
Martin LÉGER
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Etape du tour 2018 ?
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Cédric SAGANSAN dans Les évènements route
En gros Le Grand Bornand Annecy c'est 30 km (à la louche) à profil descendant (la station est à 950 - 1000 m d'altitude et Annecy à 400m). Bref rien d'insurmontable a priori, ça peut juste être pénible si par malheur on a de la pluie ce jour-là. -
Etape du tour 2018 ?
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Cédric SAGANSAN dans Les évènements route
Je rebondis sur ton message. Du coup il y aurait bien le col des Fleuries ? Et peut-être le col de Bluffy en début de parcours ? Evidemment ce ne sont pas des cols effrayants, ça ne rajoute pas franchement de difficulté, mais perso, je trouve ça plus sympa que d'avoir du plat. -
Pour comparer, la méthode de la cotation au carré (on fait le carré de chaque km et on les additionne) est sans doute la plus pertinente. Personnellement, pour avoir fait la Madeleine et le Port de Pailhères, j'ai trouvé ce dernier franchement plus dur. Après, de nombreux paramètres entrent en ligne de compte : la forme du jour, les conditions météo (j'ai fait Pailhères par 35°C ! ),etc... Mais il est clair que plus il y a de km à 10 % et +, plus on en bave😛
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Etape du tour 2018 ?
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Cédric SAGANSAN dans Les évènements route
Oui en effet, Rodolphe Lourd. Il est d'ailleurs comme moi de la région de Grenoble. L'autre jour, en participant à une grimpée chronométrée (celle des Mille Martyrs, à une quinzaine de kilomètres de Voiron), les organisateurs faisaient l'appel par numéro de dossard et nous nous "suivions", ce qui a fait un "Lourd - Léger" qui les a bien fait marrer. 🆒 Après, le parallèle s'arrête là, il est bien meilleur que moi. Et malgré mon nom, je ne suis pas un poids plume (entre 73 et 76 kilos selon les périodes de l'année, pour 1,80m). J'aurais presque plus un gabarit de rouleur, mais les longs bouts droits sur le plat, ce n'est définitivement pas mon truc ! -
Etape du tour 2018 ?
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Cédric SAGANSAN dans Les évènements route
Elle me plaît bien cette étape du Tour. Un peu moins longue que celle de 2017 mais avec plus de dénivelé, bref moi qui suis grimpeur, ça me va bien. Bon y'a un peu de plat au début, mais comme c'est autour du lac ça devrait être joli (et puis c'est quand même agréable de se dire qu'on pourra rouler sur route fermée à des endroits où il faut normalement soit se taper la circulation auto très dense, soit la circulation piétons / cyclos très dense aussi sur les pistes cyclables). Finalement la seule partie un peu "chiante", ce sera les 15 km de plat avant d'attaquer le col de Romme, d'autant que la vallée à cet endroit n'est pas spécialement jolie. Après il faut pas se faire toute une montagne dès 1,8 km non goudronnés sur le plateau des Glières. Perso je ne connais pas, mais je sais que j'ai déjà pris des portions de routes non goudronnées pour pouvoir faire une boucle (par ex sur le col de Saulude, au-dessus de Bourg d'Oisans, avec une portion de chemin de quasi 5 km), sans crever. Il faut juste bien viser une bande un peu plus lisse, sans gros caillou, et ne pas être trop bourrin, quitte à perdre 30 secondes sur cette portion. Parce que franchement, à moins de jouer une place dans les 100 ou 200 premiers (perso je vise plutôt autour de 2000), ça ne va pas influer sur son classement final. Et puis ASO va quand même peut-être faire un petit "balayage" pour proposer une piste un peu "lisse". L'avantage, c'est que c'est en montée (enfin en faux-plat montant), donc on ne va pas à des vitesses faramineuses. Le problème, c'est éventuellement si on se retrouve dans un gros peloton (et donc sans pouvoir choisir sa trajectoire), mais avec la Croix Fry et les 6 km à 11 % qui précèdent, les coureurs devraient être éparpillés de partout. En tout cas, c'est costaud comme étape. En plus des 4 cols officiellement répertoriés, je pense qu'il y a le col des Fleuries depuis Thorens-Glières (5,6 km à 4,5 %), juste après la descente du col des Glières. Et le final Romme-Colombière, déjà difficile lorsqu'on l'aborde en première montée d'une sortie après 15-20 km d'échauffement sur le plat, risque de faire très mal aux cannes en fin d'étape. -
Etape du tour 2018 ?
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Cédric SAGANSAN dans Les évènements route
Pour rappel, lors de l'étape du Tour 2015 (St Jean-de-Maurienne / La Toussuire), on attaquait l'ascension du col du Chaussy après 2 km à peine. C'était pas un hors catégorie (1ère catégorie plutôt), mais en terme de difficulté je pense qu'il est à peu près équivalent au Semnoz depuis Annecy. Parce que là, s'il y a le Semnoz, ce sera par Annecy et non par Quintal à mon avis, et c'est quand même moins dur. Ou alors ils font monter par la 3ème voie (c'est à dire via le col de Leschaux) et là c'est long mais assez facile (en gros du 4 /5 % ), soit un col de 2ème catégorie. Mais bon, il n'y aura peut-être pas de Semnoz. ça peut aussi être le col de la Forclaz de Montmin... ou encore une autre option. Seul l'enchaînement Romme - Reposoir - Colombière pour finir semble incontournable. -
Etape du tour 2018 ?
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Cédric SAGANSAN dans Les évènements route
Concernant la date, cette année l'étape des pros n'avait lieu que 4 jours après l'EDT. Donc tout est possible. C'est sûr qu'une EDT arrivant au sommet du Tourmalet via l'Aubisque aurait plus de prestige qu'Annecy-Le Grand Bornand, mais pour ASO d'autres considérations entrent en jeu. Notamment le poids des Tours Operators. Et pour le paquet de rosbeefs qu'ils amènent dans leurs bagages, la proximité de l'aéroport international de Genève est un atout non négligeable. Sans oublier la configuration quasi en boucle (donc plus simple niveau logistique) d'une EDT à Annecy. Parce que franchement, s'il y a une arrivée au sommet du Tourmalet, ce n'est pas super simple niveau "évacuation" : soit tu fais redescendre par la même route (séparée en deux par des plots, comme c'était le cas sur Annecy-Semnoz en 2013, et franchement c'est très chiant), soit tu évacues par l'autre côté (Bagnères de Bigorre) mais dans ce cas ça te rajoutes dans les 80 bornes pour rejoindre ton camp de base. Personnellement, après déjà plus de 150 bornes, je ne serais pas prêt à me rajouter ça... -
Etape du tour 2018 ?
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Cédric SAGANSAN dans Les évènements route
En supposant que ce soit bien Annecy - Le Grand Bornand, avez-vous une idée du parcours exact ? S'il semble acquis, pour des raisons logistiques, que le col de la Colombière serait la dernière montée, avant une arrivée en descente sur le Grand Bornand, il existe plusieurs possibilités avant cela, notamment pour le premier col de la journée : la Croix Fry, le col de la Forclaz de Montmin, voire pourquoi pas le Semnoz ? -
Je ne sais pas si c'est bizarre, mais pour moi c'est exactement la même chose ! Avec 1,80 m pour 73 à 75 kilos (ça varie selon les semaines !) j'ai pourtant un gabarit plus proche du rouleur que du grimpeur. Mais comme je déteste rouler sur le plat et que j'en fait peu (entre deux cols, quand je n'ai pas le choix...), je me prends aussi des bonnes "branlées" sur le plat. Personnellement, je regrette qu'il n'y ait pas plus de cyclos qui ne chronomètrent que les montées (comme c'était le cas auparavant sur la Time Megève, jusqu'à 2016), ce serait mon seul espoir d'avoir un classement dans le premier quart d'une cyclo ! Et pour avoir fait aussi la Drômoise sur le grand parcours hier, je confirme le vent de face. Je l'ai trouvé abominable dans le faux plat descendant après Valdrôme, où j'arrivais péniblement à dépasser les 30 km/h, alors que sur plat sans vent, je roule normalement entre 30 et 35 km/h selon la qualité de la route (sachant que je roule seul). J'ai aussi eu du mal dans les 10 derniers kilomètres avant Die, pas pu suivre les relais trop appuyés d'un gars qui avait dû faire le 119 km. Sinon temps idéal pour rouler, bons ravitos, bonne organisation en général et paysages magnifiques. J'attends juste les résultats, savez-vous quand est-ce qu'ils seront en ligne ?
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Manque de motivation
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Jean-Pierre CAZALENS dans L'entrainement et la santé
Bonjour, Bien sûr ma situation n'est pas comparable, car j'ai 37 ans. Même si ce n'est pas dû à des problèmes physiques, il m'arrive toutefois d'avoir des baisses de motivation pour aller rouler, surtout en fin de saison (disons à partir d'octobre, quand le temps devient vraiment pourri). Cette baisse survient aussi car j'ai fait le tour des objectifs que je m'étais fixés pour l'année en cours (en général découvrir de nouveaux cols, ou a minima grimper un col par un versant que je n'ai encore jamais fait). Alors je commence à penser un peu aux objectifs de l'année suivante. Après, je n'arrête jamais complètement de rouler, mais je diminue le rythme, en passant en gros de 3 à 1 sortie par semaine. Et pour cette sortie, je choisis vraiment le jour où les conditions sont bonnes (beau temps, pas trop froid...) histoire de ne pas avoir à "me forcer" à y aller quand même. Je fais aussi un peu plus de VTT, histoire de varier les plaisirs. Et j'en profite aussi pour faire davantage d'autres sports qui me plaisent, comme le tennis, ou le ski en hiver (j'ai la chance d'habiter à Grenoble). Je pense donc que dans ton cas, aller faire de la chasse ou de la marche est une bonne solution. Généralement, je coupe un gros mois (en décembre plutôt), je reprends doucement en janvier /février (maxi une ou deux sorties par semaine, d'environ 1h30 à 2h maxi) puis un peu plus à partir de mars et ça va crescendo jusqu'à fin août, avant de redescendre doucement à partir de septembre. L'idée, c'est quelque part de créer un manque pour retrouver l'envie de façon naturelle. Je sais que je fonctionne de la même façon pour le ski , que je pratique assidûment (50 à 70 sorties par an, alpin, fond et rando confondus)... mais que je "compense" par le vélo ! Par contre, je n'arrête jamais l'activité sportive (à part si je pars en voyage à l'étranger, c'est super rare que je ne fasse pas de sport pendant plus de 3 jours d'affilée, et ce toute l'année), ce qui me permet de ne pas perdre mon niveau de vélo comme ça, même à la sortie de l'hiver. Et je pense même que chaque début de saison, je repars à un niveau certes inférieur à la fin de la saison précédente, mais plus élevé qu'au début de la saison précédente. -
Faire de mon vélo un véhicule de vacances
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Greg FINCK dans Le matos
Côté braquet, un 11-30 (ou 12-30) à l'arrière est indispensable si tu dépasse des pentes à 4 ou 5 %. Personnellement je fais parfois des sorties en carioles avec ma fille de 4 ans. Soit en gros près de 30 kilos à "traîner" (la cariole + ma fille + les bagages), avec un vélo Lapierre Shaper 700. J'ai un triple plateau (50-40-30) et une cassette 12-30. Quand je sors pour moi, même sur des pentes jusqu'à 8 ou 9 %, je suis quasiment tout le temps sur le moyen plateau (entre 40-30 et 40-25 grosso modo). Mais en cariole, à partir de 5 ou 6 % de pente, je n'utilise que le 30-30 ou 30-28. Et pourtant je suis assez entraîné (j'ai fini 2400ème de la dernière Etape du Tour, à plus de 24 km/h de moyenne). Ceci n'a rien de scientifique, c'est juste du ressenti, mais en gros j'ai l'impression que monter une côte ou un col en cariole équivaut à rajouter 3 % de pente (soit un ressenti de 8 % sur du 5 %, de 9 % sur du 6 %,etc). Donc des petits braquets me semblent précieux. Et si tu trouves même du 11-32, ce serait encore mieux, d'autant plus si tu envisages dans le futur des séjours plus vallonnées voire carrément montagneux. -
Tunnel du Chambon, c'est bien plus rapide (environ 30 à 40 minutes de moins que par Gap).
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C'est environ 3500 m de dénivelé. Le dénivelé "réel" est + important que celui que tu annonces sur les cols de Vars et d'Izoard (qui correspond aux sections "meilleurs grimpeurs" pour le classement de la montagne, mais pour Vars, la montée commence dès la sortie de Jausiers (même si c'est facile au début) et pour l'Izoard à partir de Guillestre.
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Brevet montagnard a lourdes
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Jean paul FREYE dans Les évènements route
Bonjour, Vous parlez de la voie Fignon. C'est sympa cette route ? Plus dure ou moins dure que la nouvelle route du Tourmalet ? Sur combien de kilomètres ? Et dans le sens de la descente (j'ai prévu de grimper le Tourmalet en aller-retour) ? Merci. -
Thibaud a raison d'un côté... mais je comprends la déception de James. Peut-être que c'était délicat de le mettre dans le SAS 0 si l'organisateur n'a pas de connaissance de ses résultats depuis cette date. Mais un SAS 1 (au pire 2), c'était pas prendre un grand risque. Un mec capable de faire un Top 50 sur une EDT a quand même un gros moteur. C'est vrai que c'est un peu bizarre ces dossards. Moi qui ai pour meilleur classement sur une EDT une 3691ème place (en 2015 à La Toussuire) et une 5349ème l'an passé (même si j'aurais pu faire dans les 4500 sans une crevaison à 2 km de l'arrivée, mais ça les organisateurs ne le savent pas), je me retrouve cette année avec le dossard 2559. Bien sûr je suis content de partir dans l'un des tout premiers sas (surtout par rapport au fait de pouvoir rouler un peu plus longtemps au frais si c'est une journée très chaude), mais comme je suis une bille sur le plat, je sais pertinemment que je vais voir défiler beaucoup de groupes avant d'en trouver un dont le rythme ne soit pas trop élevé. Et comme de toute façon je m'arrête généralement à tous les ravitos, ce n'aurait pas été très grave pour moi d'avoir un dossard 5000 ou 6000.
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Oui le col de Solude est très joli également. Il est possible de faire une boucle. Je l'avais déjà fait dans le sens Bourg d'Oisans - Villard-Notre-Dame - Villard Reymond - La Palud. J'avais choisi dans ce sens car la route est meilleure pour la descente. Après il faut juste préciser qu'il y a une petite portion non asphaltée (4 ou 5 km, sur un profil plutôt plat). Mais comme c'est une piste plutôt lisse dans l'ensemble, ça passe sans souci en vélo de route (il faut juste faire un peu attention et réduire sa vitesse). Et après, dans ce sens là, vers la fin de la descente, j'avais rajouté la montée en aller-retour au petit village d'Oulles, sur une route assez spectaculaire (et costaud : 6,7 km à 8,8 % !). Au total, ça faisait une boucle de 45 km avec 1600 m de dénivelé.
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Nicky Hayden percuté par une voiture !
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Stéphane MULOT dans Discussions Route
Bien sûr l'histoire qui t'es arrivée est malheureuse, et le comportement de l'automobiliste est limite criminel. Cela dit, on est tous (ou presque) aussi automobiliste, et il faut essayer de se mettre à leur place. Moi quand je suis en voiture et que je me retrouve derrière 2 cyclistes côte à côte, qui ne font pas l'effort de se mettre en file indienne, ça me gonfle. Evidemment je reste derrière eux en attendant d'avoir la possibilité de les doubler sans risque, ni pour eux ni pour moi. Mais si ça dure un peu longtemps et que je suis pressé, il peut m'arriver de les klaxonner pour qu'ils se mettent au moins en file indienne. Déjà si on fait l'effort pour tenir sa droite, on réduit considérablement les risques de se faire percuter, même si on n'est jamais complètement à l'abri de tomber sur un cinglé. -
Mono-plateau de 42 pour la route.
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Treco OLIVIER dans Le matos
Personnellement j'ai un triple plateau (50-40-30) avec une cassette 12-30, et je trouve ça top. Il faut dire que j'habite à Grenoble, et comme je déteste le plat, je ne fais que monter ou descendre (sauf entre deux cols, quand j'ai pas le choix...). Certes, j'utilise surtout le plateau du milieu (le 40), et ça me permet de passer partout jusqu'à 8 ou 9 % de pente. Mais le fait d'avoir un petit plateau de 30 est quand même bien utile quand on atteint ou dépasse 10 %. Et aussi quand je fais de la cariole avec ma fille dedans (soit environ 27 kilos à traîner) ! Parce qu'à partir de 7 % sans le petit plateau de 30, ce n'est même pas la peine ! Et pourtant, je suis plutôt bon grimpeur (1h01 sur l'ascension de l'Alpe d'Huez par exemple). Et puis avec cette combinaison, ça évite d'avoir trop d'écart entre deux développements. Ce qui me permet de toujours garder le même rythme de pédalage (environ 70 tours par minute), ce qui à mon avis serait impossible avec un mono-plateau. Quant à l'argument selon lequel un triple plateau est forcément pour des "touristes" (comparativement à un double "classique" ou même à un compact), ça ne tient pas la route. En montée, je double un paquet de cyclistes qui sont sans doute bien plus puissants que moi. Mais ils emmènent tellement gros, avec un rythme de pédalage si bas (parfois 40 à 50 tours / minute) que ça ne fait pas le match ! -
Peur dans les descentes
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Arnaud HOMMELIER dans L'entrainement et la santé
J'ai chuté en descente il y a près de 2 ans, dans un "semi-lacet". La route passait sur une sorte de mini-pont dans le virage, et il y avait des sortes de mini-triangles métalliques qui faisaient la jonction entre ce pont et le reste de la route. J'ai dû aborder ce virage entre 40 et 50 km/h, ma roue s'est dérobée, je suis tombée sur l'épaule droite et en prime j'ai glissé sur quelques mètres. Bilan : disjonction acromio-claviculaire de stade 1 (pas trop grave, j'avais pu reprendre le vélo un mois après environ) et de belles "escalopes". C'est sûr que depuis, je prends moins de risques qu'avant. Je ne retarde plus le freinage au maximum comme je pouvais le faire avant, afin d'aborder les lacets (et plus généralement tous les virages à + de 80 - 90 degrés) entre 20 et 30 km/h maxi. Dans les lignes droites, je ne suis pas non plus crispé sur les freins, mais je mets quelques légers coups de freins assez régulièrement pour ne pas trop m'emballer et ainsi éviter d'avoir à faire un gros freinage d'un coup. Ainsi, mes vitesses maxi en descente tournent autour de 50 - 55 km/h. Et surtout j'essaie de bien observer le revêtement de la route. Si j'aperçois au loin des gravillons, je freine suffisamment avant d'atteindre le passage délicat, pour éviter d'avoir à freiner sur ce passage. Après, je pense que le fait d'avoir des pédales automatiques joue dans l'appréhension qu'on peut avoir en descente. Je m'en rends compte en VTT, où je n'en ai pas (alors que j'en ai sur le vélo de route), et j'ai moins peur de la chute. Parce que je me dis que si je sens que je vais tomber, je pourrais toujours sortir un pied pour essayer de me rétablir (ou tout du moins d'amenuiser la chute), ce qui n'est pas possible en vélo de route avec les pédales automatiques. Le fait d'avoir de gros pneus offre aussi une meilleure adhérence, et c'est plus sécurisant. On en revient à la confiance dans le matériel. Il n'y a pas de honte à avoir une appréhension en descente. Mieux vaut descendre tranquillement, et ainsi pouvoir profiter un peu plus du paysage. Et même si on fait des compétitions, ce n'est pas si grave de descendre un peu moins vite (si on ne joue pas les toutes premières places). Par exemple, je participe régulièrement à l'Etape du Tour. Ok je vais peut-être perdre 1 à 3 minutes sur des très bons descendeurs sur une descente de 15 bornes. Mais si les gars ne sont pas de bons grimpeurs, je peux facilement leur reprendre ce temps perdu sur la montée suivante, en à peine 4 ou 5 km. Alors pourquoi prendre des risques insensés ? -
Col de Larche toujours interdit aux vélos ?
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Pascal LUITEL dans Les évènements route
@ Didier et Pascal : merci pour vos réponses ! -
Col de Larche toujours interdit aux vélos ?
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Pascal LUITEL dans Les évènements route
Je ne l'ai encore jamais faite, mais l'été dernier, j'avais posé la question au gars qui tenait le gîte où j'avais séjourné à Jausiers. Il m'a dit l'avoir déjà montée depuis Jausiers, sans souci. D'après lui, les flics s'en foutent un peu, même s'ils te voient passer. Cela dit, si tu le fais cette année, pourrais-tu nous dire ce qu'il en est ? J'ai prévu dans les semaines à venir une grande boucle Jausiers - col de Larche - Vinadio - col de la Lombarde - Isola - col de la Bonette (ou col de la Moutière puis Restefond) - Jausiers. Et, question subsidiaire, quid de la piste reliant le col de la Moutière au col de Restefond ? Est-ce que ça passe en vélo de route, sachant que j'ai des roues tubeless avec des pneus de 25 mm ? -
Nouveau tunnel du Chambon
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Maurice AUTOBUS dans Discussions Route
Oui le revêtement de la route est très bon (je l'ai empruntée début avril, en voiture). Concernant le profil, c'est un peu des montagnes russes. Dans le sens La Grave - Bourg d'Oisans, ça monte un peu au début (mais c'est assez court, sur 300 ou 400 m je dirais), après il y a effectivement une descente un peu raide (autour de 10 % je pense) mais courte également (200 m environ) et après c'est légèrement vallonné, mais rien de méchant. La portion en circulation alternée est quasiment plate, et à la toute fin, ça remonte (plutôt sec, genre 8-9 %) sur 200 m environ. Mais aucun souci pour la prendre en vélo à mon avis. Comme ça tournicote beaucoup, les voitures ne peuvent pas dépasser le 50 km/h. En tout cas, j'espère que quand le nouveau tunnel du Chambon sera terminé, ils laisseront cette route de secours ouverte pour les cyclistes, car elle est beaucoup moins dangereuse et plus jolie que la route normale. -
Circuit de l'Authion (au-dessus du col du Turini)
Martin LÉGER a posté un sujet dans Discussions Route
Bonjour à tous, Pour ceux et celles que ça intéresse, le circuit de l'Authion est entièrement praticable en vélo de route. C'est une boucle d'une petite dizaine de kilomètres dans le prolongement du col du Turini. Il faut suivre la route qui monte en direction de "Camp d'Argent" (petite station de ski). Arrivé au sommet de celle-ci (la route longe plus ou moins les pistes), on arrive à un carrefour avec un sens unique de circulation. Personnellement, comme il n'y avait personne ce jour-là (circuit réalisé vendredi 21 avril 2017), je l'ai pris en sens interdit, pour la bonne raison que je préférais continuer à monter plutôt que de redescendre puis de remonter (ce qui est le cas lorsqu'on suit le sens de circulation). Il s'agit d'une petite route, un peu abîmée sur quelques courtes sections, mais il n'y a rien d'insurmontable. Bien sûr, il vaut mieux éviter de faire la descente à tombeau ouvert, sinon attention au risque de chute et de crevaison, mais franchement ça passe en vélo de route classique (inutile de prévoir un VTT ou un gravel). Il faut juste faire un peu attention en descente. Après c'est sûr qu'on plombe un peu la moyenne globale de la sortie, mais dans mon cas ce n'était guère important. Et je vous le conseille vivement, les paysages sont splendides. Et accessoirement c'est un beau défi sportif. Depuis Sospel, via Moulinet, ça représente une montée de 31 km et 1700 m de dénivelé (5,4 % de moyenne) jusqu'au point le plus haut de la route (2025 m d'altitude, sous l'ancien fort militaire de la Redoute). -
Tout à fait d'accord avec ce raisonnement. De toute façon, c'est toujours mieux d'avoir un petit braquet "en réserve", quitte à utiliser un plus gros si on a de bonnes jambes le jour de la course. Personnellement, j'ai un triple plateau (50x40x30) avec une cassette de 12x30 à l'arrière. La plupart du temps, jusqu'à 8 ou 9 % (voire 10 % sur des montées de moins de 5 ou 6 km), je reste sur le plateau du milieu (40x25, 40x28 ou 40x30 suivant les portions). Ce qui me permet de monter grosso modo à 15-16 km/h sur du 5 %, 13-14 km/h sur du 7 %, 12 km/h sur du 8 %, 11 km/h sur du 9 %,etc... J'essaie toujours de garder le même rythme de pédalage (environ 70 tours par minute) en adaptant le braquet en fonction... quitte à passer sur le petit plateau dans des portions raides (à partir de 10 %). Ce qui me permet d'être assez régulier tout au long d'une montée, et de ne pas trop faiblir au fil des ascensions durant une longue sortie. Cette technique m'a par exemple permis de faire le 1441ème temps d'ascension du Glandon (sur 9963 classés, en 1h38) lors de l'EDT 2015 (que j'avais terminé 3691ème, mais il faut dire que je perds pas mal de temps dans les portions de plat et que je m'arrête facilement 10 minutes à chaque ravito "solide"). Après, c'est une technique et des braquets qui sont adaptés à mes qualités. Même si je n'en ai pas forcément le gabarit (1,80 m pour 74 kilos), je suis beaucoup plus grimpeur que rouleur. Il faut dire que j'habite Grenoble, que je ne fais que grimper (et descendre) lors de mes sorties, car j'ai horreur de rouler sur le plat. Au bout de 10 km de plat, je sature ! Du coup je manque un peu de puissance, et je suis incapable de rouler à plus de 35 km/h sur le plat (et encore, si la route est bonne et qu'il n'y a pas du tout de vent de face).
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Les montées en cul-de-sac
Martin LÉGER a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Discussions Route
Concernant la montée du col de la Charmette, c'est un peu aléatoire. Je l'ai faite depuis Saint-Laurent-du-Pont presque par hasard le 24 septembre 2015. Au départ de Grenoble et après m'être tapé toute la piste cyclable le long de l'Isère puis la montée du col de la Placette, je voulais monter au col de Porte. Mais pas de bol, la route était en travaux. Comme ça me saoûlait vraiment de revenir par le même chemin (d'autant que je déteste rouler sur le plat), je me suis dit que j'allais tenter la Charmette par ce côté-là, même si je savais que la route était a priori interdite. J'ai simplement été surpris de croiser une bonne sœur en train de faire son footing (!) mais en revanche je ne suis pas tombé sur un garde forestier (j'étais monté vers 16 - 17h je crois). En tout cas la route a un revêtement correct et forcément pas de circulation. Et c'est un sacré challenge sur le plan sportif !