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Objectif 10.000 - 19


Michel DURY

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Hier, j'ai enfin bouclé mon objectif 10 000 km !!! 🆒

A force d'abnégation, et jamais sans plaisir, j'ai réussi à aligner les 10 000 bornes tant désirées !!😲

Bon... c'est 10 062 km en tout, depuis mon tout 1er tour de roue en vélo de route, en septembre 2017. Mais tout de même !! Moi-même je n'y aurai pas cru il y a 19 mois.

Bon, je retourne à mes livrets...

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Yééé, excellent, Michael! Et bien voilà, un beau chiffre rond qui compte, surtout si tu n'y croyais pas en enfourchant ton vélo pour la première fois.

Tu vois, on est souvent surpris de ce qu'on réalise. Je me souviens bien en 2010 avoir prévu 1.500 à 2.000 km maximum par an, et là je tourne à +/- 8.500, depuis 2010 justement. Là aussi, je n'y aurais jamais cru si on me l'avais dit.

Pas évident de mener une vie de famille en plus, mais en arrangeant un peu les choses tu peux arriver à de beaux résultats tout à fait inattendus.

Inutile de te dire que la vie de famille prime, on est bien d'accord.

Bonne continuation, quel que soit ton objectif, l'important c'est de se plaisirer et de participer dans la bonne humeur, ce dont je ne doute pas te concernant.. 

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Remise en train avec 50 km que j'ai dû me forcer pour sortir, je ne sais pas ce qu'il y a cette année, je n'ai aucune motivation.

Mal de dos horrible depuis trois jours mais ça va.

Par contre un vent du nord - est qui nous refroidi bien alors que globalement la température tourne autour des 10 degrés. L'équipement d'hiver a été apprécié, chaussures comprises, alors que j'avais déjà rangé le tout dans l'armoire.

J'ai un sérieux déficit d'entraînement pour Liège Bastogne Liège... je me demande si ce n'est pas l'idée pourrave de l'année, ça? Il va falloir s'y mettre sérieusement sinon ça va galérer solide dans deux semaines.

J'en suis encore à me demander pourquoi, oui pourquoi, m'être inscrit à cette cyclo?

 

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Tiens, c'est pas toi qui me disais que le vent, on devait s'en faire un allié ? 😛

Je me demande comment j'aurais pu m'en faire un allié aujourd'hui. Non seulement il était fort mais il était en effet glacial. Je me suis retrouvé scotché à 17 km/h vent pleine face sur un plateau entre Overijse et Terlanen, lors de ma sortie de tout-à-l'heure. Pas moyen d'aller plus vite. Non seulement j'étais arrêté mais j'avais l'impression d'être dans un congélateur agrémenté d'un ventilo ! 

S'agissant de LBL, pas de regrets. Au pire, tu pourras te rabattre sur le petit parcours, et tu auras grimpé mine de rien la Redoute, les Forges et la Roche-aux-Faucons. Mais à mon avis, tu arriveras à boucler le parcours médian sans trop de problème. La clé sera de t'économiser un maximum (oublie toute idée de faire la course avec tes potes, si tu en avais l'intention).

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Halalaaa Franck, tu me désespères....

Vent de Nord-est, je suis évidemment parti vent debout, souffrance pendant 15 km, et puis zou, vent cul pendant 30 km pour relaxer les muscles. Juste encore un petit bout vent de face pour rentrer et l'affaire est faite!

Voilà voilà... toujours le même principe.

Un jour je t'expliquerai.

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Partir vent debout et revenir vent de dos aurait signifié me farcir la région totalement plate du nord-est de Bruxelles, du côté de Malines. En temps normal, moi le plat uniforme je laisse ça aux Belges du type Flahute. Moi il me faut matière à grimper ! Donc direction sud-est, Overijse, Huldenberg, et quelques raidards dont mon habituel Smeysberg. Et je suis revenu vent de trois-quart dos, le long de « l'autoroute cycliste » Louvain-Bruxelles (à partir de Kortenberg), ce qui n'est pas si mal.

N'empêche que, de face ou de dos, le vent c'est toujours du vent, et le vent c'est ch… d'après le bien connu principe de Pastor. Qui établit qu'une condition nécessaire (mais non suffisante) pour une sortie de vélo idéale est l'absence totale de la moindre petite brise.

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Je pense que le théorème de Pastor est malheureusement inapplicable en Belgique, d'autant plus si tu habites en ville, ce qui neutralise de fait certains départs à orientation vent debout venant de la dite ville.

Il te faudra soit déménager, soit appliquer le théorème de Dury qui dit que t'as qu'à endurer puisque t'es là, théorème bien connu du milieu cycliste où il est mis en oeuvre par nombre de pratiquants.

J'ai pour ma part la très grande chance, je l'avoue, de pouvoir appliquer le téhorème schtroumpf qui te dit de partir dans toutes les orientations souhaitées, étant au milieu des champs.

Et là, Eole est toujours ton ami.

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Ah bah j'appliquais le théorème de Dury sans le savoir !!

Après 2 sorties avec vent de face au retour quand j'ai commencé le vélo, j'ai vite changé de tactique. Et comme le vent change souvent par chez moi, je m'adapte : on trouve toujours une côtelette qui permet un retour vent de c*l.

D'ailleurs, demain, je rentre chez moi plein sud, car le vent viendra du nord !

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Ça fait maintenant 19 ans que je connais et applique le théorème de Dury. Et malgré tout le cycliste en moi continue (et continuera toujours) à pester contre son pire ennemi, roi incontesté de ces contrées où j'ai vécu pendant ces quasi 20 ans : j'ai nommé Éole. 

Hélas, pour des raisons strictement non sportives et néanmoins capitales (!) j'ai choisi de vivre dans ce pays où ma part cycliste restera éternellement insatisfaite. Du vent, du vent, et des montées bien présentes (le « plat pays », quelle blague !), souvent bien raides, mais… trop courtes.

Un bon retour aux sources la semaine prochaine me fera du bien. Une semaine au bercail familial grenoblois, où je vais pouvoir refaire ce que je considère comme l'unique cyclisme digne de ce nom : monter pendant des kilomètres et des kilomètres d'affilée, et descendre idem, et sans aucun Éole pour gâcher mon plaisir, ah mais !

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Éole est nettement moins présent dans la vallée du Grésivaudan, entre Grenoble et Montmélian (près de Chambéry), vallée où j'ai vécu jusqu'à l'âge de 28 ans (j'en ai 47 aujourd'hui).

Cette vallée au fond tout plat de 200-220 m d'altitude est quasiment fermée par quatre chaînes montagneuses (Vercors, Chartreuse, Belledonne, Bauges), dont la plus basse (Chartreuse) culmine déjà à 2000 m, ce qui la rend très abritée des vents. Oh, ça souffle parfois fort aussi, mais ça arrive beaucoup moins fréquemment qu'en Belgique… et en fait, beaucoup moins fréquemment que presque partout ailleurs, quand j'y pense.

Donc, quand je me suis fixé en Belgique, il m'a fallu apprendre à gérer le facteur vent… en un sens j'y arrive malgré tout ce que je peux râler, mais je n'y peux rien, c'est plus fort que moi, je ne peux pas m'empêcher de pester contre ça.

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Bon ben je n’aurais pas dû dire à Sylvain que mon dos allait bien en ce moment... Ce matin, j’étais parti pour ma sortir, 104 km sans difficulté, pour préparer le 200 prévu pendant mes vacances. Au 30eme km, arrivée sur une route (même pas un chemin, une vraie grosse départementale...) pleine de trous, de plaques, de rustines. J’ai subi les vibrations pendant 20km. Au sortir de cette zone, une décharge dans le bas du dos, je sais très bien ce qu’elle veut dire... impossible de me redresser, dos bloqué. A 50km de chez moi... Changement d’itinéraire et 41km de retour sur le petit plateau, à 15-20 à l’heure, en grimaçant à chaque bosse sur la route. Ma chérie a dû m’aider à descendre du vélo. Plus qu’à attendre que les anti-inflammatoires fassent effet rapidement
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