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Tout ce qui a été posté par Jean-Marc MAYER
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Ardéchoise 2012.................la lose!
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Marc MAYER dans Les évènements route
C'est clair que la gestion de l'effort est prépondérante. Bon ça va on est déjà passé à autre chose. Les Vosges nous tendent les bras. -
Ardéchoise 2012.................la lose!
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Marc MAYER dans Les évènements route
Ah oui c'est vrai!! J'avais oublié. Pourtant j'avais vu ton reportage Pyrénéen.............et beaucoup apprécié. -
Ardéchoise 2012.................la lose!
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Marc MAYER dans Les évènements route
Tu nous feras un un compte rendu bien sympa!🆒 -
Ardéchoise 2012.................la lose!
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Marc MAYER dans Les évènements route
Wow ça c'est du programme!! Je vois qua tu as retrouvé tes sensations. Le Ventoux voilà un truc qui me plairait!! Mon copain l'a fait par Bédoin, il en avait bavé mais il en garde un bon souvenir. -
Ardéchoise 2012.................la lose!
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Marc MAYER dans Les évènements route
Oui je ne pouvais pas le laisser comme ça. Aujourd'hui la déception est passée et on a déjà le projet e se faire un beau raid Vosgien!! Et on va prendre un gros pied. J'ai cru comprendre au passage sur le forum ta "déconvenue". C'est rageant c'est certain, surtout après une grosse préparation. Je me demande même si ce n'est pas plus dur. Ne pas terminer tu peux te dire que tu as tenté et que ce n'est pas passé. Mais ne pouvoir pas même prendre le départ ce doit être dur. Sinon ça va mieux? Tu as de nouveaux objectifs? -
Le TCR advanced sl existe aussi aux couleurs de la Rabobank, mais cher 6 499€ le vélo complet.
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Ceinture cardiaque garmin
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Pierre CAZALENS dans Le matos
Idem sur les ceintures Adidas. Mon capteur Polar se clipse parfaitement dessus, et comme dit plus haut les contacteurs étant plastifiés (mais toute la ceinture est textile) plus de souci d'oxydation due au sel. -
Ardéchoise 2012.................la lose!
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Marc MAYER dans Les évènements route
Ben moi je pouvais plus le mettre vu qu l'avais perdu dans la montée de Mezilhac..............j'ai frigorifié, j'avais juste des manchettes. Pas suffisant. -
Ardéchoise 2012.................la lose!
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Marc MAYER dans Les évènements route
Ca rebondit mieux en cas de chute c'est sûr. Le double effet waterbed!!!!!!😃 -
Salut Thierry, En ultégra moi aussi, j'ai changé chaîne et cassette à près de 11 000 km; Chaîne HS certes (allongée) mais cassette encore très bon état. Comme le dit Michel si l'entretien est réalisé consciencieusement, on allonge la durée de vie des pièces d'usure.
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Ardéchoise 2012.................la lose!
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Marc MAYER dans Les évènements route
Qu'il ait manqué de longueur c'est un fait. Mais je reste persuadé que la chaleur lui a joué un sale tour. Pour en revenir à la distance, à chaque fois nous avons fait plus long et sans difficultés particulières (le 220 km l'année dernière dans des conditions plus qu'automnales) et avec une préparation moindre que cette année. Bref, je reste convaincu également qu'il est parti trop fort. J'ajoute pour finir qu'il perdu près de 11 kg en un peu plus d'un mois et que ça a du jouer aussi sur ses réserves d'énergie. Mais je retiens la leçon à mon bénéfice aussi. Toutefois je me prépare toujours en fonction de mes objectifs, et celui là n'a pas fait exception à la règle. -
Ardéchoise 2012.................la lose!
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Marc MAYER dans Les évènements route
Salut Joachim, Pour moi la contracture je connais, et je sais gérer. J'ai fini le marathon de Paris comme ça (pendant 17 km et en càp c'est long! à 11km/h fais le calcul) et je suis allé au bout en faisant mon meilleur temps. Je sais lever le pied quand il faut, c'est ce que j'ai fait dans les 2 cols ou je ne l'ai pas suivi. Je me suis à chaque fois bien refait dans les descentes (descentes cool). Donc pour moi pas de problème. Comme tu l'aura lu, nous nous sommes arrêtés à Sagnes et Goudoulet, on a bu et mangé et on s'est assis dans l'herbe. Cest quand nous sommes repartis vers le Gerbier et dans le dernier km ou mon copain ne pouvait plus du TOUT pédaler. Impossible pour lui de continuer, même avec un objectif à la baisse à savoir se rabattre sur le 220. Peut-être n'aurais-je pas dû rester avec lui. Peut être aurais-je dû continer. Mais, et j'insiste, il n'était vraiment pas bien, il était déjà déçu et je ne me voyais pas ajouter la solitude à se déception! C'est probablement idiot, je n'en disconviens pas. Mais on a toujours fonctionné comme ça. Je pécise que c'est lui qui m'a mis au vélo il y a maintenant 5 ans, et qu'au début c'est lui qui me soutenais quand j'étais à la rue. Aujourd'hui c'est l'inverse, et j'en fais un principe de réciprocité. Comme tout principe il a ses limites et n'est pas forcément compris. Pas grave je peux comprendre que tu ne comprennes pas. -
Ardéchoise 2012.................la lose!
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Marc MAYER dans Les évènements route
Depuis, j'ai définitivement renoncé à regarder le chrono, et je m'en passe fort bien! C'est exactement ça. On s'était mis une grosse pression sur le tableau de marche, à savoir arriver à 13h30 maxi au Gerbier. Sauf que cet horaire était bâti sur un départ à 7h30, pas à 8h00. On avait donc déjà 30 mn dans la vue. Donc, pression horaire, surestimation des capacités (pour compenser je précise), chaleur à laquelle on n'est pas habitué, ont contribué à l'issue logique d'un arrêt prématuré. S'agissant du raidar du Gerbier, c'est sûr qu'après la Barricaude, le passage à 7.8% de moyenne sur le dernier km peut faire mal, c'est là ou on copain a sauté, définitivement. Pour se refaire, on a décidé de préparer un "joli" raid dans les Vosges en partant de Nancy. On va tâcher de faire l'équivalent des Sucs, en distance, soit 235 km environ. Parce que là je n'ai qu'une envie : remonter sur le vélo. Au fait Gilles, il y a deux ans on s'est peut être croisé, on était aussi sur la Volcanique. Là j'ai le souvenir du Gerbier avec un vent de malade et la pluie et je crois 7°C au sommet, si mes souvenirs sont bons. -
Un jour pas comme les autres! Arrivé la veille après 5h00 de voiture on se lève à 4h15 le matin, il fait déjà bon, petit déjeuner rapide mais comme il faut, 5h10 départ de l'hotel vers St. Félicien. On arrive au parking B2 qui est ma foi pas mal rempli à seulement 5h50. On se trouve une jolie place sur un prairie fraichement fauchée et on se prépare. Sortie des vélos, montage des roues avant, un peu d'air dans les pneus! On fait les réserves de gels et de boisson énergétiques. On enfourche les "nobles destriers" et on se rend sur la zone départ. On y arrive à 6h30. Le lever de soleil est magnifique, nous sommes dans les premiers dans le sas des 2000 à 4000 et là surprise on voit qu'il ne sera ouvert qu'à 7h50! Reste à patienter mais ça change le tableau de marche initial! En attendant on discute entre cyclos. Au passage j'adresse un salut à mon voisin de gauche, Patrick, un "pays" lorrain puisque des Vosges et un sacré rouleur 12000 par an tout de même. Bon ca y est ca bouge, on se dirige vers l'arche de départ, je prends une brioche au passage, et on passe sur la bande de chronométrage. Première ascension, le Buisson, pas tant en douceur que ça on part relativement vite à mon goût. Mais bon je me dis qu'on va chauffer et qu'on reviendra à la raison après. Après tout en 4 participations c'est la première fois qu'on a un temps vraiment splendide et on veut en profiter, se faire plaisir. En milieu de montée on nous signale un incident, un cyclo est couché au milieu de la route. On apprendra plus tard qu'il aura du être réanimé.....Si quelqu'un a pu avoir de ses nouvelles. Nous continuons, premier ravitaillement, on passe, joli faux plat montant, on prend la roue d'un "train" qui marche bien, la suite ne manquera de nous rappeller notre manque de modestie. On attaque la descente sur Lamastre, c'est le pied MAIS, car il y a un mais. Il y a des dangers plublics, des cyclos qui ne savent pas rouler en groupe, qui changent de trajectoires de manière pour le moins insensée ou totalement imprévisible. L'un d'eux, un batave, a failli me coller au fossé puis s'est loupé juste après. Pas de casse mais c'était chaud. On arrive en bas, là aussi on passe sans s'arrêter, on est bien la température est quasi idéale 21°C. On attaque la montée sur Nonières, au train un poil soutenu, mais rien qui soit de nature à se mettre minable. Nonières passé, on descend sur le Cheylard. Là on s'arrête pour faire le plein d'eau et ravitaillement en fruits secs. C'est le top on est bien on profite du panorama. Allez c'est parti pour la première longue ascension, Mezilhac. On prend un rythme juste ce qu'il faut. Là un couple de Hollandais, nous dépasse, la dame "7004" marche bien, mon copain se met en tête de suivre. Je le suis donc, Pas sûr que ce soit raisonnable ça. Ah là là quand on se laisse aller à ses plus vils penchants de séducteurs......😆. Donc ça monte à rythme soutenu! Je décide de lever le pied, pas envie de me griller. Là je recontre un participant du fofo - Jean-Louis Varesano - on se salue et il me passe et roule en compagnie de la charmante mais néanmoins "attaquante" 7004. Je fais mon chemin comme ça pendant 10 bornes la vue est manifique, cependant il faut ajouter le vent qui nous fauche vers le sommet, dès qu'on est à découvert, on se prend une "planche" en pleine face. A 5 bornes du sommet je reprends mon copain, mais "7004" et loin devant. Je continue à mon rythme mon copain décroche, il n'aime pas le vent, pourtant dieu sait qu'on en aura pris durant nos nombreuses sorties. Le sommet enfin. Ravitaillement ici aussi en eau, et je prends du salé, parce que le sucré j'en peux plus!! Je m'envoie deux gobelets d'eaux gazeuse, ça fait du bien. On ne s'éternise pas, et on attaque la descente sur Antraigues. On la fait prudement, et pourtant on rattrape "7004". J'en profite pour bien boire et m'alimenter, la descente n'étant pas trop technique. Antraigues, ç'est reparti pour un petite ascension de 5 bornes, rien de méchant. "7004" nous lâche à nouveau, on ne la reverra plus. Pour le coup mon copain ne tente pas de la suivre cette fois ci. Petit replat jusqu'à La Bastide sur Besorgues et nouvelle montée par le col de la Mouchère. Super agréable petite route ombragée et des pourcentages entre 4.5 et 5.8%. Descente sur Burzet. Rien à signaler, tout va bien..........................jusqu'ici. On attaque la deuxième longue ascension de la journée, le ol de Barricaude. L'attaque se fait sans souci, on monte au train. Purée celle là elle est longue, Chaque panneau kilométrique nous renseigne sur ce qu'il nous reste à gravir et indique le pourcentage moyen. Malgré le vent il fait chaud, là ça cogne vraiment. Je n'ai pas l'habitude!! Je pense à bien m'hydrater toute les 10 minutes. La boisson énergétique ne passe plus, je ne supporte plus le sucré. Heureusement, j'ai prévu une gourde d'eau plate. Finalement c'est qui me fait le plus de bien. Ca monte, purée, ca monte, pas tant le dénivelé que la distance. Je continue à mon rythme entre 13 et 14 km/h. Mon copain décroche à nouveau dans les parties les plus pentues cette fois. Il me rejoint temporairement sur un section plus roulante. Il décroche à nouveau juste avant le ravitaillement suivant, il se plaint de début de crampes. On arrive à Sagnes et Goudoulet. Arrêt OBLIGATOIRE, mon copain souffre, et moi je ressent une gêne au quadri droit, plus une contracture qu'une crampe qui passe très très vite. On s'arrête donc 10 bonnes minutes, on mange, on boit et on s'assied dans l'herbe. Ca soulage. On repart vers le Gerbier, qui n'est qu'à une dizaine de km. Ca commence bien puisqu'en légère descente, ça continue en faux plat montant, là ça se corse pour mon copain, mais il continue. Dernière partie vers le Gerbier, j'entends un cri de douleur. Mon copain à l'arrêt, plié en deux. Crampe carabinée intérieur cuisse droite. On reste 2/3 minutes pour faire passer. Il remonte sur le vélo, chaque coup de pédale lui équivaut à un coup de poignard dans l'aine. Je reste avec lui et on finit par arriver. Sommet du Gerbier. Je l'attends (je voulais faire le dernier km à mon rythme). Je vois son visage défait. Nous sommes juste à la bifurcation entre l'AVM - notre objectif - et se rabattre sur l'Ardéchoise. Il me pose la question de savoir ce que l'on fait. Par principe. Je sens à son ton qu'il a déjà pratiquement décidé........Pourtant je lui dit, qu'on a qu'a prendre l'Ardéchoise, on change d'objectif, et on fera l'AVM l'année prochaine ça nous donnera une bonne raison de revenir. Il me regarde, puis me dit qu'il craint de ne pouvoir faire 90 km dans ces conditions. En effet il reste au menu les cols de l'Ardéchoise, Clavières et Lalouvesc. Clavières ou l'année dernière il avait eu un coup de moins bien. Mauvais souvenir. donc . Malgré tout j'insiste un peu en lui disant, qu'on peut se reposer au Gerbier et se refaire la cerise dans la descente vers La Chapelle sous Chanéac. Mais non un truc a sauté dans sa tête............la déception de ne pouvoir accomplir l'objectif qui a motivé une longue préparation et le mauvais souvenir de Clavières qui auront sans doute eu raison de ses dernières résistances Là c'est à moi d'être un peu défait. Non pas par sa décision mais parce que je me dis que seul je me vois pas faire 138 km. Me reste l'option l'Ardéchoise. Ca c'est jouable, d'autant qu'il me dit de continuer. Je le vois, je me vois, on avait toujours dit "on commence à deux on finit à deux". Et jusqu'ici on a TOUJOURS fait comme ça. Je ne réfléchis pas longtemps, pas trop en tout cas. Et donc.......................on BACHE!!!! C'est la première fois. Ca fait mal à l'amour propre. Ca fait une impression déprimante quand le gars de la voiture balais prend nos N° de dosard et nos noms....... Le reste ce sera un "trip" de 5h00 en bus à suivre le parcours de l'Ardéchoise et à ramasser des gars, qui ont eu des crampes ou des coups de chaud. Deux d'entre eux étaient vraiment mal, insolation je suppose. Nous finirons à une bonne vingtaine dans le bus, et deux autres suivaient................... J'aurais appris à cette occasion qu'il y a un solidarité de ceux qui arrêtent. Je ne dis pas abandonner, je n'aime pas ça. Parce que quand on s'inscrit à ce type d'épreuve on sait ce qu'on va y trouver, on s'y prépare et même on y va pour ça. Donc arrêter n'est jamais une décison facile. Alors je tiens à remercier ceux qui nous ont soutenu (voire consolé), et que nous avons soutenu à notre tour. Un bonjour à Maurice le Mulhousien qui m'a bien fait marré, et au couple du club de la Bouillannaise, très très sympa. On reviendra l'année prochaine, mieux préparés et.....................beaucoup beaucoup plus MODESTES, et on la fera cette AVM!!
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Ardéchoise - 175km
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Romain LERMINIAUX dans Les évènements route
Oui 15 000 mais sur 4 jours. -
Longueur cuissard assos
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Pierre CAZALENS dans Le matos
Salut Michel, Avec Gore aucun souci pour moi que ce soit en long, court, accessoires, etc. J'ai pris l'Assos, déjà parce que j'ai fusillé mon Gore lors d'une chute (il a été savamment reprisé mais là il est HS), que je voulais un effet un peu plus compressif et qu'ensuite les prix sont assez voisins dans la game que je recherchais. Je suis donc allé chez mon vélociste pour essayer, parce que sur internet vu le guide des tailles je me retrouvait systématiquement entre 2. Idem pour le haut. D'ou la différence de taille M/S entre le cuissard et le maillot. Après essai, je peux dire que le confort me semble équivalent, à la différence, mais ça ne reste qu'un ressenti, que le cuissard Assos se fait "oublier" plus que le Gore. S'agissant de la peau je me sens effectivement mieux dans l'Assos que dans la Gore (mais là je pourrais en dire plus après l'Ardéchoise question longue distance - je referais un message à mon retour). La qualité de fabrication est, pour ce que je peux en voir, du même ordre que Gore, donc pas de surprise là dessus c'est du bon. S'agissant du maillot en revanche je suis un peu plus mitigé. Je trouve les poches peu pratiques surtout la poche zippée côté droit (je suis habitué à mettre mon tél. dans la poche zippée de mon mavic qui elle est au centre), et d'une contenance moyenne. Dans le même ordre d'idée, le zip (plastique) de fermeture me semble de moins bonne qualité aussi. Bref de ce point de vue je préfère mes 2 mavic (l'un d'eux a 4 ans et ma foi il est encore très bien mis à part une usure aux points de frottement) , sauf pour le côté ajusté du maillot Assos (je n'aime pas les maillots trop lâches). En définitive, je crois qu'Assos est un peu surfait, mais bon on pourrait dire, vu le prix de certains articles, que Gore aussi. Pour conclure Mavic reste d'un très bon rapport qualité prix (pour les maillots, en cuissard je ne connais pas). Et tiens j'ai eu un cuissard adidas à 80€ qui m'avait donné pleine satisfaction, mais je voulais essayer autre chose. Dernière chose, je passé sur Gore pour mes vêtements running, et là c'est vraiment le TOP du TOP (cuissard, maillot - là c'est le paradis - et chaussettes) -
Longueur cuissard assos
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Pierre CAZALENS dans Le matos
Je comprend pas bien, je fais 178 et le cuissard en M (FI Mille Uno) me va tip top. En revanche pour les maillots (FI Mille S5) j'ai plus de mal, j'avais pris un M mais trop lâche mais longueur assez bien, je l'ai donc échangé pour un S et là ça passe mais la longueur est un peu juste même si c'est pas gênant. Je dois être mal foutu. -
Ceinture cardiaque garmin
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Jean-Pierre CAZALENS dans Le matos
J'ai eu le même genre de déconvenue avec les ceintures Polar. Le problème c'est les contacteurs textiles qui, au bout d'un an un an et demi, s'oxydent malgré un lavage régulier. Mon revendeur de running, m'a fourni une ceinture adidas avec des contacteurs palstifiés. Pas encore lavée depuis 3 mois et 0 défauts, alors qu'avec la Polar ça n'aurait pas été la même chose. -
Epanchement de synovie
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Patrick Friess dans L'entrainement et la santé
L'attelle c'était pour immobiliser le genou le plus possible. Je pense que ça a eu une influence sur la résorption. Après je me dis que le retour à la normale est très certainement lié à la physiologie et à l'âge (ma fille a 13 ans, c'est peut être plus rapide chez les enfants). En tous les cas comme le vélo est un sport porté, je pense qu'il y a peu de risques d'autant que comme tu le précises tu n'as aucune gêne mis à part le volume de ton genou d'éléphant. -
Epanchement de synovie
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Patrick Friess dans L'entrainement et la santé
Bah t'as déjà l'alcool iodé pour l'immolation. Tu seras notre Jan Palach😃 Plus sérieusement ma fille vient d'avoir la même chose suite à un choc violent : une attelle et anti inflammatoires. 3 semaines pour que ça se résorbe. Et encore il lui faut une radio complémentaire (défilé fémoro patellaire) et 3 semaines de kine.............le bonheur. Je ne sais pas si ça t'aidera. -
Risques liés aux orages
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Robert DEVELOTTE dans L'entrainement et la santé
Ben au pire il a la trompe, si elle est suffisamment longue bien sûr et pour peu que l'animal supporte bien ses effluves anals. Dans les métro y'a des mamouths frotteurs?? Ah Ah le coup de l'éléphant à la trompe rose!!! -
Ardéchoise - 175km
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Romain LERMINIAUX dans Les évènements route
Salut Michel, Bah oui surtout que sur l'Ardéchoise y'en a du sauciflard, et il est bon en plus😃. Je pense me confectionner quelques petits sandwiches au jambon avec des mauricettes. Je pense que c'est pas mal. Aux ravitos je prendrais principalement des fruits secs et la recharge en boisson. Le truc qui m'inquiète un peu c'est le temps je crois qu'il faut les boucler en 12h00 maxi. Et si la météo est comme l'année dernière ça va être diffcile. Enfin j'ai envie de me tester sur une grande (tout est relatif hein!) distance. Et puis cette cyclo je l'aime bien, j'avais commencé par le 120, puis le 170 et l'année dernière le 220. -
Ardéchoise - 175km
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Romain LERMINIAUX dans Les évènements route
Salut, J'en profite pour squatter le thread, je fais le parcours de 278km, et je voulais savoir si en solide je peux prendre des portions de gâteau sport pendant le parcours? Pour moi pas question d'autonomie, trop long. En revanche je pars avec 2 bidons de 600ml et avec des sachets (que je confectionne) de boisson en poudre pour recharger aux ravitos. Et bien sûr barres et gels. Pour Romain, prévoit aussi de quoi réparer, il y a deux ans j'ai vu un gars péter sa chaîne et continuer à pied.... Sinon j'espère que la météo sera bonne, parceque l'année dernière on a ramassé 2h00 d'orage dès le départ. -
Di Pacé a-t-il gagné les 3 ballons
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Edgart EQUIST dans Les évènements route
Pour les sas de départ c'est ce qui se pratique courrament dans les marathons. Lors de ton inscription tu donnes ton temps estimé (en réalité c'est ton temps objectif que tu donnes, et pour les 3h et moins il faut un certificat officiel) et ca conditionne ton sas. Toutefois la nature humaine étant ce qu'elle est, je l'ai encore remarqué lors du marathon de Paris, certains surestiment volontairement leur temps pour partir devant. C'est comme ça qu'à mi, 3/4 du parcours du rattrapes des coureurs qui sont cuits de chez cuits, et quand le tracé emprunte des passages moins aisés, ça coince. En fait, mais là aussi c'est une solution batârde, pouvoir vérifier les temps sur des cyclos déjà courues. Mais dans ce cas comment faire lors d'une toute première cyclo? -
Risques liés aux orages
Jean-Marc MAYER a répondu à un(e) sujet de Robert DEVELOTTE dans L'entrainement et la santé
Non mais des vaches qui soufflent dans des bardes......................ça c'est déjà vu dans des temps immémoriaux. Déjà que j'ai appris ce matin que selon les angliches (toujours eux!) les manchots avaient des moeurs sexuelles de déparvés, on se demande ou va le monde.