Eric HENNUY Posté le 30 septembre 2017 Share Posté le 30 septembre 2017 En fait Laurens s'est pris le groin avec d'autres congénères 😃 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier DARGE Posté le 30 septembre 2017 Share Posté le 30 septembre 2017 sympas les photos, et bravo aux 2 courageux participants de velo101, Jérémie et Jean-Marc!ça donne presque envie ;-) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric HENNUY Posté le 30 septembre 2017 Share Posté le 30 septembre 2017 Sur du sec pour ma part, OUI. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier DARGE Posté le 30 septembre 2017 Share Posté le 30 septembre 2017 voilà un objectif bien "cra-cra" pour 2018. Faudrait que j'en parle à Alain L. ;-) il hésitait encore pour le TL sur son CX.j'ai vu son copain Luc L. hier (gros rouleur velotaf et autres grosses cyclos). tu le connais aussi ? il n'a pas non plus peur de se mouiller. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric HENNUY Posté le 30 septembre 2017 Share Posté le 30 septembre 2017 Oui je connais ces gaillards😉C'est sûr qu'ils seraient partant pour ce genre d'épopée; perso ce serait mon VTT Stumpjumper Carbon de 29" peut être à la sauce gravel, je vais étudier l'option gros plateaux, petite cassette et pneus Schawalbe G One allround, dommage que ces derniers soient limités à 40 mm de large, sur un VTT on peut mettre du très large et c'est positif à tous points de vues. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jérémie LAPLAC Posté le 9 septembre 2018 Auteur Share Posté le 9 septembre 2018 Je m'étais donc promis de refaire cette Dirty Boar si la météo était au grand beau. Et je n'ai pas été déçu, ni par le soleil, ni par les paysages et encore moins par le parcours et l'organisation.Hier matin à 7 heures à Ovifat, signal de départ, c'est parti au milieu des 500 autres cyclistes. Je sais que la journée va être compliquée : pas beaucoup de vélo en août la faute au travail, les dernières semaines ont été chargées et j'ai accumulé un peu de fatigue. Ce sera sans doute en mode survie. La première portion un peu cassante et abordée très calmement. Arrivé au Signal de Botrange après une dizaine de kilomètres, nous voilà partis sur les pistes roulantes des Hautes Fagnes. Il fait froid, la lumière est magnifique et je me contente de me laisser rouler en profitant du paysage. KM 50, premier ravitaillement. A ce stade, je n'ai pas fait d'effort violent et les sensations sont bonnes. Une banane, de l'eau dans les bidons et c'est reparti en direction d'Eupen. Le terrain est incroyablement sec alors qu'il a plus la semaine ; je ne vais pas me plaindre. KM 70 : un petit raidar. J'essaie de passer en force mais il faut se rendre à l'évidence : ce sera sur le 32/32. A partir de ce moment, les choses sont claires ; si je veux rejoindre l'arrivée, ce sera au moral. Je laisse filer la bande, m'arrête longuement pour me refaire la cerise et évaluer éventuelles les options de replis. Je remonte sur le vélo et décide de rejoindre le deuxième ravitaillement au KM 110. J'y fait une longue pause, m'alimente bien et décide de repartir gentiment pour attaquer le morceau le plus dur de la journée : du barrage d'Eupen au plateau des hautes Fagnes, ce ne sont que 300 mètres de D+, mais ça monte et ça descend sans arrêt avec un vent dans la figure qui m'empêche de me relâcher dans les descentes. 35 kilomètres en prise, sur des pistes sèches, certes, mais exposées, des faux plats interminables. Je ne prends guère de plaisirs et mon humeur ne s'améliore pas quand une dizaine de cyclos que je dépasse sautent dans ma roue avant de refuser de prendre le moindre relais, sans aucune gêne.KM 133 : ravitaillement trois. Des pâtes, des fruits, du sucré, du salé, du café pour ceux qui veulent.... Il reste 35 bornes en suivant la trace, ou 6 en rentrant en direct. J'opte pour la première solution en sachant qu'il y a, dans ces 35 bornes, un tronçon qui risque d'être épouvantable, où l'année passée, nous avions galéré dans des sentiers défoncés et gorgés d'eau. Bonne nouvelle de la journée : les Eaux et Forêts ont gravillonné ces pistes, ce qui me fait penser qu'en Belgique, on entretient mieux les sentiers forestiers que les routes 😃 Curieusement, les jambes reviennent et les kilomètres défilent assez vites ; je mets une heure tout pile pour avaler 25 kilomètres.KM 160, une vallée encaissée splendide où, l'année dernière, les eaux étaient tellement hautes qu'il était impossible de passer les gués. Cette année, il n'y a guère plus de quelques centimètres dans les cours d'eau, ça roule assez vite et la dernière difficulté est avalée gentiment. Je passe la ligne à 16h30, fatigué mais satisfait de l'avoir fait. 8h05 de roulage effectif, c'est certes moins bon que la première édition mais avec les jambes que j'avais, c'est déjà miraculeux.Comme l'an passé, organisation au top ! Des ravitaillements parfaits, un fléchage irréprochable (pas évidents sur un tel parcours) qui rendait la navigation par GPS superflue, une très bonne ambiance au départ et à l'arrivée.A refaire ..... et surtout, j'espère que ce type d manifestation va se développer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 9 septembre 2018 Share Posté le 9 septembre 2018 Si j'ai bien compris, c'était un Dirty Boar très propre cette année ! 😃C'était ton vélo orange que tu avais aujourd'hui, je suppose ? Avec quelle taille de pneus et quels braquets ? (mini 32/32 apparemment). les Eaux et Forêts ont gravillonné ces pistes, ce qui me fait penser qu'en Belgique, on entretient mieux les sentiers forestiers que les routes Ah bon, ils entretiennent les routes dans ton pays ? 😇En fait, j'ai parfois l'impression qu'en Belgique on laisse sciemment se dégrader les petites routes pour à terme en faire des pistes ou des sentiers… 😕L'avenir du vélo de route belge serait-il donc le gravel ? 😛 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maurice AUTOBUS Posté le 9 septembre 2018 Share Posté le 9 septembre 2018 "En fait, j'ai parfois l'impression qu'en Belgique on laisse sciemment se dégrader les petites routes pour à terme en faire des pistes ou des sentiers… L'avenir du vélo de route belge serait-il donc le gravel ? "En fait, c'est exactement ce qu'il se passe en France, en tout cas dans la partie ou je suis. Les seules routes qui sont entretenues, ce sont celles qui n'en n'ont pas besoin, les belles routes à touristes, qui drainent l'Europe du nord vers l'endroit ou elle va se faire essorer. 😃Après, il faut dire qu'on a goudronné, dans les Trente Glorieuses, tout un tas de routes qui ne le méritaient pas forcément et qui retournent aujourd'hui à l'état sauvage. No future, à part en gravel... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jérémie LAPLAC Posté le 9 septembre 2018 Auteur Share Posté le 9 septembre 2018 Si j'ai bien compris, c'était un Dirty Boar très propre cette année Oui Franck, à part les cinq derniers kilomètres, il n'y avait guère de boue ou d'eau sur les pistes. Car nous pouvons parler de pistes dans la mesure où 95% du parcours est constitué de route non asphaltées, à l'instar de ce qui se fait dans les pays nordiques. 4% d'apshalte et 1% de chemins, on ne doit pas être loin de la réalité.C'était ton vélo orange que tu avais aujourd'hui, je suppose ? Ouaips, avec les pneus crantés de 40mm en tubeless. 11/32 derrière, 48/32 devant.L'avenir du vélo de route belge serait-il donc le gravel ?Retour aux sources. Avant, seules les grands axes étaient asphaltés, le cyclisme était obligatoirement du Gravel. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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