Bernard PIGUET

Formidable le TDF, cela permet de revoir le paysage, et ce jour je m'aperçois qu'il ont fait une 2e route au sommet, pour vraiment atteindre les 2802 m en AR sans se croiser, alors qu'avant et encore ma dernière vision est de 2017, donc il n'y a pas un siècle, était d'atteindre les 2802 m en AR sur la même route, depuis le col du Restefond. Ah les évolutions, que l'on paie d'ailleurs, au moins on sait ou vont nos impôts. Sinon poursuite de la course, mais je ne les chronomètre plus, c'est effarant et inexplicable de voir les temps réalisés. C'est le progrès dira t-on !

Réponse pour Yves Albert. D'après les consignes de l' OMS, c'est 5 grammes par jour.

Cela fait un bon moment que je voulais te répondre. En fait MERCI les statistiques, mais il manque la première édition de 1982. la plus belle, enfin disons la découverte du monument, que nous avons fait en CLM, car on nous avais fait partir par catégorie, et ma déception fut de ne pas arriver premier sur l'avenue des jeux, car un plus ancien a réussi à garder un petit écart, car je l'ai vu dans les derniers lacets. Enfin la Marmotte était lancée et nous avons pu jouer maintes fois, 9 pour moi et avec bien du plaisir. Finalement, ils avaient fait cette une non informatisés je crois, car dans mes archives je n'ai rien. Et même les quotidiens n'avaient pas fait le déplacement.

Incontestablement, on se porte sur Eddy M.... En 2003 à l'annonce du 100e j'avais rédigé un article d'une bonne page et en voici un extrait : Après une transition un peu pâlotte, « Le cannibale » entra en scène, celui là vaut l’ouverture d’une parenthèse, tant il fut le plus grand, l’incomparable, l’auteur de saisons d’enfer, victoires dès le mois de mars, toutes les classiques printanières, les 2 grands tours, les mondiaux, le lendemain d’un tour de Lombardie victorieux, il s’arrêtait encore de l’autre côté du Léman, pour participer aux 2 manches de « à travers Lausanne » pour l’emporter, et ce n’était pas terminé, il enchaînait avec les 6 jours pour tenter d’être sur la première marche avec Patrick SERCU. Bien entendu je n'avais commenté que les tours d'après guerre, car nous n'avons pas le regard voulu sur les années 30, continuons à suivre les événements et à compter les points.

Le sujet lancé par Serge au départ dévie un peu. Massage au départ d'une sortie ? Bien entendu ! Surtout en début de saison et des premières sorties cuissard. Il semble logique de satisfaire ce confort. Parmi vous certains parlent de monter le Ventoux à la fin du mois, alors je leur souhaite d'avoir adopté le cuissard et d'avoir au moins les genoux enduits d'embrocation. Après plus sérieusement quand l'on passe une nuit dehors, ou encore pensant que l'on va prendre une ondée, cela devient un confort indispensable. le vélo et sa pratique peut conduire très loin.

Très belle semaine dernière avec 240 bornes en 6 sorties. Avec l'élan je continue, lundi 33 km avec le vent Africain, mardi (hier) vent plus ouest et assez fort 37 km, et aujourd'hui vent passé au nord et bien plus frais, donc avec collant long et manches également, 36 km avec nuages au début puis ensoleillement. Alors je mijote un 5000 annuel, car ce jour il me manque 60 pour les 4000. Il faut avoir des objectifs !

MERCI Alain de ces précisions, je sais que tu étais au coeur de l'organisation, et nous patienterons, je me suis également relu, et je fais une erreur, c'est en 1995 qu'il y avait 1245 km à se coltiner, l'histoire n'est pas facile à suivre, donc pas faire de fautes de frappe. A plus tard pour la suite

Jean Marc, Tu es l'auteur de ce sujet, alors je vais te répondre du mieux possible. PBP est une longue et bien entendu belle histoire, qui a engendré je ne sais combien de livres, sans parler de innombrables pages de mensuels. Alors, cela devient compliqué avec le nombre de candidats, qui étaient porteurs d'un numéro de 4 indices : 1 lettre majuscule suivie de 3 chiffres, curieusement les lettres sont innombrables, A,B,C, D, E, et j'en passe il y a aussi Q, Y, W. Incroyable, fini le temps des 3 départs, et les rapides savaient qu'il fallait partir dernier. Donc, j'ai revu la question le "Ricain" avait un A et est donc parti 16/17' avant les B, qui l'ont rejoint et sont arrivés ensemble à Brest, Enfin il faudrait le CR complet, attendons. Quant à l'histoire quelques anciens m'ont raconté l'origine et l'emploi de la RN 12 ( route des poissonniers) donc devenue dangereuse avec le temps, et jusqu'à 1966 le parcours ne faisait que 1182 km, et puis 1202 en 1971, et curieusement 1245 en 1985. Alors c'est toute une longue histoire, et attendons la suite, si nous l'avons.

Sujet intéressant et qui ne revient que tous les 4 ans. A ce jour, maintenant 1 mois que le départ a été donné, toujours pas de résultats officiels, mais des sites étrangers ont piraté l'organisation et fait paraître des classements. Alors même si ce n'est pas la réalité, je n'ai pu m'empêcher de décortiquer quelques chiffres. 4920 arrivants dans les délais de 90 h, puis curieusement, 195 arrivées hors délais, donc plus de 90 h. Donc 1654 AB. Les premiers ont été rapides, ils doivent vraiment s'arrêter un minimum, le meilleur en 41 h 46, curieusement n'était pas à Brest avec les premiers. Au final 53 temps de moins de 50 h, ce qui n'est pas exceptionnel, les années 70/80 offrent de meilleures statistiques en taux de réussites. Voilà il convient de relativiser aussi, et attendons les chiffres officiels.

Depuis le début de l'année, je me pose la question : " Remco E.... est-il un futur cannibale ? Le Giro nous en privé, et pourtant il y avait les 3 cimes de Lavaredo, comme terrain de jeu, et voilà le résultat du tour d'Espagne. Et bien NON, Remco bon coureur, mais pas un futur cannibale, attendons encor......

Dommage pour Louis, mais s'il reste satisfait sans homologation. J'ai quand même l'impression qu'il y a eu souffrance pour la vague des 70/90 heures. Dominique L... est tout de même arrivé en 94 h 58', je ne sais pas si l'organisation fera des arrangements, car en réalité je ne connais pas les conditions météo exactes qu'ils ont subi. J'ai bien pensé à eux, et surtout le mardi 22 août quand le vent d'ouest à soufflé à 50 km/h pour nous mais 100 km/h en Bretagne. En fait il l'ont fait une semaine trop tôt, avant c'était sur la charnière août/septembre. En fin attendons de plus amples résultats.

OUI, grâce aux archives écrites, pour moi je l'ai faite en juin 1974, en gros nous faisions, CF, Murat, Le Puy Mary, Condat, Super Besse, Murol, Puy de Sancy ( en réalité la station du Mont Dore), et effectivement nous venions au péage du PdD, avant de retomber à CF. J'ai noté 297 km et 13 h 25 de route avec 42x52 et 15.17.19.21.23. En fait je ne connais plus tellement la durée de vie de ce Brevet qui effrayait les candidats.

Michel, quand même une réponse. BRAVO pour tes archives, notre C.A.C a connu sa 30e édition en 2013, et nous avons archivé, faute de relève. C'était vraiment un événement pour la région Auvergne. Ah le passé n"est pas remplaçable. Poursuis bien, pour le plaisir.

Jean Claude CHABIRAND vient de terminer son 13e PBP en 88h 37' 02", il était toujours un peu en avance sur Louis, par exemple 2 h 15 à Dreux, donc il faudrait qu'il en finisse. Y aura t-il des tolérances ? Car Dominique LAMOULLER qui lui aussi va terminer son 13e, en est à plus de 90 h et n'est pas arrivé. Vraiment DUR, et nous qui sommes sur des chaises à commenter. A plus tard.

Louis poursuit toujours bien son périple, il est revenu à Fougères en 67 h 35, Donc PARIS avant les 90 h, mais surement avec vent du nord, et est-il avec un bon groupe ? Je ne pense pas que la canicule soit avec eux. Les élites s'en sont bien sortis apparemment, BALOH le Slovène qui avait fait une expérience en 2019, a fini en 42 h 36.