-
Compteur de contenus
2 919 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Galeries photos
Calendrier
Articles
Tout ce qui a été posté par Michel CREPEL
-
Ha si, Arcalis, autant pour moi ! J'adore de taquiner, tu marches pas, tu cours !😉
-
Non, dans le cyclisme c'est cinq bornes qui changent bien des choses ne serait ce que stratégiquement ! Un Nibali largué à une borne du sommet peut très bien gagner l'étape et le Tour après la bascule, par exemple ! 😉
-
Ce n'est pas la peine de nous bassiner avec le Tour depuis octobre et ne rien connaître du parcours, Didier ! Aucune arrivée au sommet lors du triptyque Pyrénéen comme une astuce d'ASO pour que Froome ne tue pas la course dès le premier massif montagneux ! Ha Vincenzo Torriani, aurais tu fait des émules ! 😉
-
Les Tontons Flingueurs
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Michel CREPEL dans Discussions Route
😉 -
Les Tontons Flingueurs
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Michel CREPEL dans Discussions Route
Lire clique, bien évidemment ! Mouai, quand on veut on peut, il suffisait d'ajouter une boucle dans les faubourgs, je soupçonne plutôt qu'ils ignoraient sa présence (N'est pas Pécheux qui veut) ! Mais ce n'est pas non plus grave de chez grave ! 😉 -
Les Tontons Flingueurs
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Michel CREPEL dans Discussions Route
Rendre hommage à un compagnon du Tour tel Michel Audiard, cela n'aurait pas été un énorme sacrifice pour la clic d'ASO, enfin bref !😉 -
N'oubliez pas le "Giratoire des Tontons Flingueurs" dans Montauban et ce même si les "Grosses Cuisses" vont certainement l'aborder tels de véritables flingueurs !!
-
"Poulidor Premier"
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Jean marc FOURNIER dans Discussions Route
Duel Poulidor - Anquetil : Paris Nice 1966. Plus que l'antagonisme régnant entre nos deux belligérants, c'est l'invraisemblable conflit qui émanent des pro-Poulidor face aux pro-Anquetil qui promet de chaudes et âpres empoignades lors de la prochaine, 53ème édition de la, Grande Boucle (ce Tour fera partie d'une prochaine écriture). Remontés comme des pendules helvètes et profondément excédés par les malversations, dont c'est rendu coupable, comme nous allons le vérifier instamment et de manière objective, le clan Anquetil sur les routes de la Course au Soleil, à l'encontre de « Poupou », les enthousiastes, mais un tantinet revêches, « Poulidoristes » estiment qu'il serait de bon ton que leur brave mais récalcitrant Limougeaud favori terrasse enfin le boulimique et impétueux Normand. A l'inverse, les fiers et orgueilleux « Anquetilistes » gèrent à merveille cette irréversible montée d'adrénaline qui n'est pas sans rappeler, pour les dinosaures de la « Petite Reine », les joutes d'anthologie que se livrèrent, vingt ans plus tôt, les deux monstres Transalpin, Fausto Coppi et Gino Bartali. Un bref mais significatif rappel des faits est nécessaire pour bien comprendre le degré d'animosité qui ébranle la France cycliste en cette année 1966, en pleine Beatlesmania aigue. Après une année sabbatique, opportune mais bien légitime, qui le vit faire l'impasse sur la kermesse de juillet, Jacques Anquetil nous revient tel qu'il nous était apparu un semestre plus tôt, lors de son exemption du Tour à savoir, serein, jovial et indubitablement, fort ambitieux. « Poupou », l'homme-orchestre de toutes les épreuves auxquelles il fait don de sa participation, arbore une mine déconfite. Sa désillusion, ou plutôt sa déconvenue, de l'été 65 face au néophyte « Bergamasque » l'a meurtri plus qu'il ne le laisse apparaître. Le résidant de Saint Léonard de Noblat, est animé d'un sentiment pour le moins cocasse. Dépité, furieux, revanchard, il ne peut, néanmoins, jamais se départir de sa sacerdotale banane qui irrite au plus haut point « Tonin le Sage ». C'est tout le paradoxe « Poupou ». Raymond demeure, malgré les situations les plus dramatiques, d'un optimisme béat. Il n'est heureux et fringuant que lorsqu'il chevauche sa docile monture. Sa passion communicative est telle que tout le bon peuple de France et de Navarre lui pardonne, inlassablement et immuablement ses absences maintes fois réitérées, ses erreurs enfantines voir ses défaillances chroniques. Bref, on lui offre le Bon Dieu sans confession.... Enorme sensation lors de ce Paris Nice 1966. L'irréel, l'inconcevable se produit un 13 mars. Et oui, trois ans après l'assassinat de JF Kennedy et deux avant le meurtre de son cadet Bob, mais aussi trois saisons avant que Neil Armstrong ne foule de ses petons empruntés le sol, jusqu'alors inexploré et vierge de notre cousine la Lune, un autre fait, tout aussi extraordinaire, va se produire sous nos yeux de misérables terriens. L'Ile de Beauté, hôte ô combien enthousiaste, de l'épreuve, chère à Jean Leulliot, sera le témoin privilégié et le théâtre Shakespearien du premier revers, de la déroute même, de « Maîtres Jacques », dans son exercice de prédilection, le chrono, et comble d'ignominie, face à son rival de toujours. Le camouflet engendre les interprétations les plus rocambolesques de la part d'inconditionnels et suiveurs émoustillés et avares d'objectivité. Il est vrai qu'un débours d'une seconde au kilomètre, le premier quintuple lauréat de la Grande Boucle, n'était pas coutumier du fait. En outre, la mémorable punition lui avait été infligé par l'ennemi intime celui qui doit perdurer dans son rôle d'indécrottable souffre-douleur. Les mouches ont changé d'âne, entendons-nous, à loisir, de Bastia à Ajaccio et en échos dans toute l'Europe vélocipédique. Quel affront ! L' « Empereur » détrôné et châtié en Corse, tout un symbole ? Que nenni ! Pour qui connaît, un tant soit peu, le natif de Mont Saint Aignan, d'aucun vous diront que le Normand blessé, humilié et lacéré par la critique que ne manque pas de lui asséner, à grands coups de manchettes sarcastiques, des "journaleux" en pénurie de scoop et dépourvus de matière grise, est tout excepté une victime expiatoire. Au petit matin de la dernière étape, Raymond Poulidor exulte et aspire à une dernière journée de tout repos. Le parcours de cent soixante-dix bornes qui emprunte la corniche entre Antibes et Nice doit satisfaire les desseins de quiétude d'un leader en pleine confiance. On subodore, naturellement, notre « Poupou » national auréolé de cette certitude. Toujours est-il que ce dimanche 15 mars, le Normand usera de tous les expédients, sportifs et, pourquoi le nier, par moment beaucoup plus douteux, pour inverser la tendance et reléguer, une nouvelle et énièmes fois, le Limougeaud au rang qui lui est dû à savoir, celui de Dauphin du Maître ! C'est dans cet atmosphère viciée voir glauque que les rescapés de ce Paris Nice de légende se rangent, un brin penauds, sous les ordres du Monsieur Loyal de l'épreuve. Les premières heures de course sont poignantes, chacun se toise du coin de l'œil. La tension est palpable, le suspense, qui demeure, toutefois, rôde et tâtonne. A croire que le destin capricieux n'a encore pas choisi son camp. Les formations serviles des deux protagonistes sont figées, la moindre erreur, la plus petite incompréhension peut s'avérer fatale à son chef de file. Il serait, en outre, suicidaire de s'attirer les foudres du chef pour une faute d'inattention. La pérennité de la carrière de ces besogneux est à ce prix. Le temps qui passe, inexorablement, compromet d'autant les chances d'Anquetil d'inverser l'inéluctable. Les journalistes, frétillants de la plume, sont aux abois et, en mal de scoop, mâchouillent stylo et crayon, les télescripteurs, ancêtres incontournables mais bruyant de nos ordinateurs actuels, frémissent mais ne frissonnent pas encore seuls, les clans déchaînés, qui bordurent l'étroite chaussée, vocifèrent leurs encouragements ou leur dédain, à défaut de haine. C'est à ce moment précis, en plein marasme tactique, que le « Grand Fusil » ose une approche au sein d'un peloton apathique. Le conciliabule entre Raphaël Geminiani et le leader de Ford France est des plus expressifs, les grands moulinets décrits et la bouche béante et difforme de l'Auvergnat en atteste. Bien qu'infiniment respectueux de « Maître Jacques », Geminiani reste Geminiani. La marche à suivre est in extenso et immédiatement assimilée et adoptée. C'est alors un harcèlement en règle du leader des Mercier. Les Ford sont à la planche et ne relâchent à aucun moment leur étreinte, une vague déferlante s'abat sur la tête du peloton. « Stab », Pierre Everaert, Jean Claude Annaert, Paul Lemeteyer et Jean Claude Wuillemin giclent à tour de rôle, tels des sternes affamées reniflant un ban de sardines en goguette, isolant un peu plus, par la même occasion, le maillot blanc. Sur un de ses énièmes démarrages le Breton de Plougasnou, Wuillemin balance sans vergogne le British des Mercier, Barry Hoban, coupable, à ses yeux, de nuire à l'opération rachat. Bout en train de grand talent, le sprinter d'Antonin Magne, terminera et abandonnera ce Paris Nice vautré dans un fossé. Toutes ces péripéties, plus ou moins légales, n'affectent pas le moins du monde le Normand en revanche pour le Limougeaud, c'est une toute autre histoire. La confiance, accumulée tout au long de l'épreuve et sublimée, en outre, par son exploit de la veille, vacille et commence à prendre l'eau de toute part. L'adversité, pourtant il connaît, « Poupou », d'ailleurs elle jalonne sa carrière depuis ses prémices, par contre, lorsque celle-ci use de tous les artifices, même les moins avouables, pour s'arroger le droit de le déstabiliser, là, il fulmine notre bonhomme. Assailli de tous côtés, Poulidor est à l'orée de la rupture. Une ultime et tranchante attaque d'Anquetil aura, finalement, raison de la résistance du maillot blanc. Ce démarrage subtil et imparable ajouté au barrage savamment érigé et orchestré, de main de maître, par les Ford, ruinera tout espoir de retour du leader de la course. Il parviendra, néanmoins, dans un dernier sursaut d'orgueil, à recoller à la roue arrière du fuyard mais renoncera, finalement, peu après en moins de temps qu'il n'en faut pour le rédiger. Epuisé par les coups assénés et répétés du Normand, de ses équipiers et des alliés de circonstance, « Poupou » abandonnera, à trente misérables bornes de l'arrivée, étape et victoire finale à son rival de toujours. Pour se faire une idée du travail colossal accompli par les Ford lors de cette dernière demi-heure, il convient de rappeler que, outre Jacques Anquetil, bien évidemment, seuls Arie Den Hartog et Bernard Vandekerkhove parviendront à rallier Nice dans les délais. Les autres, tous les autres durent abandonner exténués. A l'arrivée, hors de lui, « Poupou » hurle au complot, avouant qu'il lui serait, à l'avenir, terriblement ardu de remporter des courses contre ce « Patron renégat ». La France cyclisme est en feu, une deuxième « guerre de religion », renaît de ses cendres, en quelque sorte. Le Tour qui se profile à l'horizon nous suggère des chaleurs incandescentes en perspective. Dorénavant, et à partir de ce 15 mars, « Poulidoriste » et « Anquetiliste » ne parleront plus le même langage. Michel Crepel -
"Poulidor Premier"
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Jean marc FOURNIER dans Discussions Route
😉 -
Tour de France - Etape 3
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume EDMONT dans Discussions Route
Je l'ai fait exprès, je sais c'est un Breton comme moi, mais je sais aussi par expérience que dans les jury, en général, on est pas toujours au parfum des nationalités même si concernant le Tour je m'avance un peu sans doute. Concernant le béret, il n'a plus cours quant à la baguette, ellle n'a plus la saveur d'autrefois. Et si je vais au bout de ma pensée, les Bretons ne se sentent pas vraiment Français, c'est le moins que l'on puisse dire (A l'instar des Corses et des Basques)! Quoiqu'il en soit cela ne change pas grand chose au fait qu'il méritait plus l'Alsacien. Ceci clos, enfin pour moi, un débat stéril, tu en conviendras, Guillaume !😉 -
Tour de France - Etape 3
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume EDMONT dans Discussions Route
A parité, Guillaume, je l'aurai donné à Fonseca car c'est l'instigateur de l'échappée ensuite il attend Voeckler sans cela, peut-être que le Français n'aurait sans doute pas fait le "Fanfaron" dans le final. Fanfaron car le coureur de Jean René, connaît toutes les ficelles du job et sait pertinemment que le jury (qui somnole durant toute la durée d'une étape de plus de 200 bornes plate de surcroît) se réveille aux 20 voire 30 bornes et décide alors ! Enfin, il n'a pas nécessairement besoin d'une énième distinction somme toute anodine pour lui mais sans doute importante pour un coureur qui rame pour se faire connaître. Et pour terminer, cela aurait mis un grand coup de pied au cul à ceux qui pensent (comme moi) qu’à égalité ou en léger désavantage en France, on donne la prime au "Cocorico" ! Pour un pays hôte c'est tout excepté chevaleresque l'une des entités bien spécifique de ce sport !😉 -
Tour de France - Etape 3
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume EDMONT dans Discussions Route
Je ne parlais pas ici du choix du jury de le décerner à un quelqconque coureur mais dans le choix final qui a été donné de choisir entres Fonseca et Voeckler !!!! Capito Guillaume ? Ce n'est pas du tout la même chose et enfin si tu désires connaître mon avis sur la question, je supprimerai carrément ce prix de la combativité (arbitraire à souhait) car chaque coureur quelqu'il soit, à des niveaux divers, bien évidemment, fait preuve de combativité pendant trois semaines qu'il soit leader, équipier, sans grade, doué, moins doué, blessé, meurtri dans sa chair ou dans son crâne !!!! Maintenant cela fait un sponsor de plus à arroser !😉 -
Tour de France - Etape 3
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume EDMONT dans Discussions Route
Relis mon message avant de t'exciter comme une puce en chaleur et dis moi ce qui te chagrine dans le fait que Durand n'ait pas désiré proclamer le nom du vainqueur, objectant que le verdict lui semblait quelque peu dirigé ?😉 -
Le Cav salue ses nombreux détracteurs
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Discussions Route
J'aime aussi ça manière de se foutre en pétard à la Hinault, ça fait bizzare, tu m'suis, Steven ? 😉 -
Tour de France - Etape 3
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume EDMONT dans Discussions Route
Très partial ou partisan, au choix, à mon avis à tel point que Durand n'a pas désiré donner le nom du vainqueur de ce prix, aujourd'hui ! 5mn en 10 bornes soit Fonseca marchait à côté de sa bécane, soit Voeckler a emprunté une motoyclette ou plus probable, Fonseca l'a attendu ! Soyons sérieux ! -
Et bien que de connaisseurs !!!😉
-
Et bien que de connaisseurs !!!
-
Le Cav salue ses nombreux détracteurs
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Discussions Route
Les victoires du "Man of Man" sont indiscutables, plus en tous les cas qu'un prix de la combativité décerné à Voeckler ! 😉 -
La "Kermesse de Juillet", pas le Grand Pardon ! 😉
-
Oui elle a foiré ta bordure ! Sur Eurosport Player Cycling National Tour on évite les commentaires et les pubs, quel plaisir pour les oreilles !😉
-
Matthias Sammer sortait d'un Euro où il avait été titré et élu meilleur joueur. Champion d'Allemagne avec Dortmund, il remportera la Champion's League, la saison suivante donc, on peu sensément lui accordé ce privilège. Pour Pavel Nedved que j'adorai, c'est pour l'ensemble de son oeuvre et pour Fabio Cannavaro, il l'a obtenu en réparation des oubliés, Paolo Maldini et Franco Baresi ! En revanche, le plus incompréhensible, c'est peut être que David Beckham ne l'ait pas obtenu en 1999 en ayant remporté, la Première League, la Cup, la Champion's League et le Championnat du Monde des Clubs. En outre, un "gus" tel Edson Arentes Do Nascimento aurait très bien pu concourir pour une douzaine (58/70) de "BO" et le "Pibe de Oro" pour une bonne demi-douzaine. Inesta, dans l'ombre dans le sens où après coup on se dit, mais bien évidemment Messi la classe avec un grand C mérite amplement le "BO" avec la saison qu'il a réalisé, l'enfoiré !! ... maiiiis Inesta whaouu, quel putain de joueur, tout de même, bordel de ***! Capito Giacomo ? 😉
-
Les séquelles et même si je ne l'apprécie plus autant que naguère, je continue à le suivre à l'instar de toutes les autres disciplines même si pour certaines, Olympiques, par exemple, c'est plus ardu du fait que les journaux et autres sites à vocation sportive ignorent celles-ci le reste du temps ! On est pas Mancunien depuis 1958 et Nantais depuis 1962 sans mater ce qu'ils font tous les WE, Steven ! 😉
-
Nous sommes samedi 02 juillet et le Tour de France s'élance aujourd'hui, mais où est passé le STARTER et ses 😇😢😳🆒🤐😃😕📢😆😲🙄😠 !!!!!!
-
Michel Polnareff fsur le Tour à "village départ"
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Jean marc FOURNIER dans Discussions Route
Oui Jean Pierre, c'est comme nous avec nos discours de "vieux cons" !😉 -
Michel Polnareff fsur le Tour à "village départ"
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Jean marc FOURNIER dans Discussions Route
Oui et puis lui, ma foi, montrait son cul à des millions de gens en guise de contestation et ne se planquait pas derrière un pseudo sur un forum anodin que seuls les initiés parcours ! Voilà, voilà !😉