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Les 350W de la grand-mère et les 150W du cardiaque


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Merci pour toutes ces infos que je ne savais pas

Polémique est un bien grand mot

Mais sur ce fil il y' avait un mini débat sur "est ce que 350 watts pendant 10 minutes c'est assez pour faire de la compétition?"

C'était pour rappeler que toute puissance annoncée se rapportait au poids

Moi perso je pèse 54kg donc 10 minutes à 350 watts avec 0.35 de SCx me placerait très haut sur le tableau de Coggan (quasi chez les pros, lol)

 

 

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Mais dans toutes ces catégories il n'y a déjà pas beaucoup de watts sur longue durée, mais il y en a encore moins en fin de course ou c'est plutôt sauve qui peut. 

Ta description correspond à ce que je vois à un niveau "humain". En observant les pros qui sont capables de placer de grosses attaques à la fin d'une course longue et exigeante, on peut se demander si on est toujours sur la planète terre...

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Décidément Thierry, tu es difficile à convaincre.

Sur un autre fil tu affirmais que les pros faisaient partie d'une autre classe d'humains et j'ai essayé de te démontrer que la distribution des aptitudes, mesurées par exemple sur la base des VO2 max, ne soutient absolument pas ce point de vue.

Mais tu as abandonné la discussion sur le fil en question pour essayer de venir nous refourguer ton opinion ci-dessus. 😕

 

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Ca n'est pas un problème de poids mais de données GPS. Regarde ton ascension les 200 derniers mètres sont à heure, puissance, vitesse et FC constantes. 

Strava estime ta puissance à chaque point et pas sur l'ensemble de la côte. Comme il y a un trou dans tes données ta moyenne baisse car sur ces 200 m tu es 178 W au lieu de surement 350 à 450 W 

tu es aussi à 0 W au départ alors que la cadence n'est pas mesurée (Strava annule ta puissance si il sait que tu ne pédales pas). Or c'est en sorte de virage et vu ton temps tu as du appuyer sur les pédales pour relancer, donc surement 400/500 W qui partent à la trappe. 

Strava n'est pas fiable sur les segments courts et si il y a des virages. 

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Mais tu as abandonné la discussion sur le fil en question

Je me souviens que tu répondais à un autre forumer à propos des différences génétiques. Tu avais livré un lien pour réfuter ces différences si j'ai compris correctement. Mais je ne sais plus le titre de ce post que j'ai effectivement abandonné en cours de route.

Dans ma dernière intervention, j'exprime à demi-mots les doutes que laisse planer le dopage dans mon esprit, tout simplement. Décennies après décennies, on nous rebâche le même discours : "effectivement, on se dopait avant, mais ce n'est plus pareil, le cyclisme est à présent plus propre". Et lorsqu'on objecte les performances toujours améliorées, c'est la même litanie de l'évolution du matériel, des revêtements routiers et des méthodes d'entraînement.

Alors, oui, je suis difficile à convaincre. Entre un Tour de France de Fausto Coppi à 33 km/h et celui de Lance Armstrong à 42 km/h, la différence est énorme !

Ceci étant dit, je n'ai personne "dans le collimateur" et je ne me permettrais pas d'accuser quiconque sans preuve. Disons que le passé en la matière et certaines observations personnelles (donc à un très petit niveau) m'autorisent à un "scepticisme de bon aloi" 😉.

 

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La différence de moyenne entre Armstrong et Coppi tient surtout à la façon dont se déroulaient les épreuves. 

Coppi a un record de l'heure en 1942 de 45,8 km, Merckx en 1972 et Boardman en 2000 de 49,4 km. Le changement de règle a ensuite poussé le record à 54,5 km. Rien qu'un Jens Voigt à 40 ans gagne 2 kmh sur Merckx grâce au vélo de poursuite. 

Le TdF 1949 fait près de 1 500 km de plus pour autant d'étapes. Les équipes ne roulaient pas aussi fort toute la journée, les écarts était bien plus grands, les routes étaient moins bonnes. Coppi avait 30 min de retard à la fin de la première semaine il gagne avec 11 minutes d'avance. On est passé de 150 h d'épreuve à 85. 

Coppi remporte le chrono de 92 km des sables à 40 kmh après deux étapes de 300 km et un jour de repos !! Quand on sait les gains aéro de nos jours Coppi aurait surement fait une moyenne bien supérieure, probablement dans les 43/44 kmh

Aujourd'hui les étapes sont plus compactes et aussi les équipiers sont plus forts, le niveau plus homogène et tout le monde s'organisent pour rouler à 40 kmh toute la journée. 

Dans les années 80 on était déjà à près de 39 de moyenne. Finalement le summum des années open bar sur EPO on ne remarque même pas de grosse différence sur les moyennes. 

Ils roulent vraiment comme des dingues de nos jours et les tactiques font que le travail est mieux réparti, c'est en tout cas mon sentiment

 

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Je peux le redire plus fort si tu n'as pas entendu la première fois 😉

La différence de moyenne entre Armstrong et Coppi tient surtout à la façon dont se déroulaient les épreuves. 

Coppi a un record de l'heure en 1942 de 45,8 km, Merckx en 1972 et Boardman en 2000 de 49,4 km. Le changement de règle a ensuite poussé le record à 54,5 km. Rien qu'un Jens Voigt à 40 ans gagne 2 kmh sur Merckx grâce au vélo de poursuite. 

Le TdF 1949 fait près de 1 500 km de plus pour autant d'étapes. Les équipes ne roulaient pas aussi fort toute la journée, les écarts était bien plus grands, les routes étaient moins bonnes. Coppi avait 30 min de retard à la fin de la première semaine il gagne avec 11 minutes d'avance. On est passé de 150 h d'épreuve à 85. 

Coppi remporte le chrono de 92 km des sables à 40 kmh après deux étapes de 300 km et un jour de repos !! Quand on sait les gains aéro de nos jours Coppi aurait surement fait une moyenne bien supérieure, probablement dans les 43/44 kmh

Aujourd'hui les étapes sont plus compactes et aussi les équipiers sont plus forts, le niveau plus homogène et tout le monde s'organisent pour rouler à 40 kmh toute la journée. 

Dans les années 80 on était déjà à près de 39 de moyenne. Finalement le summum des années open bar sur EPO on ne remarque même pas de grosse différence sur les moyennes. 

Ils roulent vraiment comme des dingues de nos jours et les tactiques font que le travail est mieux réparti, c'est en tout cas mon sentiment

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