Didier SALEMBIER Posté le 13 octobre 2019 Posté le 13 octobre 2019 Belle Wallays impressionnant seul contre tous ! Honnêtement, je n'y croyais pas un instant quand il s'est retrouvé seul devant------un sacré numéro pour une fin de saison. Je trouve le parcours hyper sélectif.
Jean-Pierre FOURNIER Posté le 13 octobre 2019 Posté le 13 octobre 2019 tout a fait d ' accord avec cette analyse ,nous ne sommes pas au cirque , et ,ou tu te fais bouffer par le lion parce que tu as crevé de la roue arrière équipée de freins a disques ...perso , si j 'étais coureur et après m 'être défoncé pour faire une place et crevé parce que les routes sont pourries , ça me ferait sacrémént chier , déjà sur de simples petites rando auquel je participe parfois l 'été dans mon département ;quand les routes choisies sont désastreuses nous sommes tout un peloton a raler , je ne vois pas pourquoi il n 'en serait pas de même pour les pro , même s 'ils n 'ont pas le droit de le dire
Claude CARRIES Posté le 14 octobre 2019 Posté le 14 octobre 2019 parles en a Tepstra;il est vrai que dans un fauteuil la perception d'une course est totalement differentepersonnellement j'ajouterai des caniveaux
Franck PASTOR Posté le 14 octobre 2019 Posté le 14 octobre 2019 Terpstra aime ce genre de courses, au contraire. Cette année, on l'a vu à «À travers le Hageland», l'équivalent des Strade Bianche en Flandre.https://www.nieuwsblad.be/cnt/dmf20190621_04471684Et puis, pour participer chaque année aux Flandriennes et avoir gagné aussi bien le Ronde que Paris-Roubaix, il faut vraiment raffoler des parcours rugueux. 😆
Patrick CHEVALIER Posté le 14 octobre 2019 Posté le 14 octobre 2019 l'année prochaine il y aura dans les chemins des planches a franchir et 2021 on rajoute des bacs a sable, afin de permettre au crossman de parfaire leurs conditions a l'approche des cylocross😃
Karl COUDRE Posté le 14 octobre 2019 Posté le 14 octobre 2019 Les strade bianche ou Paris-Roubaix on leurs particularités propres, on y va où on y va pas, mais si toutes les classiques récupèrent les caractéristiques de ces 2 courses ça exclue un certain nombre de coureurs toute la saison.Ce que j'aime dans les classiques c'est ce coté stratégique de courir sur le fil, mais quand la course risque d'être faussée par un incident technique, que la valeur du coureur qui aura su mettre en place sa stratégie et sa forme, je ne vois vraiment pas l'intérêt.Si toutes les courses ressemblent à la légende de Paris Roubaix, même si je pousse le trait, ça dénature tout...
Charles PARIS Posté le 15 octobre 2019 Posté le 15 octobre 2019 J'ai aimé cette course , les plus forts étaient devant , bien avant les chemins de vigne .La chaleur et la poussière dans les vignes , après le vent dans la plaine .Jelle Wallays s'impose dans les deux formats de course !!!!! Terpstra a replacé son équipe devant celle de Wanty , c'est synonyme de sésame pour les grandes courses 2020 , affaire à suivre en Chine .petite vidéo souvenir :
Pierre-Yves DESSIMOZ Posté le 15 octobre 2019 Posté le 15 octobre 2019 Ah oui, je n'avais pas vu qu'il avait encore un autre R, pourtant son nom est déjà bien assez compliqué...
Olivier THYM Posté le 15 octobre 2019 Posté le 15 octobre 2019 Beau reportage...et c'est toi, avec tes encouragements, qui a permis à Jelle Wallays de gagner 😉
Charles PARIS Posté le 16 octobre 2019 Posté le 16 octobre 2019 Je n'ai pas cette prétention 🙄Jelle Wallays est un garçon très simple et sympa , qui ne refuse jamais une photo , ou un petit coucou !!! Ceci dit , je ne suis pas avare d'encouragements en général , la passion vélo toujours !!!Merci pour le message .
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