Sylvain KARLE Posté le 10 février 2020 Posté le 10 février 2020 Vu le temps pourri j'ai pris le Concorde et 8h après j'étais a Central Parc New York .... c'est chouette la bas 🆒 https://www.strava.com/activities/3088524955
Eric MATTEIN Posté le 10 février 2020 Posté le 10 février 2020 Salut Michel, j'ai vu le profil du Artzamendi, c'est du lourd ! Beau challenge. 😉
Michel SERRES Posté le 10 février 2020 Posté le 10 février 2020 Au Pays-Basque, il y a énormément de montées comme celle ci. Ça ferait presque peur et une fois dedans, on se demande ce qu'on fout dans ce merdier mais au final, quel plaisir d'avoir passé ce type d'ascension....
Eric MATTEIN Posté le 10 février 2020 Posté le 10 février 2020 Oui je connais j'en ai quelques une près de chez moi qui sont pas mal non plus. J'adore ce genre de de défi.
Michel SERRES Posté le 10 février 2020 Posté le 10 février 2020 En ce moment, j'ai du mal dès que ça passe au dessus de 9% donc va me falloir encore du temps pour reprendre de bonnes jambes 😉Chaque chose en son temps. L'été est encore loin....
Eric MATTEIN Posté le 10 février 2020 Posté le 10 février 2020 Ta bien raison, ne pas brûler les étapes. Mais bon j'ai cru comprendre que tu es un bon. grimpeur. Allez je vais fermer les yeux,demain réveil 5h30.a+
Michel SERRES Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 Bon grimpeur, je ne dirais pas ca mais je grimpe, c'est certain 😉
Thibaud CHERBONNEL Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 Certains ont du mal toute l'année au dessus de 9% 😉
Michel SERRES Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 Je n'en doute pas. Moi même, dès que j'attaque du 9% et plus, je ressens une nette différence mais disons que je m'en accommode bien plus facilement avec ma forme optimale.Là, je sens bien que je suis encore limité. La météo annonce encore de la chaleur pour samedi, dimanche et lundi donc les montées de col vont continuer.Troisième jour sans vélo. Rentré hier soir mais aujourd'hui, le ciel était capricieux. Ca s'est bien dégagé vers 16h mais je n'avais plus le courage de m'habiller et sortir.J'espère reprendre demain et rouler non stop sur une longue période. J'ai juste des travaux a la maison jeudi et vendredi matin sans savoir le temps qu'ils ont besoin. Je croise les doigts...
Franck PASTOR Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 Pfff, de la petite bière, vos murs basques ! Essayez plutôt ça, aux Pays-Bas :
Michel SERRES Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 Alors imagine du 20% avec un vent pareil 😆
Franck PASTOR Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 Justement, la pente fournit un abri au vent, même incomplet. Pour preuve, même quand on a le vent défavorable dans une montée sévère, c'est au sommet ou à son approche qu'on se prend vraiment la totalité du vent en pleine figure… souvent on doit mettre plus petit alors que la pente diminue pourtant ! Moi ça me tue le moral à chaque fois.
Guillaume LEROYER Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 Va monter Artzamendi avec du vent, on en reparle après 😃
Franck PASTOR Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 J'ai déjà grimpé de solides raidards avec vent défavorable, justement, dans les Alpes ou en Ardenne, et je sais bien que ce n'est pas de la rigolade…Ce que je dis, c'est que le pire du vent, on l'a au sommet du raidard, ou à son approche. Sauf bien sûr passage à découvert lors d'une rupture de pente au cours de l'escalade.C'est d'ailleurs une bonne façon de deviner que le sommet s'approche : lorsqu'on sent tout à coup le vent souffler… ou souffler encore plus fort s'il était déjà bien sensible !
Michel SERRES Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 Tu te trompe Franck. Je connais un paquet de col ou tu n'as pas besoin d'attendre le sommet pour en prendre plein la tronche en cas de gros vent...
Guillaume LEROYER Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 Dans Artzamendi, au sortir de la forêt, il n'y a plus d'abriJe le redis, vas-y, avec la roue avant qui décolle sur les rafales, et tu reviendras nous dire si c'est moins impressionnant que le vent sur le plat ou au sommet
Franck PASTOR Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 En prendre plein la tronche d'accord, mais autant qu'au sommet ? Je veux bien te croire, mais je n'ai pas connu ça dans mes montagnes à moi. Sauf si le vent baissait en intensité globale au cours de la montée bien sûr. J'ai bien des souvenirs de galère de montées de cols avec vent défavorable (le Galibier face nord, par exemple), mais le pompon était toujours à l'espace découvert du sommet.À moins d'avoir le bonheur d'entrer dans une forêt au moment d'arriver au sommet par exemple… pas le cas le plus fréquent ceci dit, bien que j'en connaisse.
Franck PASTOR Posté le 11 février 2020 Posté le 11 février 2020 Hola, du calme ! Où ai-je dit que c'était moins impressionnant au cours de la montée qu'au sommet? J'ai dit qu'au cours de la montée ça soufflait moins fort (je me trompe peut-être mais je l'ai toujours ressenti ainsi), ce qui n'est pas la même chose.Ce n'est certes pas une fois arrivé au sommet que le vélo va se cabrer sous l'effet du vent !
Messages recommandés