vélo, ça paie Juste pour dire que se taper des bornes à vélo, ça paie pour la course à pied, notamment en côte : record battu sur mon parcours-étalon juste en face de chez moi, avec 01:09:58 sur 12 km / 800 m D+ (et 800 m D-, parcours en aller-retour), soit 1 mn 23 s de mieux à la montée (45 mn 47 s) et par contre 15 s de plus à la descente (24 mn 11 s) par rapport à mon précédent record. Le "mauvais score" à la descente s'explique par le fait que j'emprunte une partie "trail" qui est maintenant recouverte de feuilles, et sur laquelle je progresse donc moins vite (ancien record = début octobre). Par contre les 1 mn 23 s de moins à la montée, soit 2,93% de moins, sont imputables à une meilleure puissance dans les jambes (mon poids n'a pas bougé), et donc au moins en partie à mes exercices sur le vélo puisque dernièrement je n'ai pas travaillé la force en course à pied. Je remarque également que cette année j'ai de plus grosses cuisses que les années précédentes, où je ne faisais que de la course à pied. Autre remarque : je sors de cette séance bien moins détruit musculairement parlant que lors de ma précédente tentative, et pourtant je n'ai pas lésiné sur les parties descendantes roulantes. Par contre là, ça m'étonnerait que ce soit imputable au vélo, qui ne prépare pas du tout aux efforts excentriques ? On verra l'année prochaine comment ça évolue, en tous cas cette saison avec intégration du vélo est bien intéressante !
  24. Trois jours de repos... Ça fait du bien ! Samedi, dimanche et lundi je n'ai ni couru, ni pédalé, plutôt par contrainte (samedi boulot à la maison, dimanche passé à réparer le PC vérolé de ma compagne, lundi beaucoup de boulot) que par choix, et du coup hier mardi j'avais les crocs. Je choisis une sortie inédite estimée à 65 km et 6/700 m D+ en partant de la maison et en faisant une grande boucle orientée au nord, avec comme points extrêmes LEs Échelles, Les Abrets, Chirens et Saint-Étienne-de-Rivière. Finalement, ce circuit sera mesuré par mon Garmin F310 XT à 62,5 km et 875 m D+. Je pars vers 14 h 30, bien couvert pour ne pas réitérer mon hypothermie d'il y a une semaine, et avec une belle banane dans la sacoche pour ne pas la doubler d'une hypoglycémie. Je pars prudemment pour faire chauffer la bête, et je dois me retenir pour ne pas accélérer car les jambes tournent toutes seules. Il fait frais, mais j'hésite à faire tomber la veste. Je croise quelques cyclistes, notamment deux types aux vélos et à la tenue identique entre Saint-Laurent-du-Pont et Les Échelles, qui vont en sens inverse. J'aborde la première petite difficulté, les gorges de Chailles, et décide de faire une belle ascension : 70 m D+ en 1,8 km et un peu moins de 5 mn (21,6 km/h), ça me va bien. Pause pipi et retirage de veste peu après le "sommet", et c'est parti pour une belle descente jusqu'à Pont-de-Beauvoisin, où je suis obligé de freiner en ville pour ne pas trop coller au cul des voitures qui respectent les 30 km/h... Il faut dire qu'ici, les dos d'âne ne font pas dans la demi-mesure, c'est du costaud ! Arrêt au feu, et c'est parti pour environ 15 km de montée quasi continue, avec quelques replats et descentes tout de même. Objectif : le col du Banchet à quasi 700 m d'altitude, alors que je suis à un peu plus de 250. J'essaie d'adopter le bon braquet et de bien enrouler les jambes sur l'ensemble de la montée, mais dois tout de même passer certaines petites portions en force, en danseuse, notamment des petits coups de cul après Les Abrets, vers La Bâtie Divisin et Montferrat. Dans cette zone, des portions de route ressemblent à de véritables toboggans avec sur une ligne droite une descente courte mais pentue et juste derrière une montée du même acabit. Ça use un peu les gambettes, mais pour l'instant elles répondent bien. Passage au col en 1:28:50, pour 37 km et environ 700 m D+. Je m'enfile une très jolie descente avec à main droite le lac de Paladru ; je flirte avec les 70 km/h, et réussit deux kilomètres d'affilée en moins de 55 s. J'ai malheureusement le droit à un arrêt au feu à Chirens, mais ça repart dare-dare après ça sur Saint-Nicolas-de-Macherin, toujours autour de 30 km/h sur les portions plates et à plus de 40 lorsque ça descend. Dernière difficulté : les gorges de Crossey, que je passe à grosse allure – pour moi. Toujours de très bonnes sensations, qui vont me permettre de couvrir les 7,5 derniers kilomètres en 14 minutes (descente puis faux-plat descendant). Je stoppe devant la maison après 2 h 14 mn de route, très content de mes sensations sur l'ensemble de la sortie, que ce soit en relance, en côte, en descente ou sur les longs plats. Je trouve ce parcours bien intéressant, avec pas mal de relances, des pourcentages bien variés en côte, et de jolis paysages (du côté de Paladru notamment, puis le retour sur Saint-Nicolas-de-Macherin avec la Sure en arrière-plan). Je n'ai finalement pas mangé ma banane, et j'ai bu la moitié de mon bidon d'eau additionnée de Pulco. Seul bémol : un échauffement sous le pied droit, mais je n'avais pas assez serré ma chaussure droite, ça a dû frotter un peu. Aujourd'hui, ce sera course à pied, et tentative de record sur l'aller-retour au belvédère du Pertuis, juste au dessus de chez moi (12,5 km, 800 m D+, 1:11:06 au total).
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