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Michel CREPEL

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Tout ce qui a été posté par Michel CREPEL

  1. Elle ne doit pas voir oublier, "Papy" ! D'ailleurs qui pourrait oublier, cet hymne poignant de Kessel et Druon (sur un texte Russe à l'origine) si ce n'est peut être la nouvelle génération dont la culture concernant l'histoire ne débute qu'aux prémices des années 2000 où au pire au crépuscule du XXème siècle ! Mais ce chant était une ode à la résistance et ne concernait, hélas, qu'une infime partie de la société de l'époque. La guerre c'est comme le sport, "Papy" quand on gagne, tous derrière, lorsqu'on perd, courage fuyons (pour le sport se serait plutôt, harpailler les joueurs et entraîneurs coupable d'avoir failli !). 😉
  2. Pas faux Clémentine, à méditer ! J'ai volontairement cité ces chants, disproportionnés en rapport au combat à mener sur une pelouse, pour le clin d'œil mais également et plus personnellement parce qu’ils sont, pour moi, plus représentatifs, pour certains, de la volonté exacerbée des citoyens d'alors, d'ériger une république, bafouée en certaines occasions à l'image de sa place, à Paname, au centre de laquelle trône la fontaine du Château-d ‘Eau, souillée par les graffitis, barbouillages et dégradations de toutes natures. "Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir", les Français sont désormais à des années-lumière de l'hymne de Marie-Joseph Chénier et Etienne Nicolas Méhul. Ainsi va l'existence !😉
  3. Si j'ose dire, si j'ose dire, "Papy" mon cul, tu aimerais bien lui faire .... la barbichette à Pauline, petit voyou !! 😉
  4. Par essence, c'était le but, en effet, Vivien ! 😉
  5. Oui mais le grand père, n'a plus que cela dans sa vie, ses petits enfants et tous les papys de la terre aiment faire rêver leur progéniture ! Un peu de rêve Guillaume, que diantre ! Oublie un peu le pragmatisme !😉
  6. Mets toi un peu à la place du "gus" de 80 piges qui raconte, 60 ans plus tard, à ses petits enfants, "Quand j'étais jeune, mes petits , j'ai battu Absalon sur une cyclo !!" avec classement certifié sur une feuille de papier A4 de l'époque en bonne et due forme, un peu chiffonné avec le temps ? 😃😉
  7. En outre, elle a bien précisé, qu'elle laisserait sa place à une de ses deux suppléantes si elle ne se sentait pas capable d'être performante ! 😉
  8. 7,99 Euros sur Eurosport Player, pour un mois (reconductible) et tu vois mieux que si tu payais ta place ! Ceci dit tu n'as pas l'ambiance du Mans, mais bon ! En dehors des "24 heures", tu bénéficies de pas mal de compétitions dont le cyclisme, bien évidemment, avec les deux meilleurs consultants, "Moncoucou" et Jacky accompagnés d'Alex Pasteur ! 😉
  9. Rémission tardive qui n'a nullement évitée la récidive fatale ! 😉
  10. Après les caméras ne s'attardent pas trop sur les différents groupes tels les LMP2 ou les LMG (excepté les grosses bagarres finales) et ce même si Eurosport a fait un énorme effort par rapport à ce que nous diffusait France Télévision. Je les regarde en fil rouge depuis, d'ailleurs sur Eurosport-Player.
  11. Profitons de la première heure de course pour l'apercevoir car après c'est chocolat ! 😉
  12. Froome, Henao, Thomas, Intxausti, Kiryenka, Landa, Nieve, Roche, Pools, plus Kennaugh, Stannard, « Kwiatko », Nordhaugh, König … je ne voudrais pas être à la place de Dave Brailsford !😉
  13. Ces compétitions Européennes ou Mondiales font ressurgir en moi une anecdote savoureuse qui m’est arrivé lors de la Coupe du Monde 1974 en Allemagne. Un après-midi, si j’ai bonne mémoire j’assistais à la rencontre Pays Bas – Brésil dans le foyer réservé aux cheminots de l’époque où se côtoyaient toutes les composantes de la Société Nationale des Chemins de Fer Français à savoir, accompagnateurs, chefs de train, contrôleurs, conducteurs … Personnellement, j’avais goûté à toutes celles-ci mais à ce moment-là j’exerçais en tant que chef de train à la gare de Lyon sur le trafic banlieue. J’étais d’astreinte et je devais donc suppléer à toutes les absences. Cependant, ce jour-là, absorbé par ce match qui opposaient tout de même le tenant du titre Brésilien, même dépourvu de Pelé et de ses stars de 70, cela demeure le Brésil et le favori de la compétition, les « Oranges Mécaniques » de Johan, « Le Magnifique » Cruijff, je manqua à tous mes devoirs de travailleurs assidus en ne donnant pas l’autorisation à ma rame de partir !! S’en suivit un embouteillage monstre, des retards incommensurables, des palabres, des passagers avoinant à l’unisson sur tout ce qui portait casquette, le chef de gare et ses assistants à la dérive courant dieu sait où en « beuglant » des ordres incompréhensibles dans un brouhaha inouï !! Et moi, me direz-vous ? Apercevant cet enchevêtrement de trains sur le départ, ces voyageurs furieux, ces agents de la SNCF dans une *** noire, je pris la tangente en catimini et me rendit au bar des cheminots de la rue de Lyon, notre annexe lucide, tout de même, que je venais de produire mon ultime coup de maître au sein d’une société où l’on m’avait affirmé que pour se faire virer, il fallait vraiment mais alors vraiment oser ! Et bien j’avais sans aucun doute un peu trop osé et je fus congédié in extenso, sans autre forme de procès ! Comme quoi le foot et la passion n’est pas nécessairement compatible avec travail, je l’ai appris à mes dépens ! Et le pire s’avère être que ni les Brésiliens, ni les Bataves ne m’ont offert un lot de consolation qui aurait pu être symbolisé par un titre de Champion du Monde ! Les ingrats ! Ceci accéléra mon départ pour dix-huit mois dans l’Océan Indien !😉
  14. T'as raison "Nanard" moi je préfère la Carmagnole, Le chant du départ, l'Ajaccienne, Ha ! ça ira !!!😉 https://www.youtube.com/watch?v=bo3H1zHgffw https://www.youtube.com/watch?v=1pZHXr4FE44
  15. Les plus belles rencontres de Champion's League étant certainement les confrontations entres le Barça et le Bayern, nous avons peu de chances d'en subir une indigestion. Je préférai les tours à éliminations directes, en effet car aucun club n'était lésé. Je visionnerai certainement plus de rencontres lorsqu'ils useront du procédé de diffusion sans les commentaires avec seulement le son d'ambiance à l'image de ce que fait Eurosport pour le cyclisme. C'est un régal d'être embarqué ainsi au sein d'un peloton sans les vociférations, souvent intempestives et à contre temps, des uns et des autres. 😉
  16. C'est la Cup de l'exercice 69-70, donc 1970, Hervé ! Il a été rejoué le mercredi mais fut moins prenant même si il fallut une nouvelle fois les prolongations pour départager Chelsea de Leeds ! 😉
  17. En effet, tu dois avoir raison mais interroge autour de toi ceux qui se rappelle cette rencontre de Cup, il m'étonnerait que tu en dénombres plus que les doigts d'une seule main, le foot, pour un gand nombre ayant démarrer en 98 et avant, et bien comme dit si bien la pub ... c'était avant, synonyme de "rien à cirer". Mais pas que pour le foot, malheureusement. Bref, tous les "héros" de 66 furent distingués et certains tels Bobby Moore le capitaine libéro ou Bobby Charlton le milieu de légende des "Red Devils" des Busby Babes. Aujourd'hui nous sommes submergés de rencontres de foot alors quhier nous en étions sevrés, ceci explique certainement que dans le lot on y trouve plus son compte aujourd'hui, non ? Enfin, dans les années 50 à 90 pratiquement seuls les rencontres des Français et les finales étaient diffusés. Cela ne laisse que peu de champs d'investigation.😉
  18. Je n'oublie jamais rien ou pas grand-chose en football comme en cyclisme, en tennis ou dans ma liste de commissions, Jacques et surtout pas Hélénio Herrera qui malgré le brio de ses attaquants prônait le cattenacio qu'il, avait bizarrement, appris en France, apparemment puisqu’il y a joué durant toute sa carrière. On a toujours critiqué ce système de jeu mais il a été précurseur de ce que sont désormais les défenses aujourd'hui alors qu'hier celle-ci n'étaient tenues que par des gus dépourvus de la moindre technique ou peu ou prou. C'était de véritables passoires et les buts s'accumulaient (voir les scores). Les clubs transalpins se sont alors appuyés mais pas tous sur le système d'une défense hermétique mais sans omettre la qualité de jeu de ses attaquants, je suis désolé ! Certains ont même réussi à aligner Mazzola et Rivera, Riva, Domenghini et Boninsegna. Le Milan AC de Pratti, Rivera, le "Trap", Schnellinger ou le Suédois Hamrin, par exemple, puisque c'est de lui, en autre dont il s'agit, fut un vainqueur 1969 plein de panache en pulvérisant l'Ajax naissant, mené, pourtant par un flamboyant jeune présomptueux à la longue chevelure auteur de longue chevauchée balle au pied. Ce feu follet, Johan Cruijff, bien évidemment, et sa bande de joyeux drilles étaient encore un peu tendre au crépuscule des sixties. La compétition en 1986 s'est déroulé sous un cagnard et les Européens en ont souffert lors de la fin du tournoi ceci expliquant certainement cela. Citer France Brésil c'est faire peu de cas d'Angleterre Argentine, par exemple, une rencontre dont on reparlera dans un siècle alors que la finale France Brésil ou Paraguay France voir Croatie France 1998 (Qui n'ont vraiment tenu en haleine que les nations concernées), auront, par exemple, depuis bien longtemps été oubliée. Il y a des rencontres de Coupe du Monde qui sans être toujours subjectif eu égard à nos préférences patriotiques demeureront inoubliables et c'est loin d'être le cas des rencontres de ses dernières années hormis peut-être le 7-1 de l'Allemagne contre le Brésil. En club vois-tu, le plus beau match auquel il m'est été donné d'assister est une finale de Cup 69-70, Leeds Chelsea, que feu l'ORTF, diffusait à l'époque avec un Thierry Roland au meilleur de sa forme accompagné de son compagnon de l'époque Bernard Père, friands de l'intensité des rencontres du foot Britannique. 2-2 à la fin du temps réglementaire et prolongation et match d'appui le mercredi 2-1 pour Chelsea après prolongation également. Lors de la première rencontre ce ne fut qu’un incessant aller et retour d'une surface à l'autre ponctué le plus souvent par une occasion de but. 120 minutes d'un telle régime, les gus tombaient telles des mouches victimes de crampes que les copains ou adversaires s'empressaient de circonscrire afin que le jeu reprenne. Leeds était alors l'équipe Star de l'époque avec MU. Billy Bremmer le poumon rouquin Ecossais, Jacky Charlton la "Girafe", le frère de l'autre, Terry Cooper, plus ailier que défenseur latéral gauche, Johny Giles le divin chevelu Irlandais de l'entre jeu et la triplette d'"attaquants Allan Clarke, le beau gosse et les deux flèches Ecossaises, Peter Lorimer et Eddie Gray, insaisissables. En face, seuil Peter Osgood et Ian Hutchinson soutenait un tant soit peu la comparaison. Et pourtant au final, c'est le petit poucet qui remportera la mise avec l'appui de Peter Bonetti, Champion du Monde 66 (barré par le monument Gordon Banks), svp, un portier en état de grâce. J'ai encore en mémoire certaines actions de jeu, c'est dire ! Bon, ce n’est pas tout ça mais j'ai du boulot !😉
  19. Nobby Stiles, le presque chauve haut comme trois pommes était un véritable boucher, il y a aucune comparaison avec Roy Keane qui est un sanguin comme "Canto", mais quelle classe l'Irlandais (je me souviens de l'attentat sur Haaland et ce même si c'est effectivement impardonnable, les provocations subits tout au long de la rencontre par le natif de Cork en auraient agacé plus d'un), quel meneur d'homme et de jeu,, quel présence sur une aire de jeu à insuffler le vent de la révolte lorsque le navire prend l'eau ! "Fergie" en avait fait son capitaine, crois-tu qu'il l'aurait intronisé s'il avait ressemblé au Stiles de 1966 ? J'en doute. Le "fox terrier", Berti Vogts aussi n'était pas un plaisantin, véritable sangsue et tacleur né mais même s'il paraissait toujours à la limite. Tu apprécies certainement Zidane alors que ses 14 cartons rouges sont dus à des agressions et coups de boule ! Pas vraiment un poète non plus ! J'ajouterai que Stiles entouré de trois "Ballon d'Or" à MU (Law, Best et Charlton) devait subir une énorme pression. Andoni Goikoetxea était un poète également, demande au "Pibe de Oro" !
  20. Ok, je n'étais pas remonté jusque là ! En effet, c'était très Irlandais mais également Ecossais ou Gallois et même Anglais, à une époque ! A ce propos, les confrontations entres les clubs Français plus techniques face aux britanniques plus "robustes" tournaient inexorablement à l'avantage de ces derniers qui en fin de rencontre trouvaient toujours la faille face à des Français émoussés par la puissance qui leur faisait opposition. A l'instar du football Galéique, les Irlandais prônaient le physique au détriment de la technique mais ont possédé des techniciens hors pairs tels Gorge Best (Ballon d'Or), Liam Brady les Irlandais, Dennis Law (Ballon d'Or), Gordon Strachan ou Kenny Dalglish, les Ecossais et Ryan Giggs et Gareth Bale, les Gallois. Ce ne sont plus les longs ballons devant pour les "coups de boules" des avants centre "bruts de pomme" comme autrefois, depuis belle lurette, le football Britannique dans son ensemble a évolué. Concernant les étrangers, comme leurs homologues rugbymen, ils privilégient le sérail et nous l'avons constaté à nos dépends lors de la dernière Coupe du Monde rugby où les nations Britanniques, hormis les Anglais (Même si ils possèdent un réservoir impressionnant de très bons joueurs du cru) qui ne recrutent que très peu de ressortissants de l'hémisphère Sud, par rapport aux Français, par exemple, ont tres bien négocié leur Coupe du Monde. Pour revenir à l'Irlande du Nord, les lambdas aiment les "Petits Poucets" cela leur rappellent leur jeunesse ! United a toujours aimé les Irlandais, Roy Keane a longtemps été leur meilleur ambassadeur ! 😉
  21. Je suis Irlandais de par mes origines et je ne comprends pas ton allusion, Guillaume même si je ne regarde pas les rencontres, de poules, effectivement ! 😉
  22. C'est bien ce que je dis, David, sporadique ! Tu ressors une rencontre par ci par là, des divers Coupes du Monde mais dans leur quasi totalité, les Coupes du Monde que je t'ai cité ainsi que celles de 54, 58 ou 62 (sans aller aux prémices) sont également de bons voir très bons millésimes.😉
  23. Quant à beauté du jeu, elle est très subjective dans ce genre de compétitions, voir quasi inextistant ou toatement absente ! Si tu en vu vendredi soir, par exemple, en dehors de quelques étincelles sporadiques, dénombre les moi, Didier ! Depuis 1970 et en quelques occasions comme en 1982 et 1986, la beauté du jeu demeure un leurre ! 😉
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