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Tour de Valence (2 au 6 février)


Guillaume LEROYER

Messages recommandés

Il y a 15 heures, Guillaume LEROYER a dit :

Et Thomas et Burgaudeau, c'est de la merde ? Et Guillaume Martin qui a fait un beau numéro sur la Marseillaise ?

Les coureurs français en forme en ce début de saison sont sur les courses françaises, pas sur le Tour de Valence.

 

Bjr,.

Tout à fait mais ils gagnent pas .....

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Il y a 13 heures, Bruno GUILLEVIC a dit :

Le gravel n'a sans doute pas eu d'influence sur le fait qu'Evenepoel n'ait pu suivre Vlassov, il n'avait simplement pas les jambes pour, il a été clairement dominé sur ce type de montée (10kms et 8% moyens) qui ne lui va apparemment pas.   

 ....mais mauvais joueur !!!

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Il y a 19 heures, Michel ROTH a dit :

Comme je le craignais la partie gravel ne réussit pas à Evenepoel, qui cède 40 s et perd le maillot jaune.

Oui, une petite claque car effectivement le gravel ne lui réussit pas. Il lui manquait aussi un peu d'aide dans les 10 derniers kms car peu de DQS à ses côtés.

Il faut reconnaître que sur cette finale Vlasov était le plus fort.

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En marge de la dernière étape du Tour de Valence a eu lieu la Vuelta CV Feminas, première épreuve féminine de la saison en Europe.

Victoire au sprint de Marta Bastianelli (UAE) devant Ilaria Sanguinetti (Valcar) et Kathrin Schweinberger (Ceratizit).

A noter que Barbara Guarischi (Movistar) a été déclassée de la 3ème place pour avoir provoqué la chute de Chiara Consonni (Valcar) dans le sprint en déviant de sa ligne.

 

 

Modifié par Guillaume LEROYER
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Le 04/02/2022 à 17:32, Guillaume LEROYER a dit :

Est-ce qu'il n'y a que l'effet gravel ? Evenepoel est très costaud sur les montées roulantes, mais jusqu'à présent en montagne il manque de références sur les longues montées avec du pourcentage

Manque de référence ? L'an passé dans la montée du Zoncolan, alors qu'il reprenait seulement la compétition dans les circonstances que l'on connaît, il n'avait cédé que 15 s à Vlasov et terminé avec Bernal lors de 4ème étape au sommet de l'Ascoli Piceno nettement devant Vlasov. 
On n'est qu'en début de saison et il n'était pas le favori sur cette course (on citait plutôt Valverde). Il était prématuré de dire qu'il avait tué le suspens lors de sa victoire d'étape. Il n'est pas encore au top de sa condition, comme on pouvait le lire avant le Tour de Valence de la part de Tom Steels qui le situait alors à 90 % de la condition qu'il avait avant son accident. Qu'il gagne une étape et termine second au général est plutôt encourageant.

Pour la portion gravel Evenepoel avait prédit lors de la reconnaissance que ce n'était peut-être pas pour lui (il n'avait pas reconnu le parcours jusqu'au sommet). Ce n'est donc pas une surprise. Certes il n'avait pas les jambes dans le dernier kilomètre sur l'asphalte et Vlasov n'était peut-être pas le meilleur sur cette étape. En effet Valverde avait subi une crevaison dans la partie gravel et a continué avec un pneu à plat jusqu'au bout. 

Evenepoel n'est pas le seul à critiquer l'introduction de sections gravel en dehors des  Strade Bianche. Trentin notamment a fait l'écho de la grogne de plusieurs coureurs du peloton quant à cette nouvelle mode qui peut faire perdre sur ennui mécanique ou crevaison. Ainsi, d'après lui, même Paris Tour n'a pas besoin de portions gravel pour être attrayant et critique également les étapes du Tour de France qui se terminent sur les sections pavées de Paris-Roubaix.

https://www.cyclingnews.com/news/matteo-trentin-gravel-sectors-have-no-place-in-stage-racing-or-even-paris-tours/

Aussi dans Sporza, dans un long article, l'ancien coureur Tem Dam explique la technique qu'il faut adopter sur les portions gravel et il est probable que certains coureurs sont plus doués que d'autres (dépensent moins d'énergie).

 

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il y a une heure, Michel ROTH a dit :

Manque de référence ? L'an passé dans la montée du Zoncolan, alors qu'il reprenait seulement la compétition dans les circonstances que l'on connaît, il n'avait cédé que 15 s à Vlasov et terminé avec Bernal lors de 4ème étape au sommet de l'Ascoli Piceno nettement devant Vlasov. 
On n'est qu'en début de saison et il n'était pas le favori sur cette course (on citait plutôt Valverde). Il était prématuré de dire qu'il avait tué le suspens lors de sa victoire d'étape. Il n'est pas encore au top de sa condition, comme on pouvait le lire avant le Tour de Valence de la part de Tom Steels qui le situait alors à 90 % de la condition qu'il avait avant son accident. Qu'il gagne une étape et termine second au général est plutôt encourageant.

Pour la portion gravel Evenepoel avait prédit lors de la reconnaissance que ce n'était peut-être pas pour lui (il n'avait pas reconnu le parcours jusqu'au sommet). Ce n'est donc pas une surprise. Certes il n'avait pas les jambes dans le dernier kilomètre sur l'asphalte et Vlasov n'était peut-être pas le meilleur sur cette étape. En effet Valverde avait subi une crevaison dans la partie gravel et a continué avec un pneu à plat jusqu'au bout. 

Evenepoel n'est pas le seul à critiquer l'introduction de sections gravel en dehors des  Strade Bianche. Trentin notamment a fait l'écho de la grogne de plusieurs coureurs du peloton quant à cette nouvelle mode qui peut faire perdre sur ennui mécanique ou crevaison. Ainsi, d'après lui, même Paris Tour n'a pas besoin de portions gravel pour être attrayant et critique également les étapes du Tour de France qui se terminent sur les sections pavées de Paris-Roubaix.

https://www.cyclingnews.com/news/matteo-trentin-gravel-sectors-have-no-place-in-stage-racing-or-even-paris-tours/

Aussi dans Sporza, dans un long article, l'ancien coureur Tem Dam explique la technique qu'il faut adopter sur les portions gravel et il est probable que certains coureurs sont plus doués que d'autres (dépensent moins d'énergie).

 

 

Je ne me souvenais pas du Zoncolan (après vérification il y a terminé tout de même assez loin de Bernal et Yates). Et Ascoli Piceno, c'était une montée assez roulante.

Au passage, je te trouve un peu agressif en ce moment dans tes réactions, notamment à chaque fois qu'il est question d'un belge ou d'une équipe belge (même quand ce ne sont pas des critiques mais juste des questions ou des nuances, tu réagis comme si on racontait n'importe quoi).

Je peux me tromper dans mes réflexions, mais toi aussi, personne n'est parfait.

 

D'ailleurs Evenepoel lui-même se pose encore des questions sur ses capacités sur ce type de montée.

https://www.cyclingnews.com/news/evenepoel-still-uncertain-about-ability-on-steepest-climbs-after-valenciana/

Donc la question que je soulève n'est peut-être pas stupide, puisque lui-même se la pose.

Modifié par Guillaume LEROYER
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il y a 21 minutes, Michel ROTH a dit :

Manque de référence ? L'an passé dans la montée du Zoncolan, alors qu'il reprenait seulement la compétition dans les circonstances que l'on connaît, il n'avait cédé que 15 s à Vlasov et terminé avec Bernal lors de 4ème étape au sommet de l'Ascoli Piceno nettement devant Vlasov. 
On n'est qu'en début de saison et il n'était pas le favori sur cette course (on citait plutôt Valverde). Il était prématuré de dire qu'il avait tué le suspens lors de sa victoire d'étape. Il n'est pas encore au top de sa condition, comme on pouvait le lire avant le Tour de Valence de la part de Tom Steels qui le situait alors à 90 % de la condition qu'il avait avant son accident. Qu'il gagne une étape et termine second au général est plutôt encourageant.

Pour la portion gravel Evenepoel avait prédit lors de la reconnaissance que ce n'était peut-être pas pour lui (il n'avait pas reconnu le parcours jusqu'au sommet). Ce n'est donc pas une surprise. Certes il n'avait pas les jambes dans le dernier kilomètre sur l'asphalte et Vlasov n'était peut-être pas le meilleur sur cette étape. En effet Valverde avait subi une crevaison dans la partie gravel et a continué avec un pneu à plat jusqu'au bout. 

Evenepoel n'est pas le seul à critiquer l'introduction de sections gravel en dehors des  Strade Bianche. Trentin notamment a fait l'écho de la grogne de plusieurs coureurs du peloton quant à cette nouvelle mode qui peut faire perdre sur ennui mécanique ou crevaison. Ainsi, d'après lui, même Paris Tour n'a pas besoin de portions gravel pour être attrayant et critique également les étapes du Tour de France qui se terminent sur les sections pavées de Paris-Roubaix.

https://www.cyclingnews.com/news/matteo-trentin-gravel-sectors-have-no-place-in-stage-racing-or-even-paris-tours/

Aussi dans Sporza, dans un long article, l'ancien coureur Tem Dam explique la technique qu'il faut adopter sur les portions gravel et il est probable que certains coureurs sont plus doués que d'autres (dépensent moins d'énergie).

 

Ben c'est assez évidemment le marketing des fabricants qui fait pression pour favoriser le marché du gravel et sans tenir compte des problèmes que ça pose aux coureurs et aux équipes.

Pour les FAD ça a été idem, l'UCI au départ n'a pas autorisé les disques pendant plusieurs saisons et puis  basta la pression des constructeurs a entrainé un changement de règlement. 

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Il y a 10 heures, Bruno GUILLEVIC a dit :

Ben c'est assez évidemment le marketing des fabricants qui fait pression pour favoriser le marché du gravel et sans tenir compte des problèmes que ça pose aux coureurs et aux équipes.

Pour les FAD ça a été idem, l'UCI au départ n'a pas autorisé les disques pendant plusieurs saisons et puis  basta la pression des constructeurs a entrainé un changement de règlement. 

Le marketing des fabricants. Peut-être mais alors principalement sur les Strade Bianche où les vélos sont adoptés pour. Pour les courses en ligne, comme cette étape du Tour de Valence, cela voudrait dire que les coureurs changent de vélo au moment d'aborder la portion gravel. Je ne suis pas certain que beaucoup l'ont fait (de peur de perdre trop de temps). En conséquence, il y a eu des crevaisons comme celle de Valverde et de Ayuso. Je pencherais plutôt du côté des organisateurs qui veulent toujours plus de spectacle. En plus, d'après Trentin, il était possible d'arriver au sommet en évitant la partie gravel. 

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