Hervé ROCHELET Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 Voilà qui devrait répondre aux questions sur la transpiration, la réponse est assez loin dans l'article, au paragraphe 3-2-3.https://biologiedelapeau.fr/spip.php?article75
Hervé ROCHELET Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 Il y a une réponse dans le 2ème paragraphe qui va je le pense plutôt dans le sens de ta réflexion. https://www.irbms.com/adaptation-a-leffort-longue-distance-en-milieu-chaud-et-humide/
Bernard MOREAU Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 Voulant voir l'origine de ce document, je suis remonté et j'ai trouvé dans l'éditorial d'introduction ce savoureux passage :Ce site, qui vient récemment de franchir le million de visites, n’existerait pas si le centre de recherche en dermatologie de Sophia Antipolis n’avait pas été créé par L’Oréal et Nestlé à une époque où leurs dirigeants n’avaient pas une vision purement mercantile mais également l’ambition de développer nos connaissances dans le domaine de la biologie de la peau et de la dermatologie.Merci, c'est très long et détaillé et à l'évidence sérieux.Je me demande si un jour on trouvera un moyen d'optimiser l'utilisation de l'eau exhalée à l'effort pour refroidir le sportif. INEOS, il y a là un gain pas si marginal à exploiter 😆.
Thierry GEUMEZ Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 Pour continuer la réflexion :https://www.techno-science.net/actualite/mecanisme-autoregule-evaporation-N15750.htmlNous ne sommes pas prêts d'avoir fait le tour de la question 😆
Bernard MOREAU Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 Il n'est pas nécessaire de tout connaître de la question pour savoir l'essentiel concernant le sportif.
Thierry GEUMEZ Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 Un paragraphe de l'article sur l'adaptation à l'effort en milieu chaud et humide me laisse perplexe :La première recommandation qui découle de ces rappels de physiologie lors de la pratique d’une épreuve en milieu chaud et humide est : • Qu’il ne faut pas s’arroser car vous rajoutez à la surface de la peau de l’eau qui d’une part va chauffer, mais d’autre part va empêcher l’élimination de la sueur qui continue à être fabriquée. • Mais qu’il faut s’éponger de façon à éliminer l’eau à la surface de la peau permettant ainsi à la sueur qui continue d’être fabriquée de se répandre à la surface de la peau.
Hervé ROCHELET Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 Effectivement, cela paraît bizarre, car en s'aspergeant, on se refroidit tout de même, mais l'effet ne dure pas longtemps, mais c'est mieux que de ne rien faire du tout !
Hervé ROCHELET Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 L'eau qui se retrouve à la surface de la peau s'évapore peut être mieux quand elle se retrouve en très faible quantité (un peu comme un brumisateur) que lorsqu'elle dégouline ? Et favorise donc le transfert d'énergie par évaporation ? ????
Thierry GEUMEZ Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 un peu comme un brumisateurEffectivement, l'augmentation de la surface de contact avec l'air favorise l'évaporation
Georges IGOR Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 Tu parles de mes élucubrations et toi tu suppose.Alors entre des sites spécialisés, et tes suppositions, je préfère les premiers.Alors pour appuyer mes propos, dans une voiture ou une pièce climatisée Oise déshydrate d'autant plus que l'on a pas la sensation de chaud et que l'air est sec
Marcel FERRAN Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 On peut se rendre compte que les expliquations sont un peu contradictoires. ça ne vous rappelle rien??? moi, oui. C'est l'histoire du ravitaillement en eau des coureurs. C'etait interdit car la "science" disait à l'epoque qu'avec la sueur, partaient egalement, de l'organisme, les sels mineraux....et il ne fallait surtout pas!!! Par temps suffocant, les coureurs arrivaient à boire du liquide même de l'alcool, ce qui finissait de les deshydrater.... et c'est de ça qu'est mort Simpson sur les pentes du Ventoux.Evidemment, si vous n'êtes pas d'accord, épanchez-vous. J'ai lu, et relu differents résumés et j'en suis arrivé à cette conclusion....
Jean-Louis AGUILAR Posté le 7 juillet 2019 Posté le 7 juillet 2019 un cycliste de 60ans meurt d'un arrêt cardiaque l'ors de l 'ascension du col de la pierre saint martin ce matin .la victime était le fondateur du club de GARAZI saint jean pied de port il faisait bon ce matin pas de soleil 20 degrés.
Cedric ROUVRAIS Posté le 8 juillet 2019 Posté le 8 juillet 2019 Encore un malaise cardiaque lors d'une cyclo : A la marmotte des Alpes, un cycliste de 58 ans. Il a été pris en charge et est à l'hôpital...
Serge GUILLOBEZ Posté le 8 juillet 2019 Posté le 8 juillet 2019 Quand on mouille que le casque, comme celui-ci ne transpire pas ...
Karl COUDRE Posté le 8 juillet 2019 Posté le 8 juillet 2019 Quand on en vient de parler d'amour propre pour une épreuve cyclosportive où l'on a strictement rien à prouver et qui ne vaut pas grand chose à part pour soi, c'est qu'à un moment ça s'est barré en c.... quelque part.Concernant les points d'eau, quand on fait l'épreuve plusieurs fois c'est quand même dommage de ne pas prendre ses précautions et repérer les fontaines sur le parcours, les cimetières ou même les cafés...Oui on peut toujours se faire surprendre par les conditions météo, mais à nous de regarder la météo 10 fois avant de partir et ne pas hésiter à prendre plus que pas assez.En écrivant ça, j'ai l'impression de parler à un gosse de 10 ans à qui l'on dit de se couvrir avant de partir à l'école et non à des adultes !
Jaky BALLET Posté le 8 juillet 2019 Posté le 8 juillet 2019 je n'ai pas lu toutes vos pages,Quand on fait de la montagne on part très tôt, déjà pour éviter les orages et la circulation si on doit traverser des villes, ensuite on gère ses ravitos, et l'eau c'est souvent dans les cimetières vu que les communes ferment les fontaines ou indiquent "eau non potable"?Je suis plus adepte des confréries comme les cinglés du Ventoux et Défi Bugiste, en autonomie, donc sur les cyclos soyez prudents
Georges IGOR Posté le 8 juillet 2019 Posté le 8 juillet 2019 Ton impression est confirmée par un échange que j'ai eu avec un participant de plus de 60 ans. Par forte chaleur il garde un œil sur l'heure et bois toutes les 10mn
Serge DOUTRE Posté le 9 juillet 2019 Posté le 9 juillet 2019 ThierryJe suis d'accord avec vous. J'étais dans cette galère. La décision de ne pas annuler même si la suppression de la Mountagnole XXL était surprenante (circuit sur lequel j'étais engagé) se défendait et l'argumentaire du président tenait la route. Mais alors il fallait mettre les moyens en secours et en ravitaillement. Manque d'eau pour de très nombreux cyclos, pas de coca sur les tables, on m'a donné de l'eau de la rivière(certes elle était fraiche) sur le ravitaillo du Port de l'Hers, mais plutôt risqué dans cette période d'estives animales.Les secours étaient débordés. J'ai fait une chute dans la descente du Port de l'Hers je n'ai été pris en charge que deux heures après. Pourtant celà a nécessité un transfert aux urgences de Foix.C'est vrai que les cyclos sont aussi responsables de leurs actes, que dans des conditions aussi extrêmes le cardio s’avérait très utile et beaucoup ne l'avaient pas.Celà étant dit quand on maintient une course malgré tout, il faut y mettre les moyens. Nous avons payé entre 45 et 64 € l'engagement, on s'attend à une prestation conforme aux exigences du parcours.
Bernard MOREAU Posté le 9 juillet 2019 Posté le 9 juillet 2019 Tu n'as donc pas lu l'article proposé par Hervé Rochelet (ni même le paragraphe 3.2.3) 🙄
Georges IGOR Posté le 9 juillet 2019 Posté le 9 juillet 2019 Si tu as chuté c'est que tu n'as pas maîtrisé et/ou manqué de responsabilité. Et si tu avais chuté hors organisation tu aurais sans doute été secouru encore plus tardivement
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