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Michel CREPEL

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Tout ce qui a été posté par Michel CREPEL

  1. Et assidus de l'anneau de SQY, cher à notre ami Jean François "La Guibole" ! 😉
  2. Oui, c'est un Réginaburgien !😉
  3. Je suis peut être irascible concernant les Français, normal me direz-vous, je ne suis pas "Rital", "Espingoin" ou "Teuton", en revanche je suis magnanime lorsque certains m'épatent et c'est bien le cas en ce qui concerne la fratrie des Turgis, Anthony, Jimmy et Tanguy !! 😉
  4. Pas faux, Nicolas, cela risque d'être Granguignolesque comme tout se qui se déroule en France depuis déjà trop longtemps, hélas !😉
  5. Le sage, a parlé, et n'y vois aucune pointe de sarcasme, ni d'ironie de ma part, Guillaume, et comme d'habitude c'est un appel sincère et ma foi obligé au débat que doivent expressément tenir les parties concernées afin de parvenir à un consensus pour que de telles ignominies, cessent ou ne s'accentuent pas, comme cela a tendance à être le cas, à défaut de ne plus se reproduire. Pour la petite histoire, je me rend compte moi-même que, souvent afféré à rédiger des papiers sur mon ordinateur, je ne prête que très peu voir aucune attention, au monde ni aux gens qui m'entourent et lorsqu'on sait que la nouvelle cause des accidents de la circulation est due à la rédaction de sms ou à l'écoute de messages par l'entremise de smartphones et autres iPhone ou mobiles (Par oreillettes), j'imagines assez les "saute ruisseau" lancés à vive allure sur des boyaux acérés de quelques millimètres jouant aux funambules en compagnies de véhicules quel qu’ils soient sur un macadam parfois parsemé d'anfractuosités accidentogènes et surtout si un gus bien à l'abri dans sa caisse affublé de décalcomanies publicitaires t'annonce en te vilipendant que "t'es à la bourre, connard" !😉
  6. avant de se rejeter celles-ci à la face ! Le p’tit monde du cyclisme reste sous le choc après la grave chute collective provoquée par des motos de signaleurs samedi lors de la troisième étape du Tour de Belgique Verviers-Verviers, dans la descente du Mont Rigi. Plusieurs coureurs ont été transportés à l’hôpital ; notre compatriote Stig Broeckx est toujours dans le coma. ... avant de se rejeter celles-ci à la face !! Deux mois après le décès d’Antoine Demoitié sur les routes de Gand-Wevelgem, il est clairement temps d’agir. L’Union cycliste internationale (UCI) a, par exemple, annoncé sa volonté de réduire le nombre de véhicules en course et de diminuer la puissance autorisée des motos. Il y a unanimité sur l’urgence de trouver des solutions. Mais pas sur l’établissement des responsabilités. Certaines voix discordantes se font entendre. Samuël Grulois a rencontréLucien Van Impe. Pour le dernier vainqueur belge du Tour de France (en 1976), par ailleurs ancien directeur sportif, les coureurs ont des droits mais aussi des devoirs une fois la course lancée. "Jusqu’en 2013, j’ai été directeur sportif. Et bien, quand je passais le peloton avec la voiture d’équipe, j’avais beau klaxonner et faire du bruits, les coureurs ne bougeaient pas ! " s’offusque-il. " Ce sont surtout les jeunes coureurs qui ne pensent à la dangerosité de la situation. Vous savez, dans un peloton, même quand on discute, quand on rigole, on roule à 40 km/h. La moto qui doit dépasser est obligée de rouler 10 ou 20 km/h plus rapidement, à 50 ou 60 ou 70 km/h… sinon elle ne passe pas !" Marc Madiot, le manager de l’équipe française FDJ, s’est récemment plaint d’assister à une "robotisation" des coureurs, de plus en plus souvent focalisés sur leur compteur avec leurs watts et leur GPS, leur oreillette aussi, et de moins en moins souvent concentrés sur la route. Lucien Van Impe acquiesce. " Oh oui ! Mais un coureur professionnel doit sentir si un véhicule se trouve derrière lui ! D’autant plus si ça klaxonne. Mais trop souvent, ils parlent, s’amusent avec les autres." Et quand on demande à l’Alostois si ce balai interminable de motos est vraiment nécessaire, la réponse fuse. "En 15-20 ans, le décor a changé. Avec les bacs à fleurs, les potelets, etc. il faut des motards pour signaler les dangers, c’est obligatoire. Alors, oui, il y en a sans doute qui prennent parfois trop de risques, c’est certain. Mais pour la plupart, ils font correctement leur boulot ! En fait, il y a 50% de responsabilités chez les coureurs et 50% chez les motards." Entrevoit-il une solution ? "Le risque zéro n’existera jamais, c’est impossible. Pour moi, la priorité absolue, c’est que le régulateur qui se trouve juste derrière le peloton soit un ancien coureur expérimenté qui connaît bien les parcours. C’est lui qui autorise ou non un véhicule de dépasser le peloton. C’est donc lui qui détient, en partie, la clé du problème." Belga
  7. Oui, je lui ai expliqué au Ch'ti par MP ! 😉
  8. Tiens, j'ai pensé à toi, "Papy", j'ai eu Bruno sur Facebook pour le 31 ! 😉
  9. Après trois semaines d’un « combat douteux », quant à son issue, acharné et intense, le 99ème opus du Giro d’Italia (Tour d’Italie), premier chaînon du triptyque Européen a dévoilé, ce dimanche, le nom de son César version 2016. Vincenzo Nibali, puisque c’est de lui dont il s’agit ne déparera pas le moins du monde à ses devanciers, bien au contraire. Par certaines de ses attitudes et ses élans de générosité dans l’effort, le Sicilien a rappelé à certains sages de ce sport, des figures de légende qui naguère ont illuminé leur adolescence morose, amère et par trop douloureuse de l’après ou du juste avant-guerre, tels Gino Bartali, le « Pieux » ou Fausto Coppi, le « Bien-aimé ». Seule la présence au firmament de leur discipline de ces deux pygmalions des temps modernes, philanthropes des causes perdues, leur a permis de surnager à l’effroi de cette période glauque. Sans le côté dramaturgique née de la situation de l’époque, le « Squale de Messines » a réinjecté, en cette fin de semaine jouissive, à des milliers de tifosi, la passion de notre sport qui, même si elle ne les avait jamais vraiment abandonnés, ne transcendait plus par les actes homériques et épiques, cette foi que ces derniers avaient déployé en elle durant maintes et maintes années. Vincenzo Nibali, décrié par nombre de ses anciens adorateurs a prouvé, une nouvelle fois, contre toute attente et malgré les obstacles et les tracas inhérents au sport cycliste qui ne l’ont, pas plus ni moins épargné qu’un autre lors de ces derniers jours, que la rage de vaincre et le panache qui sied tant à son tempérament volcanique exacerbé et dont il a sans cesse été animé, n’était pas le seul fruit de notre seule imagination fertile. Sublimé et ô combien protégé par une cohorte de légionnaires tout acquis à sa cause, le lauréat des trois grands Tours est parvenu à redresser une situation des plus compromises, il y a trois jours encore. Le Sicilien inscrit donc un second Tour d’Italie, après 2013, à sa moisson de Grands Tours (Quatre, 2 Giro 2013-16, 1 Tour 2014 et une Vuelta 2010, série en cours) qui commence à devenir significative et suffisante pour figurer dans la hiérarchie restreinte des meilleurs coureurs de grands Tours de l’histoire du cyclisme. Ce 99ème Tour d’Italie aura, également, démontré que l’absence des « cadors » de la discipline n’a nullement nuit à la passion ressenti pas tous ceux qui ont assisté, de près ou de loin, aux joutes souvent épiques que ce sont livrées les acteurs de cette pièce en trois actes où rien a manqué. Toute la diversité de notre sport est apparue lors de ce Tour d’Italie. Des emballages de grand standing orchestrés par les formations les plus accomplies du moment en matière de convois à grande vitesse et conclus par les, sans l’ombre d’un doute, plus efficients artificiers, véritables « hurdlers des aires d’arrivée » de ces cinq derniers saisons, les Teutons, Marcel Kittel, le « Déménageur d’Amstadt » et André Greipel, le « Gorille de Rostock », respectivement vainqueur de deux et trois étapes et à un degré moindre, un troisième représentant d’outre Rhin, Nikias Arndt qui bénéficiant de circonstances avantageuses s’est octroyé la plus symbolique et la plus honorifique des étapes, celle de Turin, terme de cette 99ème édition. Des baroudeurs, Tim Wellens, Gianluca Brambilla, Giulio Ciccione ou Matteo Trentin qui, trop souvent revus aux abords des aires d’arrivée, sont parvenus, à force d’abnégation, de persévérance et d’acharnement, à finalement nourrir leur dessein originel en couronnant tant de sacrifices par la conquête d’un « Graal » inespéré. Des puncheurs hétéroclites aptes à saisir toutes les bonnes et rares occasions pour devancer les « grosses cuisses » à l’approche de leur sacro-saint terrain de jeu, sont apparus vifs, efficaces et opportuns, tels Diego Ulissi ou Roger Kluge et ne regretteront certainement pas d’être venus. Les maîtres de temps, Tom Dumoulin et les invités surprises Primoz Roglic et Alexander Foliforov qui, de leur capacité à maîtriser ce dernier tout en gérant l’effort déployé sont parvenus, à leur tour, à accéder à la caste très prisée mais encore extrêmement confidentielle des esthètes de l’effort solitaire. Enfin les montagnards leaders ou non, équipiers valeureux ou sans grade en perdition, trop juste pour figurer au sommet de la hiérarchie de l’épreuve se lançant aveuglément, à corps perdu au sein de raids, dits suicidaires et qui, par l’entremise d’un attentisme effréné et parfois coupable des leaders en place dénichent au plus profond d’eux les ressources nécessaires pour hisser le petit au bout comme sont parvenus à le réaliser, Mikel Nieve ou Rein Taaramäe. Demeure le haut du panier à savoir, ceux qui par essence ou par défaut ont été choisis, parfois arbitrairement, pour animer les trois semaines de course et qui, nantis de capacités aptes à leur prédire une place au soleil y sont parvenus, y ont laissé des plumes ou bien se sont liquéfiés à mesure des difficultés rencontrées tout au long d’un parcours inhospitalier semé d’embûches de pièges et de rets de toutes natures. Comment ne pas citer en premier lieu le « Dindon de la farce » en la personne de ce Néerlandais, issu d’un village du Brabant, Nuenen, célèbre jadis, pour avoir été le cadre de l’Opération Market Garden, qui tenta en partie d’œuvrer à accélérer le processus de libération de notre vieille Europe, j’ai nommé, Steven Kruijswijk. Dernier joyaux, survivant, d’un écrin d’où sont éclos les Robert Gesing, Bauke Mollema, Stef Clement, Thomas Dekker ou Martijn Maaskant voir Jos Van Emden, cet éternel espoir qui n’a pour référence qu’un modeste titre de Champion des Pays-Bas Espoirs en 2009 et accessoirement un aléatoire succès lors de l’Artic Race of Norway 2014, s’était depuis deux ans, révélé au yeux du grand public en se montrant omniprésent à l’occasion du Giro, épreuve extrêmement exigeante, s’il en est. Ainsi, lors de l’édition précédente, Steven Kruijswijk fut de toutes les envolées et inspirations décisionnelles des favoris patentés et surtout lors de la troisième semaine qui s’avéra infernale dans sa physionomie et lors de laquelle, généralement, les plus faibles s’éteignent immuablement. Septième à Milan, il n’en fallait pas plus pour voir la cote du Batave remonter avec fulgurance. Même si son quinzième accessit lors de la « Kermesse de Juillet » accompli, un peu moins d’un mois après un effort extrême de trois semaines, n’est évidemment pas étranger à cet état de fait. Le plus ardu étant de concrétiser les espoirs placés en lui, Steven Kruijswijk ne mit pas longtemps à démontrer à ses détracteurs, que ceux-ci n’étaient nullement usurpés, loin s’en faut. Fin tacticien, il parviendra à atteindre les contreforts de la troisième et décisif semaine dans l’aspiration du « Vétéran » Murcien Alejandro Valverde et devant le favori déclaré de l’épreuve, le Sicilien Vincenzo Nibali. Le week-end lui sera suffisant pour s’affirmer comme le nouveau patron de l’épreuve chère à Eugenio Camillo Costamagnana et Tullo Morgagni. Sans cependant s’adjuger la moindre étape et privé d’équipiers lorsque la course s’animait, il régentera, alors, celle-ci à la manière d’un orfèvre rompu à ce genre de, pour le moins, délicate posture. Seul ou peu ou prou, il atteindra sans heurts l’ultime week-end en ayant, en outre, accru son pécule temps de façon substantielle. Trois minutes, il n’en fallait, évidemment pas d’avantage pour anéantir toutes velléités belliqueuses de belligérants en quête de rédemption, à l’image d’un Vincenzo Nibali, atrophié par l’enjeu ou en proie à une condition précaire, d’un Esteban Chaves parvenu là où, dans ses rêves les plus extravagants, il n’aurait jamais songé se retrouver voir d’un Alejandro Valverde, à qui l’on apprend plus à faire la grimace et qui avait accepté, de bon gré comme de coutume, depuis quelque temps déjà, la supériorité écrasante du citoyen de la nation des polders. Le cyclisme peut souvent se montrer cruel et parfois même odieux et révoltant, injuste et même diabolique mais quelque part, c’est ce qui fait aussi son charme. Démoniaque, machiavélique, certes, j’en conviens mais la dramaturgie fait partie intégrante de la « Petite Reine » depuis la nuit des temps et Steven Kruijswijk l’a appris à ses dépens ce vendredi 27 mai 2016. A la bascule de l’abominable Colle Dell’Agnello (Col d’Agnel, c’est moins porteur) au détour d’un lacet anodin, alors que le danger semble passé, une furtive mais ô combien coupable absence de concentration et soudain le trou noir, le néant, l’apothéose tant attendue subitement piétiné et sacrifié, bien malgré lui, sur l’autel de la malchance. Comment se relever après pareille désillusion, après une telle désolation. La congère de neige ayant eu raison du Néerlandais, dans le même temps, à quelques hectomètres en aval, Vincenzo Nibali régénéré profitera de l’aubaine pour s’offrir un final digne d’un « Marc Antoine » libérateur de tout un peuple. Relégué sur le quatrième strapontin, le second étant réservé à l’Andin de service, Esteban Chaves, la dernière place sur la boîte reviendra à celui qui fait souffler le chaud et le froid au sein de la communauté des pseudos bien-pensants de ce sport pour sa propension à s’octroyer des victoires. Une fois de plus, Alejandro Valverde nous aura bluffé. A la retraite du Murcien, je réserverai la primeur à la communauté suscitée, un récit de ses exploits. S’il fallait libellé ou millésimé, ce Tour d’Italie à la manière des vins, je situerais à la limite des bons et des grands crus. Mais pour être tout à fait complet, j’ajouterai pour terminer que la dernière semaine fut un excellent millésime !
  10. Au premier degré, sans aucun doute ! Maintenant, je lui laisse le bénéfice du doute pour savoir réellement si ce n'était pas pour attiser ou pour prolonger la discussion et relancer le débat ! Apparemment c'est un de nos amis d'outre-Quiévrain mais je ne le connais pas, donc, je ne peux juger et le post est clos apparemment, dommage ! Toutefois, je ne tiendrais jamais de tels propos ! Sur un autre sujet, dis moi tu n'aurais pas usé de tes dons de marabout pour jeter un sort à Nizzolo, par hasard ? 😉
  11. Idem, mais il a revisité la formulation qui n'est pas dénuée de bon sens, Franky !
  12. Révises tes sources et on en reparlera, je dois m'absenter, Giro oblige ! A propos, quelle finale de *** hier soir, c'est de pire en pire ! 😉
  13. Le fait d'être caustique envers les cyclistes Français, comme cela m'est arrivé avec les footeux, dans une seconde vie, est propre à mon expérience passée que je n'aimerais pas voir ressurgir au travers de mes de mes condisciples plus jeunes. On pourrait dire que je suis de la trempe du "Blaireau", le talent en moins, bien évidemment ! Si je suis plus virulent envers nos couleurs que je le suis à l'égard des étrangers, c'est étrangement, pour certains apparemment mais non pour mes amis qui me connaissent mieux que ce que je ne laisse apparaître, parce que je suis Gaulois et que les étrangers, je n'en ai rien à battre, sportivement parlant, bien entendu ! Alors si les fouetter dans leur orgueil, que certains ont souvent mal placé, pouvait (dans l'abstrait car ils ne lisent pas les posts de Vélo 101, ça se saurait) leur donner le coup de fouet nécessaire à leur carrière, même au détriment des hypothétiques liens de camaraderie que je pourrais bénéficier en me livrant à l'indécrottable tradition Française de la "brosse à reluire", je serais satisfait, pas plus, pas moins ! La réponse du "Blaireau" à ma question, "Pourquoi ne pas avoir pris en charge une formation professionnelle ?" - "Mais personne ne voudrait intégrer une équipe dont je serais le manager !" ou quelque chose comme ça puisque cela date de la fin des années 2000, environ ! Maintenant, je n'ai jamais été fan (comme vous l'entendez, comme toi de "Pozzo", par exemple) d'un coureur plus qu'un autre car dès que tu supportes un acteur c'est nécessairement, même si tu ne t'en rends pas vraiment compte au détriment des autres. On s'en aperçoit tous les jours sur le forum. Si je loue le professionnalisme de Valverde que j'ai exécré dans les années 2000, c'est que c'est un coureur de classe qui n'avait pas nécessairement besoin de plonger le doigt dans le pot de "Grande ou Bonne Maman" pour se montrer le meilleur et il le prouve encore à 36 balais. Comme le suggèrent les "baroudeurs" du site tels "JG", par exemple, son palmarès aurait été tout autre s'il n'avait pas commis cette erreur et je ne suis pas loin de le croire. Un athlète surdoué, bandit de grand chemin à un moment donné mais qui fait ensuite amande honorable et régente ensuite sa discipline et qui la survol encore et toujours à 36 piges, malgré ses déboires passés, chapeau l'artiste ! 😉
  14. Mais je sais tout cela, Didier et affirmer, pour ma part, que la majorité de ces gamins, plus tard, se tourneront plus volontiers vers le foot que le cyclisme est ce faire de l'anti français primaire ? 😉
  15. Donnes moi un exemple de mon anti Français primaire pour voir ?😉
  16. Ce sont des épreuves se déroulant en semaine et en hiver (printemps légèrement en retard des les régions empreintées), pas en plein été et sur la route des vacances. Quant à anti-français, tu te permets certaines audaces ....😉
  17. Tu parles en farouche et primaire défenseur du Tour, "Didi" sans prendre le temps de lire ce que j'écris. Je n'ai jamais affirmé que les Français n'aimaient pas le Tour, ils l'adorent bien évidemment mais pas de la même manière que toi ! Pas pour son côté athlétique, ni pour sa notoriété et encore moins pour son histoire et sa légende, ça ils s'en contre foutent mais essentiellement pour le plaisir qu'il va leur donner à l'instant T ! Moi-même j'apprécie énormément la Grande Boucle, mes dizaines de "papiers" sur lui en sont témoins néanmoins, il a mué et pas de la manière dont j'aurais souhaité qui le fasse ! Mais ça c'est un problème qui ne concerne que moi et mes désirs de "chevauchées fantastiques" quelques peu chimériques aujourd'hui !😉
  18. Surtout ne dit pas que le cyclisme n'a jamais été aussi populaire que le foot, Fabrice car, pour ta gouverne, le foot et le vélo existait avant 98 et je peux t'affirmer que le vélo était le sport le plus adulé en France, il n'y a pas si longtemps encore ! Il n'était pas rare de voir trôner, sur le bahut de la cuisine ou de la salle à manger des familles Françaises, au sein même des leurs, la photo de leur coursier préféré affublé de leur sobriquet ! Ont ils des surnoms affectifs les sportifs d'aujourd'hui ? Que nenni ! Pour le dopage entres les footeux et les cyclistes la seule différence est que les uns sont contrôlés de manière stakhanoviste et spartiate et les autres avec un effet de dilettantisme sournois prôné par l'argent roi ! Voilà la différence ! 😉
  19. Ne prend pas le Tour comme exemple, Didier, car tout Tour qu'il est, il n'est absolument pas représentatif de l'engouement de la France pour la "Petite Reine", pour le spectacle et la fête, je n'en disconviens pas, alors qu'il devrait être son étendard ! Il est loin de l'être comme peut l'être le Giro et la Vuelta pour les tifosi et les aficionados ! Pourquoi à ton avis dit on tifosi pour les Italiens et public pour les Français lorsque les journalistes parlent de la présence des autochtones au bord des routes ?😉
  20. Le cyclisme n'est pas une science exacte, Claudio ! On ne peut prévoir qu'elle sera le paysage vélocipédique de demain tant l'émergence de certains jeunes est imprévisible. Parfois, ils se découvrent sur le tard à l'image de Chris Froome ou de Steven Kruijswijk, même si ce dernier faisait partie de la charrette des "bébés" de la Rabobank au même titre que les Robert Gesink, Bauke Mollema, Stef Clement, Thomas Dekker ou Martijn Maaskant voir Jos Van Emden. La couveuse a laissé beaucoup de ses nouveaux nés sur la route mais certain tel Kruijswijk, notamment, se sont accroché aux branches et ont survécu. Les autres, hormis Bauke Mollema, le plus talentueux de tous, végètent ! Les Italiens, pour leurs parts, c'est quand vous les croyez morts, qu'ils ont le don de vous balancer à la face un jeune présomptueux qui de par son tempérament latin et impétueux vous irradie de sa générosité et de son panache, tels Nibali ou Aru ! L'Espagnol se trouvent peu ou prou dans le même cas mais abondance de bien nuit parfois et posséder trois joyaux n'est pas une mince affaire pour que les jeunes pousses puissent se dégotter une place au soleil. Mais le gène est toujours bien présent chez nos voisins ibères, ne l'oublions pas, ce serait une erreur. Les Belges sont fidèles à eux-mêmes, toujours présents et jamais pris au dépourvu lorsqu'il s'agit de dénicher des flahutes de talent. Ne possèdent ils pas les trois meilleurs chasseurs de classiques de tous les temps ? Il bénéficie également de l'aura du maître de la spécialité alors effectivement pour les épreuves par étapes dans un territoire dépourvu de montagne, il n'est pas aisé de couver des chamois ou autres mouflons ... 😉
  21. Oui enfin Degenkolb, ce n'est pas non plus un branquignole ! Peut-être lui faut il, le temps de se remettre car c'est tout de même le plus jeune des trois ! 😉
  22. Il est parfois nécessaire de voir les icônes disparaître pour voir ceux qui patiemment végétaient dans leur ombre, enfin s'émanciper !😉
  23. Là Dider, pour les cichés tu n'as pas été avare ! Surtout quand tu auras la sincérité de dire, puisque tu y allais souvent que sur l'"Enfer", la majorité sont des citoyens d'outre-Quiévrain !
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