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Frédéric LARBAUD

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Tout ce qui a été posté par Frédéric LARBAUD

  1. Oui pour la sécurité de l'épreuve mon expérience corrobore la tienne. Beaucoup de signaleurs l'année où je l'ai faite (2010 ? 2011 ? je ne sais plus) et une impression d'être bien en sécurité par rapport au trafic automobile (faible un dimanche matin entre Nord 44 et Sud Morbihan :o)) C'est plutôt le comportement des cyclos qui m'avait paru dangereux, renforcé je pense par le manque de difficultés dans le final (toboggans pris à l'élan = peloton étalé sur route large, sans compter les types qui frottent pour une place de 250ème)
  2. J'ai fait la JCR il y a 4 ou 5 ans, cette année-là Jean-Cyril Robin était au micro mais pas sur le vélo. Je garde le souvenir d'un parcours assez casse-pattes au début surtout, avec effectivement les gravillons sur routes sinueuses qui avait occasionné une chute et coupé le peloton en 2 quelques kilomètres après le départ. La fin avec quelques toboggans était pas hyper sécurisante, avec des gros groupes où ça frottait un peu. Mais le parcours a peut-être changé depuis.
  3. Oui, faire 75km (donc 3h) te permettra de rajouter un étage à ta rampe de lancement vers les 100km, et tu devrais t'en remettre sans trop de problème. On est tous différents mais je sais par expérience pour ma part que 3h c'est la durée cible pour travailler l'endurance. A chaque fois que je reprends mon vélo après une coupure courte ou longue, c'est mon indicateur : une fois que je peux faire des sorties de 3h sans rentrer trop fatigué, je sais que mon corps est prêt pour faire 4h, 4h30, 5h de selle dans les jours / semaines qui suivent.
  4. Salut Guillaume, C'est un début. Bon courage en tout cas. De mon côté, et dans une moindre mesure, une "première" aussi : première sortie de plus de 2h depuis le début de mes problèmes aux deux genoux, soit depuis 68 jours : 2h20, 59 km, pas de vent, peu de voitures. Il y a du mieux et c'est bon pour le moral !
  5. Salut Vincent, Je n'y connais rien mais je me permets de te suggérer de jeter un oeil à tes bidons ou à l'eau que tu mets dedans. On ne sait jamais... J'ai connu les symptômes que tu décris au tout début de ma pratique de vélo, lors de sorties longues l'été par forte chaleur. En gros mes premiers 4h avec du dénivelé. Et là maux de tête, de ventre... De mon côté j'en ai conclu que c'était la façon que mon corps avait de me dire qu'il était pas d'accord. Peut-être que tu as effectivement besoin de plus de kilomètres "tranquilles" avant de passer au palier supérieur au niveau de l'entraînement.
  6. Salut, J'ai eu ce souci une fois et c'était... mon aimant de compteur, qui venait taper contre le capteur quand je me mettais en danseuse, résultat de l'équation "transfert de poids sur la fourche + déformation latérale de la roue lié au déhanchement". Ca paraît très bête mais bon, on sait jamais, si ça peut t'aider...
  7. On va dire entre les 2 alors :) Parce que quand tu vois ce que sont capables de sortir des Polveroni ou des De Vecchi après 4h de course, tu te dis que les kilomètres pèsent différemment en fonction du physique ! Reste à voir ensuite qui s'alignera, mais le concept du GFNY et le Ventoux risquent aussi d'attirer des étrangers (Italiens ou Hollandais toujours très bons sur les cyclos françaises auxquelles ils participent)
  8. Très franchement, il m'impressionne. Si on revient un peu en arrière, l'évolution de son attitude en course en 2 ans est spectaculaire. Pour un gars qui était un peu évaporé par moments, inconstant, un peu fougueux, qui avait du mal à se placer, à frotter, c'est même une métamorphose, et qui ne doit rien aux produits. C'est le fruit d'un travail monstre. Je serais intéressé de savoir comment l'encadrement de la FDJ s'y est pris (préparateur mental ? sophorologie ?) En tout cas ça fait plaisir de le voir jouer les bonifs et les sprints comme un vrai leader. J'espère juste qu'il va pas laisser trop de jus en vue du Tour, parce que là il a l'envie et ça se sent.
  9. Salut Nicolas, Lors des dernières éditions de la Grimpée du Ventoux, une montée sèche depuis Bédoin, les meilleurs cyclos tournent autour d'1h05. Il y a des spécialistes de ce genre d'effort comme Mikael Gallego, dont je ne connais pas le record personnel sur ce versant du Ventoux mais qui doit "chatouiller l'heure" quand même... Avec 110 km dans les jambes, c'est un peu différent, et cela me paraît très improbable que quelqu'un aille chercher un chrono d'1h... 1h10 ou 1h15 me paraît plus plausible.
  10. Merci à tous les deux pour vos CR, j'ai eu plaisir à les lire n'ayant pas pu participer.
  11. Salut Arnaud, Au besoin, la ligne TER Avignon-Carpentras a ouvert le mois dernier !... De Carpentras à Bédoin, tu as 15 bornes en léger faux-plat montant, ça te fait... ben oui, l'échauffement 😃 Bon c'est pas tout ça mais on veut un CR ! Pas eu trop chaud ? Pas de clous cette année ? J'ai pensé à vous ce matin en voyant comment ça cognait déjà à 10h.
  12. Salut Arnaud, Si tu n'as pas de solution, tu descends des Angles en vélo demain matin, à la gare d'Avignon Centre tu prends un TER et tu descends à Bédarrides ou Courthézon. Les horaires sont sur le site de la SNCF. Depuis Courthézon il y a 15 bornes jusqu'à Beaumes de Venise, ça te fait l'échauffement... Je n'ai pas de voiture, habite Avignon, et c'est ce que j'aurais fait si je m'étais inscrit à cette cyclo.
  13. La vache. Bravo à toi. Comment s'est passée la récup les lendemain, surlendemain, sursurlendemain... ? Grand merci pour le CR en tout cas et bonne chance pour PBP.
  14. Bonjour Michel, Le mieux lorsqu'on monte est de s'encombrer le moins possible, surtout s'il n'y a qu'une montée, donc pas de sac à dos qui ne va faire que générer de l'inconfort, de la transpiration et du poids supplémentaire. Dans les poches de maillot, des barres ou pâtes de fruit, éventuellement un gel à absorber et faire passer avec de l'eau en quantité au niveau du Chalet Reynard pour la partie finale (penser à tester avant que le gel choisi est tolérable par l'estomac) + un coupe-vent pour la descente, tu en trouves chez Decathlon (et d'autres marques) réalisés dans des matières synthétiques si légères et si fines qu'ils tiennent dans une toute petite poche de maillot. Et le nécessaire de réparation dans la sacoche de selle. Aujourd'hui dans le Vaucluse 28°C en plaine, donc à la louche quelque chose comme 15-20°C au sommet : la descente ne doit pas être trop frisquette. Bonne grimpée !
  15. Salut à tous, Il y a régulièrement des sujets ouverts dans cette rubrique du forum sur les changements de roue, régulièrement aussi des débats sur les "meilleures" roues pour tel ou tel type de vélo, de pratique... Je les ai tous lus (!) et suis passé à l'action. Ca m'a donné l'idée de vous faire un retour d'expérience qui peut-être vous amusera... Le point de départ de ladite expérience : mon Giant Defy en alu de 2010 équipé en Sora et roues Giant d'origine, pesé à 11 kilos. Le tout a un peu plus de 15000 bornes, avec une usure relativement faible dans la mesure où je l'entretiens avec soin. Cela dit, depuis quelques temps, j'ai un très léger voile à la roue arrière et mon vélociste m'explique que retendre n'est pas forcément la solution sur le moyen terme. J'écume V101 et je lis plein de belles et bonnes choses sur Fulcrum et Mavic pour l'entrée de gamme. Je choisis Aksium et passe commande pour 180€ la paire. Résultat après en avoir chaussé mon vélo : l'impression étonnante (d'autant plus que je ne m'étais pas particulièrement monté le bourrichon) de rouler sur du velours. En gros, je suis passé de deux rondelles de métal caoutchoutées à des roues de vélo de route, des vraies. Le léger ronronnement de la structure pleine et légèrement profilée en alu est un plaisir, l'absorption des imperfections de la route à pneus et pressions égaux est impressionnante, la stabilité et le confort du tout sont une évidence. Si on me l'avait "vendu", je n'y aurais tout simplement pas cru... Evidemment ma vitesse moyenne n'a pas bougé d'un quart de poil, mais mon niveau de confort a bondi et je revois pas mal de pépins physiques de ces dernières années (problèmes de selle, de cervicales...) sous un angle très différent. Donc, au lieu de s'écharper comme je l'ai souvent lu ici sur les "gains" apportés par telle ou telle paire de roues à xxx€ la paire, je me dis que pour déplacer et préciser le débat il faudrait surtout : 1° s'entendre sur la nature du "gain" attendu (car on sous-entend toujours plus ou moins "gain de performance", mais la performance passe par bien des choses dont, à mon niveau en tout cas, le niveau de confort...) 2° savoir d'où et de quoi on part ! car dans mon cas, je pense, c'est le bond en qualité qui rend le changement si sensible (voire spectaculaire) et non autre chose... voilà pourquoi je recommanderais les Aksium à n'importe qui souhaiterait améliorer le confort d'un vélo d'entrée de gamme ou bas de gamme, alors qu'on peut lire sur certains posts de ce forum que ce sont "des roues de tracteur" (et elles le sont effectivement, mais pour des coursiers qui connaissent les joies de Campa ou Shimano haut de gamme ou qui roulent sur des vélos en carbone de 7 kilos bidons pleins) Bref, du coup j'imagine le jour où je vais passer du Sora à l'Ultegra ou de l'alu au titane (car ce jour viendra 😃) pour ne citer que ça, et là, l'avenir me paraît riche de possibles !
  16. Ta FC moyenne est une bonne indication mais il faudrait pouvoir la rapporter à ta FC maximale pour se faire une idée, et savoir notamment si l'intensité peut être en cause... Quand je te lis je me pose une question : est-ce que quand tu enfourches ton vélo c'est toujours pour "faire 1h30" ou pour "faire 27 de moyenne" ? Et qu'est-ce qui arrive si tu pars dans l'optique de te balader, sans regarder le compteur, juste le paysage ? A allure promenade, ton niveau de fatigue ressenti est-il le même ?
  17. Salut, Pour ceux que la discussion a intéressé, je vous livre le "diagnostic" ou plutôt la probable (et finalement très simple) explication du problème à l'origine de ce post, élaborée par et avec mon osthéopathe : sur-sollicitation musculaire et absence d'étirements = raideurs, douleurs, et début d'atteinte de l'articulation du genou, la crispation des quadriceps entraînant une pression excessive sur la rotule, d'où les picotements (qui étaient devenus des douleurs) que je pouvais même connaître assis ou en descendant les escaliers. C'est désormais résorbé après 2 semaines de : coupure, étirements, renforcement musculaire en excentrique, reprise très modéré (sorties d'1h15 - 1h30 en souplesse). J'ai aussi rendez-vous chez un podologue du sport pour des semelles orthopédiques (correction d'un problème de fascia lata que je traîne depuis des années et qui, selon l'osthéo, n'est pas forcément sans lien avec le reste) et je revois progressivement ma position sur le vélo.
  18. Salut, Tel que tu le présentes c'est bizarre en effet... à raison de 3/4 sorties par semaine, avec la récup adéquate, tu ne devrais pas avoir de difficulté à allonger les distances et à te sentir à l'aise... Pourrais-tu décrire ton ressenti, c'est quoi être "rincé" pour toi ? Et est-ce que c'est une sensation que tu as après chacune de tes sorties ? As-tu déjà essayé d'aller au-delà de 2h30 ? Disposes-tu de tes données cardiaques (fréquence cardiaque moyenne sur ta sortie) ? Qu'en est-il de ta vie en dehors du boulot ? Es-tu dans un état de fatigue générale ? Cela peut être un virus tout simplement... et si c'est vraiment lié à la pratique cycliste il faudra que tu explores toutes les pistes. On dit souvent qu'il faut 4-5 ans pour "faire un cycliste", mais au bout d'un an on est normalement en état de faire 4 ou 5h de vélo à intensité basse, et surtout 1h30 de vélo se font vraiment sans souci.
  19. Tu la connais pas celle-là ? C'est le type qui te propose une petite sortie "pour faire connaissance" et tu finis la journée avec une Marmotte dans chaque jambe 😃 De mon côté 2h piano pour amener le corps s'adapter à ma nouvelle position (et ça chôme pas si j'en crois mon mollet gauche ce soir)
  20. Je ne sais pas si mon expérience est dupplicable ou valable pour d'autres, oui dans la mesure où les deux approches étaient effectivement celles-là, non dans la mesure où mon niveau de base est globalement faible et donc que la possibilité d'améliorer la marque est plus importante par rapport à quelqu'un qui est déjà à un haut niveau de performance : - première montée à ma main : 1h46, 162 bpm de moyenne ; - seconde montée en mode CLM, le plus souvent possible à 4 ou 5 puls en dessous du seuil (sauf sur les 2/3 derniers km où j'ai craqué) : 1h35, 171 bpm de moyenne. Les conditions climatiques étaient semblables mais pas strictement identiques. Au final ça doit dépendre davantage de la manière dont on aborde la première montée (c'est quoi finalement monter le Ventoux à un rythme "modéré" ou "à sa main" ? :) il y a d'ailleurs de longs passages, notamment dans la forêt, où c'est difficilement envisageable, en tout cas à mon niveau : t'es à fond et tu serres les fesses, point barre !)
  21. Salut Julien, 1h22 c'est un super temps ! A titre indicatif, les cadors du peloton cyclosportif atteignent le sommet en 1h05/1h10, le record de l'ascension étant pour moi détenu par David Moncoutié en 58'30". En ce qui concerne les différents moyens d'améliorer ton temps, je trouve ton analyse plutôt bonne. A titre indicatif toujours et à mon très modeste niveau, après une première montée réalisée comme toi un peu "en dedans" (1h46) je suis parvenu à améliorer mon temps de 11 minutes deux mois plus tard (1h35) dans un état de forme sensiblement identique mais en abordant la montée différemment. Je crois avoir gagné un peu de temps sur chacun des 3 segments suivants : - entre Bédoin et le virage de St Estève, en mettant 2 voire 3 dents de moins : à mon avis, c'est à cet endroit qu'il est le plus facile d'améliorer son chrono, le but étant d'arriver au virage à une intensité cardiaque élevée sans s'être mis dans le rouge (mais cela signifie aussi brûler du carburant sur ces 4-5 premiers km et donc devoir se ravitailler plus haut) - à l'approche du chalet Reynard et dans les 2 kilomètres qui suivent : en gros, relancer dès le S qui précède l'adoucissement de la pente avant le chalet, et maintenir un tempo élevé sur cette partie qui reste autour de 6/7% (alors que la première fois on a plutôt tendance à vouloir se refaire la cerise en craignant la suite...) - dans la partie finale, cela dépend beaucoup du vent et de ce qu'il te reste dans les soquettes, la dernière fois j'ai calé dans les 2 derniers km alors que je pensais qu'1h30 était atteignable, mais je pense que la différence peut se faire ici et qu'elle se fait (aussi, surtout) au mental. Pour ça, il faut parvenir à "gérer" la forêt et bien se ravitailler (barre ou gel) juste avant le chalet. La dernière fois, j'ai essayé de passer la forêt avec une dent de plus, sur certains passages plus "roulants" j'ai peut-être gagné un km/h de plus sans m'asphyxier, mais à la fin ce sont les jambes qui m'ont lâché, donc quant à savoir si c'est la bonne stratégie, je ne sais pas... En tout cas une chose est sûre, si je réessaie d'améliorer mon temps cette année, ce sera en abordant la partie finale différemment (mentalement et du point de vue des conditions climatiques, de la durée de l'effort à produire...)
  22. Salut, Peut-être ta position sur le vélo ? Ton coude est plâtré ? Juste immobilisé ? Prends-tu appui dessus ou as-tu juste ton bras "valide" en appui sur le cintre ? Si tu es légèrement "relevé" sur le HT par rapport à ta position habituelle sur route il peut peut-être y avoir un léger déséquilibre au niveau du travail musculaire ? Enfin c'est une piste, comme ça...
  23. Le Ventoux est ouvert côté Sud (Bédoin et Sault) ; côté Nord (Malaucène) je ne sais pas. Pour ma part je ne pourrai pas t'accompagner, je suis en "reprise" tranquille après quelques soucis décrits ailleurs sur le forum, donc je me limite à des sorties d'1h30 (temps qu'il me faut pour rejoindre Saint-Didier)
  24. Ah, et en cas de souci, tu as un vélociste à Saint-Didier, très facile à trouver.
  25. Bonjour Michel, Avec Venasque tu as fait le choix d'un pays du cyclisme ! Il est bien rare de ne croiser personne sur un vélo, à tout moment de l'année. Quelques classiques : - le col de Murs (une dizaine de kilomètres à 4% de moyenne depuis le "bas de Venasque") : régulier, arboré, peu emprunté par les voitures ; les jours de mistral (léger ou fort) tu dépasses facilement les 20 km/h de moyenne sur la montée ; une fois en haut, plusieurs possibilités : j'aime bien faire un petit tour sur le plateau, du côté de Murs, sur les petites routes bucoliques qui mènent à Gordes ; ensuite soit je bascule dans la descente de Gordes, soit je prends la direction de l'abbaye de Sénanque pour redescendre côté Venasque (attention route très dégradée dans sa partie basse, au niveau de l'embranchement avec le col de Murs) ; comme je viens d'Avignon, mon rayon d'action est moins large que ne le sera le tien : depuis le col de Murs, tu pourras continuer au choix vers Lioux ou vers le col de la Ligne, pour gagner Sault et redescendre vers le piémont du Ventoux via (au choix) Méthamis ou Monieux (les fameuses gorges de la Nesque) - les gorges de la Nesque donc, que tu peux "remonter" depuis Villes-sur-Auzon ou "descendre" depuis Sault, même si dans la réalité le terrain a plus tendance à onduler (sans parler pour autant de toboggan) ; un grand classique prisé de tous les cyclos, tu comprendras pourquoi ; - le Ventoux, qu'on ne présente pas, mais aussi tout le piémont qu'on connaît moins ; vues superbes sur le géant depuis le "haut" de Venasque, Méthamis mais aussi (après une belle grimpette) depuis le village de Blauvac ; pour rejoindre Bédoin, tu as plusieurs possibilités, via Mazan (attention goudron très dégradé sur le tronçon qui rejoint Pernes après la jonction D1/D5) Mormoiron, St Pierre de Vassols... - les dentelles de Montmirail dans leur partie Sud : depuis Bédoin, tu prends le petit col de la Madeleine qui te permet de rallier Malaucène ; de là possibilité de monter directement au col de la Chaîne ou de passer par Le Barroux pour remonter (au choix) en milieu boisé et en mode sportif vers Suzette ou en mode touriste et plus tranquillement via le petit village de la Roque Alric vers Lafare ; c'est un coin somptueux et généralement bien abrité du mistral lorsqu'il n'est pas trop fort (avec pour toi l'avantage de revenir vent de dos) - les petits raidards du coin : depuis Venasque, rejoindre la Roque sur Pernes via Le Beaucet, par une petite route avec vue sur le Ventoux qui se gagne à la force des mollets ; - le pays des Sorgues (Fontaine de Vaucluse, L'Isle sur la Sorgue...) que tu rejoins via Pernes (tout plat) ou via La Roque sur Pernes (où ça monte) puis Saumane (belle descente que j'apprécie davantage encore dans l'autre sens, une montée bien abritée et régulière) ; coin très touristique à l'extrémité Ouest du plateau de Vaucluse, qui te permet de gagner, via le comtat venaissin ou (mieux) via Lagnes et Cabrière... - le Luberon, que je connais moins, avec une succession de petits villages et de routes sympa depuis Robion (Oppèdes, Ménerbe, Bonnieux...) et possibilité de revenir vers Venasque par Gordes et Sénanque ou Murs ; - toute la partie à l'Ouest de la ligne Carpentras - Pernes les Fontaines - l'Isle sur la Sorgue est à mon sens moins intéressante, beaucoup plus urbanisée ; tu as toujours la possibilité de faire un petit tour dans les Alpilles mais cela commence à faire un peu loin de tes bases ; - c'est au-delà de mon rayon de promenade mais tu as aussi la possibilité de faire un tour dans les Alpes de Haute Provence, sur des routes qui seront très calmes en mai, via Saint-Saturnin, Rustrel, Banon... Voilà pour les grandes lignes, tu peux m'envoyer un MP si tu as d'autres questions. Bonnes balades !
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