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Quand le dérailleur fonctionne à coups de talon


Jean-Pierre MADER

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Je dirais plutôt problème dû au dérailleur électronique, car normalement la pluie ne pose pas vraiment de problème instantanément sur un dérailleur à cable...

Je me rappel de Bardet faisant pareil dans une descente sur un TdF, ça fait un peu cowboy qui éperonne sa monture, mais c'est moins efficace apparemment.

Moins drôle Fabio Aru en pleurs suite à une chute qui crie sur son staff "cazzo di bici" alors que c'est le dérailleur arrière qui ne passe plus les vitesses...

Notable exception Uran qui gagne au sprint devant Barguil peut être grace au dérailleur bloqué sur le 11 à sa demande, mais là c'était dû aux suites de l'accident de Porte et même un dérailleur mécanique aurait pu péter...   

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Ouais... C'est à cause de tout ça (et d'un vague sentiment écolo...), que je me suis mis à rouler vintage/néo-rétro : pas envie d'autres trucs électriques sur mon vélo que mon compteur, et depuis quarante ans que je sais rouler, j'ai toujours su m'arrêter avec des patins.😄

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Mettre électricité sur le vélo, c'est fausser toute sa philosophie. 75 ans de vélo et je ne pourrais abandonner mon Raleigh et mon Peugeot. Passer les vitesses au guidon ? Pourquoi pas sur mon derrière ? Je me suis mis au portable et à un abonnement de site internet pour signaler ma présence aux enfants... à contre cœur. Après tout, je suis tombé qu'une trentaine de fois.

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Les vitesses au guidon, j'y suis passé dès que Campa a sorti les Ergopower. Les miens ont donc plus de 20 ans et fonctionnent toujours bien, j'ai remplacé un câble une fois, je pense à la deuxième car là ça bougeotte un peu.

Mais, oui, ma philosophie du vélo, comme la tienne je pense, c'est de rouler sur un véhicule entièrement mécanique, analogique, autonome... les dérailleurs électriques, c'est certainement très bien (en compétition), mais je n'en ai pas besoin.

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"je constate , et comme l'on ne pourra éviter d'y passer tous un jour, et encore plus vite avec les cadres qui ne seront bientôt plus  fabriqués que pour le freinage disque , il faut se faire , petit a petit , une raison bientôt incontournable"

Non, un vélo c'est un vélo, pas un machin électrique (avec la consommation d'énergie qui va avec, à une époque où on nous bassine non stop avec les "ressources" qui vont faire défaut) muni de disques (c'est pas une moto). Les marketeux peuvent toujours espérer que j'achète un jour les gadgets pour lesquels il feront du matraquage, pour ça comme pour le reste ça ne marchera pas avec moi, voire ça risquera de me provoquer une réaction épidermique.

Il y aura toujours le choix du mécanique et du patin à condition d'acheter loin ou via des filières confidentielles, simplement parce que dans le monde de la compète le disque est très (très) loin de faire l'unanimité, et parce que mêmes certains pros n'en veulent pas du tout, envers et contre toute pression.

Et si par malheur ça ne se trouve plus quand même, eh bien il y a plein d'autres choses à faire que du vélo dans la vie... Et sans électricité.

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pour le freins traditionnels, je pense leur disparition inéluctable, pour le Di2 ? Il ne nous reste plus qu'à bichonner notre ou nos montures actuelles, pour qu'elles durent plus longtemps et ne pas changer pour tout et pour rien de vélo, parce que la couleur ne plaît plus, parce qu'on espère naïvement gagner 1mn sur le VENTOUX, ou faire du 50 de moyenne sur les longs bouts plats, de toute ,nous aussi vieillissons, donc les performances on s'en balance un peu!

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