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Vie de Jacques Anquetil ou Robert Marchand ?


Jean marc FOURNIER

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les coureurs n'avaient pas du tout conscience du danger et des conséquences que représentait le mélange alcool / médicaments .. c'était une époque où il n'y avait pas encore eu des recherches très poussées sur le sujet

Oui, on est plus informés et intelligents à présent : les fumeurs ont arrêté de fumer, les pollueurs ne polluent plus, nous mangeons "5 fruits et légumes par jour" et ne touchons plus à l'alcool.

Plus sérieusement, nos comportements recèlent toujours une part d'inconscience. Une manière de nier la mort... ou de l'invoquer.

 

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de toute façon qu'est ce qu'on appelle vivre fort? on peut vivre d'une passion sans faire des excès répétés,; je fais de la musique du vélo du tennis de table, je suis raisonnable, je m'autorise de bons repas de temps en temps, de toute façon le principal c'est de réussir sa vie et pas réussir dans la vie. 

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Une personne dépendante à l’alcool est une personne qui a perdu la liberté de se passer de boire. Si, pour évaluer le caractère problématique d’une consommation, les quantités et les fréquences de consommations sont à retenir,  il est tout aussi important de prendre en compte les motifs singuliers qui conduisent une personne à recourir à l’alcool. Certains vont se servir de l’alcool pour ses effets antidépresseurs et/ou anxiolytiques, d’autres pour ses effets désinhibiteurs et/ou hypnotiques et il pourra leur être difficile de se priver de ces effets attendus l’alcool.

Un alcoolique n'est pas ivre tous les jours et c'est un besoin psychique ou physique plus qu'une quantite donnee.

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Tout à fait, d'accord avec toi 😄

En ce qui me concerne, je pense être un bon vivant, un épicurien dans l'âme, je veux profiter au mieux des bonnes choses de la vie, et ce n'est pas à mon âge que je vais passer à côté de toutes ses bonnes choses, le vélo en fait partie intégrante, mais je ne veux pas être esclave de cette pratique, à savoir faire certaines privations qui, en fait vont m'apporter quoi !!!!!!

Quand je vois sur ce forum que, certains ne pensent que vélo, ce n'est pas mon truc, c'était mon cas à une époque, mais pour en arriver à quel résultat pour un petit coureur de niveau régional, mais il est vrai que je ne me posais pas la question, vu que mes sacrifices, pour moi, étaient payants, vu que j'étais loin d'être ridicule à mon niveau.

 

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Pour en revenir au choix,impossible a faire pour quelqu'un de plus de 52 ans.On vit pour partager quelque chose.Anquetil n'a pas du partager beaucoup dans sa vie.Quand a Robert nous ne connaissons pas assez sa vie pour vouloir la vivre.Vivons déjà la notre du mieux possible(ce qui n'est pas toujours facile).

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La question, à la base, c'était quand même : 

vaut-il mieux vivre fort et mourir vite ou vivre chiant et mourir vieux ?

C'est que les exemples proposés ne sont pas très appropriés : Anquetil a vécu fort et est mort plutôt jeune, mais certainement pas « vite » : à petit feu et dans de grandes souffrances, au contraire. Tandis que Robert Marchand ne semble guère s'être s'ennuyé, va mourir très, très vieux et peut-être sans souffrance particulière.

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" ... tu tires tes infos à l'aide de quelles sources ?"

D'après mes informations, Bernard, Maurice Autobus lit régulièrement la revue "La vie du rail", qui jouit d'une certaine notoriété et d'un crédit certain.

Donc ... 

Szalu (="salut" en hongrois, l'écureuil qui traversait régulièrement mon jardin était hongrois, ceci explike cela   😉).

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