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Bon anniversaire à l'Aigle de Tolède , qui a été élu " Meilleur grimpeur  de tous les temps de l'histoire du  Tour de France", par l'équipe Magazine"

On se rappelle également qu'il avait déclaré au sujet de Virenque: "il ne m'arrive pas à la cheville !" ..  

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Ah c'est vrai que le grand Federico était un personnage ! Et j'ai eu la grande chance de me faire remplir un bidon par lui et de le récupérer par la portière alors que l'Aubisque se profilait dans l'Isard 1989. Par ailleurs inspiré par le 100e anniversaire du TDF, j'avais écris sur ce sujet et à la question " Que peut on attendre de cette 100e ?", j'avouais pas grand chose et je le citais : 

Il n’y aura pas un « Aigle de Tolède », qui pour couper la solitude de ses ascensions, attend le reste de la troupe, en achetant une glace au sommet d’un col, car il n’y a plus de place pour les poètes, et je pense qu’à l’oreillette on ne le mettrait pas en garde sur les pièges du change Pesetas/Francs, on lui signifierait tout simplement son licenciement immédiat pour grave faute professionnelle. Pire encore, ce fantasque « Picador », n’aurait pas aujourd’hui l’attention d’un contrat, en raison de l’incertitude de son profil de carrière, car quand il délassait ses chaussures c’est qu’il abandonnait et rien alentours ne pouvait modifier sa décision.

Et puis comme "Le CYCLE" utilisait mes services un temps, j'avais conclu mon CR 1989 de cette façon :

Laissons là le négatif, pour retenir une organisation excellente, soutenue par de nombreux bénévoles. Notons aussi la présence très active de F. B, qui a conservé la silhouette, la courtoisie, l'amabilité, l'humilité, en un mot la grandeur du champion des années 60, Federico apporte incontestablement une note très réconfortante à cette grande journée pyrénéenne.

Vraiment qu'un excellent souvenir.

 

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Ce qui ne l'a pas empêché pas d'avoir conservé sa silhouette de jeune homme.

J'ai lui quelque part que lorsqu'on lui a demandé comment il faisait, sa réponse a été : « pas de cigarettes, pas d'alcool ! ».

Ça le distingue de pas mal d'autres cyclistes, c'est vrai. 😇

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Tu sors ça d'où?

Non seulement il est remonté sur un vélo mais n'a cessé de le faire depuis.

Il a été formateur dans les années 70 et 80 et partait s'entrainer avec les cadets et juniors.

Bien des cyclos ont roulé et continuent de rouler à ses côtés.

Il y a peu il roulait sur un Orbéa.

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Wikipédia est aussi juste dans ses écrits que les ant-Froome dans les leurs.

N'importe qui y écrit n'importe quoi et n'importe qui croit c'importe quoi.

Ce n'est pas que Bahamontes est remonté sur un vélo, c'est qu'il n'en est jamais descendu.

Ou pour y remonter aussi tôt.

Bref Wiki, autant le laisser à Moreau ou à d'autres.

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Baha comptait bcp d'amis et de collègues pro dans la petite ville de ma jeunesse où on le voyait après Tour.

Mais il en est un qui n'a pas du tout apprécié son attitude sur le TdF 1965 :

https://www.letelegramme.fr/bretagne/cyclisme-les-verites-de-francois-le-her-04-06-2015-10652461.php

Si vous lisez le livre vous comprendrez pourquoi.

J'étais allé encouragé l'auteur de ce livre à l'arrivée (sur le vélodrome de Bordeaux) d'une étape de ce Tour 1965. Plus tard, son CONNARD de D.S. (Raoul Rémy) ne m'avait pas permis d'aller le voir à l'hôtel pour discuter qq minutes avec lui, Le Her m'avait dit où le trouver.

Peut-être l'attitude de Baha sur ce Tour 1965 (épisode des chaussures) a-t-elle son origine dans ses relations avec R. Rémy, je n'en sais rien.

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Ah tu es sur Mac, on comprends mieux maintenant beaucoup de choses, pourquoi entre autre tu es perdu avec ce nouveau V101 sur des points qui ne poseraient pas de problème à un enfant de 10 ans.

Mais surement plus près de 10 fois dix ans que de dix il est de ton âge d'avoir un mac en effet.

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L'histoire de chaussures que je connais au sujet de Bahamontes, c'est durant le Tour 57 : il était tellement décidé à abandonner malgré les admonestations de son encadrement qu'il aurait enlevé ses chaussures et se serait assis dessus pour bien le montrer. Mais ce cabezudo a peut-être eu une histoire du même genre en 65...

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D'après ce que j'ai pu lire,c'est lors du tour 1954 au col de Romeyere dans le Vercors,qu'il franchit celui-ci seul en tête,qu'il décide alors de s'arrêter pour déguster une glace ..   et ce qui est assez étonnant,c'est qu'en 1959,à nouveau lors du tour,seul en tête au col de  Romeyere,il décide également de se relever..  

vous imaginez aujourd'hui,la tête de Vincent Lavenu,en voyant Romain Bardet s'arréter pour manger une glace après avoir franchi un col seul en tête ?  😬





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