Simon RANO Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Aie....je prend la peine de répondre parce que c'est toi."Le pilotage n'est pas déterminant" " certains pros descendent comme des fer à repasser"C'est paradoxal !!Si le pilotage n'est pas déterminant comment ce fait-il qu'il existe des mauvais descendeurs et qu'ils perdent du temps descente ? Comment tu peux parler de bon ou mauvais descendeurs si ils descendent tout à la même vitesse ? C'est comme dire tous les humains font la même taille mais certains sont plus petits...Va dire ça à Kruijwsijk qui se plante sur le Giro à cause de la pression de Nibali, Zakarin qui fini dans le faussé, Pinot qui se crispait, Porte qui se casse le bassin en prenant l'intérieur d'un virage...Ou alors Bardet, Nibali, Sagan qui ont gagné en attaquant en descente ?Pour moi déterminant c'est pas faire 10 min d'écart, c'est faire la différence entre victoire ou défaite. De nombreuses courses ont été gagné en descentes.
Jean GUY Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Et moi ce que je voulais mettre en évidence, c'est que son propriétaire est obligatoirement un mauvais escaladeur 🆒
Thierry GEUMEZ Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Je suis bien d'accord qu'une victoire puisse se jouer dans une descente, mais la capacité à descendre n'est pas le premier critère de sélection exigé par un directeur sportif.
Thierry GEUMEZ Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Ok, je renonce à combattre la mauvaise foi 😉
Simon RANO Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 AH !! (comme le fait si bien Denis Brogniart)On est passé de "le pilotage ne fait pas de différence en cyclisme sur route" à "ca passe après les capacités physiques du coureur"Il y a une abysse entre des deux, trouvons un bathyscaphe pour aller l'explorer 🙄
Simon RANO Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Tu viens d'atteindre le bas fond de la mauvaise foi, 11 257 m sous le plancher des canards
Franck PASTOR Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Comme Vicenzo Nibali ? 😛Bon escaladeur, descendeur fuoriclasse… et apparemment favorable à l'utilisation des freins à disque :http://www.cyclingnews.com/news/nibali-in-favour-of-disc-brakes-in-pro-peloton-but-worried-about-crashes/
Jean GUY Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Mouais, il doit bien y avoir 1 ou 2 % des coureurs pros qui y sont favorables. En attendant, Nibali n'a toujours pas été vu avec des freins à disque sur une course d'importance, alors qu'il a le droit de les utiliser. Qu'attend-il si c'est si bien?
Thierry GEUMEZ Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Ce qui est très curieux, c'est de voir Simon traiter de pimpins les adeptes du disque alors qu'il reconnaît avoir peur en descente...
Simon RANO Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Retourne regarder des vidéos démontrant que personne n'a marché sur la Lune STP
Franck PASTOR Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Peut-être attend-il que plus de monde s'y mette. Déjà il y a risque d'accidents du fait de la coexistence des freins à disque et à patins dans le peloton.Exactement comme à l'époque de la transition des freins à tambours aux freins à disque pour le sport automobile. Ce qui n'a pas empêché l'adoption des freins à disque pour finir, d'ailleurs. Par ailleurs, comme il le dit lui-même, il faut le temps que les cyclistes s'habituent à ce nouveau type de freinage. Ce n'est pas le même feeling, ni le même dosage, il y a un coup à prendre.« Riders will need to learn how to use disc brakes properly and learn how to modulate their braking. It's all about getting used to it. »
Simon RANO Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 C'est pas mon freinage qui me fait peur c'est ma vitesse 😛
Cédric NOIRIEL Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 L'article date de Décembre 2015, et depuis Nibali n'a jamais couru en disque.Il était alors sponso par une marque qui pousse à fond vers ce système, et depuis ca semble être silence radio.
Franck PASTOR Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 À en juger par l'article, s'il était favorable au disque, il n'en faisait visiblement pas une priorité de sa vie de coureur.Il faudrait lui demander, en fait. Peut-être a-t-il suivi le mouvement des anti-disques qui ont peur des accidents éventuels dus à la cohabitation et au manque d'habitude, qui sait ? Ou plus probablement (à en juger par cet article, toujours) attend-il que les esprits soient mûrs pour l'acceptation du disque… Et d'après vos réactions à vous autres compétiteurs du forum, ce n'est vraiment pas le cas. 😉
Denis PIQUENOT Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 quand tu roule un patin, c'est mieux avec un disque.
Georges IGOR Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Nibali et Bardet ne semblent pas pénaliser par des freins à étriers
Georges IGOR Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Je suis désormais un mauvais descendeur, et je ne pense pas qu'avec des disques que je serais plus performant, autrement dit plus rapide.bien descendre, c'est une question de confiance et de trajectoire. Si tu n'as pas cela disque ou pas, c'est pareil.
Thierry GEUMEZ Posté le 15 février 2018 Posté le 15 février 2018 Il parvenait à te suivre malgré ses disques ? Costaud le gars ! 😆
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