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Tout ce qui a été posté par Michel CREPEL
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Talanski, ça va devenir un has-been s'il ne se ressaisit pas, Claude ! 😉
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Sinèrement, Claude, tu crois qu'il opterait pour la France, étant Américain ? C'est une petite merveille, si les petits cochons ne le dévorent pas, comme tu dis, comme je le serine depuis un moment déjà sur d'autres supports ! 😉
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Greg Van Avermaet est tout excepté une surprise pour moi ! Il faisait figure de favori (L’étape du Lioran aurait dû en avertir plus d’un sur ses possibilités) au même titre que ceux déclarés, bien arbitrairement, par l'ensemble de la caste journalistique. Cependant, la course n'a pas été favorable à ceux qui ont joué les places d'honneur sur le Tour mais plutôt à ceux qui ont couru celui-ci en franc-tireur ! Les uns étaient éreintés, les autres avaient de la réserve à revendre, d'ailleurs le final des Fuglsang, Majka et Van Avermaet est édifiant à ce sujet. D'ailleurs Nibali avait bien annoncé participer à la Grande Boucle dans le seul but de préparer les JO et contrairement à Valverde, qui avait en plus le Giro dans les guibolles, il n'a pas été obligé de porter Aru au sommet de la hiérarchie de la "Kermesse" étant donné que le podium lui était inaccessible, Valverde, si (Quintana). Sans cela, il aurait été étonnant qu'il n'accroche pas le bon wagon, lui aussi. Bref, comme je l'affirmais il y a un an peu ou prou, jour pour jour, la préolympique fut un camouflet et de l'argent dilapidé par une Fédé ventripotente qui a pu constater amèrement j’espère (mais j’en doute, on ne regrette pas chez eux, monsieur, on assume … avec l’argent des autres … Brel revu et corrigé) que le seul coureur Français qui a brillé est le seul qui, voici un an, n'a pas foulé les plages de Copacabana. En tous les cas, bravo Greg !! Voilà Guillaume 😉 Si je te dis Adrien Costa, tu me réponds ?
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Et ce n'est pas la première fois que Purito perd une Vuelta de la sorte ! Il est certainement le plus beau cocu que la Vuelta est enfantée car s'il y a un coursier qui la mérite, c'est bien Joaquim Rodriguez !!😉
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C'est cela mon Dider regarde ton nombril et hurle à tue tête "Cocorico !" ! 😉
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Je n'ai pas vu la même course alors car si ma mémoire est bonne, je faisais également les pronos et je rendais compte sur un site de sa progression comme je le fais aujourd'hui sur "Radio 51". Mais bon les sensations des uns ne sont pas nécessairement celles des autres, j'en conviens. Et pourtant, à cette époque je ne tenais pas le Murcien en haute estime.😉
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Ce sera toujours une course de rattrapage de quelque chose étant donné qu'elle arrive au terme de la saison ! Sise au printemps elle était délaissée car le Giro et le Tour suivait ! La Vuelta a toujours été le vilain petit canard car née en dernier ! C'est à l'inverse des mômes au sein des familles, en général ! Bref, pour tout un tas de raisons, bonnes et mauvaises, la Vuelta n'a jamais été reconnue à sa juste valeur alors que le Tour de France du fait de sa place dans le calendrier, a, en revanche, par trop été trop idolâtré par les médias, suiveurs et autres sponsors ainsi que le public lambda vacanciers ! Normal il se déroule à une période dénué de toutes épreuves sportives quelle quelles soient en dehors d'une compétition footballistique (tous les deux ans) à la rigueur si celle-ci a lieu at-home et si ses représentants sont érigés aux pinacles par des marchands de soupes à deux balles. Pour conclure, la Vuelta arrive après le Tour ... et le Giro, après les JO et se termine une semaine avant les Mondiaux, pas vraiment une sinécure pour les organisateurs qui doivent jongler avec les défections, abandons en séries et coureurs en "dilettante". A propos, Evans a remporté le Tour alors qu'Andy Schleck aurait dû le remporter "si" on n’avait pas placé un contre-la-montre de 50 bornes la veille de l'arrivée ! Chose qu'il m'étonnerait de voir aujourd'hui avec des Français aussi proches des premières places ! Et pourtant, par essence, un Tour se doit d’être équilibré comme l'avait clamé en son temps Desgrange en ajoutant les Pyrénées à son parcours originelle. Je pourrais très bien m'exclamer, en voyant Christian Prudhomme : "Vincenzo Torriani, sors de ce corps !!" ! 😃😉
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Oui maintenant, sans cet incident, qui te dit que Valverde n'aurait pas réagit autrement ! Avec des si et des changements de situations dans une course cyclisme tous les scénarios sont envisageables. Dans une rencontre de foot si tu mènes un but à zéro les defenses ont tendance à se replier jusqu'à la fin de la rencontre. Si elles se font remonter au score, elles se portent alors à l'avant afin de conclure ! C'est le même shémas dans à peu près tous les sports. Ainsi Froome n'a pas eu à puiser dans ses réserves car il n'a jamais été mis en danger donc Valverde aurait très bien pu agir autrement sans l'incident d'Evans et remporter tout de même la Vuelta ! Je ne suis pas votre joute entre vous deux mais laissons à César ce qui ...car avec des si, tu connais la chanson "Mimi" !😉
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Non mais admettre qu'elle ne soit pas la plus appréciée par les coursiers et qu'elles tiennent ainsi le haut du pavé grâce au fait qu'elle est la doyenne et qu'elle bénificie, par conséquence, d'une place de choix, royal, qui plus est, dans le calendrier, s'avère son plus bel et principal atout, n'est pas, non plus, contre nature pour un patriote tel que Didier, le "Ch'ti" déraciné ! 😉
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Et toi tu es ........... un observateur, c'est bien connu, les autres sont des "tarlouzes" ! 😉 Ha mon Didier et ta franchouillardise primaire ! 😃
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En un mot comme en cent, Jean !😉
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Bien évidemment, je n'aurais pas formulé mieux !😉
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Oui et cela veut bien dire ce que cela veut dire !😉
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Des spécialistes Bernaudeau et Madiot ? Si tu le dis mon "Mimi" ! Personnellement, je ne mettrais jamais une épreuve au dessus des autres que ce soit le Tour ou Paris-Roubaix ! Si le Tour possède cette notoriété c'est avant tout parcqu'il s'agit de la doyenne des épreuves par étapes et qu'elle se déroule pendant les vacances, qui plus est en juillet ! Desgrange et Lefèvre, surtout, ont eu cette idée géniale les premiers, ils ont été servis les premiers et en tirent les dividendes ... à titre posthume ! L'argent appelant l'argent, le cyclisme a été rattrapé comme tant d'autres disciplines par cette manne providentielle et les sponsors exigent donc, les DS exécutent au garde à vous, Bernaudeau et Madiot compris ! Alors qu'ils disent préférer le Tour, oui, ça se conçoit excepté qu'une grand majorité de coureurs et non des moindres préfèrent le Giro ! 😉
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Sans Froome pas sûr que le scénario aurait été le même dès le départ !
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Permutes les trois Tours !😉
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Ca je l'ai gardé pour moi ! Il n'intéresse, hélas, nullement les internautes Français ni les Belges mais seulement les apôtres de la blanche hermine, vive la mouette et l'ajonc ... et le Morbihannais dont je suis originaire (Ponitvy-Moréac) !😉
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Hier, 20h environ l'arrivée ! Je l'ai mise en ligne peu ou prou à cette heure là ! 😉
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La Vuelta a Burgos Cricri où réside ma tantina ! 😉
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Quoi regarder entre le Tour et la Vuelta ? J'ai géré la bagatelle de sept épreuves rien que dimanche, Guillaume !! Le vélo ne fait pas la sieste ou relâche lorsque les plus nantis se reposent, il y en a qui triment pour parvenir à leur niveau sans parler de ceux qui pour une raison ou pour une autre n'y ont pas participé, tel Boonen, Yates, l'autre, Ulissi etc ... ! Mais je loue ta volonté acharnée de booster le schmilbick adin d'entretenir la passion et la pression ! 😉 http://www.radio51.eu/les-articles.html https://www.facebook.com/groups/radio51/308765802614676/?notif_t=group_activity
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J’ai la sensation que je vais m’atteler au plus bref et concis bilan d’une épreuve cycliste de trois semaines depuis que je m’attache à publier ce type d’épreuve en ligne à savoir, environ une quinzaine de saisons. Les points positifs à relever et qui retiendront l’attention des passionnés dans les années à venir sont si peu nombreux que les doigts d’une seule main suffiront à leur bonheur. En effet, on n’éprouve pas vraiment le désir de s’attarder après pareille prestation et ce n’est nullement faire injure aux « saute ruisseau » qui, malheureusement n’y peuvent pas grand-chose (quoique), si une grande majorité de leurs fidèles partisans se sont faits les apôtres du « dos rond » en essuyant les critiques, pas toujours injustifiées, des uns et des autres. Comme énoncé à de nombreuses reprises ces trois dernières semaines, le gigantisme a ses propres limites et Christian Prudhomme et ses sbires seraient bien inspirés de revoir à la baisse leur propension à toujours aller de l’avant en faisant fi de tous les garde-fous par trop souvent bafoués. Ce n’est pas le fait d’annuler le final d’une étape par précipitation, en omettant toutes les règles de sécurité le lendemain lors de la nouvelle arrivée que la Grande Boucle retrouvera son lustre d’antan. Il aurait suffi de patienter jusqu’au lendemain matin pour constater que la tempête ponctuelle, qui s’était abattue sur le Ventoux, la veille, s’était évanouie et envolée vers d’autres cieux. Précipitation n’est nullement raison. Dans la foulée et toujours dans l’irréflexion, l’imbroglio fait autour des « chronos » d’arrivée de l’étape furent la proie d’un incontestable manque de discernement vis-à-vis de certains coursiers étrangers au chao de fin de course et qui se retrouvèrent injustement pénalisés à l’image d’un Bauke Mollema éberlué puis dépité, par exemple. Pourtant, le tracé de cette 103ème édition, une fois n’est pas coutume, semblait dessiné pour que les coureurs s’en donnent à cœur joie. Même si la première semaine nous rappela, de manière fugace, les Tours de jadis où la prime était donnée aux routiers-sprinters et ensuite, qu’il aurait été plus judicieux, pour l’équité, qu’un des deux contre-la-montre se déroula sur un parcours propice à la braquasses, le tracé, disais-je, fut élaboré afin de transmettre aux spectateurs et téléspectateurs le profond désir de se presser sur le bord des routes où devant les écrans de télévision. « Ce sont les coureurs qui font la course », l’adage peaufiné pour les seuls « saute ruisseau » n’a jamais autant mérité son contenu quelque peu simpliste voir dérisoire, au premier abord. Ces trois semaines furent le reflet de celui-ci. Les premiers jours ressuscitèrent le trublion Britannique, Mark Cavendish, auteur de quatre victoires, que l’on croyait muet à jamais. Le « Man of Man » s’est rappelé aux bons souvenirs de ses détracteurs en lançant sur de bons rails les « Brexitains » qui n’en demandaient, certainement, pas tant. Suivirent bientôt les succès de Steven Cummings puis de Christopher Froome, par deux fois, pour arriver au total appréciable de sept bouquets soit un tiers de ceux mis en jeu au départ. Sept succès d’étapes, le maillot jaune, Chris Froome, bien évidemment ainsi que le blanc du meilleur espoir avec Adam Yates, au pied du podium, le cyclisme de l’ « Empire Britannique » semble avoir de beaux jours devant lui. Surtout lorsqu’en outre, on dispose, en réserve de la République, du frère jumeau d’Adam, Simon peu ou prou, son égal, non engagé sur l’épreuve 2016. Lorsque Chris Froome, comme de coutume, pris l’ascendant sur la concurrence dès les Pyrénées, la course se retrouva aseptisée. Les favoris patentés, tombés, meurtris au plus profond de leur chair, malades, hors de condition où mal préparés se liquéfièrent, un à un, à mesure que les difficultés et kilomètres s’enchaînèrent. Au final, il sera nécessaire d’attendre, l’avant dernière étape de montagne, pour, qu’à la faveur d’un caprice de la météo qui généra glissades et chutes à répétition dans le haut du tableau, assister à la première attaque intuitive de ce Tour de France, version 2016. Elle fut l’œuvre d’un Français, Auvergnat qui plus est, Romain Bardet. Propulsé par Mickaël Chérel, pour ne pas le nommé, un membre de sa formation, Ag2r La Mondiale jusqu’alors aux abonnés absents, le Brivadois s’en alla cueillir son second succès sur la Grande Boucle, après celui de l’an dernier, gratifié d’une place, amplement mérités dans ce concert de coureurs végétatifs, de dauphin de Chris Froome sur le podium des Champs Elysées. C’est bien peu pour une épreuve dont les actes de bravoures et les exploits en tous genres peuplent en nombre la légende et les ouvrages qui se rapportent à ce sport à nul autre pareil. MC
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Il y a le Tour of Quinghai Lake, le Tour de Wallonie ou l'Ordiziako Klasika, remporté par le jumeau Simon Yates, Claude !😉 Le Tour, n'est qu'une étape dans une saison cycliste et sa physionomie ne me fait nullement regretter de passer à d'autres épreuves plus, disons disputées ! 😉
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😉
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Il est certain que plus tu attends plus tu risques de ne pas y parvenir ! Pourquoi, Froome plante le Tour dès les Pyrénénes ? C'est pour parvenir à intaller cette chape de plomb qui anihile toute résistance. Etre en forme en troisième semaine, tu dis ça à Hinault, il éclate de rire ! Lui déguainait dès l'ouverture des hostiltés au prologue ! Le contexte, quel contexte ? On a le contexte que l'on désire, tu mets un coup de pied au cul au contexte et tu reviens au formations Nationales, voilà un coup de latte dans le croupion du contexte et tu supprimes ad vitam aeternam les "escourdettes" et les DS en queue de la file avec un breefing le matin c'est suffisant point barre ! Voilà, je le change ton contexte, Jacquot ! Tu sais Sagan il s'en bat les figues de l'équipe Slovaque, il bosse en free-lance depuis toujours, cela ne l'empêche nullement de faire la mariole ! Moi, j'aime bien Froome, il court avec ses qualités, les autres avec leurs plaintes, leurs pleurnicheries, leurs entourloupes et leurs scénarions à deux balles ! 😉 Je retiendrais de ce Tour les quatre victoire du "Cav", celles des ""Rosbeef", le festival Sagan, les belles prestations de Van Avermaet, Dumoulin, Majka, Zakarin, Pantano ou De Gendt et celle du tout jeune Adam Yates qui a pris un portique dans la tronche et dont on a fait peu de cas sur ce Tour. Voilà, à savoir aucune situation auquel je me rattacherai dans dix ans par exemple excepté le nom de son lauréat !
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Je prenais évidemment les cas de Vietto et Robic ainsi que Pingeon pour leur propension à ne pas admettre la supériorité, de Magne, Lapébie, Maes ou Bartali pour le premier nommé, Bartali toujours ou Coppi pour le second, Poulidor, Gimondi, Janssen puis Merckx pour le Bugiste, en tentant vaille que vaille des échappées aux longs cours dignes de la légende et auxquelles ont fait encore référence aujourd'hui. Le fait que tu ais lu des récits sur le « Roi René » ou « Tête de Cuir » abonde dans ce sens. Intransposable, intransposable, mon « cul » oui ! Un jour, un « gus » s’offrira des randonnées de malades et on criera au génie ! Claudio Chiappucci, par exemple, a tenté, en vain certes, mais a au moins obligé le « Grand » à sortir de la torpeur d’un Tour au fil duquel, il aseptisait le peloton d’assujettis ! Ici, personne n’ose ne serait-ce que le déstabiliser ! Même du temps où le Texan régnait les Vinokourov, Beloki, Ullrich, Kloden ou Mayo fomentaient des actes de rébellions qui auraient pu, comme en 2003, être fatales à Armstrong sans la malchance. Bref, là c’est le pompon !!! Et en octobre on va encore assister à un cinéma orchestré par les organisateurs, journalistes et des coureurs invités qui y iront de leurs phrases sibyllines à deux sous Marocains : « Ha, il est beau, il est taillé pour les grimpeurs, les rouleurs, les sprinters, j’ai hâte d’être à juillet, on va aller le préparer en stage dès décembre ….. et tutti ! » Sourires entendus et condescendants de tous ces acteurs qui nous vendent leur soupe ! On ne fait pas autant de tapage pour les classiques et c’est tant mieux !