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Tout ce qui a été posté par Jean GUY
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Au contraire. J'ai un capteur de puissance sur mes deux vélos. Pas toi ?
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Mais je suppose que ceux qui ne trouve pas ça util roule encore avec une cassette de 9 vitesses, a quoi que non, vu que les fabricants les ont forcé à acheter du 10 et du 11 et bientôt du 12 Cela t'étonnera peut-être mais j'ai toujours été l'un des premiers à adopter les nouvelles cassettes dès que ça a été disponible. 9 vitesses en 97, 10 en 2002, 11 en 2008. Le jour où Shimano passe au 12, je n'hésiterai pas une seconde.
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L'argument qui suit normalement c'est : "vous êtes contre l'innovation mais il faudra bien vous y faire"
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Le sujet a déjà été discuté de nombreuses fois avec toujours le même "porte-drapeau anti disques"; Jean Guy....Je n'en dirai pas plus à son sujet. Ce qui t'ennuie, c'est que tu n'as rien à opposer à mes arguments. Car je ne suis pas le seul à ne pas être favorable aux freins à disque pour tout le monde (j'espère que c'est plus clair comme ça). Pour ma part c'est une belle évolution. Je ne chasse pas le moindre gramme, je cherche juste à me faire plaisir à vélo et j'aime énormément le beau matos. Par le passé j'avais toujours 2 paires de roues, 1 paire carbone pour les beaux jours et une paire à pistes de freinage alu pour la météo plus incertaine. Maintenant je n'ai plus qu'une paire de roue, carbone, montée tubeless (autre sujet de discorde) en diamètre 25. Ce n'est que du bonheur et je ne ferai pas de retour aux freins sur jantes. Tu l'expliques : tu roules pépère. Tu ne peux donc pas juger des arguments qui parlent de performance. Alors pour finir, je pense qu'il faut laisser sa chance au produit, qui a ses avantages et ses inconvénients en fonction des besoins et des pratiques de chacun. Le dénigrer ne sert à rien, d'autant plus que l'avenir nous le dira.... Il n'y a pas de dénigrement. Juste des réponses à ceux qui voudraient l'imposer pour tout le monde. Le frein à disque est proposé depuis 5/6 ans déjà. Et le seul moyen qu'ont trouvé les fabricants pour "donner sa chance au produit" comme tu dis, est de l'imposer sur certaines gammes de vélos, qui ne sont désormais plus disponibles qu'à disque.
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Le manque relatif de vivacité des vélos à disques d'entrée et de milieu de gamme est-il vraiment pénalisant pour un cyclo adepte de sorties en solitaire et qui relance donc peu souvent ? L'allongement des bases habituellement rencontré sur ce type de vélo n'induit-il pas une meilleure stabilité à haute vitesse ? Le problème de compatibilité entre les différents modèles de disques est très gênant pour un coureur susceptible d'être dépanné rapidement en course, mais est-ce un souci pour un cycliste plus "contemplatif" qui répare sa crevaison sur le bord de la route et n'échange pas ses roues ? Pourquoi cherches-tu à relancer inutilement le débat ? J'ai expliqué plus haut, de la manière la plus simple possible - même pour ceux qui comme toi n'ont jamais essayé et se font des idées - ce qu'était le freinage à disque. Tu le vois ici : ceux qui adoptent ce freinage ne sont pas en recherche de performance. Il n'y a aucun problème avec ça. Tant mieux pour eux s'ils y trouvent un intérêt. Ce qui ne va pas par contre, c'est quand on impose ce type de freinage sur des vélos de course (comme le Venge de Sagan), et pour toutes les raisons que j'ai déjà évoquées. Je connais suffisamment l'industrie du cycle pour savoir ce qu'ils ont derrière la tête. L'imposer à tout le monde. Et dans 10 ans, on présentera comme une nouveauté un système de freinage à patins sur jante !
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Normalement les modèles les plus récents sont adaptables.
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Mais toi, parmi tous les inconvénients qui ont déjà été listés en long, en large et en travers, quels sont les inconvénients qui te rendent si allergique ? (Une régression, dis-tu carrément). Allergique est un grand mot. Mais je crains effectivement en tout premier lieu l'absence de choix, le fait que ce soit progressivement imposé, pour que ça force tout le monde à y venir. Surtout que lorsqu'on parle de Di2 par exemple (mes deux vélos en sont équipés), tu peux toujours utiliser les mêmes roues, les intervertir, etc. Dans le cas du disque, il faut tout changer, sans compter que la géométrie particulière induite par le passage du disque modifie même l'entraxe du triangle arrière, la longueur des bases, la ligne de chaîne du pédalier (avec maintenant des pédalier "prévus" pour le disque). Le premier des inconvénients, pour avoir testé pas mal de vélos à disque, c'est qu'en termes de rendement (et je ne parle pas seulement de poids, mais aussi de "fluidité", de roulement, de résistance à l'avancement), pour avoir l'équivalent d'un vélo à patins il faut taper très haut en gamme. Oui il y a de bons vélos à disque, et je ne doute pas que le Venge de Sagan en soit un, mais c'est un vélo à 12 000 euros. Disons qu'avec un freinage à patins, tu peux avoir un très bon vélo de course ou pour faire des cyclosportives en montagne autour de 4000 euros, en choisissant bien tes composants. Je veux dire par là qu'avec un bon vélo à 4000, tu n'es pas défavorisé par rapport à un vélo à 9-10 000. Par contre avec le disque, inutile d'y penser. A 4 000, et plus encore pour des prix plus bas, ces vélos sont des brouettes, avec un système lourd, des roues pataudes qui ne sont pas au niveau de dynamisme de leur équivalent à patins, des gros pneus, une géométrie "allongée". Bref, ce ne sont plus ce que j'appelle des vélos de course. Enfin, moi qui teste ou manipule pas mal de matériel, qui bricole dans mon appartement et qui en plus trimbale mon vélo dans la voiture, j'y vois aussi un gros problème du côté pratique. Je ne te dis pas le nombre de vélos à disque qui sortent du carton, mais dont il faut refaire la purge, donc qui ne sont pas prêt à rouler immédiatement. Ou qui ont les étriers qui frottent parce que mal réglés, ou les disques qui se voilent. Sorti du vélociste après maintenance, ça marche très bien, mais eux même ne te garantissent plus leur réglage dès lors que tu démontent les roues pour mettre le vélo dans la voiture. J'ai l'exemple d'un gars que je connais qui partais pour un voyage à vélo, et qui sorti de l'avion à l'étranger a déjà dû courir les vélocistes pour remettre son vélo à disque en état après le transport. Tu as aussi un problème de compatibilité. Avec un vélo à patins, je mets n'importe quelle roue sur n'importe quel vélo. A disque tu ne peux pas le faire instantanément (différences de tailles de disques, emplacement différent par rapport à l'étrier, etc.). Tout cela fait beaucoup d'ennuis pour une technologie qui dans le meilleur des cas me servirait deux fois dans l'année : un retour pluvieux en ville en plein hiver, avec les doigts gelés. D'ailleurs, si je trouve des inconvénients au patin en termes de freinage sous la pluie (manque de constance, patins qui s'usent vite, dépôts sur les roues, les pneus, le cadre, bruit de limaille), la plupart de ces défauts sont annulés quand on passe sur des roues carbone de bon niveau de gamme : c'est plus mordant, plus constant, moins sale, et franchement aujourd'hui je trouve que le freinage sur jante est meilleur sur le carbone que sur de l'alu.
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Ça doit faire bien de dire qu'on n'aime pas le foot, ou de se donner une posture de méprisant envers ceux qui aiment ou qui le vivent. Personnellement, je ne suis pas fan de foot, mais alors pas du tout. Je suis même incapable de dire qui gagne les différents championnats. Par contre j'ai regardé le match hier, d'abord d'un oeil distrait, puis plus intéressé par le côté sportif. J'ai vu un beau match entre deux belles équipes, et à aucun moment une quelconque mise en avant de la nationalité ou supposée supériorité d'un pays comme certains voudraient le voir. Amusant d'ailleurs de constater qu'hier soir au moment du match le forum était extrêmement calme, même parmi les détracteurs du jeu 😃 Il s'agit d'une Coupe du monde disputée sous les couleurs du pays d'appartenance des joueurs. Et alors? Je suis loin de participer à la fête, tout comme je serai loin d'y participer dans les rues dimanche si l'équipe de France gagne. Mais enfin, je trouve les manifestations de joie plutôt bon enfant. Et le foot, largement plus que le vélo, a l'avantage de mélanger parmi ceux qui aiment ou qui soutiennent une équipe largement plus de couches sociales différentes.
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Aujourd'hui Chavanel avait repris le vélo avec des patins. Pourtant, il y avait plus de descentes qu'en Vendée. Pareil pour Alaphilippe. Bon, Sagan gagne encore avec des disques, devant Colbrelli, qui lui a le choix entre disque et patins, mais qui reste en patins. Pour l'instant les quatre victoires au sprint ont été remportées par des disques.
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Pour revenir à tes interrogations ("Sagan roule peut-être en disque parce qu'il l'a choisi"), je vais te donner quelques précisions : - Jusqu'à la fin juin de cette année, il avait le choix selon les parcours entre le Venge (un vélo aéro, très rapide, plutôt lourd) et le Tarmac. Jusqu'à présent, le Venge était dispo pour les pros (mais seulement pour les pros) à disque ET à patins. C'est avec des patins qu'il roulait, alors que par exemple Viviani roule avec des disques quand il choisit le Venge. Tu noteras que dans le commerce, on ne laissait déjà pas le choix à l'acheteur qui voulait un Venge : c'était disque obligatoire. - Depuis cette fin juin, il y a le nouveau Venge, pour l'instant seulement disponible à disque. Sagan roule donc en disque depuis le début du Tour quand il choisit ce vélo. Comme Alaphilippe. Sans doute d'ailleurs ces coureurs trouvent-ils que l'avantage aéro du Venge vaut bien l'inconvénient du disque. Mais dans tous les cas, lorsqu'il prend le Tarmac, pourtant pas beaucoup plus lourd dans sa version à disque, Sagan le choisit à patins. Je pense comme Joachim que le freinage il s'en fout. Sur le plat, et en plus à l'abord d'un sprint, celui qui freine a perdu de toute façon. Et en montagne, je te garantis que des étriers Dura-Ace avec des roues carbone de haut de gamme (c'est-à-dire traitées au niveau de la bande de freinage, avec une construction qui limite la montée en température), ça fait super bien le boulot pour quelqu'un qui sait freiner et descendre. je reviens sur ma seule et unique chute en descente en course, où je me suis fait très mal. Ce jour-là, de meilleurs freins n'auraient rien changé, puisque j'ai déjà bloqué les roues avec mes freins à étriers de l'époque et que je n'ai pas pu plus éviter le mur. Alors que le disque soit intéressant pour quelqu'un comme toi qui roule par tous les temps dans une région fortement urbanisée, le plus souvent sous l'humidité, et qui de plus se montre par esprit particulièrement prudent, je veux bien l'admettre. Par contre pour une utilisation sportive, on en revient toujours au même : pas convaincu que les inconvénients de ce système prennent valent les quelques très rares avantages.
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Je ris, parce que tu te présente comme un expert des descentes de col,.... alors que tu vis en Vendée. Il est vrai que pour descendre un pont d'autoroute, les freins à disque sont inutiles. Tu dois te tromper. Joachim ne se présente pas comme un expert des descentes de col. C'est Laurent Papin, qui vit aussi en Vendée, qui se présente comme un expert. Et en plus il lance des défis qu'il est incapable de tenir.
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Je te propose de venir sur Lyon. Je roule dans plusieurs groupes (groupe existant depuis plus de 30 ans), les vélos neufs sont majoritairement à disques. Et moi je suis en région parisienne, on ne peut pas dire que ce soit le trou du c.. du monde. Quand au gros pneus, je te rappelle qu'un pneu de 25 a un rendement supérieur à un pneu de 23 (c'est comme ça, je n'y peux rien). Les tests tendent à prouver qu'un pneu de 28 à un rendement supérieur sur le plat à un pneu de 25. Alors, tu peux peut-être continuer à te dire qu'un beau vélo utilise des pneus de 19 ou 21, mais là, c'est un choix basé sur du vent. Tu supputes. Je parle de gros pneus de 28 et plus, pas de 25 (que j'utilise aussi). Maintenant, je te rappelle que tu as commencé un jour le velo, comme moi d'ailleurs. Tu venais également ressembler à un "guignol". Dans 20 ans, comme moi, tu sera un vieux (avec des certitudes de "vieux cons"). A cette époque, les "guignols" seront devenus des cyclistes aguerris. Ils seront alors eux-mêmes confrontés à des innovations auxquelles ils s'opposeront au nom d'une certaine idée du vélo. J'ai commencé le vélo à l'adolescence, et je suis passé par le cursus classique à l'époque, avec un club, des dirigeants, et un apprentissage du vélo. Et sûrement pas des certitudes. Je le redis, quand j'ai commencé le vélo, 1987, certains coureurs au club s'opposait véhémentement contre les pédales automatiques, car "rien ne valait les cales pieds pour sprinter". L'histoire a tranché. Ainsi va la vie. J'ai vécu moi aussi l'arrivée des pédales automatiques, que j'ai adoptées immédiatement après une première année en cale-pieds. Mais cela n'a rien à voir avec le freinage à disque pour un vélo de route. C'est la première fois qu'une innovation n'apporte pas une réelle avancée dans la pratique du vélo. Même le Di2 peut-être adopté pour tous les types de cyclistes, compétiteurs ou cyclotouristes. Encore une fois, je n'ai rien contre le disque (pour les autres, parce que pour ma pratique je n'y vois aucun intérêt). En très haut de gamme, ça fonctionne aujourd'hui plutôt bien. La prise de poids est limitée (mais bien réelle), et il y a de moins en moins de frottements. Par contre en entrée et en milieu de gamme les vélos à disque sont des brouettes. Alors chacun fait comme il veut, même si je ne suis pas convaincu du réel avantage du freinage à disque (et pourtant on ne peut pas dire que je n'ai pas essayé différents types de freinages à disque). Ce qui est difficilement supportable, c'est la pression mise par les fabricants et par ces pratiquants nouveaux ayatollahs qui ne comprennent pas qu'ils sont simplement manipulés par ces mêmes fabricants.
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Coller au cul des voitures, c'est le meilleur moyen de faire chauffer les disques et de ne plus avoir de freinage avant le bas de la descente. Bref, je n'ai rien contre les disques (chacun fait ce qu'il veut, même Sagan si ça lui chante), mais il faut reconnaître qu'ils sont sacrément mal défendus.
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En fait, les choses sont vraiment prises par le mauvais bout. On voudrait imposer les disques pour des questions de sécurité, mais on n'impose pas de permis vélo, ou du moins un minium d'apprentissage pour apprendre à rouler. Je te mettrais tous ces gars-là en rattrapage dans les écoles de cyclisme moi 😃
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Arrête de te ridiculiser. Je te l'ai déjà dit, tu n'es pas de taille.
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Ce qui est sûr, c'est qu'autour de chez moi, les seuls qui roulent en disque (il y en a un peu plus c'est vrai) ne sont pas obligatoirement des baltringues, mais en tout gars des gens qui ne savent pas faire de vélo ou qui viennent tout juste de s'y mettre. On les reconnait avec leurs gros pneus et le guidon réglé au niveau de la selle. Je ne vois pas un seul type qui avance correctement rouler avec ça, enfin le gars qui aurait vraiment acheté ça par choix. Pour les autres, comme certains modèles de vélos ne sont plus proposés qu'en disque (et donc le choix est limité), c'est effectivement une bonne manière de l'imposer sur les routes.
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C'est en montagne que Sagan forgera sa victoire au maillot vert. Tellement évident. Il y a des points attribués en milieu d'étape, et c'est en s'échappant ou en étant toujours présent quand les autres sprinters seront lâchés qu'il fera la différence.
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Il se posera bien sûr la question. Sagan a l'habitude de forger ses victoires sur le maillot vert en s'échappant dans les étapes accidentées. Mais on tourne en rond. Cela a beau "freiner mieux", les coureur pros mettent des disques quand il n'y a pas besoin de freiner. Là où le freinage à disque serait intéressant, c'est à dire en montagne, ils ne le mettent pas parce que les inconvénients sont supérieurs aux avantages. A partir de là, nous avons toutes les réponses qu'on attend sur l'intérêt des freins à disque.
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C'est plutôt que le nouveau Venge, avec lequel roule Sagan, n'est disponible qu'en disque. Maintenant, nous verrons si en montagne, là où il faut freiner, Sagan roule toujours en disque.
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Oui je sais tout ça, mais LeMond n'était pas n'importe qui. Champion du monde à 22 ans (ça me rappelle quelqu'un), trois podiums sur le Tour dont une victoire à 25 ans, une présence sur les Classiques avant son accident... Bref, il me parait plus plausible qu'il était parmi les champions de cette génération au même titre que Fignon ou Stephen Roche et qu'il a ensuite été dépassé par la génération élevée en laboratoire. Aucun élément ne me permet de supposer qu'il a touché à l'EPO. Il suffit de regarder ses temps d'ascension dans les grands cols, assez révélateurs de la surpuissance des coureurs à partir de l'ère Indurain. Et pas avant. Bernard situe le premier grand Tour à l'EPO sur le Giro en 91. S'il y a une piècette à mettre, elle serait à accorder à Chiapucci l'année précédente, qui se révèle coureur de grand Tour alors qu'il n'était jusque là qu'un gregario. Mais ce ne sont que des doutes et des suppositions. Sûrement pas des certitudes.
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Ok, mais tu parles d'EPO en 1989 expérimenté la première fois par Lemond cette année-là. Si je suis ton raisonnement, cela veut dire que sur ce Tour-là il aurait été le seul à en bénéficier. Et pourtant il ne met "que" 8 secondes à Fignon, que pour l'instant tu ne soupçonnes pas d'avoir utilisé cette substance, et grâce au guidon de triathlète que LeMond était par contre le seul à utiliser. Donc ce n'est pas logique.
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Et les 8 secondes de Fignon, tu en fais quoi ?
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Au moins on ne peut pas dire que tu n'as pas essayé !
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1 kg dans les leviers, 1 kg dans les disques et les étriers 😃
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Je vois plus d'insultes dans tes messages que dans tous ceux qui fustigent l'affaire Froome - à tort ou à raison - réunis.