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Posté

Oui mais Leipheimer était à l'époque chez OPQS et en bonne place pour remporter Paris-Nice. OPQS  n'avait pas digéré l'attitude des Movistar à l'époque, en particuler celle de Valverde qui avait commandé la manoeuvre et qui, malgré les demandes de Chavanel et de Boonen, avait roulé à fond la caisse.

Peut-être que OPQS s'en est souvenu (une simple hypothèse) et n'attendait que la première occasion pour rendre à Valverde la monnaie de sa pièce. Apparemment, peut-être que rien ne s'oublie vraiment dans le cyclisme.

De surcroît, d'après l'interview de Patrick Lefevere, ce coup de bordure avait été préparé conjointement avec l'équipe Belkin. Deux équipes habitués aux classiques du Nord.

Posté

n'oublions pas que Lemond a gagné le Tour 1989 dans une petite équipe belge, où je pense, il restait à peine 3 équipiers pour l'épauler qui étaient incapables de l'aider beaucoup en montagne. Il s'était finalement débrouillé presque seul, pour en fin de compte gagner à Paris.

C'était en 90, ADR je crois.

Posté

On ne lui serait pas rentrer par derrière en lui occasionnant une crevaison, il n'aurait pas sauté de cette façon.   Moralité : pour battre Froome, il faut l'attaquer lorsqu'il s'arrête pour satisfaire ses besoins naturels....

Posté

Salut Bernard,

C'était bien en 1989 (pour son retour après son accident de chasse), lorsqu'il avait battu Fignon de 8 s.

A l'époque il courait effectivement pour la petite équipe ADR , dont le directeur sportif n'était autre que José De Cauwer, l’excellent consultant actuel de sporza sur la télévision flamande. C'était vraiment difficile pour Lemond qui se retrouvait souvent très isolé dans la 3ème semaine de Tour. Mais il avait bien géré. Je pense que Froome est capable d'en faire autant.

En 1990, Lemond gagnera son 3ème Tour avant qu'Indurain en gagne 5 d'affilée de1991 à 1995.





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